La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°426 -
Monsieur le Marquis d’Evans, une coupe de champagne à la main, salue les Maîtres « DuoDoms » qui viennent de libérer leurs deux soumis jumeaux, auxquels ils ont fait faire en guise de punition pour ne pas avoir su retenir une éjaculation non autorisée, quelques tours sur le parquet dans tous les sens, en rond sur eux-mêmes ou encore dessus-dessous, et ce après les avoir positionnés en 69, sanglés ensemble par de nombreuses ceintures bien serrées.
- Chers amis, chers « DuoDoms », un grand merci pour cette petite réjouissance punitive, quoique à mon avis largement plus jouissive. Je pense que vous avez bien du faire perdre la tête à vos deux dominés à les tournebouler dans tous les sens. Je suis certain que vous, et même eux, ne saviez plus lequel était lequel avec leurs deux corps si similaires, tantôt dessus, tantôt dessous. En tout cas, ces deux-là font bien la paire pour le parfait couple de Dominants homo que vous formez tous les deux et cela me réjouit de vous voir si bien entouré de ces deux petits chiens-soumis clonés. Je vais devoir vous laisser tout au plaisir de la suite de vos jeux D/s, car il me reste encore de nombreux invités que je souhaite pouvoir saluer personnellement sans tarder. Que la suite de cette nuitée orgiaque soit à votre convenance. Je n’oublierai pas de sitôt le spectacle de votre amusante chenille sodomite ondulante au gré des pénétrations anales faites à la queue leu leu.
Les deux Dominants en symbiose parfaite ajoutent à tour de rôle, presque d’une même et unique voix.
- Cher Marquis d’Evans, c’est nous qui devons Vous remercier pour cette merveilleuse réception et pour la mise à disposition de vos deux chiens-mâles pendant quelques heures. Nous ne manquerons pas d’en profiter jusqu’au petit matin, car nos deux soumis jumeaux commencent déjà à rendre l’âme. Ils n’ont pas encore la résistance de Vos chiens-esclaves qui sont dressés de Main de Maître à dure école et sont prêts à satisfaire la moindre de Vos exigences, et de fait, par délégation, la nôtre en cette nuitée.
- Cher Marquis d’Evans, c’est toujours un régal de pouvoir être invité à l’une des soirées fantastiques BDSM que Vous organisez entre ces murs légendaires qui ont abrité tant de générations successives de Marquis d’Evans de père en fils et eu le plaisir de recevoir Monsieur le Marquis de Sade en personne. Ici, nous nous sentons à l’aise entre personnes de bonne compagnie, pouvant vivre nos passions intensément, sans craindre le moindre regard réprobateur de qui que ce soit au sein de cette communauté BDSM triée sur le volet.
Le Châtelain incline très légèrement la tête avant de se retourner et de s’éloigner. Il n’a pas besoin d’aller très loin pour tomber sur l’un de ses meilleurs amis de longue date Sir Senav, qui peut presque être qualifié d’un de Ses mentors qui lui a permis jeune de s’initier aux joies de la Domination et des pratiques D/s, même s’il est vrai que lui comme ses autres pairs n’ont fait qu’éveiller chez le Noble Dominant un sentiment déjà très profondément incrusté depuis toujours dans l’âme de ce Grand Maître, qu’est devenu depuis de nombreuses années, Monsieur le Marquis Edouard d’Evans. Sir Senav est accompagné comme à son habitude de son esclave-soumise Dosile, qui est maintenant aussi devenue sa compagne fidèle et aimante. Sir Senav et Monsieur le Marquis d’Evans ont en commun une même vision de la saine Domination/soumission et ils ont grand plaisir à pouvoir échanger ensemble le plus souvent possible, regrettant parfois que leurs obligations professionnelles, tout autant que leurs autres engagements personnels ne leur laissent pas plus de temps pour parler de toutes leurs passions communes, la D/s n’en étant qu’une des composantes, non la moindre certes, mais ils aiment, tant l’un que l’autre, la peinture, la sculpture, l’Art sous toutes ses formes ; et ils ont un goût raffiné et affirmé pour les belles choses exceptionnelles et les antiquités rarissimes. Sir Senav est un homme d’affaires qui a fait fortune grâce à l’expansion du net mais qui a su garder des qualités humaines indéniables ; il est devenu Maître dans l’Art de la Domination D/s depuis quelques décennies. C’est un quinqua très actif, élégant et gracieux, jeune d’esprit et vigoureux sur le plan physique, avec des capacités sexuelles et une libido qui n’ont pas besoin de viagra ou de palliatifs pour exciter sa queue et lui permettre de jouir de tous les plaisirs hédonistes que lui apporte la vie.
Sir Senav a à ses pieds depuis bientôt 10 ans son esclave Dosile, qui est bien plus qu’une soumise docile et dévouée, tout autant qu’une femme généreuse avec un cœur en or toujours prête à se dévouer pour ceux qu’elle aime et ses enfants en particulier. Elle est aussi une épouse fidèle et exemplaire, et encore également une chef d’entreprise compétente et intelligente. Il est parfois surprenant de voir chez cette femme au fort caractère et à la carapace solide, une différence de comportement presque totale entre sa vie vanille professionnelle qu’elle assume avec brio en tant que dirigeante reconnue par son entourage professionnel et ses collaborateurs, et sa servilité magnifiée à l’égard du Dominant devant lequel elle a courbé spontanément et humblement l’échine en le suppliant d’accepter de la prendre sous Son Joug, puis de l’éduquer et la guider pour lui permettre de passer de l’état de caillou brut qu’elle était à celui d’une sculpture plus élaborée telle que peut le devenir une soumise dressée et formatée suivant les désirs du Maître. Très rapidement, une fois la confiance mutuelle établie, elle lui a donné librement tous pouvoirs sur l’esclave-soumise qu’elle désirait vivement devenir à ses pieds, remettant entre ses mains de Maitre Absolu sa vie D/s et tous ses plaisirs intimes, mais aussi en totale confiance peu à peu tous ses choix de vie personnels.
Dosile est une femme très plantureuse, qui assume son âge de quinqua et sa corpulence avec aisance tant dans la communauté BDSM que dans la vie de tous les jours, dans une société qui pourtant est assez conditionnée de manière étriquée sur des critères de beauté physique et plastique, basés sur la jeunesse et un corps svelte, ayant oublié pour la plupart que le plus important reste la beauté du cœur et de l’âme. Elle n’est pas exhibitionniste par nature, mais elle n’est pas non plus pudique outre mesure, à l’aise même dans sa nudité, malgré son profil hors-norme. Elle est prête à accepter du Dominant tout ce qu’il lui imposera par soumission, autant que par envie de le satisfaire. Elle s’offre sans retenue d’autant plus facilement que le regard que le Maître porte Sa soumise depuis le début est bienveillant, empli de fierté de Maître possédant et de désirs d’Homme pénétrant. Par chance, Sir Senav est un amateur depuis toujours des femmes bien en chair, de celles que l’on peut voir dans les tableaux de Rubens et de Renoir, un peu potelées, aux hanches larges et à la poitrine généreuse.
Sir Senav l’a admise sous son Joug toute novice bien que déjà soumise dans l’âme, mais n’ayant jamais franchi le pas d’une D/s réelle au-delà des fantasmes qui remplissaient ses rêves depuis l’enfance. Il lui a fait découvrir peu à peu une grande partie des pratiques les plus courantes, toujours ravi de constater sa grande Dévotion sans bornes, un amour sincère et pur qui faisait qu’elle s’offrait de plus en plus corps et âme, et un parcours dans la soumission en permanente progression, ce qui n’a pas empêché des égarements et des temps de doute surtout au début et par la suite des moments d’étapes successives à franchir avec plus ou moins de facilité et de temps pour progresser. Comme toute initiation et dressage, les petites erreurs involontaires sur le chemin de la soumission donnaient lieu à des punitions méritées, à des fins formatrices et salvatrices, que l’esclave venait implorer au pied du Dominant en espérant son pardon avec beaucoup d’humilité et une réelle envie de s’améliorer pour ne jamais récidiver.
Sir Senav interpelle la chienne-esclave du cheptel N°10 MDE qui est à sa disposition depuis le début de la soirée et le tirage d’une boule dorée, et qui attendait patiemment à genoux à côté de la table basse. Il exige qu’elle lui apporte sans tarder deux bonnes dizaines de pots en verre remplis de bougies colorées de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel et qu’elle les allume dès son retour pour qu’elles puissent commencer à fondre. Pendant ce temps là, le Maître installe sa soumise allongée sur un grande table basse qu’il vient de recouvrir d’une grande bâche plastique de protection. Dosile a tout de suite compris ce que cela allait impliquer, un petit plaisir chauffant de jeux avec de la bougie dont elle raffole, tout autant que le Maître. Elle aurait accepté avec la même facilité une autre exigence du Dominant qui aurait entraîné une pratique moins évidente ou moins plaisante pour l’esclave qu’elle est, mais ses yeux lumineux trahissent le plaisir qu’elle a de pouvoir partager ce temps D/s en cette soirée anniversaire entre ces murs légendaires, entourée de tant d’autres Domina, Dominants, dominées et dominés, qui partagent T/toutes et T/tous cette même attirance pour cet Art de vivre qu’est le BDSM, même si chacun le vit différemment en fonction de ses désirs personnels et de ceux du partenaire. Elle voudrait pouvoir offrir un moment de délectation à son Maître et époux pour qu’il garde un merveilleux souvenir de la soirée, lié tant à la qualité de la soirée anniversaire majestueuse en elle-même offerte par Monsieur le Marquis d’Evans, mais également à la manière dont il a pu savourer les plaisirs D/s et affirmer aux yeux de tous son Pouvoir Dominant sur l’esclave qui est très heureuse d’avoir la chance d’être à ses pieds.
Le Dominant commence par poser sur les chevilles et les poignets de son esclave quatre bracelets de cuir avec des anneaux pour pouvoir y passer des crochets d’attache. Il l’installe de manière à ce qu’elle soit presque en bout de table au niveau des fesses. Il lui plie les jambes avant de les écarter complètement pour les faire passer l’une et l’autre de chaque côté du rebord de la table. Il relie ensuite les pieds à l’aide d’une barre d’écartement qui passe sous le plateau de la table et qui impose à la soumise à l’anatomie replète de maintenir, non sans quelque difficulté, cette position qui, tout en l’obligeant à garder les jambes pliées vers le bas au niveau du plateau de la table, lui écartèle complètement le bassin, tendant au maximum les muscles et les nerfs au niveau de l’intérieur des cuisses. Cet agencement à l’immense intérêt d’exposer toute son intimité aux yeux de tous mais également de la rendre accessible pour la suite des opérations plus ludiques et érotiques. Sir Senav attache par la suite les poignets de Dosile aux pieds de la table basse, ce qui a pour effet de lui tendre les bras vers l’arrière et de lui empêcher tout sorte de mouvement des membres et du corps. Le Maître regarde sa soumise qui fronce le front et crispent les paupières, même si elle ne dit mot et ne se plaint en aucune manière, car la position est relativement inconfortable et elle se doute bien qu’elle va le devenir de plus en plus au fur et à mesure des minutes qui vont passer. Il se penche sur elle, lui dépose sur les lèvres un baiser des plus affectueux et ajoute d’un petit air complice et très canaille, avec une pointe d’humour qui laisse présager un petit tour coquin à sa manière, comme il les affectionne.
- Ma Dosile chérie, tu sais bien combien tu as un Maître qui est galant et attentionné. Je vais te glisser un coussin sous la nuque pour que tu sois bien à l’aise et confortablement installée. Et puis au moins tu pourras profiter du spectacle autant que moi en étant un peu surélevée au niveau de la tête !!!
Sir Senav effectivement glisse un petit coussin sous le crane de Dosile, mais il s’empresse également de lui nouer un bandeau autour des yeux. C’est donc un comble puisqu’il vient de lui indiquer qu’elle pourrait en étant plus inclinée voir ce qui allait se passer, mais de fait seulement artificiellement par la pensée dans la nuit de son bandeau qui la prive de la vue, tout en décuplant ses autres sens. De plus, le coussin ne rend en rien la position qu’il lui impose plus confortable face à l’écartement maximal des pieds, des jambes, de cuisses, du bassin et l’étirement des bras et épaules vers l’arrière. Cependant, l’esclave, habituée à subir de par sa condition soumise, s’empresse d’ajouter.
- Maître Adulé, Sir Senav, Votre esclave-soumise dévouée, Votre docile « Dosile » vous remercie chaleureusement pour toute l’attention et la délicatesse que vous exprimez à son égard. Mon corps vous appartient totalement, disposez-en à votre convenance comme toujours.
- Ne te fais pas de souci, je ne vais pas me gêner pour en profiter et en abuser même. Je n’ai d’ailleurs besoin, ni ton autorisation, ni de ton approbation pour le faire, puisque ton corps m’appartient depuis des années. N’est-ce pas Ma Dosile chérie ?
- Oui, Maître Adulé, vous avez raison comme toujours. Je vous prie de bien vouloir me pardonner de croire que je puisse encore vous faire don de ce qui est déjà Vôtre.
Les bougies multicolores ont commencé à fondre dans les différents pots et une certaine masse de cire liquide se trouve à disposition de Sir Senav qui a décidé pour la soirée de jouer « du pinceau chaud et fluide » sur le corps de sa soumise par bougies interposées. Tel un chirurgien en train d’opérer, il annonce à la chienne-femelle N° 10MDE la liste des instruments dont il va avoir besoin pour « opérer », et plus précisément les couleurs dont il aura la nécessité au fur et à mesure pour réaliser son œuvre. Il commence par laisser perler d’assez haut quelques gouttes de vert sur le haut du ventre bombé de Dosile qui ne peut s’empêcher de sursauter dans ses attaches et de contracter les muscles abdominaux, plus en étant surprise de voir que le jeu vient de commencer qu’à cause de la chaleur de la cire fondue projetée d’assez haut (provenant de bougies qui sont en outre de qualité BDSM et donc garanties comme ayant une température maximale telle qu’elle ne peut causer aucune brûlure problématique sur le corps, tout au plus un petit rougeoiement avec la chaleur de l’impact chaud, mais non brûlant)
Les premières gouttes tombées et l’effet de surprise passé, même si Sir Senav se doute bien que son épouse-esclave avait compris ce qu’il avait l’intention de faire lorsqu’il l’avait faite installer sur une bâche plastique de protection, sur laquelle elle pourra par la suite se débarrasser de toutes les particules sèches de bougies fondue, le Dominant commence à venir lui sensibiliser et lui chauffer la peau en se rapprochant de plus en plus, car l’effet de chaleur à l’impact est lié à la hauteur depuis laquelle le liquide est versé sur le corps de la dominée. Il se met à couvrir toute la surface des deux seins, des monts majestueux qui s’offrent frémissants ne pouvant se dérober physiquement, mais qui s’offrent et pointent en avant surtout par plaisir D/s et soumission totale. Sir Senav s’amuse à laisser la cire dans des camaïeux de bleu se déposer sur la poitrine au début par ronds concentriques sur tout le pourtour des mamelles, puis en spirales, venant enfin recouvrir les deux auréoles durcies et gonflées et au centre les mamelons turgescents et excités. La respiration de Dosile s’est accélérée et son torse se bombe à chaque inspiration, offrant encore plus son buste aux gouttes qui perlent sur sa poitrine avec un plaisir D/s émoustillant qui commence à se voir dans son bas-ventre humide et de plus en plus soyeux en étant imbibé de cyprine. La cire dans des tons de bleu et de gris/blanc recouvre peu à peu toute la surface des mamelles, comme pourrait le faire un soutien-gorge de tissus imprimé dentellé. Sir Senav a en effet décidé de déposer une bonne couche de cire presque compacte pour la circonstance, avec l’espoir, lorsque la bougie sera suffisamment refroidie et durcie, de pouvoir l’ôter d’un seul geste, ce qui lui permettrait d’avoir fait un modelage à retirer d’un seul coup en évitant de casser les deux blocs qui pourraient garder la forme précise du galbe des deux seins de son adorée et des mamelons si mignons qui dardent impudiquement en leur milieu…
(A suivre …)
Monsieur le Marquis d’Evans, une coupe de champagne à la main, salue les Maîtres « DuoDoms » qui viennent de libérer leurs deux soumis jumeaux, auxquels ils ont fait faire en guise de punition pour ne pas avoir su retenir une éjaculation non autorisée, quelques tours sur le parquet dans tous les sens, en rond sur eux-mêmes ou encore dessus-dessous, et ce après les avoir positionnés en 69, sanglés ensemble par de nombreuses ceintures bien serrées.
- Chers amis, chers « DuoDoms », un grand merci pour cette petite réjouissance punitive, quoique à mon avis largement plus jouissive. Je pense que vous avez bien du faire perdre la tête à vos deux dominés à les tournebouler dans tous les sens. Je suis certain que vous, et même eux, ne saviez plus lequel était lequel avec leurs deux corps si similaires, tantôt dessus, tantôt dessous. En tout cas, ces deux-là font bien la paire pour le parfait couple de Dominants homo que vous formez tous les deux et cela me réjouit de vous voir si bien entouré de ces deux petits chiens-soumis clonés. Je vais devoir vous laisser tout au plaisir de la suite de vos jeux D/s, car il me reste encore de nombreux invités que je souhaite pouvoir saluer personnellement sans tarder. Que la suite de cette nuitée orgiaque soit à votre convenance. Je n’oublierai pas de sitôt le spectacle de votre amusante chenille sodomite ondulante au gré des pénétrations anales faites à la queue leu leu.
Les deux Dominants en symbiose parfaite ajoutent à tour de rôle, presque d’une même et unique voix.
- Cher Marquis d’Evans, c’est nous qui devons Vous remercier pour cette merveilleuse réception et pour la mise à disposition de vos deux chiens-mâles pendant quelques heures. Nous ne manquerons pas d’en profiter jusqu’au petit matin, car nos deux soumis jumeaux commencent déjà à rendre l’âme. Ils n’ont pas encore la résistance de Vos chiens-esclaves qui sont dressés de Main de Maître à dure école et sont prêts à satisfaire la moindre de Vos exigences, et de fait, par délégation, la nôtre en cette nuitée.
- Cher Marquis d’Evans, c’est toujours un régal de pouvoir être invité à l’une des soirées fantastiques BDSM que Vous organisez entre ces murs légendaires qui ont abrité tant de générations successives de Marquis d’Evans de père en fils et eu le plaisir de recevoir Monsieur le Marquis de Sade en personne. Ici, nous nous sentons à l’aise entre personnes de bonne compagnie, pouvant vivre nos passions intensément, sans craindre le moindre regard réprobateur de qui que ce soit au sein de cette communauté BDSM triée sur le volet.
Le Châtelain incline très légèrement la tête avant de se retourner et de s’éloigner. Il n’a pas besoin d’aller très loin pour tomber sur l’un de ses meilleurs amis de longue date Sir Senav, qui peut presque être qualifié d’un de Ses mentors qui lui a permis jeune de s’initier aux joies de la Domination et des pratiques D/s, même s’il est vrai que lui comme ses autres pairs n’ont fait qu’éveiller chez le Noble Dominant un sentiment déjà très profondément incrusté depuis toujours dans l’âme de ce Grand Maître, qu’est devenu depuis de nombreuses années, Monsieur le Marquis Edouard d’Evans. Sir Senav est accompagné comme à son habitude de son esclave-soumise Dosile, qui est maintenant aussi devenue sa compagne fidèle et aimante. Sir Senav et Monsieur le Marquis d’Evans ont en commun une même vision de la saine Domination/soumission et ils ont grand plaisir à pouvoir échanger ensemble le plus souvent possible, regrettant parfois que leurs obligations professionnelles, tout autant que leurs autres engagements personnels ne leur laissent pas plus de temps pour parler de toutes leurs passions communes, la D/s n’en étant qu’une des composantes, non la moindre certes, mais ils aiment, tant l’un que l’autre, la peinture, la sculpture, l’Art sous toutes ses formes ; et ils ont un goût raffiné et affirmé pour les belles choses exceptionnelles et les antiquités rarissimes. Sir Senav est un homme d’affaires qui a fait fortune grâce à l’expansion du net mais qui a su garder des qualités humaines indéniables ; il est devenu Maître dans l’Art de la Domination D/s depuis quelques décennies. C’est un quinqua très actif, élégant et gracieux, jeune d’esprit et vigoureux sur le plan physique, avec des capacités sexuelles et une libido qui n’ont pas besoin de viagra ou de palliatifs pour exciter sa queue et lui permettre de jouir de tous les plaisirs hédonistes que lui apporte la vie.
Sir Senav a à ses pieds depuis bientôt 10 ans son esclave Dosile, qui est bien plus qu’une soumise docile et dévouée, tout autant qu’une femme généreuse avec un cœur en or toujours prête à se dévouer pour ceux qu’elle aime et ses enfants en particulier. Elle est aussi une épouse fidèle et exemplaire, et encore également une chef d’entreprise compétente et intelligente. Il est parfois surprenant de voir chez cette femme au fort caractère et à la carapace solide, une différence de comportement presque totale entre sa vie vanille professionnelle qu’elle assume avec brio en tant que dirigeante reconnue par son entourage professionnel et ses collaborateurs, et sa servilité magnifiée à l’égard du Dominant devant lequel elle a courbé spontanément et humblement l’échine en le suppliant d’accepter de la prendre sous Son Joug, puis de l’éduquer et la guider pour lui permettre de passer de l’état de caillou brut qu’elle était à celui d’une sculpture plus élaborée telle que peut le devenir une soumise dressée et formatée suivant les désirs du Maître. Très rapidement, une fois la confiance mutuelle établie, elle lui a donné librement tous pouvoirs sur l’esclave-soumise qu’elle désirait vivement devenir à ses pieds, remettant entre ses mains de Maitre Absolu sa vie D/s et tous ses plaisirs intimes, mais aussi en totale confiance peu à peu tous ses choix de vie personnels.
Dosile est une femme très plantureuse, qui assume son âge de quinqua et sa corpulence avec aisance tant dans la communauté BDSM que dans la vie de tous les jours, dans une société qui pourtant est assez conditionnée de manière étriquée sur des critères de beauté physique et plastique, basés sur la jeunesse et un corps svelte, ayant oublié pour la plupart que le plus important reste la beauté du cœur et de l’âme. Elle n’est pas exhibitionniste par nature, mais elle n’est pas non plus pudique outre mesure, à l’aise même dans sa nudité, malgré son profil hors-norme. Elle est prête à accepter du Dominant tout ce qu’il lui imposera par soumission, autant que par envie de le satisfaire. Elle s’offre sans retenue d’autant plus facilement que le regard que le Maître porte Sa soumise depuis le début est bienveillant, empli de fierté de Maître possédant et de désirs d’Homme pénétrant. Par chance, Sir Senav est un amateur depuis toujours des femmes bien en chair, de celles que l’on peut voir dans les tableaux de Rubens et de Renoir, un peu potelées, aux hanches larges et à la poitrine généreuse.
Sir Senav l’a admise sous son Joug toute novice bien que déjà soumise dans l’âme, mais n’ayant jamais franchi le pas d’une D/s réelle au-delà des fantasmes qui remplissaient ses rêves depuis l’enfance. Il lui a fait découvrir peu à peu une grande partie des pratiques les plus courantes, toujours ravi de constater sa grande Dévotion sans bornes, un amour sincère et pur qui faisait qu’elle s’offrait de plus en plus corps et âme, et un parcours dans la soumission en permanente progression, ce qui n’a pas empêché des égarements et des temps de doute surtout au début et par la suite des moments d’étapes successives à franchir avec plus ou moins de facilité et de temps pour progresser. Comme toute initiation et dressage, les petites erreurs involontaires sur le chemin de la soumission donnaient lieu à des punitions méritées, à des fins formatrices et salvatrices, que l’esclave venait implorer au pied du Dominant en espérant son pardon avec beaucoup d’humilité et une réelle envie de s’améliorer pour ne jamais récidiver.
Sir Senav interpelle la chienne-esclave du cheptel N°10 MDE qui est à sa disposition depuis le début de la soirée et le tirage d’une boule dorée, et qui attendait patiemment à genoux à côté de la table basse. Il exige qu’elle lui apporte sans tarder deux bonnes dizaines de pots en verre remplis de bougies colorées de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel et qu’elle les allume dès son retour pour qu’elles puissent commencer à fondre. Pendant ce temps là, le Maître installe sa soumise allongée sur un grande table basse qu’il vient de recouvrir d’une grande bâche plastique de protection. Dosile a tout de suite compris ce que cela allait impliquer, un petit plaisir chauffant de jeux avec de la bougie dont elle raffole, tout autant que le Maître. Elle aurait accepté avec la même facilité une autre exigence du Dominant qui aurait entraîné une pratique moins évidente ou moins plaisante pour l’esclave qu’elle est, mais ses yeux lumineux trahissent le plaisir qu’elle a de pouvoir partager ce temps D/s en cette soirée anniversaire entre ces murs légendaires, entourée de tant d’autres Domina, Dominants, dominées et dominés, qui partagent T/toutes et T/tous cette même attirance pour cet Art de vivre qu’est le BDSM, même si chacun le vit différemment en fonction de ses désirs personnels et de ceux du partenaire. Elle voudrait pouvoir offrir un moment de délectation à son Maître et époux pour qu’il garde un merveilleux souvenir de la soirée, lié tant à la qualité de la soirée anniversaire majestueuse en elle-même offerte par Monsieur le Marquis d’Evans, mais également à la manière dont il a pu savourer les plaisirs D/s et affirmer aux yeux de tous son Pouvoir Dominant sur l’esclave qui est très heureuse d’avoir la chance d’être à ses pieds.
Le Dominant commence par poser sur les chevilles et les poignets de son esclave quatre bracelets de cuir avec des anneaux pour pouvoir y passer des crochets d’attache. Il l’installe de manière à ce qu’elle soit presque en bout de table au niveau des fesses. Il lui plie les jambes avant de les écarter complètement pour les faire passer l’une et l’autre de chaque côté du rebord de la table. Il relie ensuite les pieds à l’aide d’une barre d’écartement qui passe sous le plateau de la table et qui impose à la soumise à l’anatomie replète de maintenir, non sans quelque difficulté, cette position qui, tout en l’obligeant à garder les jambes pliées vers le bas au niveau du plateau de la table, lui écartèle complètement le bassin, tendant au maximum les muscles et les nerfs au niveau de l’intérieur des cuisses. Cet agencement à l’immense intérêt d’exposer toute son intimité aux yeux de tous mais également de la rendre accessible pour la suite des opérations plus ludiques et érotiques. Sir Senav attache par la suite les poignets de Dosile aux pieds de la table basse, ce qui a pour effet de lui tendre les bras vers l’arrière et de lui empêcher tout sorte de mouvement des membres et du corps. Le Maître regarde sa soumise qui fronce le front et crispent les paupières, même si elle ne dit mot et ne se plaint en aucune manière, car la position est relativement inconfortable et elle se doute bien qu’elle va le devenir de plus en plus au fur et à mesure des minutes qui vont passer. Il se penche sur elle, lui dépose sur les lèvres un baiser des plus affectueux et ajoute d’un petit air complice et très canaille, avec une pointe d’humour qui laisse présager un petit tour coquin à sa manière, comme il les affectionne.
- Ma Dosile chérie, tu sais bien combien tu as un Maître qui est galant et attentionné. Je vais te glisser un coussin sous la nuque pour que tu sois bien à l’aise et confortablement installée. Et puis au moins tu pourras profiter du spectacle autant que moi en étant un peu surélevée au niveau de la tête !!!
Sir Senav effectivement glisse un petit coussin sous le crane de Dosile, mais il s’empresse également de lui nouer un bandeau autour des yeux. C’est donc un comble puisqu’il vient de lui indiquer qu’elle pourrait en étant plus inclinée voir ce qui allait se passer, mais de fait seulement artificiellement par la pensée dans la nuit de son bandeau qui la prive de la vue, tout en décuplant ses autres sens. De plus, le coussin ne rend en rien la position qu’il lui impose plus confortable face à l’écartement maximal des pieds, des jambes, de cuisses, du bassin et l’étirement des bras et épaules vers l’arrière. Cependant, l’esclave, habituée à subir de par sa condition soumise, s’empresse d’ajouter.
- Maître Adulé, Sir Senav, Votre esclave-soumise dévouée, Votre docile « Dosile » vous remercie chaleureusement pour toute l’attention et la délicatesse que vous exprimez à son égard. Mon corps vous appartient totalement, disposez-en à votre convenance comme toujours.
- Ne te fais pas de souci, je ne vais pas me gêner pour en profiter et en abuser même. Je n’ai d’ailleurs besoin, ni ton autorisation, ni de ton approbation pour le faire, puisque ton corps m’appartient depuis des années. N’est-ce pas Ma Dosile chérie ?
- Oui, Maître Adulé, vous avez raison comme toujours. Je vous prie de bien vouloir me pardonner de croire que je puisse encore vous faire don de ce qui est déjà Vôtre.
Les bougies multicolores ont commencé à fondre dans les différents pots et une certaine masse de cire liquide se trouve à disposition de Sir Senav qui a décidé pour la soirée de jouer « du pinceau chaud et fluide » sur le corps de sa soumise par bougies interposées. Tel un chirurgien en train d’opérer, il annonce à la chienne-femelle N° 10MDE la liste des instruments dont il va avoir besoin pour « opérer », et plus précisément les couleurs dont il aura la nécessité au fur et à mesure pour réaliser son œuvre. Il commence par laisser perler d’assez haut quelques gouttes de vert sur le haut du ventre bombé de Dosile qui ne peut s’empêcher de sursauter dans ses attaches et de contracter les muscles abdominaux, plus en étant surprise de voir que le jeu vient de commencer qu’à cause de la chaleur de la cire fondue projetée d’assez haut (provenant de bougies qui sont en outre de qualité BDSM et donc garanties comme ayant une température maximale telle qu’elle ne peut causer aucune brûlure problématique sur le corps, tout au plus un petit rougeoiement avec la chaleur de l’impact chaud, mais non brûlant)
Les premières gouttes tombées et l’effet de surprise passé, même si Sir Senav se doute bien que son épouse-esclave avait compris ce qu’il avait l’intention de faire lorsqu’il l’avait faite installer sur une bâche plastique de protection, sur laquelle elle pourra par la suite se débarrasser de toutes les particules sèches de bougies fondue, le Dominant commence à venir lui sensibiliser et lui chauffer la peau en se rapprochant de plus en plus, car l’effet de chaleur à l’impact est lié à la hauteur depuis laquelle le liquide est versé sur le corps de la dominée. Il se met à couvrir toute la surface des deux seins, des monts majestueux qui s’offrent frémissants ne pouvant se dérober physiquement, mais qui s’offrent et pointent en avant surtout par plaisir D/s et soumission totale. Sir Senav s’amuse à laisser la cire dans des camaïeux de bleu se déposer sur la poitrine au début par ronds concentriques sur tout le pourtour des mamelles, puis en spirales, venant enfin recouvrir les deux auréoles durcies et gonflées et au centre les mamelons turgescents et excités. La respiration de Dosile s’est accélérée et son torse se bombe à chaque inspiration, offrant encore plus son buste aux gouttes qui perlent sur sa poitrine avec un plaisir D/s émoustillant qui commence à se voir dans son bas-ventre humide et de plus en plus soyeux en étant imbibé de cyprine. La cire dans des tons de bleu et de gris/blanc recouvre peu à peu toute la surface des mamelles, comme pourrait le faire un soutien-gorge de tissus imprimé dentellé. Sir Senav a en effet décidé de déposer une bonne couche de cire presque compacte pour la circonstance, avec l’espoir, lorsque la bougie sera suffisamment refroidie et durcie, de pouvoir l’ôter d’un seul geste, ce qui lui permettrait d’avoir fait un modelage à retirer d’un seul coup en évitant de casser les deux blocs qui pourraient garder la forme précise du galbe des deux seins de son adorée et des mamelons si mignons qui dardent impudiquement en leur milieu…
(A suivre …)
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