La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°442 -
Monsieur le Marquis d’Evans vient de laisser Sir Senav en compagnie de sa soumise Dosile qu’il a, quelques minutes plus tôt, recouverte de bougie fondue colorée, dessinant sur le corps de la belle plantureuse excitée ce que le Châtelain a comparé à une toile impressionniste avec les multiples taches bariolées ou coulures de cire. Tandis que le Noble s’éloigne pour continuer à faire le tour de ses invités, le Dominant a commencé à détacher sa Dosile, si docile, car il se doute que ses muscles maintenus en tension par les liens dans une position contraignante, et ce pendant un assez long moment, ont dû commencer à devenir plus qu’endoloris. Il avait vu que sa soumise, qui est malgré tout habituée à supporter les exigences du Maître, avait commencé à se mordre les lèvres pour endurer, n’osant ni se plaindre, ni parler avant d’y avoir été invité, et il ne souhaite pas aller au-delà de ce qui peut lui être supportable physiquement.
Après avoir détaché les jambes et les bras de Dosile, Sir Senav, Maître adulé par son esclave, lui fait plier un peu plus les jambes vers l’avant pour la courber. Il dégrafe la ceinture de son pantalon, dont il ouvre la braguette, puis baisse légèrement son boxer d’où sort immédiatement avec force un membre déjà bien gonflé qui ne demande qu’à trouver un fourreau soyeux pour venir se lover et y jouir de plaisir. D’une main délicate, il retire la cire qui se trouve sur la chatte glabre de l’esclave qui frémit encore de la jouissance qu’elle vient de savourer, et dont le plaisir redouble lorsqu’elle sent les doigts du Dominant venir se faufiler entre ses lèvres intimes qu’il cherche à nettoyer ne voulant pas prendre le risque de la pénétrer alors qu’elle est encore pleine de bougie qui pourrait s’infiltrer plus profondément dans le vagin et provoquer une infection. Sir Senav s’active car il est depuis plusieurs minutes très excité à l’idée de prendre possession de son esclave après avoir pris le temps de l’échauffer sensuellement avec deux godes vibrants dans les deux orifices anal et vaginal et lui avoir réchauffé tout le corps qu’il enduisait de cire tiède.
- Ma docile Dosile, tu as bien joui tout à l’heure parce que je l’ai bien voulu, pour le plaisir de te voir te tendre et te tordre de plaisirs dans tes liens, mais c’est à mon tour maintenant … et rien ne dit que je te laisserai encore grimper au septième ciel, alors tâche de retenir et de t’offrir à moi pour mon seul plaisir. Tu m’as bien entendu ?
- Oui, Maître Adulé, je vous ai parfaitement entendu. Je vous appartiens et mes plaisirs ne sont que ceux que vous autorisez. Je le sais bien. Ce sera toujours quand vous le voudrez et vous le déciderez pour moi. Cela ne change pas !
- Je sais bien que tu le sais depuis ces nombreuses années passées à mes pieds. Je sais bien que cela n’a pas changé et que cela n’est pas prêt de changer entre nous, car je pense que ni moi, ni toi d’ailleurs, n’avons envie que cela change dans notre relation. Mais j’aime bien t’entendre me dire encore et encore que ton corps m’appartient et que tes plaisirs de dépendent que de mon bon vouloir de Dominant qui a tous les pouvoirs sur toi que tu m’as consentis de ton plein grè.
Tandis qu’il parle, Sir Senav approche son gland turgescent de la caverne onctueuse qu’il pénètre avec une grande facilité. Il se penche sur le corps de son amante-soumise pour pouvoir la ramoner encore plus profondément, tandis qu’elle enlace son buste musclé de ses jambes pour s’offrir encore plus et ne faire plus qu’un seul corps ondulant au rythme imposé par le Dominant, qui à chaque coup de butoir vient pourfendre celle qui se met à haleter comme une petite chienne avec des « ah, ah, ah » de plus en plus forts qui trahissent son excitation grandissante. Dosile pour endiguer une nouvelle montée de plaisirs dans son corps devenu si sensible et si réactif, se concentre sur le plaisir phallique du Maître auquel elle appartient et qui est en train de la besogner, contractant ses muscles internes sur la queue raide qui s’engouffre avec de plus en plus de vigueur bestiale. Sir Senav attrape les jambes de sa soumise et les relève pour pouvoir les poser sur ses épaules car la position dite de l’enclume lui permet de la pénétrer plus en profondeur et de marquer ainsi son emprise de mâle phallique sur sa soumise réceptacle qui s’ouvre et s’offre encore plus au Dominant-Mâle qui a pris possession de son corps et à l’Homme-Amant qui a pris possession de son cœur.
Dosile a bien du mal à retenir le plaisir qui la déborde et ceci d’autant plus qu’elle sent que Sir Senav est proche à son tour de l’instant suprême où il va pouvoir éjaculer et libérer sa chaude semence. Elle veut pourtant tenir bon et lui offrir ce qu’il exige d’elle lorsqu’il ne l’autorise pas à jouir, à la fois pour marquer son pouvoir de Dominant, mais également pour qu’elle apprenne dans un vrai don de soi à se concentrer sur le plaisir de l’Autre au lieu de se laisser emporter en égoïste par son propre plaisir physique non contrôlé. C’est donc dans un grand râle de mâle en rut que Sir Senav déverse dans l’antre d’amour de sa belle esclave son précieux nectar par de grands coups profonds et puissants. Dosile est presque en transe tremblant de tout son corps se contractant tant qu’elle peut pour ne pas hurler en libérant une nouvelle fois sa jouissance, ce que le Maître Adulé n’a pas autorisé cette fois. Elle sent son corps frustré physiquement d’avoir été sollicité ardemment sans pouvoir en libérer la tension qui l’a à nouveau envahi, mais d’un autre côté, elle se sent dans une vraie plénitude d’esprit de savoir qu’elle a respecté les ordres de celui qui est devenu pour elle toute sa vie. Sir Senav a gardé sa queue qui commence déjà à se ramollir encore enfouie dans la vulve de celle qu’il vient de baiser voluptueusement. Il s’est carrément laisser choir sur le ventre arrondi de sa soumise le temps de reprendre ses esprits et de profiter de ce moment d’apaisement qui suit l’orgasme. Il se penche encore plus sur Dosile, lui défait le bandeau qu’elle avait sur les yeux, lui sourit tendrement et l’embrasse à pleine bouche, faisant pénétrer maintenant sa langue entre les lèvres de sa soumise, tandis qu’il retire doucement son sexe de ses autres lèvres plus intimes.
- Ma Dosile chérie, j’aime te savoir à moi, toute à moi, jouissant d’un simple « maintenant » quand je le décide pour toi et ne pouvant te libérer dans l’acmé de l’orgasme si telle est ma volonté de Dominant qui à tous pouvoirs sur toi, car telle est aussi ta volonté d’esclave-soumise à mes pieds.
Après un temps de pause et quelques soupirs de pure extase, l’Homme ré-joui continue.
- Es-tu heureuse ?
- Oui, bien sûr, Maître Adulé. En doutez-vous ? Je suis très heureuse de pouvoir depuis bientôt 10 ans être à vous, être à la fois votre esclave-soumise et votre épouse. Il n’y a pas eu un seul jour de cette dernière décennie où j’ai regretté mon choix de désirer vous appartenir et partager votre vie. La seule chose que je pourrai regretter, c’est le destin n’ait pas permis à nos routes de se croiser plus tôt et que je n’ai pu devenir la mère de vos enfants si vous l’aviez également désiré.
Sir Senav sourit largement à sa bien-aimée la regardant dans les yeux tandis qu’il lui caresse le visage.
- Tu sais à quel point, j’ai besoin de te savoir heureuse à mes pieds, même si j’ai cet impérieux besoin de te Maîtriser et de marquer ma Dominance de toutes les manières possibles. Je voulais juste dans ma question te demander si tu étais heureuse même lorsque je ne te donne pas l’autorisation de jouir en même temps que moi, comme ce fut le cas à l’instant.
- Maître Adulé, vous savez bien que votre plaisir passe avant le mien, car le mien découle avant tout du plaisir que vous prenez et en particulier de celui que je peux vous offrir. Mon corps certes a des basiques réactions charnelles humaines, et il aurait bien réclamé un orgasme pour libérer la tension qui avait envahi mon bas-ventre tandis que vous me ramoniez tout à votre aise profondément. Mais mon esprit en osmose avec vous a ressenti une autre forme de plaisir plus intellectuel et moins charnel, de savoir que je restais concentrée sur vos gestes, vos pénétrations, votre respiration, votre jouissance tout autant que sur mes obligations d’esclave-soumise D/s qui ne cherche qu’à vous obéir et vous satisfaire, car là est son bonheur.
Se penchant à nouveau pour l’embrasser voluptueusement et presque la dévorer de ce baiser langoureux, il lui sourit tendrement, ce qui exprime encore mieux son ravissement de Maître Dominant.
- Je t’adore ma Dosile, tu es une merveilleuse soumise et je suis très fier de toi. Je crois qu’il est temps pour nous deux de regagner notre chambre pour le peu qui nous reste à passer de la nuit. Tu as surtout besoin de te débarrasser de toute cette cire que j’ai « peinte » ton corps et tant pis pour la toile de « Maître » impressionniste que je vais sacrifier, j’ai à la place mon étoile pour un Maître impressionné.
Sir Venas fait signe à la chienne-femelle N°10MDE qui était restée pendant tout ce temps-là sur le côté, immobile et à genoux, pour qu’elle s’approche et vienne sans tarder lui nettoyer la queue encore maculée de foutre et de cyprine mêlés. Une fois le vit redevenu propre, il range son attribut phallique apaisé à l’intérieur et referme sa braguette, tandis qu’il demande à la chienne N°10MDE d’aider Dosile à se débarrasser de toutes les traces de cire qui sont collées sur tout son corps. Très galamment, le Dominant s’éloigne pour aller vers le bar chercher deux coupes de champagne pour son épouse et lui-même, l’air réjoui d’avoir si bien joui, et désireux de s’offrir quelques dernières bulles avant de monter ensemble se coucher dans les bras l’un de l’autre en couple redevenu presque vanille.
Pendant ce temps, Monsieur le Marquis d’Evans a aperçu sa soumise Holly MDE, qui est agenouillée dans une attitude humble avec la tête baissée et les mains posées sur les cuisses paumes ouvertes vers le haut, attendant patiemment de recevoir le premier ordre qui lui sera donné par Walter qui l’a enjointe de s’installer là prête à servir à nouveau jusqu’à ce que l’un des invités ou le Maître en personne ne vienne la solliciter. Le Châtelain se rappelle que, juste à la fin du repas (voir les 5ème et 7ème chapitres), il avait autorisé sa soumise à se reposer un peu après sa double prestation à la fois au moment du gâteau d’où elle avait jailli seulement parée de jolies petites fleurs bleues accrochées à chacun de ses tétons ainsi qu’à ses lèvres intimes, mais surtout après s’être faite enculée brillamment par le castrat qui avait fait la démonstration de ses rares talents phalliques, qui furent pour une fois éjaculatoires tant le petit cul de la chienne Holly MDE à quatre pattes qui s’était ouvert et offert à ses assauts lui avait fait de l’effet, sans oublier cependant les plaisirs masochistes des coups de paddle en cuir donnés concomitamment par Walter sur ordre du Châtelain qui regardait la scène de sodomie couplé d’une scène D/s avec grand intérêt. Le Noble interpelle Sa chienne, qui gardant les yeux baissés dans sa position de soumission n’a pas aperçu le Maître Vénéré qui s’approche. Elle sursaute en reconnaissant la voix de Monsieur le Marquis d’Evans en personne, se permettant de lever légèrement les yeux, car elle ne sait pas si le « Ma chienne » s’adresse à elle ou à l’une de ses sœurs de soumission, et ne voulant pas risquer un impair de bouger sans raison ou ne de pas réagir si l’ordre la concernait.
- Ma chienne, Holly MDE, approche ici. A mes pieds ! Tout de suite !
Remuant les fesses comme si elle frétillait déjà à l’idée de pouvoir approcher à nouveau de près le Maître lors de cette merveilleuse soirée, la soumise s’avance avec grâce à quatre pattes. Arrivée aux pieds du Dominant à qui elle appartient dorénavant corps et âme, elle s’incline respectueusement pour déposer un baiser sur chaque chaussure de cuir noir du Maître Vénéré.
- Ne t’avais-je pas autorisée à aller un peu te reposer, Ma belle Holly MDE.
- Oui, Maître Vénéré. C’est ce que j’ai fait juste après avoir reçu Votre ordre. Je Vous remercie sincèrement, Maître Vénéré, de ce temps que Vous avez accordé à Votre soumise pour qu’elle puisse se reposer un peu après une sodomie qui m’avait exténuée car Votre castrat s’en est donné à cœur joie, alors même que bien d’autres esclaves du cheptel n’auront pas l’opportunité de souffler une seule minute de toute la soirée. Monsieur Walter a estimé qu’une heure serait suffisante pour que mon cul enflammé se remette et il m’a permis de m’allonger à même le sol dans le couloir qui mène à son bureau et devant sa porte où il a dû venir me rechercher au bout du temps qui m’était imparti, enfin je le pense ainsi, puisque je n’ai pas de moyen de connaître l’heure et de mesurer le temps qui passe.
- STOP ! (d’une voix lourde et grave) ….. Et bien, et bien …. Est-ce que ce sont des manières de soumise ou plus précisément de pie d’autant jacasser. Un simple « Oui, Maître Vénéré » aurait suffi, avec bien entendu les remerciements indispensables pour tout ce qui t’es accordé par Le Maître au moment précis où je te donnais la parole. Libre à Moi, et à Moi seul, de décider si je voulais en savoir plus en te posant les questions adéquates.
Le Noble a fortement haussé le ton tandis qu’il réprimandait sa soumise bavarde qui comprends un peu tard qu’elle est partie dans des explications totalement inutiles et qui allaient bien au-delà de la question posée. Mais elle est tellement excitée de se trouver à nouveau en présence du Maître Vénéré qu’elle en a presque oublié les bonnes manières et son dressage avec l’euphorie de la nuitée orgiaque qui n’est plus à cette heure-là du petit matin que râles lascifs de plaisirs D/s et charnels. Le Châtelain a attrapé dans un premier temps les lèvres de sa soumise MDE qu’il pince fortement pour lui faire comprendre qu’il exige le silence absolu. Relâchant son emprise, il attrape des deux mains les tétons de Holly MDE qu’IL fait rouler dans ses doigts avec vigueur avant de les pincer également très fortement. La chienne-soumise serre les lèvres pour ne laisser sortir aucun son mais ne peut s’empêcher de grimacer avec la pression qui malmène ses mamelons, qui ont déjà été bien sollicités et meurtris en début de soirée, lorsqu’elle avait été contrainte de porter deux grandes et lourdes fleurs sur chaque sein en guise de « costume » de scène pour sa sortie époustouflante du gâteau d’anniversaire. Le Marquis d’Evans pas trop mécontent de voir que sa soumise fait attention cette fois à garder les lèvres closes malgré la douleur qu’elle ne peut que ressentir, mais aussi l’excitation qui en résulte et se propage presque comme une onde électrique qui se déplace des deux seins fermes et très érogènes en direction du bas-ventre de la chienne qui s’humidifie aussi sec. Le Noble d’un ton froid, presque glacial, comme à chaque fois qu’il édicte une punition, ajoute tout en maintenant une pression constante sur les tétons de Sa chienne qui sont devenus de plus en plus durs et sensibles.
- Si tu crois que J’ai du temps à perdre, et aussi le désir, de savoir tous les menus détails sans importance de tout ce que vont vivre chacun des nombreux esclaves mâles et femelles qui sont réunis ce soir avec comme seule envie de me satisfaire et de me faire honneur, tous les uns et les unes plus que les autres. Je me dois avant tout à Mes invités qui sont venus me voir pour me souhaiter Mon anniversaire. Pour te punir et te rappeler que les esclaves n’ont pas le droit à la parole, sauf lorsque je les y autorise ou les interroge, tu porteras demain un anneau écarte-lèvres du lever jusqu’au coucher. Tu ne pourras donc te restaurer que le soir, cela fait aussi partie de la punition que j’impose.
Le Marquis d’Evans relâche la poitrine de Son esclave-femelle en même temps qu’il termine sa phrase. Holly MDE, honteuse de s’être fait sermonner et d’avoir courroucé Le Maître, sans attendre et sans décoller les lèvres qu’elle tient hermétiquement closes, se courbe à nouveau et baise respectueusement les deux pieds du Maître Vénéré, restant par la suite prosternée le front posé contre le sol, en attendant qu’elle soit autorisée à se redresser. Sans plus lui adresser la parole, le Châtelain se penche sur Sa soumise, attrape le collier de métal gravé aux initiales MDE qui lui enserre le cou et accroche, à l’un des trois anneaux qui y sont pendus, le bout d’une laisse de cuir, qu’il vient d’attraper sur une desserte à proximité. Ne s’intéressant pas plus que cela à Son petit animal de compagnie humain qui n’a d’autre choix et d’autre envie en bonne chienne-soumise que de le suivre à quatre pattes docilement comme le ferait tout autant un vrai animal canin bien dressé, Le Maître des Lieux décide de poursuivre son périple à travers la masse de Ses invités réunis pour la plupart dans le Grand Hall de réception transformé pour la nuitée orgiaque en immense donjon D/s, en ayant la dragonne de la laisse enfilée autour de son poignet…
(A suivre…)
Monsieur le Marquis d’Evans vient de laisser Sir Senav en compagnie de sa soumise Dosile qu’il a, quelques minutes plus tôt, recouverte de bougie fondue colorée, dessinant sur le corps de la belle plantureuse excitée ce que le Châtelain a comparé à une toile impressionniste avec les multiples taches bariolées ou coulures de cire. Tandis que le Noble s’éloigne pour continuer à faire le tour de ses invités, le Dominant a commencé à détacher sa Dosile, si docile, car il se doute que ses muscles maintenus en tension par les liens dans une position contraignante, et ce pendant un assez long moment, ont dû commencer à devenir plus qu’endoloris. Il avait vu que sa soumise, qui est malgré tout habituée à supporter les exigences du Maître, avait commencé à se mordre les lèvres pour endurer, n’osant ni se plaindre, ni parler avant d’y avoir été invité, et il ne souhaite pas aller au-delà de ce qui peut lui être supportable physiquement.
Après avoir détaché les jambes et les bras de Dosile, Sir Senav, Maître adulé par son esclave, lui fait plier un peu plus les jambes vers l’avant pour la courber. Il dégrafe la ceinture de son pantalon, dont il ouvre la braguette, puis baisse légèrement son boxer d’où sort immédiatement avec force un membre déjà bien gonflé qui ne demande qu’à trouver un fourreau soyeux pour venir se lover et y jouir de plaisir. D’une main délicate, il retire la cire qui se trouve sur la chatte glabre de l’esclave qui frémit encore de la jouissance qu’elle vient de savourer, et dont le plaisir redouble lorsqu’elle sent les doigts du Dominant venir se faufiler entre ses lèvres intimes qu’il cherche à nettoyer ne voulant pas prendre le risque de la pénétrer alors qu’elle est encore pleine de bougie qui pourrait s’infiltrer plus profondément dans le vagin et provoquer une infection. Sir Senav s’active car il est depuis plusieurs minutes très excité à l’idée de prendre possession de son esclave après avoir pris le temps de l’échauffer sensuellement avec deux godes vibrants dans les deux orifices anal et vaginal et lui avoir réchauffé tout le corps qu’il enduisait de cire tiède.
- Ma docile Dosile, tu as bien joui tout à l’heure parce que je l’ai bien voulu, pour le plaisir de te voir te tendre et te tordre de plaisirs dans tes liens, mais c’est à mon tour maintenant … et rien ne dit que je te laisserai encore grimper au septième ciel, alors tâche de retenir et de t’offrir à moi pour mon seul plaisir. Tu m’as bien entendu ?
- Oui, Maître Adulé, je vous ai parfaitement entendu. Je vous appartiens et mes plaisirs ne sont que ceux que vous autorisez. Je le sais bien. Ce sera toujours quand vous le voudrez et vous le déciderez pour moi. Cela ne change pas !
- Je sais bien que tu le sais depuis ces nombreuses années passées à mes pieds. Je sais bien que cela n’a pas changé et que cela n’est pas prêt de changer entre nous, car je pense que ni moi, ni toi d’ailleurs, n’avons envie que cela change dans notre relation. Mais j’aime bien t’entendre me dire encore et encore que ton corps m’appartient et que tes plaisirs de dépendent que de mon bon vouloir de Dominant qui a tous les pouvoirs sur toi que tu m’as consentis de ton plein grè.
Tandis qu’il parle, Sir Senav approche son gland turgescent de la caverne onctueuse qu’il pénètre avec une grande facilité. Il se penche sur le corps de son amante-soumise pour pouvoir la ramoner encore plus profondément, tandis qu’elle enlace son buste musclé de ses jambes pour s’offrir encore plus et ne faire plus qu’un seul corps ondulant au rythme imposé par le Dominant, qui à chaque coup de butoir vient pourfendre celle qui se met à haleter comme une petite chienne avec des « ah, ah, ah » de plus en plus forts qui trahissent son excitation grandissante. Dosile pour endiguer une nouvelle montée de plaisirs dans son corps devenu si sensible et si réactif, se concentre sur le plaisir phallique du Maître auquel elle appartient et qui est en train de la besogner, contractant ses muscles internes sur la queue raide qui s’engouffre avec de plus en plus de vigueur bestiale. Sir Senav attrape les jambes de sa soumise et les relève pour pouvoir les poser sur ses épaules car la position dite de l’enclume lui permet de la pénétrer plus en profondeur et de marquer ainsi son emprise de mâle phallique sur sa soumise réceptacle qui s’ouvre et s’offre encore plus au Dominant-Mâle qui a pris possession de son corps et à l’Homme-Amant qui a pris possession de son cœur.
Dosile a bien du mal à retenir le plaisir qui la déborde et ceci d’autant plus qu’elle sent que Sir Senav est proche à son tour de l’instant suprême où il va pouvoir éjaculer et libérer sa chaude semence. Elle veut pourtant tenir bon et lui offrir ce qu’il exige d’elle lorsqu’il ne l’autorise pas à jouir, à la fois pour marquer son pouvoir de Dominant, mais également pour qu’elle apprenne dans un vrai don de soi à se concentrer sur le plaisir de l’Autre au lieu de se laisser emporter en égoïste par son propre plaisir physique non contrôlé. C’est donc dans un grand râle de mâle en rut que Sir Senav déverse dans l’antre d’amour de sa belle esclave son précieux nectar par de grands coups profonds et puissants. Dosile est presque en transe tremblant de tout son corps se contractant tant qu’elle peut pour ne pas hurler en libérant une nouvelle fois sa jouissance, ce que le Maître Adulé n’a pas autorisé cette fois. Elle sent son corps frustré physiquement d’avoir été sollicité ardemment sans pouvoir en libérer la tension qui l’a à nouveau envahi, mais d’un autre côté, elle se sent dans une vraie plénitude d’esprit de savoir qu’elle a respecté les ordres de celui qui est devenu pour elle toute sa vie. Sir Senav a gardé sa queue qui commence déjà à se ramollir encore enfouie dans la vulve de celle qu’il vient de baiser voluptueusement. Il s’est carrément laisser choir sur le ventre arrondi de sa soumise le temps de reprendre ses esprits et de profiter de ce moment d’apaisement qui suit l’orgasme. Il se penche encore plus sur Dosile, lui défait le bandeau qu’elle avait sur les yeux, lui sourit tendrement et l’embrasse à pleine bouche, faisant pénétrer maintenant sa langue entre les lèvres de sa soumise, tandis qu’il retire doucement son sexe de ses autres lèvres plus intimes.
- Ma Dosile chérie, j’aime te savoir à moi, toute à moi, jouissant d’un simple « maintenant » quand je le décide pour toi et ne pouvant te libérer dans l’acmé de l’orgasme si telle est ma volonté de Dominant qui à tous pouvoirs sur toi, car telle est aussi ta volonté d’esclave-soumise à mes pieds.
Après un temps de pause et quelques soupirs de pure extase, l’Homme ré-joui continue.
- Es-tu heureuse ?
- Oui, bien sûr, Maître Adulé. En doutez-vous ? Je suis très heureuse de pouvoir depuis bientôt 10 ans être à vous, être à la fois votre esclave-soumise et votre épouse. Il n’y a pas eu un seul jour de cette dernière décennie où j’ai regretté mon choix de désirer vous appartenir et partager votre vie. La seule chose que je pourrai regretter, c’est le destin n’ait pas permis à nos routes de se croiser plus tôt et que je n’ai pu devenir la mère de vos enfants si vous l’aviez également désiré.
Sir Senav sourit largement à sa bien-aimée la regardant dans les yeux tandis qu’il lui caresse le visage.
- Tu sais à quel point, j’ai besoin de te savoir heureuse à mes pieds, même si j’ai cet impérieux besoin de te Maîtriser et de marquer ma Dominance de toutes les manières possibles. Je voulais juste dans ma question te demander si tu étais heureuse même lorsque je ne te donne pas l’autorisation de jouir en même temps que moi, comme ce fut le cas à l’instant.
- Maître Adulé, vous savez bien que votre plaisir passe avant le mien, car le mien découle avant tout du plaisir que vous prenez et en particulier de celui que je peux vous offrir. Mon corps certes a des basiques réactions charnelles humaines, et il aurait bien réclamé un orgasme pour libérer la tension qui avait envahi mon bas-ventre tandis que vous me ramoniez tout à votre aise profondément. Mais mon esprit en osmose avec vous a ressenti une autre forme de plaisir plus intellectuel et moins charnel, de savoir que je restais concentrée sur vos gestes, vos pénétrations, votre respiration, votre jouissance tout autant que sur mes obligations d’esclave-soumise D/s qui ne cherche qu’à vous obéir et vous satisfaire, car là est son bonheur.
Se penchant à nouveau pour l’embrasser voluptueusement et presque la dévorer de ce baiser langoureux, il lui sourit tendrement, ce qui exprime encore mieux son ravissement de Maître Dominant.
- Je t’adore ma Dosile, tu es une merveilleuse soumise et je suis très fier de toi. Je crois qu’il est temps pour nous deux de regagner notre chambre pour le peu qui nous reste à passer de la nuit. Tu as surtout besoin de te débarrasser de toute cette cire que j’ai « peinte » ton corps et tant pis pour la toile de « Maître » impressionniste que je vais sacrifier, j’ai à la place mon étoile pour un Maître impressionné.
Sir Venas fait signe à la chienne-femelle N°10MDE qui était restée pendant tout ce temps-là sur le côté, immobile et à genoux, pour qu’elle s’approche et vienne sans tarder lui nettoyer la queue encore maculée de foutre et de cyprine mêlés. Une fois le vit redevenu propre, il range son attribut phallique apaisé à l’intérieur et referme sa braguette, tandis qu’il demande à la chienne N°10MDE d’aider Dosile à se débarrasser de toutes les traces de cire qui sont collées sur tout son corps. Très galamment, le Dominant s’éloigne pour aller vers le bar chercher deux coupes de champagne pour son épouse et lui-même, l’air réjoui d’avoir si bien joui, et désireux de s’offrir quelques dernières bulles avant de monter ensemble se coucher dans les bras l’un de l’autre en couple redevenu presque vanille.
Pendant ce temps, Monsieur le Marquis d’Evans a aperçu sa soumise Holly MDE, qui est agenouillée dans une attitude humble avec la tête baissée et les mains posées sur les cuisses paumes ouvertes vers le haut, attendant patiemment de recevoir le premier ordre qui lui sera donné par Walter qui l’a enjointe de s’installer là prête à servir à nouveau jusqu’à ce que l’un des invités ou le Maître en personne ne vienne la solliciter. Le Châtelain se rappelle que, juste à la fin du repas (voir les 5ème et 7ème chapitres), il avait autorisé sa soumise à se reposer un peu après sa double prestation à la fois au moment du gâteau d’où elle avait jailli seulement parée de jolies petites fleurs bleues accrochées à chacun de ses tétons ainsi qu’à ses lèvres intimes, mais surtout après s’être faite enculée brillamment par le castrat qui avait fait la démonstration de ses rares talents phalliques, qui furent pour une fois éjaculatoires tant le petit cul de la chienne Holly MDE à quatre pattes qui s’était ouvert et offert à ses assauts lui avait fait de l’effet, sans oublier cependant les plaisirs masochistes des coups de paddle en cuir donnés concomitamment par Walter sur ordre du Châtelain qui regardait la scène de sodomie couplé d’une scène D/s avec grand intérêt. Le Noble interpelle Sa chienne, qui gardant les yeux baissés dans sa position de soumission n’a pas aperçu le Maître Vénéré qui s’approche. Elle sursaute en reconnaissant la voix de Monsieur le Marquis d’Evans en personne, se permettant de lever légèrement les yeux, car elle ne sait pas si le « Ma chienne » s’adresse à elle ou à l’une de ses sœurs de soumission, et ne voulant pas risquer un impair de bouger sans raison ou ne de pas réagir si l’ordre la concernait.
- Ma chienne, Holly MDE, approche ici. A mes pieds ! Tout de suite !
Remuant les fesses comme si elle frétillait déjà à l’idée de pouvoir approcher à nouveau de près le Maître lors de cette merveilleuse soirée, la soumise s’avance avec grâce à quatre pattes. Arrivée aux pieds du Dominant à qui elle appartient dorénavant corps et âme, elle s’incline respectueusement pour déposer un baiser sur chaque chaussure de cuir noir du Maître Vénéré.
- Ne t’avais-je pas autorisée à aller un peu te reposer, Ma belle Holly MDE.
- Oui, Maître Vénéré. C’est ce que j’ai fait juste après avoir reçu Votre ordre. Je Vous remercie sincèrement, Maître Vénéré, de ce temps que Vous avez accordé à Votre soumise pour qu’elle puisse se reposer un peu après une sodomie qui m’avait exténuée car Votre castrat s’en est donné à cœur joie, alors même que bien d’autres esclaves du cheptel n’auront pas l’opportunité de souffler une seule minute de toute la soirée. Monsieur Walter a estimé qu’une heure serait suffisante pour que mon cul enflammé se remette et il m’a permis de m’allonger à même le sol dans le couloir qui mène à son bureau et devant sa porte où il a dû venir me rechercher au bout du temps qui m’était imparti, enfin je le pense ainsi, puisque je n’ai pas de moyen de connaître l’heure et de mesurer le temps qui passe.
- STOP ! (d’une voix lourde et grave) ….. Et bien, et bien …. Est-ce que ce sont des manières de soumise ou plus précisément de pie d’autant jacasser. Un simple « Oui, Maître Vénéré » aurait suffi, avec bien entendu les remerciements indispensables pour tout ce qui t’es accordé par Le Maître au moment précis où je te donnais la parole. Libre à Moi, et à Moi seul, de décider si je voulais en savoir plus en te posant les questions adéquates.
Le Noble a fortement haussé le ton tandis qu’il réprimandait sa soumise bavarde qui comprends un peu tard qu’elle est partie dans des explications totalement inutiles et qui allaient bien au-delà de la question posée. Mais elle est tellement excitée de se trouver à nouveau en présence du Maître Vénéré qu’elle en a presque oublié les bonnes manières et son dressage avec l’euphorie de la nuitée orgiaque qui n’est plus à cette heure-là du petit matin que râles lascifs de plaisirs D/s et charnels. Le Châtelain a attrapé dans un premier temps les lèvres de sa soumise MDE qu’il pince fortement pour lui faire comprendre qu’il exige le silence absolu. Relâchant son emprise, il attrape des deux mains les tétons de Holly MDE qu’IL fait rouler dans ses doigts avec vigueur avant de les pincer également très fortement. La chienne-soumise serre les lèvres pour ne laisser sortir aucun son mais ne peut s’empêcher de grimacer avec la pression qui malmène ses mamelons, qui ont déjà été bien sollicités et meurtris en début de soirée, lorsqu’elle avait été contrainte de porter deux grandes et lourdes fleurs sur chaque sein en guise de « costume » de scène pour sa sortie époustouflante du gâteau d’anniversaire. Le Marquis d’Evans pas trop mécontent de voir que sa soumise fait attention cette fois à garder les lèvres closes malgré la douleur qu’elle ne peut que ressentir, mais aussi l’excitation qui en résulte et se propage presque comme une onde électrique qui se déplace des deux seins fermes et très érogènes en direction du bas-ventre de la chienne qui s’humidifie aussi sec. Le Noble d’un ton froid, presque glacial, comme à chaque fois qu’il édicte une punition, ajoute tout en maintenant une pression constante sur les tétons de Sa chienne qui sont devenus de plus en plus durs et sensibles.
- Si tu crois que J’ai du temps à perdre, et aussi le désir, de savoir tous les menus détails sans importance de tout ce que vont vivre chacun des nombreux esclaves mâles et femelles qui sont réunis ce soir avec comme seule envie de me satisfaire et de me faire honneur, tous les uns et les unes plus que les autres. Je me dois avant tout à Mes invités qui sont venus me voir pour me souhaiter Mon anniversaire. Pour te punir et te rappeler que les esclaves n’ont pas le droit à la parole, sauf lorsque je les y autorise ou les interroge, tu porteras demain un anneau écarte-lèvres du lever jusqu’au coucher. Tu ne pourras donc te restaurer que le soir, cela fait aussi partie de la punition que j’impose.
Le Marquis d’Evans relâche la poitrine de Son esclave-femelle en même temps qu’il termine sa phrase. Holly MDE, honteuse de s’être fait sermonner et d’avoir courroucé Le Maître, sans attendre et sans décoller les lèvres qu’elle tient hermétiquement closes, se courbe à nouveau et baise respectueusement les deux pieds du Maître Vénéré, restant par la suite prosternée le front posé contre le sol, en attendant qu’elle soit autorisée à se redresser. Sans plus lui adresser la parole, le Châtelain se penche sur Sa soumise, attrape le collier de métal gravé aux initiales MDE qui lui enserre le cou et accroche, à l’un des trois anneaux qui y sont pendus, le bout d’une laisse de cuir, qu’il vient d’attraper sur une desserte à proximité. Ne s’intéressant pas plus que cela à Son petit animal de compagnie humain qui n’a d’autre choix et d’autre envie en bonne chienne-soumise que de le suivre à quatre pattes docilement comme le ferait tout autant un vrai animal canin bien dressé, Le Maître des Lieux décide de poursuivre son périple à travers la masse de Ses invités réunis pour la plupart dans le Grand Hall de réception transformé pour la nuitée orgiaque en immense donjon D/s, en ayant la dragonne de la laisse enfilée autour de son poignet…
(A suivre…)
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