La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans - histoire érotique

La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°449 -
Le Noble trouve juste à sa droite et non loin de là un autre Dominant, ami intime de longue date, qui est affairé auprès de celle qu’il appelle sa disciple, son élève, se faisant appeler lui-même « XMaster XL », même s’il y a beaucoup d’ironie et de perversité délibérée dans les qualificatifs qu’il a choisi de porter et de faire porter à son « L-ève », puisqu’il a décidé de prendre en charge son éducation « X » de bonne salope dépravée autant que D/s de bonne soumise dévouée. Il faut dire que L-éve ne manque pas de répondant, hédoniste assez portée sur le sexe et le vice depuis sa majorité et à qui il ne manquait qu’un guide pour lui permettre d’assumer ses fantasmes les plus osés, canaliser ses pulsions charnelles et sa libido lubrique XL. Femme sans nul doute ou encore « Fille d’Eve » comme on dit, sensuelle, belle et parfois rebelle, féminine jusqu’au bout des ongles, aguichante et coquine dans l’âme, sexy et malgré tout raffinée pour ne pas tomber dans la vulgarité de la simple baise porno, elle en fait bander plus d’un lorsqu’elle se balade dans la rue en mini jupe et bas noirs, trottinant perchée sur ses hauts talons, avec ses courbes de rêves, la taille fine corsetée et une poitrine généreuse ferme en ogive avec deux mamelons foncés et saillants. Ils ont entre eux une relation D/s très basée sur le sexe et la recherche des plaisirs charnels partagés ou pluriels, même si cela n’exclut pas des pratiques D/s plus traditionnelles mais qui leur servent de préliminaires et d’excitant tant à l’Un qu’à l’Autre, cherchant toujours comment varier les plaisirs sexuels par un imaginaire sans bornes, n’ayant peur que de la monotonie et de la routine qui risquerait de mettre un terme à leur relation physique si l’un des deux n’y trouvait plus son compte de plaisirs et commençait à s’ennuyer dans leurs rencontres plus ou moins espacées mais très régulières. Aimant les jeux de rôles à outrance, à l’exception du pet-play, ils se sont bien trouvés pour faire de la très jeune femme, qui a malgré tout quitté les bancs de la fac depuis trois ans, une « élève (ou L-ève) en formation de salope » impudique et licencieuse, baiseuse et jouisseuse.

La soumise-petite pute L-ève qui n’a de pute que le nom car il n’est en aucun cas entre eux question d’argent et de pouvoir vendre son corps contre quelques menus billets colorés, car XMaster XL, même s’il est très porté sur tout ce qui touche au sexe et s’il se complet dans la luxure et le libertinage, reste un vrai Dominant D/s formateur et protecteur, et en aucun cas un simili proxénète qui voudrait profiter des charmes de sa belle salope, autrement que pour en jouir charnellement la trouvant fort à son goût de Mâle et de Maître. L’Homme très souvent excité derrière tous ses travers de perversité a aussi un côté Dominant très prononcé n’hésitant pas à punir régulièrement sa belle lorsqu’elle devient trop rebelle en cherchant soit à le manipuler, soit à prendre le dessus indirectement en refusant de se soumettre totalement. La plus dure punition reste toujours une période de chasteté imposée et une absence plus ou moins prolongée sans réconfort et présence physique réelle du Maître, et donc à fortiori sans Queue et sperme pour celle qui en raffole.

Pour ce soir, malgré la faute commise la veille, XMaster XL a décidé néanmoins d’emmener, comme il l’avait prévu depuis le départ, son L-ève à cette soirée anniversaire, lui annonçant toutefois qu’elle y subirait son châtiment, donné sans ménagement ni indulgence, car cela resterait une bonne leçon pour l’élève qui s’était montrée indocile envoyant les bras pour se défendre dans tous les sens en refusant de se laisser maîtriser et bondager sous prétexte qu’elle était fatiguée et qu’elle voulait se coucher pour être en forme pour la nuitée orgiaque qu’elle imaginait plaisante et réjouissante, avec l’idée de nombreuses copulations plurielles à la clef. L-ève n’était pas punie parce qu’elle avait refusé de continuer à jouer à un moment donné, car XMaster XL a toujours été respectueux de l’idée qu’il se fait du consensuel dans les relations D/s tout autant que dans les rapports libertins, mais parce que l’élève aurait pu en dernier recours utiliser son password et même plus précisément, vu qu’il ne s’agissait nullement d’un danger ou d’un mal-être, dû bien en amont demander respectueusement au Maître la possibilité d’interrompre le jeu et de pouvoir partir se coucher, et non se mettre en colère, se débattre comme une furie, presque prête à gifler le Dominant si ce dernier ne l’avait pas Maîtrisé et calmé avant.

Le lendemain matin, L-ève reposée s’était réveillée honteuse en se rappelant de sa crise incompréhensible et inacceptable de la veille. Elle se demandait si cette fois-ci le Maître pardonnerait ses nouveaux égarements, car il lui arrivait parfois de perdre pied et de dire n’importe quoi lorsqu’elle était trop stressée et très perturbée. XMaster XL avait d’ailleurs dès le début reconnu le caractère farouche de cette soumise bonne à dresser, ce qui bien au contraire l’avait attiré comme un défi à relever, car il y a plus de gloire à dompter un cheval sauvage qu’un cheval de trait qui supporte déjà son mors sans broncher. Il avait petit à petit apprivoisé cette femelle indomptée qui allait depuis sa majorité d’aventures « plan cul » en aventures « plan cul », changeant de partenaires aussi souvent que de petites culottes. Il lui avait aussi révélé sa nature soumise et son goût larvée pour les jeux D/s, mettant à nu ses fantasmes qu’elle refoulait par crainte d’y perdre sa liberté de jeune femme presque contestataire qui ne voulait pas être enfermée dans un carcan de conventions sociales, familiales, morales et encore moins religieuses. Il lui avait tout appris de sa capacité de devenir un vrai objet sexuel de plaisirs qui y trouve un grand plaisir en retour, à la fois sur le plan physique mais aussi intellectuel. Côté sexe, malgré son jeune âge, elle avait déjà expérimenté pas mal de choses mais n’en avait pas trouvé autant de plaisirs qu’elle l’aurait voulu, cherchant toujours avant, en démultipliant les expériences et les rencontres, une panacée sensuelle qu’elle ne ressentait toujours pas. Avec XMaster XL à ses côtés, et dans un contexte qui devenait de plus en plus proche de la pure et saine D/s, le Maître et son élève avait appris à se connaître, à définir leurs besoins et à comprendre combien ils étaient complémentaires.

L-ève s’était donc levée assez triste de savoir qu’elle avait encore une fois de plus replongé dans les méandres de son passé pour redevenir cette sauvageonne craintive et fruste qui ne prend pas le temps de réfléchir avant de s’emporter et d’en mesurer les conséquences. Elle était allée implorer en pleurs et à genoux le pardon du Dominant, qui lui avait dit que de son comportement à la soirée anniversaire seul dépendrait le devenir immédiat de leur relation, car il n’était plus décidé à prendre en charge l’éducation d’une furie qui fait des pieds et des mains pour se débattre au lieu de se comporter en adulte civilisée et en soumise respectueuse. Il avait ajouté qu’il était Maître D/s et non tortionnaire, qu’elle était librement soumise et en aucun cas sa prisonnière. L-ève avait promis de bien se tenir pendant toute la soirée, obéissante et soumise, acceptant de n’avoir droit qu’aux seuls plaisirs que XMaster XL lui accorderait, si tant est qu’il daignerait lui accorder quelques plaisirs sensuels, et surtout qu’elle subirait la punition imposée avec repentir et contrition, même s’il lui fallait accepter d’en souffrir pour marquer son corps autant que son esprit, afin de ne plus jamais recommencer à retomber dans les égarements du passé. Au fond d’elle, la soumise-salope tenait à préserver la double relation sexuelle et D/s qu’ils avaient construite ensemble, et elle savait aussi combien elle devait être reconnaissante envers XMaster XL pour tout le temps qu’il lui consacrait et tout ce qu’il lui avait apporté dans sa vie qui avait maintenant prise une direction beaucoup plus positive depuis qu’elle était prise en mains, en main de Maître, entre les mains de XMaster XL.

Le Dominant avait décidé de marquer sa soumise dans son corps autant que dans sa tête. Il fallait qu’elle ait le temps de réfléchir à ce qui s’était passé la veille et qu’elle arrive à comprendre pourquoi et comment elle avait basculé au lieu d’adopter la bonne solution qui s’imposait. Il voulait donc une punition qui soit assez longue dans la durée, supportable cependant sur le plan physique car L-ève n’était pas masochiste et dans tous les cas, il n’était pas question de lui procurer un quelconque plaisir masochiste, mais bien de la punir pour qu’elle en retire tout le bénéfice pédagogique. Il voulait aussi que ce qui serve de moment d’expiation soit d’une certaine manière excitant pour que par-delà la douleur ressentie, elle éprouve ce mélange entre douleur et plaisir qui est si caractéristique de la D/s, ce qui serait aussi un bon moyen de lui donner envie de poursuivre la double relation D/s et sexe qui les réunissait, avec l’envie de tout faire pour satisfaire le Maître qu’elle avait plus qu’exaspéré la veille et qui en était arrivé à se dire que c’était la dernière chance qu’il lui accordait, surtout s’il ne voulait pas finir par perdre sa crédibilité de Dominant intransigeant.

XMaster XL avait attaché sa soumise à deux grands anneaux qui pendaient du plafond, mais s’en servant non pas comme point d’attache mais plus comme d’un système de poulies sur lesquels les cordes prenaient appui. Il avait commencé par enrouler une large corde autour des poignets de chaque bras, avec un système de plusieurs nœuds juxtaposés, qui faisaient que la corde formait à elle seule comme un bracelet-menottes qui ne pouvait se fermer plus serré au risque de couper la circulation sanguine, mais qui ne pouvait également pas s’enlever étant plus étroit que la partie de la paume de la main. Les deux cordes qui partaient de chaque côté de la main montaient directement pour passer à travers le premier anneau du plafond et elles redescendaient pour venir s’engouffrer entre les jambes de la soumise avant de repartir vers le deuxième anneau. Le Dominant tira lentement sur les deux cordes après les avoir fait passer dans les deux cercles en l’air, ce qui eut pour effet immédiat de les tendre au niveau de l’entrecuisse. Avec un petit ton sarcastique et divinement pervers, il ajouta assez satisfait du nouveau jeu de mots qu’il venait de trouver :
- L-ève, lève les bras à l’horizontale, si tu ne veux pas que ta chatte se trouve rasée si je dois tirer encore plus sur les cordes.

L’élève qui avait décidé d’être docile et obéissante pour la soirée ne se le fit pas dire deux fois, elle leva les bras devant elle jusqu’à l’horizontale, une position qui lui semblait plutôt inhabituelle pour celle qui se laissait souvent bondagée avec les bras tendus vers le haut en avant ou alors remonté au maximum en arrière. Le Dominant tendit à nouveau les cordes, tirant même dessus fortement jusqu’à obliger presque L-ève à commencer de grimper sur la pointe des pieds pour éviter que les cordes ne lui entaillent les lèvres intimes et la raie anale dans laquelle elles s’étaient insérées impudiquement. XMaster XL termina son petit montage en attachant le bout des cordes souples à une chaine qui reliait deux pinces à seins solidement arrimées sur les mamelons saillants. Le système était tendu au maximum, mais sans plus à ce moment-là, n’offrant cependant aucune latitude de mouvement à la soumise si elle ne voulait pas que les liens viennent encore plus s’immiscer dans ses parties intimes ou tout autant étirer fortement ses tétons pincés. Au tout début, la position était relativement confortable, mais avec un petit raffinement pervers, le Dominant était venu attacher sur chaque main une lourde pierre ce qui avait eu pour effet de faire s’abaisser sous le poids les bras à l’horizontale. Il était clair que XMaster XL voulait vraiment que L-ève ressente la douleur musculaire dans ses mains, ses bras, ses épaules en souvenir de ses gestes inadmissibles de la veille qu’elle avait eu envers celui-là même qu’elle reconnaissait comme Maître D/s en temps normal.

Très vite, les muscles endoloris devinrent hyper douloureux mais chaque fois que la soumise punie voulait tenter de baisser, de plier, ou de tourner les bras, pour en soulager la tension interne, la corde bandée sans mou lui rentrait encore plus profondément dans le cul et le con et venait aussi étirer ses mamelons en bout de course, ce qui fait qu’elle devait grimper sur la pointe des pieds pour tenter de réduire un peu la longueur du cordage qui lui déchirait l’entrecuisse, position tout aussi inconfortable sur le long terme. Pour éviter qu’elle ne dérange trop l’assemblée des convives par des plaintes inacceptables, mais surtout par analogie avec le dressage des pouliches sauvages, XMaster XL lui avait posé entre les dents et les lèvres grandes ouvertes un large mors comme ceux que l’on met aux chevaux pour les dresser, ce qui limitait fortement la portée des gémissements de la soumise qui pleurait déjà à chaudes larmes, mais qui d’un autre côté découvrait une véritable excitation dans le simple fait de devoir subir cette sanction largement méritée.

Le Dominant lui avait précisé que lui seul déciderait du temps opportun que durerait la punition eu égard à la faute qui l’avait vraiment peiné la veille lorsqu’il avait du l’attraper de forcer pendant qu’elle se débattait, mais qu’elle était libre de refuser ou de demander à arrêter à tout moment simplement en bougeant l’un ou l’autre des deux petits doigts, que ce serait un signe suffisant pour mettre fin à la punition. Il n’avait pas manqué cependant d’ajouter qu’elle devait comprendre que, dans ce cas, elle mettrait fin également à la relation D/s qui finissait par ne plus avoir de sens profond au-delà même des plaisirs charnels qu’ils partageaient et dont il était conscients et reconnaissants, car il ne peut y avoir de bon Professeur (Master) et guide pour une élève, L-ève au demeurant, qui ne peut se laisser Maîtriser et guider en confiance, reconnaissant la justesse des décisions du Maître et acceptant de subir les punitions méritées, ce qui était le cas. Et en l’occurrence, XMaster XL, ne cherchait pas faire de son L-ève une partenaire sexuelle comme il pouvait en trouver d’autres dans les milieux libertins qu’il fréquentait par ailleurs, sauf qu’elle aurait été plus régulière que les rencontres occasionnelles auxquelles il donnait rarement suite une fois la partie de jambes en l’air terminée pour ne pas s’engoncer dans des relations tumultueuses. IL voulait et avait vu en elle une soumise, celle qui deviendrait son élève, son L-ève aussi, façonnée à sa guise mais pas tant que cela, car il savait que sa nature première était d’être femme soumise tout autant que vraie salope sexuelle, objet de plaisirs sensuels, mais pas que simple objet passif exploitée et abusée, mais bien sujet participant à tant de plaisirs sexuels dont elle raffolait. Sauf que pour la soirée anniversaire, il lui faudrait, car ainsi en avait décidé le Dominant, faire pénitence et se contenter d’une véritable abstinence à laquelle elle n’était guère habituée lors de leurs rencontres.

C’est alors que L-ève commence à supporter de plus en plus difficilement la tension dans ses bras et ses épaules, portant à bout de bras une lourde pierre et condamnée à ne pouvoir ni baisser, ni plier les bras, sans de grandes douleurs répercutées sur ses mamelons et son intimité traversée par les cordes, que Monsieur le Marquis d’Evans, suivi à moins d’un mètre de Sa petite chienne Holly MDE trainée en laisse s’approche.

- Cher XMaster XL, je suis content de vous approcher et de prendre le temps de discuter.
- Monsieur le Marquis d’Evans, Très Cher Ami, c’est moi qui suis très content de pouvoir être ici à Vos côtés en cette merveilleuse journée anniversaire. Je Vous remercie de me compter parmi Vos amis intimes qui ont le privilège de bénéficier de ces soirées D/s que Vous organisez dans ce magnifique Château Ancestral.
- Alors, Cher XMaster XL, toujours occupé à faire l’éducation de votre élève L-ève…. Ah, ah, ah, …. Je dois avouer que j’adore chaque fois ce jeu de mots homophone, Monsieur le Xprofesseur ou encore professeur X et D/s, car je ne saurais dire ce qui vous tente le plus, connaissant vos goûts pour l’érotisme et la sexualité.
- Toujours Monsieur le Marquis d’Evans, et Vous devez bien savoir que ce n’est pas toujours une sinécure que de vouloir être un bon et sérieux « Maître D/s ». Les néophytes, et encore pire s’il s’agit de « vanille », croient toujours que nous avons le « beau » (mauvais) rôle à sans cesse ordonner, exiger et se faire lécher les doigts de pieds en éventail, mais ceux-là même n’ont rien compris à l’importance de notre Dominance et à la responsabilité qui nous incombe lorsque nous devons guider et dresser une soumise qui a désiré se placer sous notre joug et notre protection.
- Je ne vous le fais pas dire, cher XMaster XL, je partage tout à fait ce point de vue, mais je pense que bon nombre de nos dominé(e)s, soumis et soumises dans l’âme, ont malgré tout conscience de ce que nous représentons et de ce que nous leur apportons pour lequel ils et elles nous en expriment de la gratitude.
- De la gratitude, certes, mais pas toujours ou pas assez. Mon élève (L-ève) me donne bien du fil à retorde en ce moment.
- Est-ce pour cela que vous l’avez attachée de manière à ce qu’elle ne puisse tordre plus les fils qui font couler sa chatte, si j’en juge par la tâche que j’aperçois sur le parquet !
- Monsieur le Marquis d’Evans, je suis sincèrement désolé pour la tâche, ma soumise réparera dès que je la libérerai, mais pour l’heure elle est punie et qu’elle pleure un peu sur le mal qu’elle m’a fait ne lui fait pas de mal, et si par la même occasion, elle a aussi la chatte qui suinte alors même que l’abstinence que je lui impose ce soir est une autre forme de pénitence, et bien elle n’en sera que plus frustrée et plus reconnaissante lorsque je daignerai venir à nouveau entre ses cuisses pour la faire grimper au nirvana...

(A suivre ….)