La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°450 -
Monsieur le Marquis d’Evans vient de venir à la rencontre de son Cher ami XMaster XL qui est occupé à punir son élève L-ève. Le Châtelain vient de lui faire remarquer avec un petit sourire au coin des lèvres la tâche qui auréole le parquet du grand Hall de Réception transformé en Donjon D/s pour la nuitée orgiaque, parquet légendaire puisqu’en d’autres temps plus anciens, il a été foulé par le Marquis de Sade en personne, ami intime de l’aïeul de l’actuel Marquis d’Evans. Il est vrai que la soumise est en bien « mauvaise » posture, entravée entre des cordes qui au moindre mouvement lui rentrent encore plus dans l’entrecuisse dégoulinant, s’immisçant entre ses lèvres intimes et venant se glisser au plus profond de sa raie anale. Ses mains, ses bras, ses épaules sont douloureuses à force de devoir rester tendus allongés à l’horizontale, étant obligée de porter en outre dans chaque main une lourde pierre qui ajoute au tourment de la punition qui lui a été imposée. L-ève, qui a parfois un caractère de rebelle sauvageonne, regrette de s’être emportée la nuit précédente et d’avoir presque osé vouloir porter la main sur le Dominant avec qui, pour autant, elle partage amour et affection réciproques, et lors de leurs rencontres physiques de nombreux plaisirs sexuels et autant de pratiques ou jeux D/s pour leurs plus grand bonheur commun. Pour obtenir son pardon, elle est prête à s’amender, contrite et en pleurs (autant de douleur que de remords), et à endurer, jusqu’au moment où il l’exigera, la douleur qui accompagne la punition qui devient de plus en plus insupportable au fil des minutes qui s’accumulent et qu’elle ressent profondément dans ses bras endoloris, comme autant de repentance pour ses gestes qui avaient courroucé XMaster XL.
Elle se sent aussi relativement honteuse d’avoir entendu les propos du Maître des Lieux et de savoir que son bas-ventre, fortement comprimé et titillé par le jeu des cordes tendues qui se sont glissées dans l’intimité de sa chatte et de son anus, en est très excité par le contact lustrant sur ses zones érogènes au point de suinter de cette cyprine si caractéristique du désir féminin, qu’elle ne peut ni refreiner, ni cacher, dans une situation qui ne lui permet toutefois pas de pouvoir libérer le feu qui s’est emparé de son entrecuisse, car le moindre mouvement même minime se répercute aussi sec sur ses bras déjà en tension et sur ses tétons étirés et pincés par les deux extrémités des cordages. Condamné donc à subir sans se plaindre pour se faire pardonner, L-ève trouve la force de résister dans son désir intense de ne pas être répudiée par le Dominant plus qu’irrité chaque fois qu’elle est défaillante et ceci d’autant plus qu’il lui a précisé la veille que l’avenir de leur relation D/s, et de fait de leur relation sexuelle, dépendrait de son attitude exemplaire lors de cette soirée anniversaire et en particulier dans son acceptation du dur châtiment qu’il avait décidé de lui imposer, ne pouvant accepter de tolérer plus longtemps de tels comportements indignes pour celle qui se prétend vouloir être considérée comme soumise D/s « domestiquée » et non encore à l’état de femelle sauvage juste bonne à errer dans les rues pour assouvir ses besoins primaires de copulation bestiale.
XMaster XL regarde sa disciple, habituée à des plaisirs plus lubriques dans des ébats charnels sans limites et sans tabous, qui endure avec courage et résignation ce qu’il a concocté pour elle, malgré ses mimiques grimaçantes, ses pleurs qui ne discontinuent pas et ses soupirs assourdis par le mors qui lui passe entre les dents, sur lequel elle mort à pleine dent comme pour trouver la force de résister aussi longtemps qu’il le faudra. Trouvant que la sanction a dû suffisamment produire ses effets sur le plan physique tant au niveau des bras endoloris que du sexe luisant, meurtri mais si excité malgré tout, le Dominant s’adresse au Marquis d’Evans qui vient de le rejoindre.
- Très cher Ami, Monsieur le Marquis d’Evans, me permettez-vous de ne pas trop tarder avant de libérer ma soumise de ses cordes, car je pense qu’à force de se tordre dans ses fils comme vous venez de me le faire remarquer, elle va finir par vous laisser non plus une simple auréole sur le parquet mais un vrai lac qu’elle aura bien du mal à étancher par la suite. Et puis, je suis au fond assez magnanime pour ses bras qui ont dû suffisamment endurer la tension que je leur ai imposée. Mais je souhaite juste avant, si Vous me le permettez qu’elle Vous exprime elle-même la raison pour laquelle j’ai été contraint de la châtier, et le pourquoi d’une telle position pénible à supporter en relation avec la punition que j’ai choisie, dont je ne peux que supposer qu’elle en a apprécié le bien-fondé et la justesse. Ce n’est qu’après cela que je l’autoriserai sûrement à venir implorer mon pardon, si j’ai trouvé son acte de contrition suffisamment sincère.
- Cher XMaster XL, je veux bien vous accorder ce plaisir si tel est votre souhait, et si vous pensez que cela va dans le sens de l’amendement de votre soumise repentante.
XMaster XL s’approche de son élève et commence dans un premier temps à lui défaire le mors qui lui entravait la bouche.
- Mon L-ève ! Tu n’avais pas les oreilles bouchées, donc je suppose que tu as parfaitement entendu ce que j’attends de toi maintenant. Je suppose que tu as eu largement le temps de réfléchir sur ce que tu as du supporter aujourd’hui, mais aussi avant tout sur ce que j’ai du supporter hier du fait de ton comportement injustifié. A toi ! Je te donne la parole. Surtout pas de jérémiades devant l’Hôte qui m’a fait l’honneur de m’accueillir ce soir et donc tu arrêtes de pleurnicher immédiatement !
La soumise s’empourpre aussi sec, se sentant mise sur la sellette sous le regard Directif du Noble Maître des Lieux. Elle retient difficilement ses larmes et ses soupirs, et enfin d’une voix timide, après avoir pris une grande respiration, elle commence.
- Monsieur Le Marquis d’Evans, Maître des Lieux, pour satisfaire aux exigences de XMaster XL daignez me permettre de Vous expliquer le bien-fondé de la punition qui m’a été imposée pour me permettre de réfléchir sur mon attitude intolérable. Hier soir, refusant de me laisser maîtriser et bondager, dans un accès de rébellion que je n’ai pas su refreiner, j’ai presque osé porter les mains sur le corps et le visage de celui que je reconnais pourtant comme le Maître auquel j’appartiens de mon plein gré et à qui j’ai librement promis d’obéir en tous points. Heureusement pour moi, mais surtout pour XMaster XL qui aurait pu être ma cible, j’ai été arrêtée dans mon élan par les mains fermes du Maître qui a été contraint de m’immobiliser fermement le temps que je me calme et que je reprenne mes esprits plus sereinement. Je me sentais très fatiguée physiquement d’une semaine épuisante, désirant avant tout pouvoir dormir pour me reposer et être en forme pour profiter de cette soirée anniversaire, mais au lieu de prévenir Le Maître de mon état réel et de solliciter humblement son autorisation de pouvoir prendre un repos nécessaire, j’ai perdu pied et j’ai oublié toutes les bonnes manières qu’il a accepté de m’enseigner dans le cadre de notre relation D/s. Je suis vraiment désolée de constater que je ne suis encore parfois qu’une vulgaire femelle sauvage qui ne sait pas se comporter comme il faut et qui a bien besoin d’être dressée pour avoir en toutes circonstances les bonnes réactions adéquates. Je sais qu’en ayant agit ainsi sous le coup de la colère et de la folie, je ne fais pas honneur au Maître et au titre d’L-ève, élève-soumise, qu’il m’a octroyé, ne lui prouvant pas toute la joie et le bonheur sincère que je ressens de pouvoir partager à ses pieds et à ses côtés, soumission, fantasmes et sexe jouissif. Mes bras sont ce soir en feu, douloureux comme jamais, mais ils le sont surtout du remords de ne pas avoir été seulement ce qu’ils auraient dû être, bras qui savent cajoler, mains caressantes et chaudes de désirs avant tout pour l’homme viril et Maître D/s tout autant que XL, qui sait m’apporter tant de plaisirs charnels et intellectuels lorsque je suis à lui et qu’il me possède et me pénètre.
La soumise reprend sa respiration, aspirant à nouveau un grand coup pour maintenir ses larmes qui continuent de couler en silence malgré elle sur ses joues, car son émotion est aussi intense que la douleur qu’elle endure.
- Je Vous prie, Monsieur le Marquis d’Evans, Maître de ces Lieux, de bien vouloir me pardonner d’avoir perturbé Votre sublime soirée anniversaire qui n’aurait dû être que réjouissances et plaisirs D/s. Je vous remercie également d’avoir daigné écouter l’insignifiante et si indigne élève que je fais. Puisse XMaster XL entendre aussi de ma bouche mon sincère repentir et accepter de m’accorder son pardon que je viens implorer à ses pieds avec beaucoup d’humilité et de gratitude.
Le Marquis d’Evans a écouté sans sourciller la soumise qui avait gardé la tête baissée humblement mais tournée vers le Noble à qui elle s’adressait, ne songeant même plus à quoique que ce soit d’autres dans le trouble et la honte ressentis de devoir faire cet aveu devant un Grand Maître de qualité reconnu par ses pairs. Elle en a presque oublié la douleur physique de ses bras endoloris qui portent et supportent encore les deux lourdes pierres, de ses tétons étirés par la corde, tout comme l’excitation sensuelle de ses lèvres intimes malmenées dans lesquelles s’immiscent des cordages inquisiteurs tendus à l’extrême. D’une voix grave et sévère qui est l’apanage de Sa Dominance sans faille, le Châtelain prend la parole.
- Ton repentir semble sincère et je peux imaginer que c’est ainsi que l’a perçu également Le Maître auquel tu appartiens et que tu avais dû courroucé à juste titre si tu as osé porté la main sur lui. Même si le geste arrêté à temps n’a pas été commis, l’intention fut tienne et elle est effectivement indigne d’une soumise qui se doit donc d’être châtiée durement pour qu’elle puisse comprendre la portée de tels actes très offensants. Comme tu n’es pas Ma chienne-soumise, il ne m’appartient pas de Me substituer à mon très cher ami, XMaster XL, qui est le seul à pouvoir juger de la gravité de ta faute dans son contexte et de la punition qu’il était en droit d’exiger pour te permettre de t’amender à ses yeux. Il est aussi le seul à savoir s’il accepte de reconnaître la véracité de ta repentance et s’il consent à te pardonner pour tes gestes qui, s’ils sont tels que tu me les as relaté, ont dû être à ses yeux plus que déplaisants. Si tu as la chance qu’il daigne t’offrir une chance de rester à ses pieds, sois très reconnaissante, car il y a peu de Maîtres conciliants et magnanimes qui tolèrent éternellement une soumise farouche et rebelle, sauf à être parfois plus indulgent en tout début de dressage, mais ce n’est pas ton cas, car tu n’es plus une novice ignorante de tes devoirs d’obéissance.
L-ève baisse la tête encore plus pour montrer qu’elle a bien entendu le discours du Châtelain qu’elle approuve, n’osant plus ouvrir la bouche, d’autant plus qu’elle reste encore dans l’incertitude ne sachant pas si elle obtiendra le pardon du Dominant, qui risque de se montrer plus sévère en présence du Maître des Lieux pour ne pas perdre la face et toute sa crédibilité. Le Marquis d’Evans reprend d’une voix qui s’est adouci légèrement.
- Pour ma part, Je daigne te pardonner du temps que tu m’as fait perdre à devoir écouter les circonstances de ta faute que je considère comme grave, sache-le. J’apprécie cependant que tu admettes le bien-fondé de ta punition tout à fait adaptée, et ceci d’autant plus que je sais qu’il est indispensable pour une soumise châtiée de pouvoir prendre conscience de sa faute, de la reconnaître comme telle et de considérer le châtiment salvateur imposé par le Maître comme ce qui pourra lui servir de leçon pour ne pas retomber dans les mêmes erreurs une fois de plus. Il y a deux citations que j’aime bien parfois inculquer à mes chiens et chiennes du cheptel MDE, la première « Les erreurs sont toujours pardonnables seulement si celui qui les a commises a le courage de les admettre » et la deuxième « Demander pardon ne veut rien dire si tu continues à faire ce pourquoi tu demandes pardon ». J’espère que cela te donnera encore à méditer un peu plus avant de songer à implorer XMaster XL avec plus d’humilité et de repentance, lorsqu’il consentira à t’écouter.
- Très Cher Marquis d’Evans, je savoure chacun de Vos mots, n’y trouvant que profonde sagesse et Dominance assurée. Puisse mon L-ève avoir su profiter également de cet enseignement, dont je Vous remercie.
- C’est tout à fait normal, Cher Ami, sachant que je parlais aussi un peu pour ma chienne que je traîne en laisse, qui vient de récolter une punition il y n’y a pas moins de 10 minutes pour n’avoir pas su respecter la loi du silence que j’impose à tous les soumis et soumises du Cheptel MDE, qui sont juste autorisés à répondre lorsque Je leur pose une question et qui n’ont pas besoin de venir m’échauffer les oreilles le reste du temps de leur blabla inutile et de leurs jérémiades dont je n’ai que faire. Bien entendu, je ne mets pas la gravité de la faute au même niveau, mais en ce qui me concerne mes chiens-soumis et chiennes-soumises qui sont trié(e)s sur le volet et qui subissent un dressage contraignant pour parfaire leur éducation, j’exige l’excellence et une obéissance sans faille, ce que Vous ne devez pas ignorer depuis le temps que nous nous connaissons...
(A suivre …)
Monsieur le Marquis d’Evans vient de venir à la rencontre de son Cher ami XMaster XL qui est occupé à punir son élève L-ève. Le Châtelain vient de lui faire remarquer avec un petit sourire au coin des lèvres la tâche qui auréole le parquet du grand Hall de Réception transformé en Donjon D/s pour la nuitée orgiaque, parquet légendaire puisqu’en d’autres temps plus anciens, il a été foulé par le Marquis de Sade en personne, ami intime de l’aïeul de l’actuel Marquis d’Evans. Il est vrai que la soumise est en bien « mauvaise » posture, entravée entre des cordes qui au moindre mouvement lui rentrent encore plus dans l’entrecuisse dégoulinant, s’immisçant entre ses lèvres intimes et venant se glisser au plus profond de sa raie anale. Ses mains, ses bras, ses épaules sont douloureuses à force de devoir rester tendus allongés à l’horizontale, étant obligée de porter en outre dans chaque main une lourde pierre qui ajoute au tourment de la punition qui lui a été imposée. L-ève, qui a parfois un caractère de rebelle sauvageonne, regrette de s’être emportée la nuit précédente et d’avoir presque osé vouloir porter la main sur le Dominant avec qui, pour autant, elle partage amour et affection réciproques, et lors de leurs rencontres physiques de nombreux plaisirs sexuels et autant de pratiques ou jeux D/s pour leurs plus grand bonheur commun. Pour obtenir son pardon, elle est prête à s’amender, contrite et en pleurs (autant de douleur que de remords), et à endurer, jusqu’au moment où il l’exigera, la douleur qui accompagne la punition qui devient de plus en plus insupportable au fil des minutes qui s’accumulent et qu’elle ressent profondément dans ses bras endoloris, comme autant de repentance pour ses gestes qui avaient courroucé XMaster XL.
Elle se sent aussi relativement honteuse d’avoir entendu les propos du Maître des Lieux et de savoir que son bas-ventre, fortement comprimé et titillé par le jeu des cordes tendues qui se sont glissées dans l’intimité de sa chatte et de son anus, en est très excité par le contact lustrant sur ses zones érogènes au point de suinter de cette cyprine si caractéristique du désir féminin, qu’elle ne peut ni refreiner, ni cacher, dans une situation qui ne lui permet toutefois pas de pouvoir libérer le feu qui s’est emparé de son entrecuisse, car le moindre mouvement même minime se répercute aussi sec sur ses bras déjà en tension et sur ses tétons étirés et pincés par les deux extrémités des cordages. Condamné donc à subir sans se plaindre pour se faire pardonner, L-ève trouve la force de résister dans son désir intense de ne pas être répudiée par le Dominant plus qu’irrité chaque fois qu’elle est défaillante et ceci d’autant plus qu’il lui a précisé la veille que l’avenir de leur relation D/s, et de fait de leur relation sexuelle, dépendrait de son attitude exemplaire lors de cette soirée anniversaire et en particulier dans son acceptation du dur châtiment qu’il avait décidé de lui imposer, ne pouvant accepter de tolérer plus longtemps de tels comportements indignes pour celle qui se prétend vouloir être considérée comme soumise D/s « domestiquée » et non encore à l’état de femelle sauvage juste bonne à errer dans les rues pour assouvir ses besoins primaires de copulation bestiale.
XMaster XL regarde sa disciple, habituée à des plaisirs plus lubriques dans des ébats charnels sans limites et sans tabous, qui endure avec courage et résignation ce qu’il a concocté pour elle, malgré ses mimiques grimaçantes, ses pleurs qui ne discontinuent pas et ses soupirs assourdis par le mors qui lui passe entre les dents, sur lequel elle mort à pleine dent comme pour trouver la force de résister aussi longtemps qu’il le faudra. Trouvant que la sanction a dû suffisamment produire ses effets sur le plan physique tant au niveau des bras endoloris que du sexe luisant, meurtri mais si excité malgré tout, le Dominant s’adresse au Marquis d’Evans qui vient de le rejoindre.
- Très cher Ami, Monsieur le Marquis d’Evans, me permettez-vous de ne pas trop tarder avant de libérer ma soumise de ses cordes, car je pense qu’à force de se tordre dans ses fils comme vous venez de me le faire remarquer, elle va finir par vous laisser non plus une simple auréole sur le parquet mais un vrai lac qu’elle aura bien du mal à étancher par la suite. Et puis, je suis au fond assez magnanime pour ses bras qui ont dû suffisamment endurer la tension que je leur ai imposée. Mais je souhaite juste avant, si Vous me le permettez qu’elle Vous exprime elle-même la raison pour laquelle j’ai été contraint de la châtier, et le pourquoi d’une telle position pénible à supporter en relation avec la punition que j’ai choisie, dont je ne peux que supposer qu’elle en a apprécié le bien-fondé et la justesse. Ce n’est qu’après cela que je l’autoriserai sûrement à venir implorer mon pardon, si j’ai trouvé son acte de contrition suffisamment sincère.
- Cher XMaster XL, je veux bien vous accorder ce plaisir si tel est votre souhait, et si vous pensez que cela va dans le sens de l’amendement de votre soumise repentante.
XMaster XL s’approche de son élève et commence dans un premier temps à lui défaire le mors qui lui entravait la bouche.
- Mon L-ève ! Tu n’avais pas les oreilles bouchées, donc je suppose que tu as parfaitement entendu ce que j’attends de toi maintenant. Je suppose que tu as eu largement le temps de réfléchir sur ce que tu as du supporter aujourd’hui, mais aussi avant tout sur ce que j’ai du supporter hier du fait de ton comportement injustifié. A toi ! Je te donne la parole. Surtout pas de jérémiades devant l’Hôte qui m’a fait l’honneur de m’accueillir ce soir et donc tu arrêtes de pleurnicher immédiatement !
La soumise s’empourpre aussi sec, se sentant mise sur la sellette sous le regard Directif du Noble Maître des Lieux. Elle retient difficilement ses larmes et ses soupirs, et enfin d’une voix timide, après avoir pris une grande respiration, elle commence.
- Monsieur Le Marquis d’Evans, Maître des Lieux, pour satisfaire aux exigences de XMaster XL daignez me permettre de Vous expliquer le bien-fondé de la punition qui m’a été imposée pour me permettre de réfléchir sur mon attitude intolérable. Hier soir, refusant de me laisser maîtriser et bondager, dans un accès de rébellion que je n’ai pas su refreiner, j’ai presque osé porter les mains sur le corps et le visage de celui que je reconnais pourtant comme le Maître auquel j’appartiens de mon plein gré et à qui j’ai librement promis d’obéir en tous points. Heureusement pour moi, mais surtout pour XMaster XL qui aurait pu être ma cible, j’ai été arrêtée dans mon élan par les mains fermes du Maître qui a été contraint de m’immobiliser fermement le temps que je me calme et que je reprenne mes esprits plus sereinement. Je me sentais très fatiguée physiquement d’une semaine épuisante, désirant avant tout pouvoir dormir pour me reposer et être en forme pour profiter de cette soirée anniversaire, mais au lieu de prévenir Le Maître de mon état réel et de solliciter humblement son autorisation de pouvoir prendre un repos nécessaire, j’ai perdu pied et j’ai oublié toutes les bonnes manières qu’il a accepté de m’enseigner dans le cadre de notre relation D/s. Je suis vraiment désolée de constater que je ne suis encore parfois qu’une vulgaire femelle sauvage qui ne sait pas se comporter comme il faut et qui a bien besoin d’être dressée pour avoir en toutes circonstances les bonnes réactions adéquates. Je sais qu’en ayant agit ainsi sous le coup de la colère et de la folie, je ne fais pas honneur au Maître et au titre d’L-ève, élève-soumise, qu’il m’a octroyé, ne lui prouvant pas toute la joie et le bonheur sincère que je ressens de pouvoir partager à ses pieds et à ses côtés, soumission, fantasmes et sexe jouissif. Mes bras sont ce soir en feu, douloureux comme jamais, mais ils le sont surtout du remords de ne pas avoir été seulement ce qu’ils auraient dû être, bras qui savent cajoler, mains caressantes et chaudes de désirs avant tout pour l’homme viril et Maître D/s tout autant que XL, qui sait m’apporter tant de plaisirs charnels et intellectuels lorsque je suis à lui et qu’il me possède et me pénètre.
La soumise reprend sa respiration, aspirant à nouveau un grand coup pour maintenir ses larmes qui continuent de couler en silence malgré elle sur ses joues, car son émotion est aussi intense que la douleur qu’elle endure.
- Je Vous prie, Monsieur le Marquis d’Evans, Maître de ces Lieux, de bien vouloir me pardonner d’avoir perturbé Votre sublime soirée anniversaire qui n’aurait dû être que réjouissances et plaisirs D/s. Je vous remercie également d’avoir daigné écouter l’insignifiante et si indigne élève que je fais. Puisse XMaster XL entendre aussi de ma bouche mon sincère repentir et accepter de m’accorder son pardon que je viens implorer à ses pieds avec beaucoup d’humilité et de gratitude.
Le Marquis d’Evans a écouté sans sourciller la soumise qui avait gardé la tête baissée humblement mais tournée vers le Noble à qui elle s’adressait, ne songeant même plus à quoique que ce soit d’autres dans le trouble et la honte ressentis de devoir faire cet aveu devant un Grand Maître de qualité reconnu par ses pairs. Elle en a presque oublié la douleur physique de ses bras endoloris qui portent et supportent encore les deux lourdes pierres, de ses tétons étirés par la corde, tout comme l’excitation sensuelle de ses lèvres intimes malmenées dans lesquelles s’immiscent des cordages inquisiteurs tendus à l’extrême. D’une voix grave et sévère qui est l’apanage de Sa Dominance sans faille, le Châtelain prend la parole.
- Ton repentir semble sincère et je peux imaginer que c’est ainsi que l’a perçu également Le Maître auquel tu appartiens et que tu avais dû courroucé à juste titre si tu as osé porté la main sur lui. Même si le geste arrêté à temps n’a pas été commis, l’intention fut tienne et elle est effectivement indigne d’une soumise qui se doit donc d’être châtiée durement pour qu’elle puisse comprendre la portée de tels actes très offensants. Comme tu n’es pas Ma chienne-soumise, il ne m’appartient pas de Me substituer à mon très cher ami, XMaster XL, qui est le seul à pouvoir juger de la gravité de ta faute dans son contexte et de la punition qu’il était en droit d’exiger pour te permettre de t’amender à ses yeux. Il est aussi le seul à savoir s’il accepte de reconnaître la véracité de ta repentance et s’il consent à te pardonner pour tes gestes qui, s’ils sont tels que tu me les as relaté, ont dû être à ses yeux plus que déplaisants. Si tu as la chance qu’il daigne t’offrir une chance de rester à ses pieds, sois très reconnaissante, car il y a peu de Maîtres conciliants et magnanimes qui tolèrent éternellement une soumise farouche et rebelle, sauf à être parfois plus indulgent en tout début de dressage, mais ce n’est pas ton cas, car tu n’es plus une novice ignorante de tes devoirs d’obéissance.
L-ève baisse la tête encore plus pour montrer qu’elle a bien entendu le discours du Châtelain qu’elle approuve, n’osant plus ouvrir la bouche, d’autant plus qu’elle reste encore dans l’incertitude ne sachant pas si elle obtiendra le pardon du Dominant, qui risque de se montrer plus sévère en présence du Maître des Lieux pour ne pas perdre la face et toute sa crédibilité. Le Marquis d’Evans reprend d’une voix qui s’est adouci légèrement.
- Pour ma part, Je daigne te pardonner du temps que tu m’as fait perdre à devoir écouter les circonstances de ta faute que je considère comme grave, sache-le. J’apprécie cependant que tu admettes le bien-fondé de ta punition tout à fait adaptée, et ceci d’autant plus que je sais qu’il est indispensable pour une soumise châtiée de pouvoir prendre conscience de sa faute, de la reconnaître comme telle et de considérer le châtiment salvateur imposé par le Maître comme ce qui pourra lui servir de leçon pour ne pas retomber dans les mêmes erreurs une fois de plus. Il y a deux citations que j’aime bien parfois inculquer à mes chiens et chiennes du cheptel MDE, la première « Les erreurs sont toujours pardonnables seulement si celui qui les a commises a le courage de les admettre » et la deuxième « Demander pardon ne veut rien dire si tu continues à faire ce pourquoi tu demandes pardon ». J’espère que cela te donnera encore à méditer un peu plus avant de songer à implorer XMaster XL avec plus d’humilité et de repentance, lorsqu’il consentira à t’écouter.
- Très Cher Marquis d’Evans, je savoure chacun de Vos mots, n’y trouvant que profonde sagesse et Dominance assurée. Puisse mon L-ève avoir su profiter également de cet enseignement, dont je Vous remercie.
- C’est tout à fait normal, Cher Ami, sachant que je parlais aussi un peu pour ma chienne que je traîne en laisse, qui vient de récolter une punition il y n’y a pas moins de 10 minutes pour n’avoir pas su respecter la loi du silence que j’impose à tous les soumis et soumises du Cheptel MDE, qui sont juste autorisés à répondre lorsque Je leur pose une question et qui n’ont pas besoin de venir m’échauffer les oreilles le reste du temps de leur blabla inutile et de leurs jérémiades dont je n’ai que faire. Bien entendu, je ne mets pas la gravité de la faute au même niveau, mais en ce qui me concerne mes chiens-soumis et chiennes-soumises qui sont trié(e)s sur le volet et qui subissent un dressage contraignant pour parfaire leur éducation, j’exige l’excellence et une obéissance sans faille, ce que Vous ne devez pas ignorer depuis le temps que nous nous connaissons...
(A suivre …)
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