La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°487 -
Le Dominant a fait installer sa soumise sur un banc D/s qui lui permet de se maintenir à quatre pattes en hauteur, tout en laissant une partie de son corps au niveau du ventre et des épaules reposer également sur un support adapté muni d’un coussinet en cuir, ce qui permet de répartir le poids à la fois sur les quatre membres mais également sur une partie du corps, allégeant d’autant la position à long terme. Maître kuaizi n’utilise pour sa part que des baguettes en plastiques simples, rondes en bout et rectangulaires à la base. Les baguettes en bois pouvant être plus inadaptées aux pratiques D/s même si elles sont lustrées et vernies à cause des colorants qui peuvent être toxiques, sans parler des plus ordinaires en bois brut (souvent du bambou) qui ont en surface de minuscules échardes pouvant blesser les peaux sensibles, sans compter que ces dernières ne peuvent être qu’à usage unique ne pouvant pas être désinfectées au niveau du bois qui reste un matériau poreux. Avant d’installer iziauk sur son banc D/s, Maître kuaizi lui avait déjà apposé plusieurs baguettes chinoises en guise de pinces sur certaines parties du corps. Il a l’habitude de positionner les deux baguettes côte à côte mais inversées, ce qui permet d’équilibrer la taille de chaque côté (un bout rond plus petit et un bout carré plus gros) et de laisser en son centre un très léger évasement permettant justement de faire office de pincement, car malgré la rigidité de chaque élément et la solidarisation aux extrémités, il existe une très légère souplesse de courbure de la pince allongée ainsi constituée. A chaque extrémité, Maître kuaizi installe un petit serre-joint en plastique, serré au maximum pour pouvoir rapprocher et faire se jointer au mieux les deux baguettes. La tension de l’ensemble est réglable simplement en faisant coulisser les deux serre-joints le long des baguettes. Plus ils seront éloignés du centre, moins le pincement sera appuyé. En les rapprochant vers l’intérieur, il est possible d’augmenter la pression exercée entre les deux baguettes sur la partie du corps qui est inséré entre les deux morceaux de plastique.
Maître kuaizi a posé deux jeux de deux baguettes en croix sur chaque mamelon saillants car fortement étirés depuis des années. Il a installée également une baguette horizontale au niveau du bouton d’amour décalotté de sa soumise qui du fait du pincement et de la mise à nu se gorge encore plus de désir, autant que de sang. A la perpendiculaire, telle la lettre C, se trouvent deux baguettes qui enserrent chaque grande lèvre, placées sous la première baguette qui pince le clitoris, histoire de la soulever un peu plus et d’augmenter la tension et l’étirement de ce petit bout de chair rosée si caractéristique du plaisir féminin, même s’il ne constitue pas l’unique zone érogène chez la femme. Pour compléter le tableau, il a également appliqué une baguette sur la langue de sa soumise, sortie au maximum, sans que celle-ci ne puisse la rentrer dans la cavité buccale puisque les deux longs plastiques coincent au niveau des commissures des lèvres. Et estimant qu’il avait encore de la place, il en a déposé deux sur les lobes des oreilles d’iziauk. Une fois munie de tous ces morceaux allongés et blanc savamment mis à la bonne place, un équipement que la soumise affectionne particulièrement depuis le temps, surtout sur les zones érogènes, le Maître l’a aidé à s’installer sur le banc bien à son aise, car il entend dans le contexte de cette soirée orgiaque battre si possible un nouveau record, sentant sa soumise particulièrement réceptive et très excitée autant physiquement que mentalement, prête à le suivre dans ce qu’il a envie de lui faire partager.
iziauk se trouve donc positionnée à quatre pattes, les jambes parallèles éloignées au maximum ce qui a pour effet d’écarter sa raie anale et de laisser entrevoir son petit trou sombre encore fermé. Le Dominant lui sangle le corps et les membres non par crainte qu’elle bouge et tente de se dérober à ses gestes, mais pour éviter qu’elle ne risque de tomber et de se faire d’autant plus mal que son corps tout entier est couvert de baguettes rigides qui pourraient se casser et la blesser en cas de choc. Maître kuaizi prend en main une bonne noisette de gel lubrifiant qu’il glisse délicatement dans l’anus de sa soumise, glissant un doigt avec délectation. La soumise se laisse d’autant plus faire qu’elle trouve l’instant sublimement plaisant et excitant. Un doigt, suivi de deux, puis de trois que le Maître s’amuse à faire courir et bouger dans l’étroit conduit pour assouplir la rondelle qui peu à peu cède dans un vrai relâchement musculaire de celle qui s’abandonne toute entière au Maître qui va la posséder charnellement et spirituellement par jeu de baguettes interposés, ce qui ne les empêchent pas d’autres fois d’avoir des rapports sexuels plus traditionnels.
Maître kuaizi vient d’attraper un préservatif de grande largeur qu’il remplit d’une bonne dizaine de baguette. Un petit gode anal « fabrication maison » qu’il insère à bonne longueur dans le cul de sa soumise largement habituée à recevoir ce type d’objet. L’avantage du préservatif est de préserver la paroi interne anale de tout risque de frottement avec les bouts en plastique dur qui peuvent être plus abrasifs et racler la peau au moment de la pénétration. Le Dominant joue alors avec les baguettes, les faisant s’incliner un peu plus en corolle pour assouplir au maximum l’anus et le rectum en forçant également tous les muscles fessiers à se relâcher au maximum. Une fois cette tâche préalable d’assouplissement et d’échauffement terminée, le Maître continue de remplir le préservatif en glissant d’autres baguettes à l’intérieur, veillant chaque fois à glisser la nouvelle au centre de l’ensemble pour éviter de la faire riper sur le plastique du préservatif qui pourrait se déchirer avec le risque en outre d’abimer la peau interne de l’anus ou du rectum de la soumise. Les premières baguettes sont positionnées assez rapidement car il y a encore de la marge dans l’anus d’iziauk entrainé à la dilatation anale qu’elle affectionne.
C’est au moment où Maître kuaizi glisse la vingtième baguette que Monsieur le Marquis d’Evans s’approche pour saluer son ami.
- Très cher Maître kuaizi, je vois que vos goûts n’ont pas changés. Toujours un adepte de vos baguettes chinoises.
- Oui, Monsieur le Marquis d’Evans, je suis toujours aussi attiré par ce petit objet. Sauf pour me remplir le gosier avec, je ne m’y ferai jamais à cette étrange manière de manger répandu dans toute l’Asie, ce qui est peut-être un comble pour l’amateur et collectionneur que je fais toujours à la recherche de quelques antiquités ou baguettes étranges et rares qui viennent rejoindre mon musée personnel. Il faut dire que c’est un instrument fascinant et aussi si ancien, puisqu’il a été utilisé couramment au III° siècle av. J.-C. et que ces origines remontent au moins au temps de la dynastie Shang (XVI° -XI° siècle av. J.-C.). Quand on réalise que l’usage de la fourchette (la « petite fourche » d’origine à deux dents était utilisée dès l’antiquité, mais pas comme couvert pour manger, juste pour pouvoir « harponner » les morceaux) nous vient des italiens qui s’en servaient pour manger des pâtes au XI° siècle. En France, il a fallu attendre la fin du XVII° siècle pour que rentre dans les mœurs l’usage de la fourchette à 4 dents qui permettait alors de porter les aliments depuis l’assiette jusqu’à la bouche. Jusque-là, les gens préférait manger avec les doigts, ou éventuellement utiliser une « fourche » pour piquer les morceaux de viande qu’ils dévoraient avec les dents (les pauvres des villes et des campagnes n’avaient pas les mêmes soucis, se contentant souvent d’une soupe et d’un peu de pain trempé).
- Très cher ami, l’usage que vous faites des baguettes chinoises me semble n’être en aucun cas culinaire.
- C’est effectivement un fait étonnant de constater que je n’arrive pas à faire jouer cela entre mes doigts pour attraper quoique ce soit de mangeable avec. Cela vient sûrement du fait que j’aime trop jouer avec, pour en dénaturer l’usage particulier qui est le mien pour tant de plaisirs D/s un tantinet pinçant, sachant que l’on peut également s’en servir de baguette de tambour !
Maître kuaizi attrape deux baguettes et vient battre le rythme sur les fesses de sa soumise, se plaisant également à produire des sons différents comme on le ferait sur un xylophone, suivant qu’il tape sur la peau tendre et bombée des fesses de la soumise, sur la plante des pieds qui se creusent sous l’impact, mais également sur les baguettes positionnées sur les zones plus sensibles des mamelons et de la chatte de iziauk réveillant au passage l’effet mordant. La soumise bave de plus belle lorsque le Maître vient également percuter les baguettes qui enserrent sa lèvre buccale pour les faire tinter. Des petits gémissements sortent de la bouche de la soumise qui a toujours une bonne vingtaine de baguettes implantées en son fondement de plus en plus dilaté.
- Monsieur le Marquis d’Evans, lorsque vous vous êtes approché, j’étais en train de garnir le cul de ma soumise. Le but n’est pas de la défoncer de manière extrême car je tiens à conserver une certaine étroitesse du conduit et son élasticité appréciable pour nos plaisirs sodomites partagés, mais j’aime et elle aussi qu’elle se sente bien remplie, lorsqu’elle se relâche complètement en s’abandonnant à la pénétration de mes baguettes qui lui fourrent le cul comme ne pourrait pas le faire un sexe d’un mâle humain, fut-il bien membré. Il doit rester encore de la place. Voulez-vous glisser Vous-même encore quelques baguettes supplémentaires, la seule précaution à prendre est de les glisser à l’intérieur de l’ensemble déjà en place et de ne pas les enfoncer plus que celles qui y sont déjà.
- Ne Vous inquiétez pas cher ami, j’ai également l’habitude de ces pratiques D/s, sans toutefois être aussi expert que vous l’êtes, me contentant plus raisonnablement de ce que je Maîtrise parfaitement.
- Vous savez, c’est une technique que je préconise souvent à ceux qui m’en font la demande car il s’agit d’un exercice d’assouplissement vaginal qui se fait tout en douceur. Le nombre de baguettes que l’on peut insérer est alors impressionnant, mais je ne donne jamais de chiffre car cela dépend avant tout de la constitution physique de la personne et de la taille de sa chatte qui même assouplie n’est pas extensible à l’infini. Vous êtes bien placé pour savoir qu’il n’existe jamais deux vulves identiques. Toutes les tailles, les formes, les couleurs, les aspects existent, il en est de même pour nos attributs phalliques que les gens devraient arrêter de comparer en taille et en longueur alors que la virilité est d’une toute autre nature, sans parler même de la Dominance qui prend sa source bien ailleurs qu’entre nos cuisses.
Maître kuaizi tend plusieurs baguettes neuves au Châtelain qui s’approche pour les glisser l’une après l’autre doucement, attentif aux réactions et gémissements de la soumise qui se laissent embrocher et garnir avec une soumission exemplaire et une confiance absolue envers le Maître auquel elle appartient, dont elle sait très bien qu’il n’ira pas au-delà de ce qui est bon pour elle et acceptable sur le plan physique au niveau dilation. Un vrai sentiment de plénitude (pleine attitude) a envahie iziauk qui émet de vrai petits miaulements à chaque nouvelle baguette dont l’intromission devient de plus en plus difficile pour le Châtelain qui finit par ajouter.
- Je pense que cette fois-ci, elle est bien pleine !
- Vous avez raison, Monsieur le Marquis d’Evans, il va d’ailleurs être temps pour moi de lui retirer son attirail qu’elle a supporté et endurer pendant un temps non négligeable. Cela me permettra aussi par la suite de nous accorder quelques plaisirs sexuels partagés plus orgasmiques. Je ne fais jamais jouir ma soumise quand je lui garni le cul, car l’orgasme produit de grandes contractions internes au niveau du vagin et aussi de tous les muscles pelviens, ce qui peut être plus problématique si les baguettes sont encore à l’intérieur. Mais je sais en général, que l’excitation de ma soumise lorsque je la manipule en séance D/s que ce soit par bondage ou par pincement est telle que le plaisir qu’elle prend par la suite lorsque je la baise en est décuplé, et le mien aussi de surcroît.
- Cher Ami, alors je vais vous laisser officier pour retirer toutes les baguettes dans un premier temps et pour vous accorder ensemble de bons moments jouissifs. Je dois d’ailleurs reprendre le tour de mes invités que je tiens à saluer un à un.
Le Marquis d’Evans s’éloigne, suivi de sa chienne Holly MDE qui n’a rien dit, mais qui a profité du spectacle en se demandant si un jour le Maître Vénéré décidera aussi d’expérimenter les baguettes chinoises déjà sur ses seins à la place des plus traditionnelles pinces à linge ou pince en métal dont elle a appris à supporter la douleur sur ses tétons mordante mais au final si excitante.
(A suivre ….)
Le Dominant a fait installer sa soumise sur un banc D/s qui lui permet de se maintenir à quatre pattes en hauteur, tout en laissant une partie de son corps au niveau du ventre et des épaules reposer également sur un support adapté muni d’un coussinet en cuir, ce qui permet de répartir le poids à la fois sur les quatre membres mais également sur une partie du corps, allégeant d’autant la position à long terme. Maître kuaizi n’utilise pour sa part que des baguettes en plastiques simples, rondes en bout et rectangulaires à la base. Les baguettes en bois pouvant être plus inadaptées aux pratiques D/s même si elles sont lustrées et vernies à cause des colorants qui peuvent être toxiques, sans parler des plus ordinaires en bois brut (souvent du bambou) qui ont en surface de minuscules échardes pouvant blesser les peaux sensibles, sans compter que ces dernières ne peuvent être qu’à usage unique ne pouvant pas être désinfectées au niveau du bois qui reste un matériau poreux. Avant d’installer iziauk sur son banc D/s, Maître kuaizi lui avait déjà apposé plusieurs baguettes chinoises en guise de pinces sur certaines parties du corps. Il a l’habitude de positionner les deux baguettes côte à côte mais inversées, ce qui permet d’équilibrer la taille de chaque côté (un bout rond plus petit et un bout carré plus gros) et de laisser en son centre un très léger évasement permettant justement de faire office de pincement, car malgré la rigidité de chaque élément et la solidarisation aux extrémités, il existe une très légère souplesse de courbure de la pince allongée ainsi constituée. A chaque extrémité, Maître kuaizi installe un petit serre-joint en plastique, serré au maximum pour pouvoir rapprocher et faire se jointer au mieux les deux baguettes. La tension de l’ensemble est réglable simplement en faisant coulisser les deux serre-joints le long des baguettes. Plus ils seront éloignés du centre, moins le pincement sera appuyé. En les rapprochant vers l’intérieur, il est possible d’augmenter la pression exercée entre les deux baguettes sur la partie du corps qui est inséré entre les deux morceaux de plastique.
Maître kuaizi a posé deux jeux de deux baguettes en croix sur chaque mamelon saillants car fortement étirés depuis des années. Il a installée également une baguette horizontale au niveau du bouton d’amour décalotté de sa soumise qui du fait du pincement et de la mise à nu se gorge encore plus de désir, autant que de sang. A la perpendiculaire, telle la lettre C, se trouvent deux baguettes qui enserrent chaque grande lèvre, placées sous la première baguette qui pince le clitoris, histoire de la soulever un peu plus et d’augmenter la tension et l’étirement de ce petit bout de chair rosée si caractéristique du plaisir féminin, même s’il ne constitue pas l’unique zone érogène chez la femme. Pour compléter le tableau, il a également appliqué une baguette sur la langue de sa soumise, sortie au maximum, sans que celle-ci ne puisse la rentrer dans la cavité buccale puisque les deux longs plastiques coincent au niveau des commissures des lèvres. Et estimant qu’il avait encore de la place, il en a déposé deux sur les lobes des oreilles d’iziauk. Une fois munie de tous ces morceaux allongés et blanc savamment mis à la bonne place, un équipement que la soumise affectionne particulièrement depuis le temps, surtout sur les zones érogènes, le Maître l’a aidé à s’installer sur le banc bien à son aise, car il entend dans le contexte de cette soirée orgiaque battre si possible un nouveau record, sentant sa soumise particulièrement réceptive et très excitée autant physiquement que mentalement, prête à le suivre dans ce qu’il a envie de lui faire partager.
iziauk se trouve donc positionnée à quatre pattes, les jambes parallèles éloignées au maximum ce qui a pour effet d’écarter sa raie anale et de laisser entrevoir son petit trou sombre encore fermé. Le Dominant lui sangle le corps et les membres non par crainte qu’elle bouge et tente de se dérober à ses gestes, mais pour éviter qu’elle ne risque de tomber et de se faire d’autant plus mal que son corps tout entier est couvert de baguettes rigides qui pourraient se casser et la blesser en cas de choc. Maître kuaizi prend en main une bonne noisette de gel lubrifiant qu’il glisse délicatement dans l’anus de sa soumise, glissant un doigt avec délectation. La soumise se laisse d’autant plus faire qu’elle trouve l’instant sublimement plaisant et excitant. Un doigt, suivi de deux, puis de trois que le Maître s’amuse à faire courir et bouger dans l’étroit conduit pour assouplir la rondelle qui peu à peu cède dans un vrai relâchement musculaire de celle qui s’abandonne toute entière au Maître qui va la posséder charnellement et spirituellement par jeu de baguettes interposés, ce qui ne les empêchent pas d’autres fois d’avoir des rapports sexuels plus traditionnels.
Maître kuaizi vient d’attraper un préservatif de grande largeur qu’il remplit d’une bonne dizaine de baguette. Un petit gode anal « fabrication maison » qu’il insère à bonne longueur dans le cul de sa soumise largement habituée à recevoir ce type d’objet. L’avantage du préservatif est de préserver la paroi interne anale de tout risque de frottement avec les bouts en plastique dur qui peuvent être plus abrasifs et racler la peau au moment de la pénétration. Le Dominant joue alors avec les baguettes, les faisant s’incliner un peu plus en corolle pour assouplir au maximum l’anus et le rectum en forçant également tous les muscles fessiers à se relâcher au maximum. Une fois cette tâche préalable d’assouplissement et d’échauffement terminée, le Maître continue de remplir le préservatif en glissant d’autres baguettes à l’intérieur, veillant chaque fois à glisser la nouvelle au centre de l’ensemble pour éviter de la faire riper sur le plastique du préservatif qui pourrait se déchirer avec le risque en outre d’abimer la peau interne de l’anus ou du rectum de la soumise. Les premières baguettes sont positionnées assez rapidement car il y a encore de la marge dans l’anus d’iziauk entrainé à la dilatation anale qu’elle affectionne.
C’est au moment où Maître kuaizi glisse la vingtième baguette que Monsieur le Marquis d’Evans s’approche pour saluer son ami.
- Très cher Maître kuaizi, je vois que vos goûts n’ont pas changés. Toujours un adepte de vos baguettes chinoises.
- Oui, Monsieur le Marquis d’Evans, je suis toujours aussi attiré par ce petit objet. Sauf pour me remplir le gosier avec, je ne m’y ferai jamais à cette étrange manière de manger répandu dans toute l’Asie, ce qui est peut-être un comble pour l’amateur et collectionneur que je fais toujours à la recherche de quelques antiquités ou baguettes étranges et rares qui viennent rejoindre mon musée personnel. Il faut dire que c’est un instrument fascinant et aussi si ancien, puisqu’il a été utilisé couramment au III° siècle av. J.-C. et que ces origines remontent au moins au temps de la dynastie Shang (XVI° -XI° siècle av. J.-C.). Quand on réalise que l’usage de la fourchette (la « petite fourche » d’origine à deux dents était utilisée dès l’antiquité, mais pas comme couvert pour manger, juste pour pouvoir « harponner » les morceaux) nous vient des italiens qui s’en servaient pour manger des pâtes au XI° siècle. En France, il a fallu attendre la fin du XVII° siècle pour que rentre dans les mœurs l’usage de la fourchette à 4 dents qui permettait alors de porter les aliments depuis l’assiette jusqu’à la bouche. Jusque-là, les gens préférait manger avec les doigts, ou éventuellement utiliser une « fourche » pour piquer les morceaux de viande qu’ils dévoraient avec les dents (les pauvres des villes et des campagnes n’avaient pas les mêmes soucis, se contentant souvent d’une soupe et d’un peu de pain trempé).
- Très cher ami, l’usage que vous faites des baguettes chinoises me semble n’être en aucun cas culinaire.
- C’est effectivement un fait étonnant de constater que je n’arrive pas à faire jouer cela entre mes doigts pour attraper quoique ce soit de mangeable avec. Cela vient sûrement du fait que j’aime trop jouer avec, pour en dénaturer l’usage particulier qui est le mien pour tant de plaisirs D/s un tantinet pinçant, sachant que l’on peut également s’en servir de baguette de tambour !
Maître kuaizi attrape deux baguettes et vient battre le rythme sur les fesses de sa soumise, se plaisant également à produire des sons différents comme on le ferait sur un xylophone, suivant qu’il tape sur la peau tendre et bombée des fesses de la soumise, sur la plante des pieds qui se creusent sous l’impact, mais également sur les baguettes positionnées sur les zones plus sensibles des mamelons et de la chatte de iziauk réveillant au passage l’effet mordant. La soumise bave de plus belle lorsque le Maître vient également percuter les baguettes qui enserrent sa lèvre buccale pour les faire tinter. Des petits gémissements sortent de la bouche de la soumise qui a toujours une bonne vingtaine de baguettes implantées en son fondement de plus en plus dilaté.
- Monsieur le Marquis d’Evans, lorsque vous vous êtes approché, j’étais en train de garnir le cul de ma soumise. Le but n’est pas de la défoncer de manière extrême car je tiens à conserver une certaine étroitesse du conduit et son élasticité appréciable pour nos plaisirs sodomites partagés, mais j’aime et elle aussi qu’elle se sente bien remplie, lorsqu’elle se relâche complètement en s’abandonnant à la pénétration de mes baguettes qui lui fourrent le cul comme ne pourrait pas le faire un sexe d’un mâle humain, fut-il bien membré. Il doit rester encore de la place. Voulez-vous glisser Vous-même encore quelques baguettes supplémentaires, la seule précaution à prendre est de les glisser à l’intérieur de l’ensemble déjà en place et de ne pas les enfoncer plus que celles qui y sont déjà.
- Ne Vous inquiétez pas cher ami, j’ai également l’habitude de ces pratiques D/s, sans toutefois être aussi expert que vous l’êtes, me contentant plus raisonnablement de ce que je Maîtrise parfaitement.
- Vous savez, c’est une technique que je préconise souvent à ceux qui m’en font la demande car il s’agit d’un exercice d’assouplissement vaginal qui se fait tout en douceur. Le nombre de baguettes que l’on peut insérer est alors impressionnant, mais je ne donne jamais de chiffre car cela dépend avant tout de la constitution physique de la personne et de la taille de sa chatte qui même assouplie n’est pas extensible à l’infini. Vous êtes bien placé pour savoir qu’il n’existe jamais deux vulves identiques. Toutes les tailles, les formes, les couleurs, les aspects existent, il en est de même pour nos attributs phalliques que les gens devraient arrêter de comparer en taille et en longueur alors que la virilité est d’une toute autre nature, sans parler même de la Dominance qui prend sa source bien ailleurs qu’entre nos cuisses.
Maître kuaizi tend plusieurs baguettes neuves au Châtelain qui s’approche pour les glisser l’une après l’autre doucement, attentif aux réactions et gémissements de la soumise qui se laissent embrocher et garnir avec une soumission exemplaire et une confiance absolue envers le Maître auquel elle appartient, dont elle sait très bien qu’il n’ira pas au-delà de ce qui est bon pour elle et acceptable sur le plan physique au niveau dilation. Un vrai sentiment de plénitude (pleine attitude) a envahie iziauk qui émet de vrai petits miaulements à chaque nouvelle baguette dont l’intromission devient de plus en plus difficile pour le Châtelain qui finit par ajouter.
- Je pense que cette fois-ci, elle est bien pleine !
- Vous avez raison, Monsieur le Marquis d’Evans, il va d’ailleurs être temps pour moi de lui retirer son attirail qu’elle a supporté et endurer pendant un temps non négligeable. Cela me permettra aussi par la suite de nous accorder quelques plaisirs sexuels partagés plus orgasmiques. Je ne fais jamais jouir ma soumise quand je lui garni le cul, car l’orgasme produit de grandes contractions internes au niveau du vagin et aussi de tous les muscles pelviens, ce qui peut être plus problématique si les baguettes sont encore à l’intérieur. Mais je sais en général, que l’excitation de ma soumise lorsque je la manipule en séance D/s que ce soit par bondage ou par pincement est telle que le plaisir qu’elle prend par la suite lorsque je la baise en est décuplé, et le mien aussi de surcroît.
- Cher Ami, alors je vais vous laisser officier pour retirer toutes les baguettes dans un premier temps et pour vous accorder ensemble de bons moments jouissifs. Je dois d’ailleurs reprendre le tour de mes invités que je tiens à saluer un à un.
Le Marquis d’Evans s’éloigne, suivi de sa chienne Holly MDE qui n’a rien dit, mais qui a profité du spectacle en se demandant si un jour le Maître Vénéré décidera aussi d’expérimenter les baguettes chinoises déjà sur ses seins à la place des plus traditionnelles pinces à linge ou pince en métal dont elle a appris à supporter la douleur sur ses tétons mordante mais au final si excitante.
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