La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°528 -
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1756 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 343 835 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 3 435 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°528 -
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode N°528 -
Monsieur le Marquis d’Evans vient d’assister à la punition des soumises qui n’avaient pas su reconnaître lors d’une fellation effectuée les yeux bandés parmi 5 sexes celui du Maître auquel chacune appartenait. Les coups de cravaches prévus comme gage pour les perdantes a peine terminés, le Châtelain a annoncé qu’il était temps pour lui de sanctionner Sa chienne-soumise N°17MDE, qui, certes, ne s’était pas vraiment trompée pour identifier le Divin pénis du Marquis d’Evans, mais qui, à Ses yeux de Dominant intransigeant, avait mis beaucoup trop de temps avant de se décider. IL avait même annoncé à tous Ses invités rassemblés autour que Sa chienne-soumise ne risquerait plus d’oublier à l’avenir, même les yeux bandés, le calibre qui allait servir à sa reprise en mains (en bouche tout du moins).
- Ma chienne, tu es bien consciente que tes hésitations ont été offensantes pour Moi, en tant que Maître Vénéré mais aussi en tant qu’Homme particulièrement bien membré. Tu me contraints comme Je viens de l’annoncer à tous à reprendre ton éducation à la fellation, en recommençant à la base ton entrainement de bonne chienne-suceuse, car il ne saurait être question que tu puisses à l’avenir avoir quelques atermoiements que ce soient lorsque tu auras Mon Noble sexe en bouche, dont tu te devais d’avoir la mémoire sensorielle de chaque millimètre carré, sauf à croire que lorsque je te donne l’occasion de profiter de Mon bâton de joie, cela ne t’intéresse pas plus que si tu avais un quelconque morceau plastique qui t’écartèle les lèvres.
La soumise N°17MDE, toujours prostrée à terre, se sent particulièrement fautive de l’embarras qu’elle a laissé paraître devant tous lors du jeu de devinette et honteuse des justes remontrances à son égard faites par Le Maître, atteint dans son égo de Dominant et d’Homme. Elle est d’autant plus attristée des propos du Dominant qu’elle voudrait pouvoir l’assurer du bonheur indicible qu’elle ressent chaque fois qu’elle se trouve en Sa présence et qu’il daigne consentir à honorer l’un de ses orifices, même si elle n’est pas toujours autorisée à atteindre l’orgasme, car le plaisir de satisfaire le Maître D/s l’emporte toujours sur son propre plaisir sexuel. Le front posé contre le sol, elle attend de savoir le sort qui lui sera réservé avec humilité et contrition.
- Tu te doutes bien que Je ne vais pas m’abaisser à te baiser de la bouche à nouveau avant de m’être assuré que tu n’es pas une vulgaire putain des rues qui est prête à sucer à la chaîne tout ce qui se présente pour peu tout au plus que l’appendice inconnu en question soit bien recouvert d’un petit chapeau, sans se préoccuper du quidam qui vient de sortir son tuyau à pomper. Je suis un Maître Dominant pas un maquereau, et tu fais partie de Mon cheptel d’esclaves MDE pas d’une maison d’abattage. Il te faut apprécier tous les plaisirs qui te sont offerts à leur juste valeur, en particulier ceux qui te sont donnés directement par le Maître en personne, que tu as choisi de ton plein gré de servir et de Vénérer de toute ton âme. Même si tu dois également te soumettre à Mes ordres lorsque je décide, si tel est Mon bon plaisir, d’offrir ton corps qui m’appartient à quelqu’un de Mes amis entre les mains de qui je te remets temporairement, tu dois toujours garder à l’esprit que c’est pour M’obéir que tu te plies à ce qui te seras imposé par délégation de pouvoir et que ton plaisir tu peux le trouver avant tout dans ta soumission absolue et ton désir de satisfaire toutes Mes exigences. Tu m’as bien compris, Ma chienne !
- Oui, Maître Vénéré, je Vous ai bien écouté et j’ai surtout compris la justesse de toutes Vos remontrances. Je suis sincèrement désolée de Vous avoir offensé et je Vous prie de bien vouloir m’en excuser en me permettant de m’améliorer. Je m’en remets à Votre infinie sagesse, Maître Vénéré, pour savoir ce qu’il convient de m’imposer pour que je puisse mieux Vous satisfaire à l’avenir, ce qui reste mon vœu le plus cher. Je Vous remercie très sincèrement de daigner m’aider à parfaire mon dressage de chienne D/s lubrique en chaleur, dont la langue et les orifices Vous appartiennent.
- Alors, debout ! Les cuisses écartées ! J’ai dit !
Aussi sec, l’esclave N°17MDE se lève, se mettant dans la position exigée, les cuisses écartées, la tête baissée, les mains derrière le dos. Penaude, les larmes ruissèlent sur son visage sans bruit. Et malgré le sincère regret qui remplit ses pensées d’avoir déplu à Celui auquel elle appartient corps et âme, elle est malgré tout très excitée du simple fait de se savoir en présence et sous le puissant regard Directif du Maître Vénéré, mais aussi de toute l’assistance captivée des autres Dominants, chacun étant très intéressé de voir comment Monsieur le Marquis d’Evans va s’y prendre pour développer les capacités sensorielles de la bouche de Sa chienne, sous couvert de correction ou de dressage à parfaire.
Le Marquis d’Evans attrape d’une main, l’un des godes qui imite à la perfection Son sexe en érection et de l’autre main, il soulève le menton de son esclave pour la forcer à croiser son regard Dominant et presque hypnotisant.
- Crois-tu que si tu n’avais pas eu les yeux bandés, Ma chienne, tu aurais mieux su reconnaître sans hésiter Mon Noble joyau de Mâle et de Maître ?
La soumise a du mal à garder les yeux ouverts, alors qu’ils sont encore pleins des larmes d’émotions qu’elle n’a pas su retenir, mais elle ne veut pas s’attirer à nouveau le mécontentement du Dominant et sans attendre, elle ajoute, bien que peu sûre d’elle et de la réponse attendue par le Maître.
- Maître Vénéré, je ne saurais Vous répondre exactement, car il me semblait, et je me trompais visiblement, que je Vous aurais reconnu entre mille, tant toutes les minutes que Vous m’avez accordées sont présentes dans ma mémoire, et en particulier celles qui m’ont apporté un plaisir physique et sensuel que je ne suis pas prête d’oublier.
- Alors regarde bien ce que j’ai en main. Cela te fait-il penser à quelque chose de précis ?
Le Châtelain montre sous toutes ses faces le phallus reconstitué en plastique, attendant une réponse immédiate cette fois.
- Oui, Maître Vénéré ! C’est une reproduction du Divin phallus en érection de Monsieur le Marquis d’Evans. Mais je vais être honnête, Maître, je ne peux pas me tromper ou hésiter cette fois puisque je Vous ai entendu exiger de Votre soubrette qu’elle ramène trois godes répliques de Vos merveilleux attributs.
- Tu oublies, Ma soumise, que j’aurai pu décider perversement de te tester une fois de plus et de chercher à t’induire en erreur en te présentant un autre gode plus basique parmi tous ceux de toutes tailles qui trainent sur les consoles dans cette pièce qui a été transformée en donjon pour profiter pleinement d’une nuitée D/s tout autant qu’orgiaque. Alors, j’espère que ta réponse vient du fait que tu as reconnu l’apparence de l’objet en question et non que tu t’es seulement fiée à ce que tes oreilles avaient entendu.
- Oui, Maître Vénéré. Pardonnez-moi cette remarque qui n’avait pas lieu d’être. Je voulais simplement, par transparence, Vous préciser ce qu’il en était et ce que j’avais entendu, non par curiosité déplacée mais simplement parce que Votre conversation était clairement audible à mon niveau, tandis que j’étais prosternée à Vos pieds.
- Une bonne esclave doit savoir se contenter d’écouter seulement les ordres qui lui sont adressés et ne pas laisser traîner ses oreilles dans des conversations auxquelles elle n’a pas été conviée. Là-dessus aussi, il te faudra t’améliorer, pour devenir celle qui sait se faire oublier par sa discrétion et son effacement lorsque Le Maître Vénéré ne la sollicite pas, et ce dans une patience infinie et une abnégation exemplaire.
- Oui, Maître.
- Ne dis plus rien à partir de maintenant ! Et concentre-toi sur ce que tu ressens, sur la forme qui va prendre possession de ton corps quand et seulement quand je l’exigerai, où et seulement où je l’exigerai, comme et seulement comme je l’exigerai. Ainsi, tu penses que ce que je tiens en mains est bien la réplique exacte de mon Divin phallus en érection. Alors, imagine que ce n’est pas un simple morceau inanimé fait de résine et de plastique, mais bien ma queue et montre-moi à quel point chaque parcelle de ton corps la désire, ainsi que tout ton esprit que tu as mis entre mes mains pour devenir Mienne.
Le Marquis d’Evans prend en main la première des trois répliques identiques en tenant l’objet phallique par les couilles, il le promène sur le ventre de Sa chienne dont la respiration ne tarde pas à s’accélérer. Puis tranquillement, il remonte vers la poitrine dont il fait plusieurs fois le tour en rond ou en 8 à la base des deux monts qui se tendent avec encore plus de fermeté, surtout lorsque la soumise gonfle sa poitrine. La chienne commence à frissonner de désirs lorsqu’elle sent le gode venir se frotter sur ses deux mamelons qui s’érigent à la rencontre de l’objet érotique. N’étant pas autorisée à manifester la montée de son plaisir sensuel par des halètements sonores non contenus, elle n’en a pas moins une respiration de plus en plus profonde qui laisse parfois échapper de petits miaulements de bien-être caractéristique chez les chiennes en chaleur qui ont la chatte déjà bien émoustillée.
Le Châtelain continue à exciter sa femelle en promenant le sex-toy sur ses joues, ses lèvres. La soumise N°17MDE déjà ardente ouvre la bouche encore plus largement comme pour avaler l’objet en gorge profonde, mais Le Maître Vénéré la laisse languir et entend bien lui faire regretter amèrement ses quelques secondes d’hésitation. Très subtilement, à plusieurs reprises IL ne fait qu’effleurer et titiller le bout de sa langue de chienne qui sort et se tend désespérément, juste avant de retirer le gode. L’esclave frissonne de plus en plus, une onde électrique lui traverse l’échine et fait creuser son dos lorsque le bout du godemichet vient se promener sur son cou, ses épaules, sa nuque et sa colonne vertébrale pour redescendre enfin vers sa raie anale qui voudrait s’élargir pour permettre à l’objet phallique de s’engouffrer dans son petit trou. Le Noble poursuit sa promenade tactile sensuelle sur le corps impudiquement offert de sa chienne en chaleur sous les yeux des autres Maîtres qui profitent du spectacle qui en d’autres lieux serait indécent, mais qui offre ici-même une vraie délectation commune qui ne se fait pas sans quelques bandaisons qui ont reprises de plus belles pour certains.
- Elle t’excite Ma Queue ! Tu n’es bien qu’une chienne en chaleur comme toutes tes sœurs de soumission MDE. A peine je te touche et déjà tu mouilles comme la femelle humide que tu es…
(A suivre …)
Monsieur le Marquis d’Evans vient d’assister à la punition des soumises qui n’avaient pas su reconnaître lors d’une fellation effectuée les yeux bandés parmi 5 sexes celui du Maître auquel chacune appartenait. Les coups de cravaches prévus comme gage pour les perdantes a peine terminés, le Châtelain a annoncé qu’il était temps pour lui de sanctionner Sa chienne-soumise N°17MDE, qui, certes, ne s’était pas vraiment trompée pour identifier le Divin pénis du Marquis d’Evans, mais qui, à Ses yeux de Dominant intransigeant, avait mis beaucoup trop de temps avant de se décider. IL avait même annoncé à tous Ses invités rassemblés autour que Sa chienne-soumise ne risquerait plus d’oublier à l’avenir, même les yeux bandés, le calibre qui allait servir à sa reprise en mains (en bouche tout du moins).
- Ma chienne, tu es bien consciente que tes hésitations ont été offensantes pour Moi, en tant que Maître Vénéré mais aussi en tant qu’Homme particulièrement bien membré. Tu me contraints comme Je viens de l’annoncer à tous à reprendre ton éducation à la fellation, en recommençant à la base ton entrainement de bonne chienne-suceuse, car il ne saurait être question que tu puisses à l’avenir avoir quelques atermoiements que ce soient lorsque tu auras Mon Noble sexe en bouche, dont tu te devais d’avoir la mémoire sensorielle de chaque millimètre carré, sauf à croire que lorsque je te donne l’occasion de profiter de Mon bâton de joie, cela ne t’intéresse pas plus que si tu avais un quelconque morceau plastique qui t’écartèle les lèvres.
La soumise N°17MDE, toujours prostrée à terre, se sent particulièrement fautive de l’embarras qu’elle a laissé paraître devant tous lors du jeu de devinette et honteuse des justes remontrances à son égard faites par Le Maître, atteint dans son égo de Dominant et d’Homme. Elle est d’autant plus attristée des propos du Dominant qu’elle voudrait pouvoir l’assurer du bonheur indicible qu’elle ressent chaque fois qu’elle se trouve en Sa présence et qu’il daigne consentir à honorer l’un de ses orifices, même si elle n’est pas toujours autorisée à atteindre l’orgasme, car le plaisir de satisfaire le Maître D/s l’emporte toujours sur son propre plaisir sexuel. Le front posé contre le sol, elle attend de savoir le sort qui lui sera réservé avec humilité et contrition.
- Tu te doutes bien que Je ne vais pas m’abaisser à te baiser de la bouche à nouveau avant de m’être assuré que tu n’es pas une vulgaire putain des rues qui est prête à sucer à la chaîne tout ce qui se présente pour peu tout au plus que l’appendice inconnu en question soit bien recouvert d’un petit chapeau, sans se préoccuper du quidam qui vient de sortir son tuyau à pomper. Je suis un Maître Dominant pas un maquereau, et tu fais partie de Mon cheptel d’esclaves MDE pas d’une maison d’abattage. Il te faut apprécier tous les plaisirs qui te sont offerts à leur juste valeur, en particulier ceux qui te sont donnés directement par le Maître en personne, que tu as choisi de ton plein gré de servir et de Vénérer de toute ton âme. Même si tu dois également te soumettre à Mes ordres lorsque je décide, si tel est Mon bon plaisir, d’offrir ton corps qui m’appartient à quelqu’un de Mes amis entre les mains de qui je te remets temporairement, tu dois toujours garder à l’esprit que c’est pour M’obéir que tu te plies à ce qui te seras imposé par délégation de pouvoir et que ton plaisir tu peux le trouver avant tout dans ta soumission absolue et ton désir de satisfaire toutes Mes exigences. Tu m’as bien compris, Ma chienne !
- Oui, Maître Vénéré, je Vous ai bien écouté et j’ai surtout compris la justesse de toutes Vos remontrances. Je suis sincèrement désolée de Vous avoir offensé et je Vous prie de bien vouloir m’en excuser en me permettant de m’améliorer. Je m’en remets à Votre infinie sagesse, Maître Vénéré, pour savoir ce qu’il convient de m’imposer pour que je puisse mieux Vous satisfaire à l’avenir, ce qui reste mon vœu le plus cher. Je Vous remercie très sincèrement de daigner m’aider à parfaire mon dressage de chienne D/s lubrique en chaleur, dont la langue et les orifices Vous appartiennent.
- Alors, debout ! Les cuisses écartées ! J’ai dit !
Aussi sec, l’esclave N°17MDE se lève, se mettant dans la position exigée, les cuisses écartées, la tête baissée, les mains derrière le dos. Penaude, les larmes ruissèlent sur son visage sans bruit. Et malgré le sincère regret qui remplit ses pensées d’avoir déplu à Celui auquel elle appartient corps et âme, elle est malgré tout très excitée du simple fait de se savoir en présence et sous le puissant regard Directif du Maître Vénéré, mais aussi de toute l’assistance captivée des autres Dominants, chacun étant très intéressé de voir comment Monsieur le Marquis d’Evans va s’y prendre pour développer les capacités sensorielles de la bouche de Sa chienne, sous couvert de correction ou de dressage à parfaire.
Le Marquis d’Evans attrape d’une main, l’un des godes qui imite à la perfection Son sexe en érection et de l’autre main, il soulève le menton de son esclave pour la forcer à croiser son regard Dominant et presque hypnotisant.
- Crois-tu que si tu n’avais pas eu les yeux bandés, Ma chienne, tu aurais mieux su reconnaître sans hésiter Mon Noble joyau de Mâle et de Maître ?
La soumise a du mal à garder les yeux ouverts, alors qu’ils sont encore pleins des larmes d’émotions qu’elle n’a pas su retenir, mais elle ne veut pas s’attirer à nouveau le mécontentement du Dominant et sans attendre, elle ajoute, bien que peu sûre d’elle et de la réponse attendue par le Maître.
- Maître Vénéré, je ne saurais Vous répondre exactement, car il me semblait, et je me trompais visiblement, que je Vous aurais reconnu entre mille, tant toutes les minutes que Vous m’avez accordées sont présentes dans ma mémoire, et en particulier celles qui m’ont apporté un plaisir physique et sensuel que je ne suis pas prête d’oublier.
- Alors regarde bien ce que j’ai en main. Cela te fait-il penser à quelque chose de précis ?
Le Châtelain montre sous toutes ses faces le phallus reconstitué en plastique, attendant une réponse immédiate cette fois.
- Oui, Maître Vénéré ! C’est une reproduction du Divin phallus en érection de Monsieur le Marquis d’Evans. Mais je vais être honnête, Maître, je ne peux pas me tromper ou hésiter cette fois puisque je Vous ai entendu exiger de Votre soubrette qu’elle ramène trois godes répliques de Vos merveilleux attributs.
- Tu oublies, Ma soumise, que j’aurai pu décider perversement de te tester une fois de plus et de chercher à t’induire en erreur en te présentant un autre gode plus basique parmi tous ceux de toutes tailles qui trainent sur les consoles dans cette pièce qui a été transformée en donjon pour profiter pleinement d’une nuitée D/s tout autant qu’orgiaque. Alors, j’espère que ta réponse vient du fait que tu as reconnu l’apparence de l’objet en question et non que tu t’es seulement fiée à ce que tes oreilles avaient entendu.
- Oui, Maître Vénéré. Pardonnez-moi cette remarque qui n’avait pas lieu d’être. Je voulais simplement, par transparence, Vous préciser ce qu’il en était et ce que j’avais entendu, non par curiosité déplacée mais simplement parce que Votre conversation était clairement audible à mon niveau, tandis que j’étais prosternée à Vos pieds.
- Une bonne esclave doit savoir se contenter d’écouter seulement les ordres qui lui sont adressés et ne pas laisser traîner ses oreilles dans des conversations auxquelles elle n’a pas été conviée. Là-dessus aussi, il te faudra t’améliorer, pour devenir celle qui sait se faire oublier par sa discrétion et son effacement lorsque Le Maître Vénéré ne la sollicite pas, et ce dans une patience infinie et une abnégation exemplaire.
- Oui, Maître.
- Ne dis plus rien à partir de maintenant ! Et concentre-toi sur ce que tu ressens, sur la forme qui va prendre possession de ton corps quand et seulement quand je l’exigerai, où et seulement où je l’exigerai, comme et seulement comme je l’exigerai. Ainsi, tu penses que ce que je tiens en mains est bien la réplique exacte de mon Divin phallus en érection. Alors, imagine que ce n’est pas un simple morceau inanimé fait de résine et de plastique, mais bien ma queue et montre-moi à quel point chaque parcelle de ton corps la désire, ainsi que tout ton esprit que tu as mis entre mes mains pour devenir Mienne.
Le Marquis d’Evans prend en main la première des trois répliques identiques en tenant l’objet phallique par les couilles, il le promène sur le ventre de Sa chienne dont la respiration ne tarde pas à s’accélérer. Puis tranquillement, il remonte vers la poitrine dont il fait plusieurs fois le tour en rond ou en 8 à la base des deux monts qui se tendent avec encore plus de fermeté, surtout lorsque la soumise gonfle sa poitrine. La chienne commence à frissonner de désirs lorsqu’elle sent le gode venir se frotter sur ses deux mamelons qui s’érigent à la rencontre de l’objet érotique. N’étant pas autorisée à manifester la montée de son plaisir sensuel par des halètements sonores non contenus, elle n’en a pas moins une respiration de plus en plus profonde qui laisse parfois échapper de petits miaulements de bien-être caractéristique chez les chiennes en chaleur qui ont la chatte déjà bien émoustillée.
Le Châtelain continue à exciter sa femelle en promenant le sex-toy sur ses joues, ses lèvres. La soumise N°17MDE déjà ardente ouvre la bouche encore plus largement comme pour avaler l’objet en gorge profonde, mais Le Maître Vénéré la laisse languir et entend bien lui faire regretter amèrement ses quelques secondes d’hésitation. Très subtilement, à plusieurs reprises IL ne fait qu’effleurer et titiller le bout de sa langue de chienne qui sort et se tend désespérément, juste avant de retirer le gode. L’esclave frissonne de plus en plus, une onde électrique lui traverse l’échine et fait creuser son dos lorsque le bout du godemichet vient se promener sur son cou, ses épaules, sa nuque et sa colonne vertébrale pour redescendre enfin vers sa raie anale qui voudrait s’élargir pour permettre à l’objet phallique de s’engouffrer dans son petit trou. Le Noble poursuit sa promenade tactile sensuelle sur le corps impudiquement offert de sa chienne en chaleur sous les yeux des autres Maîtres qui profitent du spectacle qui en d’autres lieux serait indécent, mais qui offre ici-même une vraie délectation commune qui ne se fait pas sans quelques bandaisons qui ont reprises de plus belles pour certains.
- Elle t’excite Ma Queue ! Tu n’es bien qu’une chienne en chaleur comme toutes tes sœurs de soumission MDE. A peine je te touche et déjà tu mouilles comme la femelle humide que tu es…
(A suivre …)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...