La sortie au ciné
Récit érotique écrit par JKJ33 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La sortie au ciné
Je lui avais donné rendez-vous aux Halles, avec comme consigne le port d’une tenue légère et ample, string obligatoire, et un vibromasseur dans le sac à main. Un vendredi soir à 18h aux Halles, elle se demande comment vais-je m’y prendre pour la partie de plaisir promise. Intense et rapide, lui avais-je dit, nous n’avions qu’une heure à partager ensemble. Elle est à l’heure, toujours radieuse et sexy, avec une robe cache-cœur et ces talons hauts que j’affectionne, mais elle montre aussi une certaine anxiété, voire nervosité, je vois que ce rendez-vous la travaille. Nous sommes au frais dans ce grand centre commercial et après un rapide lèche-vitrine d’une boutique de lingerie pour échanger sur nos goûts et nous émousser un peu, nous nous dirigeons vers l’UGC. Elle perçoit alors ce qui va arriver…
Je choisi le film le plus quelconque, déjà commencé, celui où une simple poignée de personnes est enregistré sur l’écran de communication. Nous faisons une halte aux toilettes, vides, tant pour un brin de toilette que pour s’embrasser fougueusement tranquillement. Ma main vérifie si la consigne est respectée… Elle est très excitée, à l’anxiété s’est succédé un avide désir sexuel, et à son tour elle me caresse la bosse du pantalon. L’option toilette est jouable, mais ce n’est qu’une solution de repli. Nous rencontrons dans notre salle obscure. Cinq ou six personnes y sont disséminées, heureusement dans la première moitié. Nous pouvons tranquillement nous installer dans le coin du fond, un hautparleur latéral pouvant couvrir nos bruits.
Naturellement ce n’est pas le film qui nous intéresse. Nous savons que nous n’avons qu’une heure, pas de temps à perdre ! Nous reprenons nos baisers et nos caresses. Sa robe n’est pas un défi pour faire ressortir ses petits seins de leur coque. Elle aime quand je les mordille. J’écarte ensuite ses cuisses et fais remonter ma main le long de sa cuisse jusqu’à la fine couche de tissu qui protège son sexe faiblement velu. Sa robe est déjà tellement remontée qu’on a l’impression qu’elle n’en porte pas. Elle ouvre grand ses cuisses, appelant sans vergogne à poursuivre mes caresses. Après de délicats touchers, j’introduis un doigt et j’accélère le mouvement. Elle halète de plaisir, la pénombre favorisant son laisser-aller. A son tour elle cherche mon sexe, le libère de son fourreau trop étroit, lui qui est si gonflé de plaisir. Nous nous masturbons réciproquement. Devinant les pensées, s’assurant encore une fois que rien ne bouge dans la salle, elle se penche vers mon sexe puissamment dressé et me prodigue une superbe fellation. Lentement, y mettant de la salive son va-et-vient est tellement bon. De ma main je régule la cadence en lui serrant la tête. Va-t-elle me sucer jusqu’au bout ? exploser dans sa bouche est un de mes fantasmes mais je veux aussi la pénétrer. Alors au bord de l’extase, je l’arrête et lui demande son jouet intime.
Elle me sort un vibro-finger, sobre et élégant pourrait on dire. Elle me dit alors sa crainte de l’avoir gardé dans son sac toute la journée, mais aussi l’excitation de l’avoir près d’elle et savoir qu’elle s’en servira dans la soirée. Cela l’a tellement excité qu’elle a dû aller dans les toilettes en fin de matinée pour calmer un peu ses ardeurs qui l’empêcher de se concentrer... J’aime quand elle est féline et coquine, quand elle anticipe le plaisir à venir. Je n’ai ainsi aucun mal à la pénétrer avec tellement elle mouille. Le rythme électrique et mon va-et-vient ont vite fait de la faire jouir. Elle se retient pour ne pas faire de bruit et me montre un beau sourire de femme épanouie. Une fois remise, sans parler, je lui prends la tête et la dirige vers mon sexe qui a de nouveau envie de sa bouche. Je sais qu’elle aime être dominée alors je ne me gêne pas. Puis, je la relève et je l’invite à s’enfourcher sur mon sexe raide. Face au film, se tenant sur le dossier du siège avant, elle fait travailler ses abdo par des mouvements verticaux. Mes mains lui serrent la taille et impose le tempo. Ce n’est surement pas la position la plus confortable mais la situation est si excitante ! Le frottement rugueux de mon sexe avec le string amplifie mon plaisir. Je ne veux aller trop vite mais je n’arrive plus à me retenir et je décharge trop rapidement en elle. Elle peut enfin s’assoir sur moi tandis que mains prennent alors possessions de ses seins. Nous sommes en sueurs, le foutre coule, c’est sale mais c’est si bon ! quelques kleenex et nous quittons vite la salle pour les toilettes terminer la remise en état de nos corps.
Rapide mais intense comme promis, cette séance de ciné restera dans nos mémoires. Pas sûr d’être bien concentré lors de la prochaine séance en famille !
Je choisi le film le plus quelconque, déjà commencé, celui où une simple poignée de personnes est enregistré sur l’écran de communication. Nous faisons une halte aux toilettes, vides, tant pour un brin de toilette que pour s’embrasser fougueusement tranquillement. Ma main vérifie si la consigne est respectée… Elle est très excitée, à l’anxiété s’est succédé un avide désir sexuel, et à son tour elle me caresse la bosse du pantalon. L’option toilette est jouable, mais ce n’est qu’une solution de repli. Nous rencontrons dans notre salle obscure. Cinq ou six personnes y sont disséminées, heureusement dans la première moitié. Nous pouvons tranquillement nous installer dans le coin du fond, un hautparleur latéral pouvant couvrir nos bruits.
Naturellement ce n’est pas le film qui nous intéresse. Nous savons que nous n’avons qu’une heure, pas de temps à perdre ! Nous reprenons nos baisers et nos caresses. Sa robe n’est pas un défi pour faire ressortir ses petits seins de leur coque. Elle aime quand je les mordille. J’écarte ensuite ses cuisses et fais remonter ma main le long de sa cuisse jusqu’à la fine couche de tissu qui protège son sexe faiblement velu. Sa robe est déjà tellement remontée qu’on a l’impression qu’elle n’en porte pas. Elle ouvre grand ses cuisses, appelant sans vergogne à poursuivre mes caresses. Après de délicats touchers, j’introduis un doigt et j’accélère le mouvement. Elle halète de plaisir, la pénombre favorisant son laisser-aller. A son tour elle cherche mon sexe, le libère de son fourreau trop étroit, lui qui est si gonflé de plaisir. Nous nous masturbons réciproquement. Devinant les pensées, s’assurant encore une fois que rien ne bouge dans la salle, elle se penche vers mon sexe puissamment dressé et me prodigue une superbe fellation. Lentement, y mettant de la salive son va-et-vient est tellement bon. De ma main je régule la cadence en lui serrant la tête. Va-t-elle me sucer jusqu’au bout ? exploser dans sa bouche est un de mes fantasmes mais je veux aussi la pénétrer. Alors au bord de l’extase, je l’arrête et lui demande son jouet intime.
Elle me sort un vibro-finger, sobre et élégant pourrait on dire. Elle me dit alors sa crainte de l’avoir gardé dans son sac toute la journée, mais aussi l’excitation de l’avoir près d’elle et savoir qu’elle s’en servira dans la soirée. Cela l’a tellement excité qu’elle a dû aller dans les toilettes en fin de matinée pour calmer un peu ses ardeurs qui l’empêcher de se concentrer... J’aime quand elle est féline et coquine, quand elle anticipe le plaisir à venir. Je n’ai ainsi aucun mal à la pénétrer avec tellement elle mouille. Le rythme électrique et mon va-et-vient ont vite fait de la faire jouir. Elle se retient pour ne pas faire de bruit et me montre un beau sourire de femme épanouie. Une fois remise, sans parler, je lui prends la tête et la dirige vers mon sexe qui a de nouveau envie de sa bouche. Je sais qu’elle aime être dominée alors je ne me gêne pas. Puis, je la relève et je l’invite à s’enfourcher sur mon sexe raide. Face au film, se tenant sur le dossier du siège avant, elle fait travailler ses abdo par des mouvements verticaux. Mes mains lui serrent la taille et impose le tempo. Ce n’est surement pas la position la plus confortable mais la situation est si excitante ! Le frottement rugueux de mon sexe avec le string amplifie mon plaisir. Je ne veux aller trop vite mais je n’arrive plus à me retenir et je décharge trop rapidement en elle. Elle peut enfin s’assoir sur moi tandis que mains prennent alors possessions de ses seins. Nous sommes en sueurs, le foutre coule, c’est sale mais c’est si bon ! quelques kleenex et nous quittons vite la salle pour les toilettes terminer la remise en état de nos corps.
Rapide mais intense comme promis, cette séance de ciné restera dans nos mémoires. Pas sûr d’être bien concentré lors de la prochaine séance en famille !
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Beau récit qui me rappelle des souvenirs dommage les cinémas porno n'existe plu j'ai 69 Ans maintenant et j'ai passé des séances inoubliables
Je suis mariée mais en manque de Sexe
Je te laisse mon adresse mail au cas où ....
Annie
Je suis mariée mais en manque de Sexe
Je te laisse mon adresse mail au cas où ....
Annie
Beau souvenir en effet💦. Mais Je ne sais pas si j irais au cinéma avec toi puisque tu l as déjà fait. j aime être différente Amusons nous autrement ...💋
Liberté6433 🔥😈
Liberté6433 🔥😈