La sortie des écoles 4 - histoire érotique

De retour à la brasserie
J’étais habillée en bourgeoise salope.
Jupe plissée mi cuisses, chemisier blanc moulant, talons hauts, veste et imperméable.
J’avais choisi la jupe plissée courte pour les exciter et pouvoir me faire ploter un peu plus chaudement que la dernière fois, surtout à l’intérieur des cuisses.
Je suis arrivée lorsqu’il y avait beaucoup de monde et aucune place de libre.
J’ai bien vu qu’ils m’avaient aperçue. Je faisais celle qui regardait tout le monde sans les avoir identifiés.
J’ai mis quelques secondes avant de leur répondre, juste au moment où Nicolas s’est levé pour venir me chercher et m’inviter à leur table.
Il s’est approché de moi pour me faire la bise, je l’ai laissé faire, il était tout content. Ils se sont levés pour que je puisse m’assoir en extrémité de table.
J’ai bien vu en arrivant qu’ils me dévoraient des yeux.
Nous avons discuté, ils m’ont dit « vous nous avez manqué » « c’était beaucoup moins agréable sans vous » « pour fêter votre retour, nous allons vous inviter à déjeuner »
Moi « vous êtes adorable, mais vous n’allez pas m’inviter » pour calmer les ardeurs.
Et de rajouter « c’est déjà gentil de me permettre de m’installer à votre table, sinon je serais debout ou sur un tabouret »
Nicolas « nous n’allons pas laisser une jolie femme comme vous debout ou sur un tabouret »
Moi « il y a beaucoup de jolies jeunes filles autour de vous, regardez bien et en plus elles sont dans vos ages, pas moi »
Mes mots les ont un peu calmés.
Nous avons déjeuné, je faisais ma Pim bèche.
Jusqu’au moment, où je sentis une main sur mon genoux coté Nicolas. J’avais les jambes croisées et serrées, je n’ai pas hésité à les décroiser et les entre ouvrir pour lui laisser plus de latitude. La jupe plissée facilite les choses.
Après les genoux, il m’a remonté les cuisses sur l’extérieur, avec son doigt sur mes bas en repoussant ma jupe plissée, lorsque son doigt est arrivé en haut des bas, il a esquissé un sourire en me regardant. J’ai retiré ma chaussure pour la poser sur ses mollets pour l’encourager à continuer.
Revenu sur mes genoux, sa main à remonter ma cuisse, mais plus à l’intérieur, je lui facilitais les choses en écartant un peu plus mes cuisses, ses doigts sont arrivés en haut de mes bas, il a stoppé la progressions et doucement, un doigt plus un autre sont arrivés directement sur ma cuisse, il n’était plus qu’à quelques centimètres de mon string qui était trempé.
Je faisais mine de rien, même si cela me faisait beaucoup d’effet.
Il atteint enfin la dentelle de mon string et commença à me caresser à travers. J’avais chaud et ma respiration s’accélérait. Je me contenais du mieux possible. Je faisais celle qui buvait.
Les choses s’accentuèrent lorsque Hugo s’y est mis aussi, il me caressa le genoux de son coté, surement un peu surpris que je n’ai pas les jambes serrée, il remonta ma cuisses extérieure en repoussant ma jupe pour redescendre et revenir par l’intérieur. Il s’arrêta lorsqu’il sentit les doigts de Nicolas.
Leurs doigts se touchaient en passant sur le haut de mes cuisses et sur le devant de mon string.
J’essayais de me contrôler en faisant comme si tout était normal.
Je remontais les chevilles de Nicolas avec mon pied.
J’avais envie de me faire besogner à la chaine sur la table.
Ils devaient avoir l’habitude car leurs mouvement étaient coordonnés.
Hugo pinçait entre ses deux doigts l’avant de mon string, pendant que Nicolas essayait de la pousser pour atteindre mon intimité.
En 3 ou 4 manœuvres de ce style, Nicolas réussit à passer ses doigts derrière le tissus de mon string.
Il avait alors un accès directe à mon intimité. Il passa ses doigts en cherchant mon clitoris
La discussion se poursuivait normalement. Il ne fallait pas que je fasse mine de quoique ce soit.
Pourtant j’avais envie d’exploser.
Les yeux de tous étaient souvent braqués sur moi.
Nicolas a atteint mon clitoris assez rapidement, il a pu se rendre compte que j’étais trempée.
Il commença à le caresser, j’avais des bouffés de chaleur. Je me contenais le plus possible.
Je faisais celle qui buvait en mettant mon nez dans le verre en faisant semblant de boire
Il accentua les caresses, il le triturait dans tous les sens. Je sentais monter le plaisir et surtout l’orgasme.
Il arriva d’un coup, j’ai pu continuer à mettre le nez dans mon verre pour le masquer au maximum. Je dégoulinais.
Ses doigts pressèrent jusqu’à atteindre l’entrée de mon vagin. Il n’hésita pas une seconde pour me doigter. Je respirais fort.
Julien, Adrien et Jef se sont levés « il faut qu’on y aille »
Nicolas « bon courage »
Je me retrouvais à table avec Hugo et Nicolas.
Ils me prirent chacun une jambe pour les écarter et les poser sur les leurs.
J’étais dans une brasserie assise en extrémité de table avec deux jeunes les cuisses complètement ouvertes.
Ils n’hésitèrent pas à s’empresser de me caresser. Ils passèrent leur doigts sous le tissus de mon string pour me caresser et me doigter, leurs doigts se mélangeaient. J’ai joui assez rapidement en me contenant.
Nicolas a libéré mon intimité en redescendant ma main pour la remonter sur l’extérieur de ma cuisse jusqu’à mon string, il tire dessus légèrement en me disant à l’oreille « vous seriez mieux sans »
Moi « oui peut être »
Ils me resserrent les jambes
Il commença à tirer sur le haut de mon string pour le retirer.
Nicolas « penchez vous sur Hugo »
Je me soulevais pour lui faciliter les choses en me penchant vers Hugo et en écartant légèrement les cuisses pour le dégager.
Il était trempé à l’entre jambes
Hugo fit la même chose à son tour en disant « penchez vous sur Nicolas ».
Mon string descendit d’un coup pour se retrouver au milieu de mes cuisses, d’un tour de main, il tomba sur mes chaussures. Nicolas se pencha pour le récupérer et le mettre dans sa poche « je vais le garder »
Hugo s’est rapproché en me disant « vous êtes plus à l’aise »
Ils me réécartèrent les cuisses
Hugo me doigtait, j’étais en trans.
Nicolas me caressait le clitoris qui était dur comme de la pierre
Leur doigt se mélangeaient sur mon intimité.
J’ai eu un orgasme dévastateur qui m’a retourné la tête, je transpirais avec une respiration rapide
Hugo « Vous comptez aller travailler Helen, cet après-midi »
Moi avec une voix de catin « ça va dépendre de vous » tout en me contenant pour ne pas exploser.
A suivre