La sortie des écoles

Récit érotique écrit par Helenclass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 64 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Helenclass ont reçu un total de 723 926 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 2 698 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La sortie des écoles
J’avais repéré en passant en bus qu’il y avait un établissement scolaire avec des élèves qui étaient d’un âge baisable pour une salope de mon espèce.
Je suis passée à plusieurs reprises devant, il y avait de quoi faire.
Je finis par faire une recherche sur le net pour connaitre les cursus proposés.
J’ai découvert que c’était un établissement qui était un lycée faisant aussi des classes préparatoires, donc au delà du Bac.
Pour moi, je trouvais la situation favorable pour me taper du petits jeunes.
Je fis mes repérages en situant leur point de ralliement, qui était comme souvent une brasserie.
Un jour en pleine semaine et pas un mercredi je décidais d’aller me prendre un café en m’installant à une table un peu avant le sortie des cours pour pouvoir choisir une place stratégique.
Pour l’occasion j’avais mis de fausse lunettes de vue pour pouvoir regarder sans me faire remarquer.
Ils arrivèrent peu après la fin des cours de la matinée
Il y avait de très jeunes, et des plus affirmés.
Je reluquais ce qui m’excitait et me faisait mouiller comme une chienne en manque.
Ils s’installaient principalement sur les banquettes où ils pouvaient être plus nombreux.
Il y en avait qui me plaisaient et certains qui me regardaient aussi. Je faisais ma chochotte.
Pour cette première approche, je décidais de partir en me levant et m’habillant pour que l’on puisse me voir tout en matant en gratifiant ceux qui me regardaient d’un joli sourire.
Je suis revenue à plusieurs reprises pour voir les habitués et surtout faire un peu de prospection, même le mercredi. J’ai été surprise, il y avait plus d’étudiant que je croyais
J’en ai vu qui me plaisaient bien.
Je les gratifiais d’un sourire avenant.
J’attendais qu’il y en ai qui m’aborde.
J’y suis retourné à plusieurs reprises à des jours différents pour voir quels étaient les jours où il y en avait le plus.
Je regardais avec insistance ceux qui me plaisaient le plus.
Il y avait des élèves plus agés qui devaient être en classe préparatoire.
Je voyais bien qu’il y en avait qui me dévoraient des yeux, je ne faisais rien pour les décourager. Ils avaient droit à de larges sourires, des regards de chienne en coin, des attitudes lassives pour mettre en valeur mon corps. Je faisais aussi celle qui réfléchissait avec un crayon dans la bouche.
Je mettais aussi parfois des jupes ou robes un peu plus courtes, pour les exciter encore plus.
Avec mes différentes venues, j’avais établi un contact visuel, avec certains qui permettait d’esquisser des petit bonjour de la main. Je voyais bien qu’ils parlaient de moi et me mattaient.
En sortant, il y en a un qui est venu m‘aborder dans la rue.
« Bonjour, excusez moi de vous aborder, mais je vous trouve ravissante et je souhaiterai vous inviter à prendre un café »
Moi faisant la Pimbêche « Bonjour, jeune homme, c’est un peu dérangeant de me faire aborder dans la rue de la sorte »
Lui « nous n’osions pas vous déranger à la brasserie devant tout le monde »
Moi « oui ça aurait été plus gênant , effectivement »
Lui « c’est pour cette raison que je ne l’ai pas fait et que je me le suis permis à l’extérieur »
Moi avec un regard de chienne « vous êtes gentil »
Lui « auriez vous le temps de prendre un café avec moi, pas dans cette brasserie »
Moi en regardant ma montre « je ne connais même pas votre prénom et en plus je n’ai plus le temps »
Lui « mon prénom est Nicolas »
Moi en posant ma main sur son bras « écoutez Nicolas, ce sera pour une prochaine fois, car il faut que j’y aille, je ne suis pas étudiante, je travaille moi »
Lui « vous ne m’avez pas donné votre prénom »
Moi « ah, je serai l’inconnu de la brasserie » « bon après midi »
Je me suis retournée et ai repris mon chemin en le plantant en pleine rue.
J’étais trempée, j’avais envie de me faire baisser comme une chienne.
J’ai pensé tout l’après midi à me faire baiser, je n’ai rien fait de productif.
Je ne suis pas retournée à la brasserie pendant deux semaines, afin de le ou les faire patienter un peu.
Je suis passée à plusieurs reprises devant, il y avait de quoi faire.
Je finis par faire une recherche sur le net pour connaitre les cursus proposés.
J’ai découvert que c’était un établissement qui était un lycée faisant aussi des classes préparatoires, donc au delà du Bac.
Pour moi, je trouvais la situation favorable pour me taper du petits jeunes.
Je fis mes repérages en situant leur point de ralliement, qui était comme souvent une brasserie.
Un jour en pleine semaine et pas un mercredi je décidais d’aller me prendre un café en m’installant à une table un peu avant le sortie des cours pour pouvoir choisir une place stratégique.
Pour l’occasion j’avais mis de fausse lunettes de vue pour pouvoir regarder sans me faire remarquer.
Ils arrivèrent peu après la fin des cours de la matinée
Il y avait de très jeunes, et des plus affirmés.
Je reluquais ce qui m’excitait et me faisait mouiller comme une chienne en manque.
Ils s’installaient principalement sur les banquettes où ils pouvaient être plus nombreux.
Il y en avait qui me plaisaient et certains qui me regardaient aussi. Je faisais ma chochotte.
Pour cette première approche, je décidais de partir en me levant et m’habillant pour que l’on puisse me voir tout en matant en gratifiant ceux qui me regardaient d’un joli sourire.
Je suis revenue à plusieurs reprises pour voir les habitués et surtout faire un peu de prospection, même le mercredi. J’ai été surprise, il y avait plus d’étudiant que je croyais
J’en ai vu qui me plaisaient bien.
Je les gratifiais d’un sourire avenant.
J’attendais qu’il y en ai qui m’aborde.
J’y suis retourné à plusieurs reprises à des jours différents pour voir quels étaient les jours où il y en avait le plus.
Je regardais avec insistance ceux qui me plaisaient le plus.
Il y avait des élèves plus agés qui devaient être en classe préparatoire.
Je voyais bien qu’il y en avait qui me dévoraient des yeux, je ne faisais rien pour les décourager. Ils avaient droit à de larges sourires, des regards de chienne en coin, des attitudes lassives pour mettre en valeur mon corps. Je faisais aussi celle qui réfléchissait avec un crayon dans la bouche.
Je mettais aussi parfois des jupes ou robes un peu plus courtes, pour les exciter encore plus.
Avec mes différentes venues, j’avais établi un contact visuel, avec certains qui permettait d’esquisser des petit bonjour de la main. Je voyais bien qu’ils parlaient de moi et me mattaient.
En sortant, il y en a un qui est venu m‘aborder dans la rue.
« Bonjour, excusez moi de vous aborder, mais je vous trouve ravissante et je souhaiterai vous inviter à prendre un café »
Moi faisant la Pimbêche « Bonjour, jeune homme, c’est un peu dérangeant de me faire aborder dans la rue de la sorte »
Lui « nous n’osions pas vous déranger à la brasserie devant tout le monde »
Moi « oui ça aurait été plus gênant , effectivement »
Lui « c’est pour cette raison que je ne l’ai pas fait et que je me le suis permis à l’extérieur »
Moi avec un regard de chienne « vous êtes gentil »
Lui « auriez vous le temps de prendre un café avec moi, pas dans cette brasserie »
Moi en regardant ma montre « je ne connais même pas votre prénom et en plus je n’ai plus le temps »
Lui « mon prénom est Nicolas »
Moi en posant ma main sur son bras « écoutez Nicolas, ce sera pour une prochaine fois, car il faut que j’y aille, je ne suis pas étudiante, je travaille moi »
Lui « vous ne m’avez pas donné votre prénom »
Moi « ah, je serai l’inconnu de la brasserie » « bon après midi »
Je me suis retournée et ai repris mon chemin en le plantant en pleine rue.
J’étais trempée, j’avais envie de me faire baisser comme une chienne.
J’ai pensé tout l’après midi à me faire baiser, je n’ai rien fait de productif.
Je ne suis pas retournée à la brasserie pendant deux semaines, afin de le ou les faire patienter un peu.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Helenclass
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le récit d'une chasseresse!
Beau début à voir la suite Daniel
Cringe

