La Soumission à ma Déesse (Esther,II)
Récit érotique écrit par X [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2010 dans la catégorie Fétichisme
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La Soumission à ma Déesse (Esther,II)
Mon cœur battait à 100 à l'heure. Je me trouvais dans une salle de cinéma en attendant le démarrage du film. A côté de moi, Esther, qui m'avait demandé de l'y accompagner. Bien entendu, je n'avais pas pu refuser. Le souvenir de la veille était encore fortement ancré dans ma mémoire, et j'espérais pouvoir revivre cette expérience si intense.
Arrivés en avance, nous avions pu nous installer à l’arrière de la salle.
Ma gorge était nouée par la présence d'Esther à côté de moi et j'aurais été bien en peine d'entamer la conversation.
« Tu ne m’as pas dit correctement bonjour ce matin… » Commença-t-elle d’un air espiègle. Puis de ce fameux regard auquel je ne pouvais résister, elle me fit comprendre ce qu’elle voulait dire. Ses yeux se fixèrent successivement sur moi puis sur ses pieds.
La salle était encore éclairée, et même si nous n’avions pas de voisins directs et étions relativement cachés, on pouvait nous voir. Étais-je prêt à faire ça ? A la piscine, les gens ne m’avaient sans doute pas remarqué, occupé à nager. Mais là c’était complètement différent : ils s’ennuyaient en attendant le début du film.
Esther me regardait en souriant, consciente de mon dilemme. C’était visiblement un test pour voir jusqu’où j’irais.
Je ne voulais pas la décevoir, et faisant mine de ramasser quelque chose sous le siège devant moi, je me mis sur un genou et me penchai. Mon bras gauche tendu vers l’avant dissimulait en partie mon visage, ce qui me permit de déposer mes lèvres sur son pied en partie découvert par ses tongs.
Ce simple baiser avait suffi à réveiller mes passions. L’expression malicieuse de son visage quand je me relevai me stimula encore plus.
Quelques instants plus tard, le film débuta et les lumières s’éteignirent. Je pouvais sentir la jambe dénudée d'Esther reposer contre la mienne.
Mon cœur s'emballait tandis qu’elle la remontait et descendait contre la mienne. Elle prolongea ce mouvement pendant quelques minutes, entretenant mon excitation.
Puis, je la vis croiser ses jambes. Je vis l’ombre de ses cuisses se profiler tandis qu'elle remuait ses jambes. Malgré la quasi-obscurité de la salle, je pouvais distinguer les contours de son pied droit presque en face de moi. Une faible lueur provenant de l’écran l’éclairait faiblement, laissant certaines formes dans l‘ombre que je ne pouvais que deviner. Son pied se mouvait de temps en temps, comme s’il voulait s’assurer que je le regardais. Le tout, irréel et mystérieux, dégageait une profonde sensualité.
J’étais incapable de détacher mes yeux de ce spectacle, et, sans l’obscurité, mon excitation aurait été visible.
Je la vis alors prendre ma main avec la sienne, pour la poser sur son pied. Ce contact me fit frissonner, d’excitation d’une part, et parce qu’il était froid d’autre part. Je laissais courir mes doigts sur son pied, le caressant des chevilles aux orteils. Je posai ensuite mon autre main pour masser délicatement son pied.
Soudain, elle m’arrêta, se pencha vers moi et me murmura à l‘oreille : « Tu sens comme il est froid ? Je veux que tu le réchauffes. ». D’une voix envoûtante, elle ajouta : « Agenouille-toi…devant moi ».
Je ne réfléchis pas une seconde avant de faire ce qu’elle me disait.
« Retire mes tongs maintenant. Avec ta bouche. »
Je me prosternai donc au sol pour attraper la bride avec mes dents et j’essayai de la tirer. Pendant un moment, elle s’amusa à maintenir un pied au sol pour me voir lutter en vain pendant qu’avec l’autre elle appuyait sur ma tête pour la maintenir coincée entre ses pieds. Je restais donc impuissant et incapable de bouger tandis qu'elle me dominait. C'était une sensation si agréable.
Un peu après elle me laissa lui retirer ses tongs.
Elle passa ensuite ses pieds sur mon visage chaud, les fit descendre au niveau de mon nez qu’elle attrapa avec ses orteils, puis vers mes lèvres. Elle les amena finalement sur mon torse. Puis, d'un doigt elle désigna le sol sous elle et je me glissai carrément sous son siège, pour lui offrir plus de confort. Esther sembla apprécier sa position dominante et fit glisser un pied vers mon entrejambe qu’elle caressa. Mon excitation était à son comble, et j’étais sur le point de jouir.
Mais elle devait s’en douter, car elle retira bientôt son pied de cette partie de mon corps. Ce qui ne l’empêcha pas, de temps en temps, d’appuyer sur mon sexe avec son pied pour entretenir mon excitation. De cette façon, elle me maintenait dans un état d’euphorie permanent.
A ma grande consternation, elle retira ses pieds de mon corps sans crier gare.
Alors que j’allais protester, elle plaqua un pied sur ma bouche pour m’empêcher de parler, et mit l’autre sous mon nez, me bouchant presque les narines. Je respirais l’odeur divine de ses pieds, qu’elle retirait de temps en temps pour que j’ai assez d’air.
Elle se pencha soudain vers moi et me demanda « Tu sais où mes pieds auraient encore plus chaud ? »
Elle me boucha complètement le nez avec un pied, ce qui m’obligea à ouvrir la bouche pour respirer. Avec un petit rire, car elle avait anticipé ma réaction, elle glissa son pied droit dans ma bouche.
« Suce mes orteils ».
Je ne me fis pas prier pour les déguster. Je saisis délicatement son pied avec mes mains et je mis chacun des orteils dans ma bouche un par un, en les suçant avidement. Ils étaient doux et avaient un goût exquis. Je ne résistai pas au plaisir de les embrasser tous tour à tour. Puis j’embrassai avidement la plante de ses pieds. Je passais mes lèvres contre ses orteils et prenais plaisir à sentir leur contact doux.
Esther me laissa jouer avec ses pieds pendant un long moment.
Je ne m’étais pas rendu compte du temps qui passait mais j’entendis soudain la musique de fin du film. Un peu paniqué à l’idée qu’on puisse me voir, j’essayai de me relever. Mais Esther ne me laissa pas faire et coinça mon visage sous ses pieds. Elle se contenta d’attendre que les gens partent, ses pieds dissimulant mon visage. Le risque d’être surpris stimula encore plus mon excitation, qui était désormais à son apogée. Si certains levèrent les sourcils, aucun ne fit de commentaire. C’est seulement quand la salle fut vidée qu’elle me laissa me dégager, après avoir effleuré ses pieds contre mon visage.
Elle me remercia et me serra affectueusement contre elle. Ma tête reposait contre ses seins. Je me sentais merveilleusement bien dans cette position, mais il nous fallut couper court à cette étreinte, car de nouveaux spectateurs allaient arriver.
En sortant, il faisait presque nuit. Je me rendis alors compte que le temps avait passé plus vite que je ne l’avais cru. Je ne m’étais même pas renseigné sur l’heure de fin du film dans mon excitation à passer un moment avec Esther. Et il s’avéra que je n’avais plus de bus pour rentrer chez moi.
Esther était à côté de moi quand je m’en rendis compte. Elle n’eut pas l’air surprise. Quelques semaines plus tard, je devais encore me demander à quel point elle avait planifié cette soirée.
Savait-elle qu’en allant au cinéma avec elle, je serai privé de moyens de retour ?
La proposition qu‘elle me fit alors, aussi idéale qu’inespérée, pouvait en tous cas me le laisser penser.
« Tu sais, ma famille n’est pas là ce soir…Tu veux venir ? »
Je restai bouche bée. Venait-elle vraiment de m’inviter à passer la nuit chez elle ?
Mon expression dut parler pour moi car elle me tira par le coude en riant.
« Allez, viens, je sais que tu en meures d’envie. »
Puis, m’arrêtant et caressant mon visage avec sa main, elle ajouta : « Mais il y a quand même deux conditions. »
D’une pression douce sur mon menton, elle me releva la tête pour s‘assurer que je la regardais bien. Elle me dit alors, de sa voix envoûtante : « D‘abord, je veux que tu t’agenouilles devant moi, ici et maintenant, et que tu embrasses mes pieds. »
Devant toute autre fille, dans un endroit aussi peu intime, je crois que j’aurais été capable de résister à l’attrait d’une telle proposition. Mais la beauté d’Esther me confondait. Tout dans son attitude me rendait fou. Sa tenue légère dévoilant ses courbes gracieuses, le parfum de ses cheveux, sa voix suave, le contact doux de sa main sur mon visage. Et surtout ses yeux. Qui étais-je pour y résister ? Ils annihilaient toute ma résistance et me laissaient désemparé. J’avais l’impression qu’ils pouvaient lire au plus profond de moi et devinaient tous mes désirs, mieux que moi-même je ne les connaissais.
Je perdis le contrôle de mon esprit. Ou plutôt, c’est comme si une autre partie de ma conscience avait pris le relais, celle de mes désirs. Et celle-là, elle ne se souciait pas du monde qui l’entourait. La raison lui était inconnue, elle agissait simplement selon ses envies.
Et tout ce que je sais, c’est qu’à ce moment-là, je ne réfléchis pas une seconde avant de m’agenouiller devant elle, de me pencher et d’embrasser ses pieds.
Je demeurai dans cette position, toujours troublé, mes lèvres frôlant ses pieds.
Ce fut finalement elle qui me releva et, malgré le brouillard encore régnant dans mon esprit, je l’entendis prononcer ces quelques mots : « la seconde, c’est que chez moi, tu devras te plier à tous mes désirs… ».
Je ne répondis pas, et elle n’ajouta rien. Après ce qui venait de se passer, elle connaissait ma réponse…
Arrivés en avance, nous avions pu nous installer à l’arrière de la salle.
Ma gorge était nouée par la présence d'Esther à côté de moi et j'aurais été bien en peine d'entamer la conversation.
« Tu ne m’as pas dit correctement bonjour ce matin… » Commença-t-elle d’un air espiègle. Puis de ce fameux regard auquel je ne pouvais résister, elle me fit comprendre ce qu’elle voulait dire. Ses yeux se fixèrent successivement sur moi puis sur ses pieds.
La salle était encore éclairée, et même si nous n’avions pas de voisins directs et étions relativement cachés, on pouvait nous voir. Étais-je prêt à faire ça ? A la piscine, les gens ne m’avaient sans doute pas remarqué, occupé à nager. Mais là c’était complètement différent : ils s’ennuyaient en attendant le début du film.
Esther me regardait en souriant, consciente de mon dilemme. C’était visiblement un test pour voir jusqu’où j’irais.
Je ne voulais pas la décevoir, et faisant mine de ramasser quelque chose sous le siège devant moi, je me mis sur un genou et me penchai. Mon bras gauche tendu vers l’avant dissimulait en partie mon visage, ce qui me permit de déposer mes lèvres sur son pied en partie découvert par ses tongs.
Ce simple baiser avait suffi à réveiller mes passions. L’expression malicieuse de son visage quand je me relevai me stimula encore plus.
Quelques instants plus tard, le film débuta et les lumières s’éteignirent. Je pouvais sentir la jambe dénudée d'Esther reposer contre la mienne.
Mon cœur s'emballait tandis qu’elle la remontait et descendait contre la mienne. Elle prolongea ce mouvement pendant quelques minutes, entretenant mon excitation.
Puis, je la vis croiser ses jambes. Je vis l’ombre de ses cuisses se profiler tandis qu'elle remuait ses jambes. Malgré la quasi-obscurité de la salle, je pouvais distinguer les contours de son pied droit presque en face de moi. Une faible lueur provenant de l’écran l’éclairait faiblement, laissant certaines formes dans l‘ombre que je ne pouvais que deviner. Son pied se mouvait de temps en temps, comme s’il voulait s’assurer que je le regardais. Le tout, irréel et mystérieux, dégageait une profonde sensualité.
J’étais incapable de détacher mes yeux de ce spectacle, et, sans l’obscurité, mon excitation aurait été visible.
Je la vis alors prendre ma main avec la sienne, pour la poser sur son pied. Ce contact me fit frissonner, d’excitation d’une part, et parce qu’il était froid d’autre part. Je laissais courir mes doigts sur son pied, le caressant des chevilles aux orteils. Je posai ensuite mon autre main pour masser délicatement son pied.
Soudain, elle m’arrêta, se pencha vers moi et me murmura à l‘oreille : « Tu sens comme il est froid ? Je veux que tu le réchauffes. ». D’une voix envoûtante, elle ajouta : « Agenouille-toi…devant moi ».
Je ne réfléchis pas une seconde avant de faire ce qu’elle me disait.
« Retire mes tongs maintenant. Avec ta bouche. »
Je me prosternai donc au sol pour attraper la bride avec mes dents et j’essayai de la tirer. Pendant un moment, elle s’amusa à maintenir un pied au sol pour me voir lutter en vain pendant qu’avec l’autre elle appuyait sur ma tête pour la maintenir coincée entre ses pieds. Je restais donc impuissant et incapable de bouger tandis qu'elle me dominait. C'était une sensation si agréable.
Un peu après elle me laissa lui retirer ses tongs.
Elle passa ensuite ses pieds sur mon visage chaud, les fit descendre au niveau de mon nez qu’elle attrapa avec ses orteils, puis vers mes lèvres. Elle les amena finalement sur mon torse. Puis, d'un doigt elle désigna le sol sous elle et je me glissai carrément sous son siège, pour lui offrir plus de confort. Esther sembla apprécier sa position dominante et fit glisser un pied vers mon entrejambe qu’elle caressa. Mon excitation était à son comble, et j’étais sur le point de jouir.
Mais elle devait s’en douter, car elle retira bientôt son pied de cette partie de mon corps. Ce qui ne l’empêcha pas, de temps en temps, d’appuyer sur mon sexe avec son pied pour entretenir mon excitation. De cette façon, elle me maintenait dans un état d’euphorie permanent.
A ma grande consternation, elle retira ses pieds de mon corps sans crier gare.
Alors que j’allais protester, elle plaqua un pied sur ma bouche pour m’empêcher de parler, et mit l’autre sous mon nez, me bouchant presque les narines. Je respirais l’odeur divine de ses pieds, qu’elle retirait de temps en temps pour que j’ai assez d’air.
Elle se pencha soudain vers moi et me demanda « Tu sais où mes pieds auraient encore plus chaud ? »
Elle me boucha complètement le nez avec un pied, ce qui m’obligea à ouvrir la bouche pour respirer. Avec un petit rire, car elle avait anticipé ma réaction, elle glissa son pied droit dans ma bouche.
« Suce mes orteils ».
Je ne me fis pas prier pour les déguster. Je saisis délicatement son pied avec mes mains et je mis chacun des orteils dans ma bouche un par un, en les suçant avidement. Ils étaient doux et avaient un goût exquis. Je ne résistai pas au plaisir de les embrasser tous tour à tour. Puis j’embrassai avidement la plante de ses pieds. Je passais mes lèvres contre ses orteils et prenais plaisir à sentir leur contact doux.
Esther me laissa jouer avec ses pieds pendant un long moment.
Je ne m’étais pas rendu compte du temps qui passait mais j’entendis soudain la musique de fin du film. Un peu paniqué à l’idée qu’on puisse me voir, j’essayai de me relever. Mais Esther ne me laissa pas faire et coinça mon visage sous ses pieds. Elle se contenta d’attendre que les gens partent, ses pieds dissimulant mon visage. Le risque d’être surpris stimula encore plus mon excitation, qui était désormais à son apogée. Si certains levèrent les sourcils, aucun ne fit de commentaire. C’est seulement quand la salle fut vidée qu’elle me laissa me dégager, après avoir effleuré ses pieds contre mon visage.
Elle me remercia et me serra affectueusement contre elle. Ma tête reposait contre ses seins. Je me sentais merveilleusement bien dans cette position, mais il nous fallut couper court à cette étreinte, car de nouveaux spectateurs allaient arriver.
En sortant, il faisait presque nuit. Je me rendis alors compte que le temps avait passé plus vite que je ne l’avais cru. Je ne m’étais même pas renseigné sur l’heure de fin du film dans mon excitation à passer un moment avec Esther. Et il s’avéra que je n’avais plus de bus pour rentrer chez moi.
Esther était à côté de moi quand je m’en rendis compte. Elle n’eut pas l’air surprise. Quelques semaines plus tard, je devais encore me demander à quel point elle avait planifié cette soirée.
Savait-elle qu’en allant au cinéma avec elle, je serai privé de moyens de retour ?
La proposition qu‘elle me fit alors, aussi idéale qu’inespérée, pouvait en tous cas me le laisser penser.
« Tu sais, ma famille n’est pas là ce soir…Tu veux venir ? »
Je restai bouche bée. Venait-elle vraiment de m’inviter à passer la nuit chez elle ?
Mon expression dut parler pour moi car elle me tira par le coude en riant.
« Allez, viens, je sais que tu en meures d’envie. »
Puis, m’arrêtant et caressant mon visage avec sa main, elle ajouta : « Mais il y a quand même deux conditions. »
D’une pression douce sur mon menton, elle me releva la tête pour s‘assurer que je la regardais bien. Elle me dit alors, de sa voix envoûtante : « D‘abord, je veux que tu t’agenouilles devant moi, ici et maintenant, et que tu embrasses mes pieds. »
Devant toute autre fille, dans un endroit aussi peu intime, je crois que j’aurais été capable de résister à l’attrait d’une telle proposition. Mais la beauté d’Esther me confondait. Tout dans son attitude me rendait fou. Sa tenue légère dévoilant ses courbes gracieuses, le parfum de ses cheveux, sa voix suave, le contact doux de sa main sur mon visage. Et surtout ses yeux. Qui étais-je pour y résister ? Ils annihilaient toute ma résistance et me laissaient désemparé. J’avais l’impression qu’ils pouvaient lire au plus profond de moi et devinaient tous mes désirs, mieux que moi-même je ne les connaissais.
Je perdis le contrôle de mon esprit. Ou plutôt, c’est comme si une autre partie de ma conscience avait pris le relais, celle de mes désirs. Et celle-là, elle ne se souciait pas du monde qui l’entourait. La raison lui était inconnue, elle agissait simplement selon ses envies.
Et tout ce que je sais, c’est qu’à ce moment-là, je ne réfléchis pas une seconde avant de m’agenouiller devant elle, de me pencher et d’embrasser ses pieds.
Je demeurai dans cette position, toujours troublé, mes lèvres frôlant ses pieds.
Ce fut finalement elle qui me releva et, malgré le brouillard encore régnant dans mon esprit, je l’entendis prononcer ces quelques mots : « la seconde, c’est que chez moi, tu devras te plier à tous mes désirs… ».
Je ne répondis pas, et elle n’ajouta rien. Après ce qui venait de se passer, elle connaissait ma réponse…
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