LA SOUMISSION D’ALICE (3) - histoire érotique

(Suite de l’épisode précédent)
- Très bien Janus. Je vois que ta Maîtresse n'a pas menti à ton sujet. Tu apprends effectivement très vite! Garde cette position. Je vais t’attacher.
Il prend une corde et m’attache les mains entre elles en lien serré mais pas trop. Il fait descendre le palan et accroche le nœud qu’il a formé. Je peux alors me reposer dessus sans effort. Il me caresse la poitrine en s’éloignant.
-tu es bien excitante, petite chienne!
Je baisse encore plus la tête à ces mots.
-quoi ? tu doutes encore ? Remarque, c'est ta première soirée...
Puis il ajoute à l'adresse de l'auditoire:- Soumises et Soumis, svp, montrez à cette chienne l'effet qu'elle a sur vous.
Enfin, à mon encontre alors que je fixe toujours le sol, il murmure avec douceur.
-regarde Janus ces queues et ces clitos dressés pour toi.
Les femelles me montrent leur postérieur à quatre pattes pour une vue sur leur chatte luisante de mouille et les Mâles se redressent sur leurs talons pour que je vois leur bite turgescente.
J'ouvre la bouche pour rétorquer que c'était juste l'effet de la crème aphrodisiaque que chacun revêt quand un nouveau groupe Dominante/Soumis pénètre dans la pièce. Les deux Mâles ne bandent pas.
- alors? Convaincue?
Je hoche la tête et voyant qu'il attendait une réponse franche je rajoute- oui Monsieur.
- c'est bien petite salope.
Ces mots crus qu'il y a encore moins d'un an m'auraient blessée, me mettent du baume au coeur.
- regarde, moi aussi tu me fais bander.

Sa main descend alors à son entrejambe et il sort sa queue déjà bien raide de son pantalon. Une belle bite, pas trop grosse, juste ce qu’il faut, pas sèche comme certaines. J’aurai bien envie de la sucer mais je n’ai pas le droit. J’entends avec inquiétude Maîtresse Céline donner son consentement. (Mon mari m’a en effet autorisé à venir à la soirée mais interdiction de toucher une autre bite ou une chatte à part celle de Maîtresse Céline). Maître S. s’approche de moi et ... me pisse dessus ! Je ne m’y attendais pas. C’est chaud et liquide. Voir ce jet qui sort de sa queue est très excitant ! Mes cuisses sont écartées et l’urine s’écoule sur mon sexe glabre. Sentir ce liquide chaud sur mes petites lèvres est un pur délice. Je ne peux me retenir de gémir doucement en rejetant la tête en arrière.
Il demande à Lola de lui nettoyer la bite des dernières gouttes sans le faire gicler. Elle le fait avec gourmandise. Je sens mes lèvres chaudes sous ma langue que je ne peux m’empêcher de passer dessus. Je suis sûre qu’elles sont devenues roses framboises bien mûres. Lola rentre le mandrin avec précaution dans le pantalon de son mentor. Celui-ci fait signe à un toiletteur qui est présent dans cette salle de me nettoyer. Après le jet de pisse, le jet d’eau froide ! Le toiletteur m’éponge de partout. Maître S. s’approche de nouveau de moi une fois sèche et monte le palan pour que je me mette debout.
- Dommage que je ne puisse pas plus m’amuser avec toi, belle petite salope. Mais oui, tu as un sacré potentiel, me dit-il au creux de l’oreille alors qu’il me détache. Bienvenue dans notre monde, ajoute-t-il plus fort. Je te rends à ta Maîtresse et te souhaite une bonne soirée.
- Merci Monsieur.
Ces compliments (oui le terme de « salope » sonnait comme un véritable compliment dans sa bouche) me comblent d’aise. Je me sens enfin à ma place dans ce monde « noble » où les limites sont repoussées dans le respect de chacun.
Je suis encore plus excitée alors que je rejoins les pieds de Maîtresse Céline qui me cajole le dos en me susurrant d’un ton chaleureux « tu es une bonne chienne ».

Maîtresse Céline nous conduit Numéro Bis et moi dans la chambre avec du parquet au sol et des murs clairs. Elle place des petits matelas fins et elle nous installe à quatre pattes les épaules au sol, elle-même se positionnant entre nous. Quand elle passe des gants de latex sur ses fines mains, je ne peux m’empêcher de mouiller : elle va nous fister tous les deux en même temps. Je lance un regard à mon comparse qui sourit de plus belle. Lui a compris bien avant moi !
-Attention Janus, tu ne jouiras qu’à mon signal. Je veux que vous parliez pendant la séance comme je vous ai appris.
-Bien Maîtresse Céline, répondons-nous en cœur.

Elle lubrifie ses mains, je ferme les yeux pour mieux sentir son premier doigt entrer dans ma corolle affamée. Ce seul doigt me procure un bien fou après ce que je viens de réaliser. Un deuxième vient vite rejoindre le premier dans un va-et-vient qui s’accélère doucement. Entendre mon comparse gémir de concert avec moi est quelques choses d’unique. J’ose alors regarder autour de moi. Des miroirs savamment disposés nous permette de voir les personnes placées dans notre dos pour mieux profiter du spectacle que nous offrons : deux beaux culs de soumis, l’un mâle, l’autre femelle, en fist-fucking entre les mains de notre belle Maîtresse. Je mouille encore plus si c’est possible. La foule est silencieuse et respecte notre « intimité » avec Maîtresse Céline. Je vois le Dominant qui m’a jeté ce défi et sa présence me galvanise encore plus. Je me sens bien et les dernières barrières qui m’empêchaient de me lâcher complètement cèdent. Je n’ai plus honte de moi et j’ai envie d’exciter ces voyeurs par mes paroles. Je lâche d’une voix rauque de plaisir alors que Maîtresse Céline a déjà mis quatre doigts dans mon cul de salope.

« Merci Maîtresse… je suis votre chienne obéissante… Je suis une grosse salope… J’aimerais sucer une queue… J’en bave d’envie Maitresse… »
Peu à peu, je vois les Dominants sortir leur queue et demander à leurs Soumis de les sucer. Voyant mon comparse se branler, je vais avec ma main toucher mon petit bouton que je tourne entre mes doigts. Je continue ma litanie :« Oui, venez balancez votre foutre sur moi… Défoncez-moi le cul en double ! … Ma chatte dégouline comme la bonne pute que je suis… »
Le pouce de Maîtresse arrive enfin dans mon fion. Je sens mon sphincter se dilater d’un coup et tout son poing entre dans mon cul. C’est divin. Je suis remplie comme on ne peut l’imaginer. Je creuse le dos pour aller au-devant de cette main, de ce poignet qui me comblent. Je crie de plus en plus fort et de plus en plus fréquemment. « C’est bon Maîtresse ! ». Je finis par la supplier de jouir tellement je n’en peux plus mais elle reste silencieuse. Je vois Maître S. qui baise la bouche de Lola. Il a relevé les cheveux de cette dernière que je puisse bien voir sa bite disparaître dans une gorge profonde. La chatte de Lola coule de mouille épaisse jusqu’au sol.

« Qu’on m’amène une chatte bien baveuse à lécher ! … Ahh, que j’aimerais jouir ! S’il-vous-plaît Maîtresse ! « Maîtresse Céline libère le mot magique « Allez-y ! Jouissez ! ». Une vague énorme d’un orgasme ravageur déferle sur moi et mon collègue. C’est puissant et extatique. Le plaisir dure dure dure… « Que c’est bon Maîtresse ! Merci Maîtresse ! ». J’aimerais que ça ne se termine jamais.

Mais le spectacle n’est pas fini ! Je reprends mes esprits alors que la main de Maîtresse Céline vide mon cul. Mes mains viennent se placer sur mes globes fessiers pour maintenir ma corolle bien ouverte après ce passage. Je n’ai pas de miroir pour me renvoyer mon image mais je me doute que mon œillet est dilaté à souhait ! Peu à peu la chair rose doit flamber et former des ondulations qui sortent légèrement de mon trou du cul alors que la rondelle se referme.

Notre Maîtresse crache dans nos trous béants et propose à la petite foule de jouir sur nous et de nous couvrir de sperme. Les Dominants viennent alors tout autour nous et des jets multidirectionnels enduisent nos corps de ces offrandes. Maîtresse Céline enjoint les Soumis à venir nous lécher et récupérer tout ce bon jus. Dans le même temps je lèche sa main qui m’a fait tellement de bien ! Je trouve ce geste très pervers et résiste à la tentation de regarder Maîtresse Céline dans les yeux ! Moi qui d’habitude peine à jouir plusieurs fois de suite, je me surprends à lui demander la permission de jouir une deuxième fois. Elle m’y autorise et j’explose à nouveau.

A la fin de cette séance, la plupart des couples de Dominants/Soumis disparaissent pour nous laisser seuls et reprendre nos esprits.

Maîtresse Céline a faim. Nous nous tournons vers une salle à manger avec une drôle de table ovale. Elle semble différente des tables habituelles sans que j'arrive à comprendre exactement pourquoi. Je ne le devine que lorsque ma Maîtresse s'installe avec d'autres Maîtres et qu'une Soumise avec un collier rouge et des attaches aux poignets et aux chevilles de la même couleur passe en dessous : la table est très haute pour faciliter l’accès d’une tête à l’entrejambe des Dominants. Maîtresse Céline nous place avec Numéro Bis à ses côtés. Nous devons rester assis comme de bons chiens obéissants. C’est une bonne place pour se reposer un peu.
- vous avez faim mes petits, non? Nous interroge Maîtresse Céline.

Numéro Bis répond en jappant et je comprends qu'il faut que je fasse de même. Il fait le beau. Maîtresse Céline rit de sa voix suave et lui donne un petit sandwich aux concombres. Pour moi, elle me met un petit four entre les dents. J'allais le manger alors qu'elle m'arrête d'un claquement de langue réprobateur.
- non non petite chienne. Tu dois attendre que je te donne l'autorisation de manger!

Alors j'attends. Mais que c'est long et que j'ai faim! Je salive en sentant les effluves de nourriture et le goût du petit four. Voilà un ordre bien difficile à tenir pour moi. J'ai intérêt à rester concentrer. Si mon esprit vagabonde, c'est sûr, je mange le petit four sans même m'en rendre compte! Moi qui suis si gourmande !

Autour de la table, les conversations vont bons trains. J’entends un bruit de braguette qui s’ouvre. C’est un Dominant qui sort sa bite. La Soumise en rouge l’a aussi entendu et se précipite sur cette verge pas encore dressée. J’observe son savoir-faire. Elle se place bien en face et ouvre grand la bouche pour enfourner ce gland qui gonfle en un coup de langue. Elle est vraiment douée. Très rapidement, ce Maître gicle dans sa bouche. Elle lui pompe le dard avec délectation, la salope. Moi avec mon petit four entre mes dents, je salive de plus belle ! J’entends le Maître continuait à parler comme si de rien n’était. Quelle maîtrise ! Son voisin a également sorti sa bite, la belle Soumise Rouge redouble d’effort. Parfois un Maître moins expérimenté se fait surprendre par la jouissance de la belle Soumise qui s'agite sous la table. C'est au tour de Maîtresse Céline de savourer ce plaisir.
Je vois la langue de la femelle aller et venir dans le con tout lisse. Elle aspire goulûment le bouton. J'aimerais bien être à sa place au lieu de saliver sur ma friandise entre mes dents!

Maîtresse Céline continue de converser l'air de rien, même quand elle jouit en plaquant la tête de la femelle sur sa chatte, elle parle comme d'habitude, sa voix n'est même pas plus rauque. Rien. Je suis impressionnée !
Enfin Maîtresse Céline me délivre et m’ordonne de manger ce satané four ! Oh joie !

(A suivre...)