La soumission de Corinne
Récit érotique écrit par Lancer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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La soumission de Corinne
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
Emilie, jeune et jolie brune de dix huit ans, étudie au lycée principal de la ville. Elle est hébergée pour sa saison scolaire chez sa tante Corinne, une superbe blonde de trente neuf ans, célibataire, à qui on prête de nombreuse conquête masculine, voire féminine. Un soir, la jeune Emilie rentre du lycée en larmes.
-Mais, que t’arrive-t-il ma chérie pour être dans cet état, s’inquiète Corinne.
-C’est ma prof de sport, pleure-t-elle. Soit disant que je n’ai pas été sage. Alors, devant mes copines, elle quitté ma culotte, et gratté ma petite chatte. Quand elle a été bien mouillée, elle a enfoncé deux doigts et me la branler, jusqu'à ce que je jouisse. Mes copines riaient de m’entendre gémir de plaisir.
-Quoi, bondit Corinne, elle a osé de faire ça. Elle va voir de quel bois je me chauffe. Je lui rends visite pas plus tard que demain. Elle n’est pas prête d’oublier la rouste que je vais lui mettre.
En effet, le lendemain, à la clôture des cours, Corinne rend visite à la prof de sa nièce. Elle est vêtue d’une courte jupe, et d’un chemisier. Elle se trouve face à une sculpturale métis, prénommée Wendy, vêtue elle d’un short moulant et d’un petit haut. Elle doit avoir une quarantaine d’années.
-Madame, dit Wendy, a qui ais-je l’honneur.
-Je suis la tante d’Emilie. Je n’apprécie pas du tout l’humiliation que vous lui avait infligée. Ca ne va pas se passer comme ça, je vais m’occuper sérieusement de vous.
-C'est-à-dire, répond Wendy, je ne vous suis pas. Je pensais vôtre nièce capable de se défendre seule. A côté de ça, elle m’envoie sa tante…Corinne, c’est ça…qui me profère des menaces…c’est une blague…
Emilie passe devant la porte de sa prof, et entend des bruits de luttes. Elle semble entendre des volées de gifles s’abattre sur des fesses, suivis de plaintes Elle pousse la porte, et là, reste stupéfaite. Sa tante Corinne est allongée sur le bureau, jupe retroussée jusqu’à la taille.
-Mais tatie, pourquoi tu n’as pas de culotte…
-Oh ma chérie…c’est la Dame qui me la quittée, parce que je n’étais pas sage. Regarde, elle m’a donné la fessée, mes fesses sont toutes rouges, et comme elle gratte mon minou, c’est bon tu sais…oh mon dieu…
-Approche Emilie, viens voir ce que je fais à la chatte de ta tante…tu vois ce petit bouton…c’est son clitoris, il est gros hein…tu vas bien le lui décalotté et bien le doigté….tu vas voir comme elle va se régaler…tu pourras faire ce que tu veux avec elle…la faire crier…et quand elle va se cambrer, c’est qu’elle va jouir. Vas-y…joue avec elle… moi je vais lui quitter son chemisier et caresser ses seins. Houa…quels nichons…
Corinne se tord comme un ver sur le bureau, jambes entièrement écartées. Sa nièce Emilie a tout compris. Elle fouille la chatte, prend le petit bouton de sa tante entre deux doigts pour le branler. Pendant ce temps, Wendy fait rouler le bout des seins entre ses doigts, les mord à petit coups de dents. Soudain, c’est un hurlement de plaisir qui traverse le bureau. Le corps de Corinne est pris de violents spasmes, l’orgasme est terrible. Emilie tient toujours le clitoris de sa tante. Ses doigts toujours encrés dans la chatte, récupère les coulées de mouille et de cyprine. Très calmement, elle porte ses doigts à la bouche de Corinne.
-Tiens, tatie chérie, goutte comme c’est bon…tout ça sort de ta chatte…elle avait une grosse envie tu sais.
-Très bien jeune fille, sourit Wendy, maintenant tu sais à quoi occuper tes soirées. D’abord, tu dois lui interdire la culotte, et que sa petite fente soit bien épilée. Et si elle est pas sage, tu me le dis, une petite fessée devrait suffire. Tu peux même inviter une copine si tu veux. Allez, je vous laisse.
-Oh ma chérie, soupire Corinne, viens m’embrasser, qu’est-ce-que tu as fait à la chatte de tatie…c’était tellement bon de sentir tes doigts…et mon petit bouton…comme tu l’as régalé ce salaud…il est tout rouge.
-Tu as entendue ce qu’a dit la Dame, juste une petite jupe, et pas de culotte. Et que ta chatte soit bien épilée, que tu es une fente de petite fille. Le soir, quand j’inviterai une copine, je veux que tu la supplies de bien te doigter le clitoris, de le faire rouler entre ses doigts. Compris, polissonne. Allez, on rentre.
Emilie suit les conseils de Wendy à la lettre, même au-delà. La jupe est plus courte de dix centimètres que prévu, ce qui permet d’avoir une vue et un accès imprenable sur la fente parfaitement épilée de Corinne. Il fait une chaleur étouffante en ce samedi, aussi, Emilie propose-t-elle à sa tante de prendre un bain dans piscine, dans la plus stricte tenue…à poils. Il est évident qu’Emilie décide de s’amuser dans l’eau avec Corinne, qui n’a d’autre choix que de se soumettre aux caprices pervers de sa nièce. Du reste, elle ne se dérobe pas quand elle sent les doigts d’Emilie pénétrer profondément, dans sa chatte, ou quand deux doigts vicieux décalottent l’énorme clitoris, et le doigte.
-Oh ma chérie, gémit Corinne, tu es folle…tu vas me faire jouir…oui…c’est bon…hou…hou…hou…
Quand Emilie retire ses doigts, ils sont garnis de mouille et cyprine. L’orgasme a été interminable. En deux foulées, Emilie regagne le bord de la piscine, s’assied sur les margelles, les pieds dans l’eau, jambes écartés. De l’index, elle fait signe à sa tante de s’approcher.
-Viens me lécher le minou tatie, tu verras comme il est frais.
Corinne s’avance, se dresse dans l’eau, et lèche la jeune fente de sa nièce. Puis, de sa langue pointue, elle force les lèvres intimes, et pénètre la chatte baveuse.
-Hum…salope c’est bon ça…hum…pince moi le clito…comme j’ai pincé le tien…tu me régales…houa…
-Tu croyais quoi ma chérie, répond Corinne, que je ne savais pas jouer à ça ? Je suis né avant toi ma chérie…
Emilie se cambre sur les dalles de la piscine, jouit comme une dingue, hurle de plaisir.
Vers quinze heures, arrive Wendy, avec une jeune lycéenne, copine d’Emilie. Corinne comprend qu’elle va être obligée de se soumettre aux caprices pervers de la prof de sport. Ce qui lui fait peur, c’est de voir les longs ongles. Celle-ci ôte paréo et autres maillot, puis se jette à l’eau. Elle saisit Corinne par les hanches, glisse deux doigts dans sa chatte.
-Alors toi, sourit-elle, ça va ? Sortons, je veux jouer avec toi sur les dalles.
-Oui…oui…mais s’il vous plait…vos ongles…vous savez…mon clitoris est sensible…
Wendy s’allonge, et demande à Corinne de se positionner sur elle, tête au creux de son épaule, à genoux, jambes écartées, ce qui provoquent une légère ouverture de la fente. Dans cette attitude, la chatte est totalement offerte aux doigts vicieux de la jeune prof, qui ne se prive pas de la pénétrer. Son clitoris est pris en tenaille par les ongles longs de la jeune prof, mais la caresse reste agréable, au point que Corinne à un premier orgasme.
-Tu sens comme je te polis le diamant…dit Wendy….hum…il va être encore plus gros après….tout rouge… c’est bon de se faire prendre comme ça…hein…petite lesbienne…
-Oh oui c’est bon, gémit Corinne, c’est la position que je préfère…allez-y…martyrisez mon bouton…tans pis si ça fait mal…calmez le ce vilain…oui…oui…c’est bon...c’est bon…c’est trop bon de se faire gouiner…
C’est vrai que le clito n’est pas épargné, glisse entre les doigts de Wendy qui n’hésite pas à le prendre entre deux ongles. Le petit organe, devenu rouge sang, se met à vibrer. Le deuxième orgasme est aussi puissant que le premier. Corinne n’en fini plus d’envoyer des coups de reins sur les doigts qui la possède.
-Tu as vu comme on a excité les deux gamines, sourit Wendy, regarde comme elles se bouffent la chatte. Deux petites gouines en devenir….tu trouves pas…viens…allons à la chambre, j’ai porté de quoi de goder… tu vas te régaler…
Les deux jeunes étudiantes entendent le combat de titans qui se déroulent à l’étage. Elles entendent les deux femmes gémir de plaisir, surtout Corinne, qui hurle son troisième orgasme.
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Emilie, jeune et jolie brune de dix huit ans, étudie au lycée principal de la ville. Elle est hébergée pour sa saison scolaire chez sa tante Corinne, une superbe blonde de trente neuf ans, célibataire, à qui on prête de nombreuse conquête masculine, voire féminine. Un soir, la jeune Emilie rentre du lycée en larmes.
-Mais, que t’arrive-t-il ma chérie pour être dans cet état, s’inquiète Corinne.
-C’est ma prof de sport, pleure-t-elle. Soit disant que je n’ai pas été sage. Alors, devant mes copines, elle quitté ma culotte, et gratté ma petite chatte. Quand elle a été bien mouillée, elle a enfoncé deux doigts et me la branler, jusqu'à ce que je jouisse. Mes copines riaient de m’entendre gémir de plaisir.
-Quoi, bondit Corinne, elle a osé de faire ça. Elle va voir de quel bois je me chauffe. Je lui rends visite pas plus tard que demain. Elle n’est pas prête d’oublier la rouste que je vais lui mettre.
En effet, le lendemain, à la clôture des cours, Corinne rend visite à la prof de sa nièce. Elle est vêtue d’une courte jupe, et d’un chemisier. Elle se trouve face à une sculpturale métis, prénommée Wendy, vêtue elle d’un short moulant et d’un petit haut. Elle doit avoir une quarantaine d’années.
-Madame, dit Wendy, a qui ais-je l’honneur.
-Je suis la tante d’Emilie. Je n’apprécie pas du tout l’humiliation que vous lui avait infligée. Ca ne va pas se passer comme ça, je vais m’occuper sérieusement de vous.
-C'est-à-dire, répond Wendy, je ne vous suis pas. Je pensais vôtre nièce capable de se défendre seule. A côté de ça, elle m’envoie sa tante…Corinne, c’est ça…qui me profère des menaces…c’est une blague…
Emilie passe devant la porte de sa prof, et entend des bruits de luttes. Elle semble entendre des volées de gifles s’abattre sur des fesses, suivis de plaintes Elle pousse la porte, et là, reste stupéfaite. Sa tante Corinne est allongée sur le bureau, jupe retroussée jusqu’à la taille.
-Mais tatie, pourquoi tu n’as pas de culotte…
-Oh ma chérie…c’est la Dame qui me la quittée, parce que je n’étais pas sage. Regarde, elle m’a donné la fessée, mes fesses sont toutes rouges, et comme elle gratte mon minou, c’est bon tu sais…oh mon dieu…
-Approche Emilie, viens voir ce que je fais à la chatte de ta tante…tu vois ce petit bouton…c’est son clitoris, il est gros hein…tu vas bien le lui décalotté et bien le doigté….tu vas voir comme elle va se régaler…tu pourras faire ce que tu veux avec elle…la faire crier…et quand elle va se cambrer, c’est qu’elle va jouir. Vas-y…joue avec elle… moi je vais lui quitter son chemisier et caresser ses seins. Houa…quels nichons…
Corinne se tord comme un ver sur le bureau, jambes entièrement écartées. Sa nièce Emilie a tout compris. Elle fouille la chatte, prend le petit bouton de sa tante entre deux doigts pour le branler. Pendant ce temps, Wendy fait rouler le bout des seins entre ses doigts, les mord à petit coups de dents. Soudain, c’est un hurlement de plaisir qui traverse le bureau. Le corps de Corinne est pris de violents spasmes, l’orgasme est terrible. Emilie tient toujours le clitoris de sa tante. Ses doigts toujours encrés dans la chatte, récupère les coulées de mouille et de cyprine. Très calmement, elle porte ses doigts à la bouche de Corinne.
-Tiens, tatie chérie, goutte comme c’est bon…tout ça sort de ta chatte…elle avait une grosse envie tu sais.
-Très bien jeune fille, sourit Wendy, maintenant tu sais à quoi occuper tes soirées. D’abord, tu dois lui interdire la culotte, et que sa petite fente soit bien épilée. Et si elle est pas sage, tu me le dis, une petite fessée devrait suffire. Tu peux même inviter une copine si tu veux. Allez, je vous laisse.
-Oh ma chérie, soupire Corinne, viens m’embrasser, qu’est-ce-que tu as fait à la chatte de tatie…c’était tellement bon de sentir tes doigts…et mon petit bouton…comme tu l’as régalé ce salaud…il est tout rouge.
-Tu as entendue ce qu’a dit la Dame, juste une petite jupe, et pas de culotte. Et que ta chatte soit bien épilée, que tu es une fente de petite fille. Le soir, quand j’inviterai une copine, je veux que tu la supplies de bien te doigter le clitoris, de le faire rouler entre ses doigts. Compris, polissonne. Allez, on rentre.
Emilie suit les conseils de Wendy à la lettre, même au-delà. La jupe est plus courte de dix centimètres que prévu, ce qui permet d’avoir une vue et un accès imprenable sur la fente parfaitement épilée de Corinne. Il fait une chaleur étouffante en ce samedi, aussi, Emilie propose-t-elle à sa tante de prendre un bain dans piscine, dans la plus stricte tenue…à poils. Il est évident qu’Emilie décide de s’amuser dans l’eau avec Corinne, qui n’a d’autre choix que de se soumettre aux caprices pervers de sa nièce. Du reste, elle ne se dérobe pas quand elle sent les doigts d’Emilie pénétrer profondément, dans sa chatte, ou quand deux doigts vicieux décalottent l’énorme clitoris, et le doigte.
-Oh ma chérie, gémit Corinne, tu es folle…tu vas me faire jouir…oui…c’est bon…hou…hou…hou…
Quand Emilie retire ses doigts, ils sont garnis de mouille et cyprine. L’orgasme a été interminable. En deux foulées, Emilie regagne le bord de la piscine, s’assied sur les margelles, les pieds dans l’eau, jambes écartés. De l’index, elle fait signe à sa tante de s’approcher.
-Viens me lécher le minou tatie, tu verras comme il est frais.
Corinne s’avance, se dresse dans l’eau, et lèche la jeune fente de sa nièce. Puis, de sa langue pointue, elle force les lèvres intimes, et pénètre la chatte baveuse.
-Hum…salope c’est bon ça…hum…pince moi le clito…comme j’ai pincé le tien…tu me régales…houa…
-Tu croyais quoi ma chérie, répond Corinne, que je ne savais pas jouer à ça ? Je suis né avant toi ma chérie…
Emilie se cambre sur les dalles de la piscine, jouit comme une dingue, hurle de plaisir.
Vers quinze heures, arrive Wendy, avec une jeune lycéenne, copine d’Emilie. Corinne comprend qu’elle va être obligée de se soumettre aux caprices pervers de la prof de sport. Ce qui lui fait peur, c’est de voir les longs ongles. Celle-ci ôte paréo et autres maillot, puis se jette à l’eau. Elle saisit Corinne par les hanches, glisse deux doigts dans sa chatte.
-Alors toi, sourit-elle, ça va ? Sortons, je veux jouer avec toi sur les dalles.
-Oui…oui…mais s’il vous plait…vos ongles…vous savez…mon clitoris est sensible…
Wendy s’allonge, et demande à Corinne de se positionner sur elle, tête au creux de son épaule, à genoux, jambes écartées, ce qui provoquent une légère ouverture de la fente. Dans cette attitude, la chatte est totalement offerte aux doigts vicieux de la jeune prof, qui ne se prive pas de la pénétrer. Son clitoris est pris en tenaille par les ongles longs de la jeune prof, mais la caresse reste agréable, au point que Corinne à un premier orgasme.
-Tu sens comme je te polis le diamant…dit Wendy….hum…il va être encore plus gros après….tout rouge… c’est bon de se faire prendre comme ça…hein…petite lesbienne…
-Oh oui c’est bon, gémit Corinne, c’est la position que je préfère…allez-y…martyrisez mon bouton…tans pis si ça fait mal…calmez le ce vilain…oui…oui…c’est bon...c’est bon…c’est trop bon de se faire gouiner…
C’est vrai que le clito n’est pas épargné, glisse entre les doigts de Wendy qui n’hésite pas à le prendre entre deux ongles. Le petit organe, devenu rouge sang, se met à vibrer. Le deuxième orgasme est aussi puissant que le premier. Corinne n’en fini plus d’envoyer des coups de reins sur les doigts qui la possède.
-Tu as vu comme on a excité les deux gamines, sourit Wendy, regarde comme elles se bouffent la chatte. Deux petites gouines en devenir….tu trouves pas…viens…allons à la chambre, j’ai porté de quoi de goder… tu vas te régaler…
Les deux jeunes étudiantes entendent le combat de titans qui se déroulent à l’étage. Elles entendent les deux femmes gémir de plaisir, surtout Corinne, qui hurle son troisième orgasme.
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WoW