La soumission de Lou - histoire érotique

Un soir, lors d’une sortie en boite, Hervé et Lou, mariés depuis deux ans, rencontre Guy, un mec que Lou avait rencontré au lycée. A cette époque, Guy avait eu une courte relation avec Lou, le temps de la déflorer. Et Hervé en veut à Guy pour ça. Du reste, Guy demande à Lou, si Hervé lui en veut toujours pour ça. Elle avoue qu’il n’a jamais pardonné. Ni à elle.
Guy est accompagné de sa copine Francesca, un couple libertin, qui ratisse tous les lieux échangistes du coin.
Justement, Guy organise une soirée échangistes, le week-end prochain. Il demande à Hervé et son épouse, s’ils veulent y participer.

-Vous verrez, explique Guy. Il y a un buffet, un bar. Nous organisons aussi, des jeux érotiques… A qui appartient ça...des devinettes...des gages. Tout ce qui reste dans l’esprit de la soirée. La règle veut que les femmes ne portent pas de dessous.

Une fois chez eux, Lou dit à Hervé qu’elle trouve l’idée de Guy très excitante, et qu’elle aimerait bien y participer.
Hervé est plus réticent, n’a rien oublié.

-Je sais comme tu te donnes au lit, tu n’as pas de limite.
Et des limites, il faut en mettre. Il faut exclure les pipes, et la sodomie.
-D’accord, répond Lou. Je pense qu’on va bien s’amuser.

Le samedi venu, le couple se prépare. Lou est vêtue d’une courte robe bien moulante, et des escarpins de six centimètres. Une bombe
Ils arrivent à la villa de Guy, vers vingt deux heures.
Ce dernier les invite à aller au bar, prendre un verre.
La pièce est immense, entre quatre vingt et cent mètres carré. Beaucoup de décos, une table de massage, trois paravent, troués à hauteur de la ceinture. Au sol, de moelleux matelas rouge. Le top.
Sur un énorme canapé en rond, des couples sont installés, en train de s’embraser, de se caresser. Ils salut les nouveaux arrivant, et reprennent leur activité.
Hervé remarque qu’un homme, tout en embrassant son épouse, à glissé une main, entre les cuisses de sa voisine d’à côté, et lui a mis un doigt.
Soudain, Guy frappe dans se mains.

-Mes amis, dit-il, toute vôtre attention. Voici le premier jeu. Trois hommes vont passer derrière le paravent, sortir leur queue. Une femme va être tirée au sors, et devra reconnaître la queue de son mari. Hervé fait parti des élus.

Le tirage au sors désigne Lou, pour reconnaître son époux. Elle s’approche du paravent, passe sa main dans les trous. Elle insiste sur les deux premiers.

-Alors, dit Guy, as-tu reconnu la bite de ton mari.
-Oui, dit-elle, c’est le numéro trois.
-A bon, tu as l’air sure de toi. Et a quoi l’as-tu reconnue
-C’est la plus petite, répond Lou.

Tous les participants éclatent de rire. Sauf Hervé, qui sort de derrière le paravent, la mine déconfite. Il prend sa femme par le bras, et la mène à l’écart.

-Mais ma chérie, qu’est-ce qu’il t’a pris de m’humilier comme ça.
-Mais mon chéri, c’est la vérité. Et encore, il m’a pas demandé de comparer leurs grosses couilles.
-Quoi...tu leur à touché les couilles? Et pas les miennes.
-Quand j’ai reconnu ta queue, je savais ce qu’il y avait dessous.

Soudain, apparaît un couple, certainement, pour animer la soirée. Elle, c’est Natacha, belle blonde, vêtue d’un ensemble en cuir, lui, Joe, un vrai athlète, crane rasé, est simplement vêtu d’un boxer. La jeune femme fait la tournée des invités, se penche pour sucer une bite, caresse la chatte d’une épouse. Certains risquent une main sous la jupe. Puis le couple se dirige vers la table de massage.
L’homme ôte son boxer, s’allonge sur la table. Sa queue, dressée au plafond, paraît énorme. Et les femmes ne s’y trompent pas, n’ont d’yeux que pour elle.
La femme se déshabille à son tour, monte sur la table, et s’empale sur la bite.
Lou a le regard rivé sur le couple, au point de ne pas entendre quand Hervé lui dit qu’il vaudrait mieux partir.

-Heu...hors de question, finit-elle par répondre. Vas-y si tu veux, quelqu’un me ramènera.

Ce que fait Hervé, laissant son épouse poursuivre seule l’aventure.
Le départ d’Hervé est une aubaine pour Lou, mais aussi pour les nombreux prétendants, qui n’hésitent pas à la coucher sur eux, la caresser, tenir ses jambes écartées, pour que les femmes, plus vicieuses, lui doigtent le clito, branlent la chatte. Lou se déhanche sur les doigts pervers qui la fouillent, et parvient à jouir à plusieurs reprises.
Lou passe de queue en queue. Un coup empaler par le cul, un coup par la chatte...ou dans la bouche.
Hervé doit se retourner dans son lit.

Mais Lou reste fascinée par le couple sur la table de massage, parti dans un soixante neuf de folie.
Elle s’approche, murmure à l’oreille de la fille.
Celle-ci se retire. Lou monte sur la table, écarte ses jambes, et s’accroupit pour s’empaler sur l’énorme bite de Joe. Francesca s’approche, demande à Lou de se soulever. Elle saisit la bite de Joe, et l’enfonce dans le cul de la jeune femme.

-Voila ma chérie...comme ça, on pourra s’occuper de ta chatte. Je vais bien décalotter ton clito, pour qu’on puisse bien le doigter, chacune à nôtre tour. Tu vas te régaler.

Et c’est vrai qu’elle se régale. En témoigne ses cris de plaisirs qu’elle pousse quand elle jouit.
Finalement, Lou sert de jouet sexuel. Elle se fait baiser, sodomiser par les mâles avides de chair fraîche, tandis que les femmes prennent plaisir à l’humilier.
Elle a profité de l’absence de son mari, pour faire tous ce qu’il lui avait interdit. Tailler des pipes, avaler du sperme, se faire enculer...La totale.

Il est cinq heures du matin, quand Hervé entend une voiture se garer dans l’allée. A travers les persiennes, il voit son épouse sortir, accompagnée de deux hommes. Il reconnaît Guy, et celui qui baisait la belle blonde sur la table de massage. Lou est vêtue d’un manteau blanc.

-On te ramène ta pute, dit Guy. Tu sais qu’elle est canon. Hein Joe, qu’est-ce t’en dit.
-Putain, super bonne...pas fainéante...elle aime la queue.
-Alors, poursuit Guy, il y a u truc qui me gène un peu...elle m’a dit que tu ne voulais pas qu’elle avale, et qu’elle se fasse pas sodomiser. Mon pauvre, si tu savais comme elle aime ça. On va te montrer. Lou, ôte ton manteau.

Hervé regarde le corps sublime de son épouse, s’attend au pire. Guy s’approche, la prend par les cheveux, et lui donne un baiser.

-Tu vas être obéissante ma chérie. On va montrer à ton mari, de quoi tu es capable. Joe, installe la à quatre pattes sur la table basse.

Une fois installer, Guy sort sa queue en érection, et la place contre les lèvres de Lou. Celle-ci ouvre la bouche, absorbe le calibre. Quant à Joe, il se positionne derrière, la bite décalottée, tendue contre le petit trou de le jeune femme. D’un simple coup de rein, il la pénètre.

-Alors ma chérie, dis à ton mari comme c’est bon de se faire enculer...de tailler une bonne pipe.
-Hum...hum...
-Arrêtez, supplie Hervé, ne faites pas ça.
-Tu crois pas que c’est à elle de décider. Dis lui ma chérie que tu aimes.
-Oh oui, parvient à dire Lou la bouche pleine...c’est bon de se faire enculer par une grosse bite...ce que tu n’as jamais voulu faire. Eux, ils l’ont fait. Comme sucer une bonne queue, avaler du sperme...tous ça, tu le connaîtras jamais.

Hervé assiste impuissant, à la soumission de son épouse. Guy éjacule dans la bouche de Lou, qui garde la semence en bouche. En fait, elle attend que Joe fasse le tour de la table, et qu’à son tour, il vide ses grosses couilles.
Lou ouvre la bouche, montre à son mari le sperme stocké sur sa langue. Hervé n’a pas le temps de crier «non, pas ça» qu’elle a tout avaler. Pour enfoncer d’avantage le clou, elle nettoie les zobs avec sa langue, devant les yeux exorbités de son mari.

-Voila, sourit Guy, ça s’est fait. Tu sais Natacha, la partenaire de Joe, elle quitte la région. On a pensé à ta femme pour la remplacer. Surtout qu’elle n’a pas besoin de formation, elle a tout compris. En plus, on a décidait d’augmenter son champ d’action. Elle devra se soumettre aux invités...hommes et femmes. On a une soirée de prévu dans quinze jours. On passera prendre Lou, et on te la ramènera après le week-end.

-C’est ce que tu veux, demande Hervé à son épouse.
-Oui...désolé mon chéri...

Guy dit à Hervé, qu’il n’est pas souhaitable qu’il vienne à cette soirée. Il ne veut pas le voir pleurer, en voyant ce que son épouse est capable de faire. Il aurait trop mal.