La soumission de ma belle-sœur 3

- Par l'auteur HDS Curieuxdetout -
Auteur homme.
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Récit libertin : La soumission de ma belle-sœur 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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La soumission de ma belle-sœur 3
Gaétan, qui jusqu’à présent avait réussi à tout contrôler, n’en menait pas large. Avait-elle entendu du bruit, des mots ? Il était minuit, l’heure du crime, et jamais sa femme ne s’était réveillée à cette heure-ci.
Reprenant son souffle, espérant ne rien laisser transparaitre, il lui dit :- J’ai fait trop de bruit, je t’ai réveillé ?
- Hum, il me semble avoir entendu des bruits non habituels, tu faisais quoi en bas ? lui dit-elle la voix éraillée par ce réveil nocturne.
- J’ai dû mettre le son de la télé trop fort, pour tout dire je me suis endormi devant. C’est une scène de cris qui m’a sorti de mon sommeil, j’aurais pu y rester toute la nuit.
- Ça doit être ça, j’ai bien entendu ce qui se disait, juste des bruits confus, bon je file au WC.
Dès que la porte se referma, Gaétan ne put retenir un souffle de soulagement, il n’était pas passé loin de la correctionnelle. Il se glissa nu dans le lit conjugal comme tous les soirs, à ceci près que cette fois les images qui défilaient devant ses yeux n’étaient pas nées de son imagination, mais bien de la réalité.
Il commençait à s’endormir, un sourire aux lèvres quand il entendit Virginie revenir des toilettes. Elle se couchât à coté de lui, le serrant tendrement.
Pourtant quelque chose clochait, il sentit que Virginie était nue, Madame Pyjama était nue dans son lit ! Il n’en revenait pas, mais ne dit rien. L’excitation de la soirée était loin d’être retombée et tout de suit son esprit vagabond tentait de mettre au point un scénario. Sa femme serait elle aussi un objet sexuel sur lequel il pourrait exercer son pouvoir, et ça commencerait ce soir. Il allait se retourner et ainsi mettre en pratique son film exprès, mais le doux ronflement de sa femme l’en dissuadât. Come souvent elle n’avait pas mis longtemps à se réendormir. Il ne saurait donc rien du pourquoi de ce corps nu contre le sien. A l’excitation se rajoutait la frustration du moment, mais rien ne saurait lui gâcher sa nuit peuplée de rêves érotiques avec au choix sa femme ou sa belle-sœur.
6h30 Le réveil sonne, Gaétan n’avait jamais eu une érection matinale de cette ampleur, alors qu’il se levait, sa femme s’en aperçu.
- Tu as l’air en forme ce matin.
Ne sachant pas quoi dire, il se contentât de continuer sa route en direction des WC. Mais sa femme d’humeur taquine le suivit pour lui dire :- Ça va t’y arrives quand même ?
- C’est vrai que c’est un peu dur, tu vois quand tu dors nue à mes cotés l’effet que ça me fait. Il avait réussi à faire venir la conversation sur un point qu’elle ne souhaiterait pas continuer.
- Pff ! N’importe quoi, figure-toi que je n’y suis pas arrivée assez vite hier soir et j’ai dû enlever mon pyjama mouillé.
- Et moi qui croyais que tu souhaitais un petit câlin. Quelle déception.
- Oh ! Il était bien trop tard hier soir pour faire quoi que ce soit. Allez au petit déj. Je te fais couler ton café ?
- Avec plaisir ma chérie, tu sais je t’aime, lâchât-il sans vraiment y réfléchir, car c’était la vérité malgré l’absence de sexe, il l’aimait et avait toujours trouvé en elle la compagne qui partagerait sa vie jusqu’à la fin, du moins c’est ce qu’il pensait encore aujourd’hui.
- Moi aussi dit-elle, presque dans un soupir, presque inaudible.
Retour à l’ordinaire, boulot sans grande passion, juste de quoi nourrir sa famille, il lui tardait de rentrer ce soir sa femme l’avait appelé dans la journée pour lui annoncer qu’elle invitait sa sœur à manger ce soir car elle avait quelque chose à leur dire. Pourquoi ? Cette question le taraudait, il avait essayé d’appeler Fabienne mais n’avait pas réussi à l’avoir.
C’est avec la boule au ventre qu’il rentrât, le plus tard possible d’ailleurs.
19H, il ouvre la porte et trouve Virginie et Fabienne en pleine discussion. Elles avaient l’air sereine et heureuse, ce qui lui donnât du baume au cœur.
- Bonsoir, déjà à l’apéro dit-il en regardant les verres que les deux sœurs c’étaient servies.
- Nous avions soif et en plus tu a été long à rentrer ce soir, lui dit sa femme.
Gaétan avait bien sur tout essayé d’anticiper pour le retour de ce soir mais rien ne se passait comme il l’avait imaginé.
- Je te sers quoi mon cher beau-frère ?
- Un petit rhum vieux, je te remercie.
- Au fait tu pourrais passer me voir ce soir, je crois que j’ai chopé un virus, rien ne marche, j’ai demandé à Virginie mais elle n’y connait rien.
- Bien sur je passerais après manger si c’est bon pour toi. A l’intérieur il affichait un grand sourire, ravi de l’initiative de sa soumise. Mais à l’extérieur il restait zen.
- Bien avant de passer à table, je dois vous dire quelque chose dit Virginie.
- Nous t’écoutons répondirent presque en chœur les deux amants.
- Je sais que tu n’aime pas quand je m’absente Gaétan mais voilà mon patron m’envoie en formation pour toute la fin de semaine. Avant que tu ne dises quoi que ce soit sache que je n’ai pas pu lui dire non, cette formation est très importante pour le reste de ma carrière. Après je me suis dit que comme Fabienne est juste en dessus, vous pourrez boire le café ensemble de temps en temps.
Dans la tête de Gaétan tout aller vite, un elle ne boira pas que du café soit en sûr, deux surtout ne rien laisser paraitre, trois trouver une intonation qui inspire la déception. Il enlevât très vite le sourire qui commençait à poindre sur ses lèvres.
- Rho ! Tu sais que je n’aime pas être averti au dernier moment, ça me laisse toujours un goût de frustration. Voilà comment transformer l’autre en lui insufflant un sentiment de culpabilité, il n’en était pas fier mais bon…- Je suis désolé mon chéri, mais vraiment je n’ai rien pu faire.
Il avait dû être convaincant, elle n’avait rien vu.
- Je suis obligée de partir à 4h ce matin, un taxi vient me chercher, tu finiras ta nuit tout seul.
- Pfff ! bon allez puisque tu n’as rien pu faire, on ne va pas se gâcher le reste de la soirée, à la tienne ma chérie, tu me tel quand tu arrives demain ?
- Bien sur mon chéri, allez à table.
De mémoire de Gaétan, jamais une heure trente de repas avait paru aussi long. Blablas par ci, blablas par-là, bref vivement le café.
- Tu m’allumes l’ordi, que je vois ce qui cloche, tu le mets en position. Il avait lâcher le mot espérant que Fabienne puisse le capter.
Fabienne s’en va non sans avoir embrassé tendrement sa sœur, en ce moment Gaétan avait presque un sentiment coupable, qu’il effaçât bien vite.
- Je vais faire mes bagages, si je dors quant tu arrives ne me réveille pas, je me lève tôt.
- D’accord mais réveille moi quand tu pars que je te dise au revoir.
Gaétan descendit les quelques marches pour aller chez sa belle-sœur. Il décidât de rentrer sans frapper, n’était-il pas chez lui ?
Fabienne était là, nue, à genoux, jambes écartées, les mains croisées derrière la tête, les yeux baissés.
- Je vois que ça rentre, c’est un bon point. Est-ce que tu t’ais fait jouir depuis hier ?
- Non Monsieur, répondit-elle d’une voix non assurée.
- Est-ce ce que tu t’es touché, lui demandât-il avec un aplomb qui ne souffrait pas une réponse négative.
- Oui Monsieur sanglotât-elle, mais je ne suis pas allée jusqu’à jouir, je vous le jure.
- Tu m’as dit la vérité, tu auras une récompense, en revanche tu m’as désobéi et cela n’est pas pardonnable. Tu mérites une punition.
- Oui Monsieur, je vous demande pardon.
- Le voyage de Virginie tombe bien, tu me rejoindras dans ma chambre dès qu’elle sera partie. A tout à l’heure.
Sa remontée fut troublée par toutes les images qui défilaient dans sa tête, ses envies, ses interdits, tout ça faisait une danse endiablée qui lui donnait l’impression que jamais ça ne s’arrêterait.
Ses envies, ses interdits ! Il avait souvent fantasmé sur des situations, vidéos ou récits à l’appui, mais jamais il ne s’était réellement posé la question de la concrétisation. Si certaine situation l’excitait, serait-ce toujours le cas en les pratiquants ?
IL arrivât bien vite dans la chambre conjugale, sans avoir obtenu les réponses à ses questions. Virginie dormait déjà, en pyjama, Gaétan ne put s’empêcher de se dire que sa femme avait une capacité à l’endormissement qui était incroyable. IL était parti quoi, à peine 20 minutes et déjà elle dormait, il se déshabilla en silence et ne pût s’empêcher de regarder son corps dont le miroir renvoyé une image fidèle qui était loin de l’image qu’il en avait. Approchant la cinquantaine, il avait un petit ventre rond surement dû à l’excès du sport sur canapé et à la bière qui le désaltérait. Il avait aussi un peu de poitrine, pas extraordinaire mais tout de même il aurait du mal à faire passer cela pour des pectoraux. Son sexe en érection (l’excitation de la situation, n’était pas encore retombée) pas aussi grand que ce qu’il pouvait voir dans les vidéos, une quinzaine de centimètre avec un diamètre assez large, il n’avait jamais mesuré. Il avait fait des recherches pour savoir quelle était la longueur moyenne, juste histoire de se rassurer, il le fut quant à l’appui d’études scientifique, il avait appris que la taille moyenne d’un pénis en érection est comprise entre 12 et 16 cm. Encore une distorsion de la réalité dû aux films pornos et à leurs acteurs aux proportions hors norme. Il se glissât dans le lit en évitant de faire le moindre bruit pour ne pas réveiller sa femme.
Passons en revue les pratiques qui m’excitent. J’adore gifler, la figure, les seins, la chatte, donner des fessées. Allez Hop, tout ça s’est classé dans l’indispensable. La question des accessoires est importante, cravache, martinet, mains. Entraver, attacher, aussi. Travailler les seins et la chattes avec des pinces, des poids, on garde aussi. Les aiguilles, un interdit, déjà dans les films il faisait avance rapide alors non, on classe.
Le temps défile à une vitesse quand on réfléchit, il est déjà 23 heures, plus que 5 heures se dit-il impatient.
La cire, bof non si c’est une demande pourquoi pas. L’uro faisait partie des pratiques qui l’excitait énormément, là c’était obligatoire qu’elle le boive aussi. Le scato encore un interdit. IL adorait se faire sucer et surtout se faire boire, indispensable là aussi. Anulingus aussi avec même petite pénétration de la langue. Bon les indispensables s’étoffent, minuit 30, le temps file.
Les bandeaux et cagoule, non rien d’excitant. Les plugs et autres gods indispensable aussi, il avait toujours rêvé de fister des deux côtés, mais bien sur il n’avait jamais pratiqué. Encore un indispensable.
Tout ça c’était pour son plaisir, la liste s’allonger de plus en plus, mais une chose le taraudait. Voulait-il d’une soumise à son service en permanence ou bien d’une complice de jeux érotiques complétement consciente ? Même s’il se posait la question, pour lui la réponse était évidente, il ne concevait pas l’esclavage. La privation de liberté au quotidien lui était insupportable. Il avait de toute façon besoin d’une partenaire consciente de ses choix et qui vivrait sa soumission pleinement.
Il lui faudra questionner Fabienne pour savoir ce qu’elle attendait comme pratiques. Bien sur la frustration était pour lui un moteur fort dans les questions de soumission.
2h30 il s’endormit brusquement.
4h, Virginie vient lui faire un bisou tendre qui le sort à peine de sa demi-conscience.
- Je m’en vais rendors-toi, je crois que tu fais de beaux rêves, tu n’as pas arrêté de gémir. Bisous mon chéri, amuse-toi bien.
- Merci grognât-il Toi aussi passe une bonne semaine.
IL commençait à se rendormir, sa femme était partie, sans bruit, quand il entendit des pas venir vers sa chambre. Vite ! il fallait qu’il retrouve une posture dominante, il n’avait pas réussi à émerger mais là c’était urgent.
Il la vit rentrer dans la chambre nue.
- En position, lâchât-il d’une voix forte, aussitôt suivi de l’exécution de l’ordre.
Il avait décidé de la faire attendre, pour mesurer son degré d’obéissance. Il partit dans la cuisine se faire un café, histoire de se réveiller un bon coup. Dix minutes plus tard il entre dans la chambre, elle était toujours là en position, les tressautements certes discrets mais bien visibles de ces bras en apportait la preuve.
- A quatre pattes ! l’ordre fit à Fabienne le même effet que si un fouet avait claqué à côté d’elle.
Cette position même inconfortable lui permettrait de reposer ses bras, songeât-il.
- Tu vas être ma soumise complète pendant 4 jours, es-tu prête à cela ?
- Oui Monsieur- Tu as bien compris que tu peux arrêter à tout moment si cela ne te convient pas ?
- Oui Monsieur, dit-elle en contemplant le parquet de la chambre de sa sœur, les bras et les genoux commençait à lui faire mal. Son poids ne l’aidant pas dans cette situation.
- Bien, debout maintenant, position N°2.
Elle obéissait sans se poser de questions, elle avait décidé de s’abandonner complètement, elle avait confiance en Gaétan, et souhaitait vivre de façon intense ces 4 jours ensemble.
- Tu te feras porter pâle pour la semaine, nous serons tranquilles ainsi.
- Oui Monsieur.
- Descends chercher tout tes accessoires, martinet, gods, plugs, pinces. Tu devrais déjà être revenu.
- Oui Monsieur.
A peine avait-il entendu la réponse tant sa course fut rapide. Il en sourit. Bon maintenant assurer. Elle doit-être punie pour s’être touchée sans autorisation. Oui mais quelle punition ? Punir une soumise qui prend plaisir à la souffrance c’est à minima lui donner du plaisir, alors qu’elle utilité à la punition ?
Il n’eut pas le temps de trouver la réponse, Fabienne était revenue avec tout son attirail, qu’elle déposât sur le lit. Elle se remit aussitôt en position.
- Voyons voir ce que tu as ramené.
2 martinets, un en cuir et l’autre en silicone, 1 paddle, 1 bâillon boule, 1 bâillon spider pour écarter les mâchoires, des pinces, des chaines, des poids, 1 rabbit, des boules de geisha, 2 gods de taille différente, 3 plugs. Un inventaire à la Prévert !
- Te rappelles-tu que tu dois être punie ?
- Oui Monsieur.
- Que mérites-tu comme punition ?
- Tout ce qu’il vous plaira Monsieur.
Elle avait répondu juste et cela lui plaisait beaucoup.
- Ce soir tu ne jouiras pas non plus, pour cela il faut être exemplaire et c’est loin d’être ton cas. Tu n’expérimenteras aucun de ces accessoires. Un seul servira, parce que je te le ferais porter en continu. Tu as compris ?
- Oui Monsieur.
Il avait senti la frustration dans sa voix, elle devait se réjouir de commencer dès cette nuit, mais cela lui apprendra.
- Que faudra-t-il que tu fasses pour enfin avoir le droit de jouir ?
- Être obéissante et tout acceptée sans rechigner Monsieur.
- Voilà tu as compris, tu vois que ce n’est pas trop dur. Apporte-moi le plug le plus petit.
Elle lui donna en main, le plus petit plug faisait 12 par 6,5cm ce qui était une taille déjà honorable.
- Tourne-toi, penche-toi et écarte tes fesses avec tes mains.
Cette position était humiliante, mais l’humidité de sa chatte trahissait son excitation. Que n’aurait-elle pas donné en cette instant pour se caresser ou sentir une bonne bite au fond de son trou. Elle sentit Gaétan cracher sur sa rondelle et tenter l’intromission sans plus de fioriture. Elle savait que ce serait dur et pensait même que ce serait impossible. Il passât le plug sur ses lèvres et recueillit assez de mouille pour lubrifier l’engin. Il rentrait petit à petit, mais le plus dur était à venir, la partie la plus large n’était pas encore passée, elle l’appréhendait.
- Fait un effort sinon tu vas vraiment le sentir passé.
Elle redoubla d’effort, poussa comme si elle en avait envie pour aider l’introduction. Pas facilement mais elle finit par sentir son sphincter se serrer autour de la base. Ça lui avait fait mal, mais rien d’insurmontable, il savait qu’elle serait capable de cet effort.
- Tu vois que tu peux y arriver, il suffit que tu fasses un petit effort et ça passe. Tu garderas ce plug jour et nuit, tu ne l’enlèveras que pour aller chier et te laver.
- Oui Monsieur.
Elle n’avait jamais vécu une telle situation et ce demandait comment cela aller se passer. Déjà elle le sentait bien en elle ce qui la fit mouiller encore plus.
- Ton trou n’était pas propre, c’est la dernière fois, sinon il y aura d’autres punition, tu feras des lavements pour que cela ne se reproduise pas, je n’aime pas les souillons.
- Oui Monsieur, dit-elle humiliée par la situation.
- Pour ce soir étant donné ta punition, tu vas t’occuper de mon plaisir. Dans le congélateur il y a un verre va le chercher.
Depuis qu’il avait éjaculé dedans la première fois, il en avait profité pour recommencer et l’avait rempli à moitié. Fabienne curieuse regardait ce verre et son contenu. Ça ressembler à une espèce de glace dont elle ne reconnaissait pas le parfum.
- Voilà Monsieur, lui dit-elle en tendant le verre.
- Tu sais ce que c’est ?
- Non Monsieur.
- C’est le fruit de 4 masturbations, j’ai décidé de ne plus rien gâcher, à chaque fois que tu ne seras pas là pour me vider les couilles, je remplirais ce verre, pour plus tard.
Son langage devenait de plus en plus cru, ce n’était pour déplaire à Fabienne. Mais boire du sperme décongelé, ce n’était pas inscrit dans ses fantasmes. L’expérience la tenté mais elle se posait bien des questions. Quel goût ça aura, y aura-t-il des grumeaux, pourra-t-elle le boire sans haut le cœur ? Bref pourra-t-elle faire plaisir à son maitre ?
Il était fier de son initiative et savourait ce moment de flottement chez sa soumise.
- Réchauffe-le entre tes mains. Et lèche moi le cul.
Joignant le geste à la parole, il s’assit dans le fauteuil, jambes relevées pour qu’elle puisse avoir accès facilement à son trou du cul. Il était particulièrement sensible et adorait les anulingus bien marqués. Elle s’avançait vers lui…- Retourne à la porte, mets-toi à genoux et viens jusqu’à moi comme ça, tu cherches vraiment la punition.
- Pardon Monsieur.
Elle se mit sur le pas de la porte et à genoux entamât le chemin vers le cul de son maitre. Le plug lui procurait des sensations bizarres, tantôt agréable, tantôt très désagréable. Là, à genoux et cheminant c’était la deuxième sensation qui prenait le pas.
Arrivant nez à cul, elle commence à promener sa langue sur le tour de ce trou, il sentait bon. Sa langue se fit plus pressante et lécher activement ce petit trou. Elle sentit la main de son maitre qui lui agrippa les cheveux et poussa sa tête bien contre faisant pénétrer sa langue plus profondément, tandis que son nez se trouvait étouffer par ses couilles pendantes.
Gaétan aimez cette caresse, mais ne voulez pas être submergé par la jouissance, ce qui aurait pu être le cas, avec cette pratique qui donnez tout de même un certain pouvoir à sa soumise.
- Lèche-moi les couilles et avale-les !
Elle continuait à exécuter les ordres, sans utiliser ses mains qui étaient occupé à réchauffer le contenu du verre. Elle léchait avec avidité en envie les couilles de Gaétan, les prenants alternativement dans la bouche.
- Maintenant tu me suces jusqu’à ma jouissance, que tu prendras en bouche en veillant à ne rien laissait s’écouler.
La pipe, aux dires de tout ces amants c’est ce qu’elle faisait le mieux. Elle voulait que son maitre en soit fier. Elle mit toute l’ardeur nécessaires à sa satisfaction. Elle léchait sa verge sur toute sa longueur, insistant sur son frein et son méat. Elle essayait de rentrer une partie de sa langue dans cet orifice et entre-aperçu que cela faisait son effet. Elle engouffrât sa pine pour tenter une gorge profonde, allant de plus en plus loin. Elle fini par y arrivait, un filet de bave à la commissure de ses lèvres s’écoulait le long de son menton, sa langue jouait en même temps et tournait autour de sa bite.
Gaétan ne disait rien. Fallait-il vraiment qu’il le fasse ? Tout se passait bien, les caresses buccales de Fabienne lui procurait du plaisir qui montait crescendo. La langue qui forçait son méat était une découverte et elle était agréable. La langue sur son frein aussi lui procurait des sensations intenses. Il aurait voulu rester comme cela des heures, mais la nature est ainsi faite que l’excitation l’emporte sur l’endurance.
- Je vais jouir, tu me regardes et surtout tu ne perds rien.
- Hum ! parvint-elle à dire.
Il avait beau s’être masturbé beaucoup plus que d’habitude, il fut lui-même surpris de la quantité de sperme qu’il lâchât dans sa bouche.
Fabienne essayait de contenir ce flot qui lui semblait ne jamais se tarir. La position commençait à lui faire mal et le plug dans son cul était désagréable. Elle se concentra sur sa mission, tout avaler et ne rien laisser s’échapper. Elle s’en délectait, son sperme avait bon goût, peu sucré, un peu amer et d’uen consistance parfaite liquide et gluant à la fois.
Gaétan l’observait fortement, guettant le moindre liquide qui passerait la barrière des lèvres de Fabienne. Elle gardât tout et avalât tout comme une bonne soumise obéissante. Elle commençait à se pousser quand :- Non garde là en bouche je ne t’ai pas dit de la lâcher.
C’était la première fois qu’elle gardait une bite aussi longtemps en bouche après l’éjaculation. Elle la sentait se dégonfler tranquillement et continuait à tourner sa langue autour.
Au bout de 5 minutes, il lui dit que c’était bon et elle pût reprendre une respiration normale. Elle mouillait abondamment, cette situation l’avait excitée, il lui fallait une forte résistance pour ne pas se toucher et jouir en 10 secondes, l’envie était forte mais elle savait qu’il serait intransigeant.
- Fais-moi voir ce verre.
Il examina le contenu qui était redevenu liquide, il le fit tourner comme il l’aurait fait d’un grand cru dans un verre de Bordeaux.
- Hum ! Cela me semble à point. Tu vas boire ce contenu en ne laissant rien, tu pourras te servir de tes doigts pour cela et tu me remercieras pour cette offrande.
Fabienne prit le verre, par défi et ne pas montrer son appréhension elle s’appliquât à mettre rapidement le verre à ses lèvres, s’apprêtant à le boire cul sec.
- Heup ! heup ! heup ! Tu n’as pas l’intention de gâcher ce breuvage tout de même. Applique-toi à le déguster, 3 ou 4 gorgées feront l’affaire.
Il avait deviné, il était dans sa tête, cela l’agaçait et lui donnait un peu de fierté aussi, c’était la preuve de son engagement total. Bon il fallait y aller. Première gorgée, s’habituer, c’est froid, le goût n’est pas top, le froid à gommer l’amertume, il ne reste plus que la consistance qui elle ne change pas malgré la décongélation.
- Montre moi l’intérieur de ta bouche en tirant la langue à chaque fois.
Une humiliation de plus, mais Dieu qu’elle aimait ça. Une deuxième gorgée, en fait ça va, juste le froid à gérer, ce n’est pas ce que je préfère ce dit-elle. On ouvre la bouche, on tire la langue, j’ai tout avalé.
Ce petit moment improvisé plaisait beaucoup à Gaétan, une érection recommençais à se former. C’était jouissif de voir cette femme, cette petite grosse dont il admirait les formes, à genoux devant lui en train de boire son sperme. Troisième et dernière gorgée, elle semblait avoir pris du plaisir à cette pratique, elle sera à renouveler.
Le verre était vide.
- Tu vas dans la cuisine, tu le laves et tu vas dans la baignoire.
Elle s’exécuta rapidement et se positionna, allongée dans la baignoire.
Gaétan arrive, ouvre le robinet sur tiède/froid et commence à la laver. Fabienne surprise se laisse faire et apprécie la douceur de ces gestes. La nuit va bien se finir ! Une fois lavée et rincée, Fabienne prend appui sur les rebords et fait mine de se lever.
- Qui t’as dit de te lever. Tu fais vraiment tout pour m’énerver. Reste dans la baignoire. Sèche-toi comme ça, lui dit-il en lui lançant une serviette.
Fabienne était surprise et bafouilla.
- Pardon Monsieur, j’avais cru…- Arrête de croire et contente toi d’obéir. La séance n’est pas finie.
Fabienne pris la serviette et s’essuya tant bien que mal dans cette position non usuelle.
- Je voulais te pisser sur le corps, mais ton attitude m’a fait changer d’avis.
Fabienne n’osait pas sourire mais elle était plutôt contente de ne pas recevoir de pisse, alors qu’elle était propre.
- Cela fait deux fois que tu prends des initiatives qui ne sont pas opportunes, tu mérites donc une punition. Mais celle-ci doit être de l’ordre de ce que tu n’aimes pas, tu es d’accord ?
- Oui Monsieur, répondit-elle craintive quant à la sanction qui lui sers infligée.
- Tu m’as dit avoir pratiqué l’uro sur le corps mais que tu n’avais jamais avalé ?
- Oui Monsieur. Mais où veut-il en venir ? Se dit-elle.
- Alors voilà, tu vas ouvrir la bouche, je la remplirais de pisse et tu avaleras. Tu as compris.
- …- Faut-il vraiment que je repose la question.
- Non Monsieur, désole, oui Monsieur.
- Ouvre la bouche.
Elle n’avait jamais voulu franchir le pas, mais elle se sentait vaincue, l’envie de jouir était toujours là malgré les frustrations.
Gaétan visait la bouche, mais faisait exprès de dévier par moment et son jet frappait son visage, ses cheveux. Il la vit déglutir et avalait comme elle pouvait gorgée par gorgée le liquide doré. Elle n’y parvenait pas à chaque fois et le surplus s’écoulait sur ses seins et son dos.
Fabienne faisait des efforts, elle essayait de tout boire mais ce n’était pas facile. Elle ne se concentrait pas sur le goût juste à bien tout avaler. Elle en recevait sur les cheveux, sur les yeux, ce qui l’empêchait de les garder bien ouvert, vivement la douche qui la laverait de tout ça.
La source se tarit et Fabienne récupérer son souffle.
- C’est bien, tu es une bonne chienne, je suis très content de toi. Maintenant tu peux te lever.
Fabienne se lève et attend, elle avait failli prendre le pommeau de la douche mais c’était ravisé au dernier moment.
- Sors de la douche et essui-toi les pieds, tu me suis dans la chambre.
Elle voulait l’interpeller, maitre vous avez oublié de me laver. Mais elle savait qu’elle devait se taire et commençait à comprendre qu’elle devrait rester souillée.
- On va pouvoir se recoucher, on doit dormir un peu.
Fabienne rester debout attendant l’ordre de se coucher à coté de son maitre, mais à la place.
- Prends la couette, installe là par terre à coté du lit. Bonne nuit !
Humiliée encore une fois elle prit la couette du lit et se fit une paillasse sur le côté. Aussitôt elle se mis à repenser à tous ce qu’elle avait vécu, sincèrement elle avait tout aimé, même ce pour quoi elle n’était pas prête, peut-être plus d’ailleurs, elle voulait jouir, ça c’était une certitude. Elle ne mit pas longtemps pour s’endormir malgré la sensation lancinante qui se faisait jour dans son cul.
Gaétan se coucha en boule sur le côté, montrant son dos à Fabienne. La première partie fut intense, j’ai intérêt à assurer pour la suite. C’est sur cette réflexion, que le sommeil trouvât son chemin.
Nos deux amants s’endormir du juste.
A suivre…
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