la spectatrice
Récit érotique écrit par Polichinel [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
la spectatrice
Voici le fantasme d'une lectrice, n'hésitez pas à me contacter pour les votre !
Bonne lecture
Un soleil de plomb frappe la plage, l’éclat blanc de sa lumière sur le sable fin est complètement aveuglant. La plus part des visiteurs sont à l’eau.
Nous jouons au volley depuis plus d’une heure. Avec mes trois chums, (mes lecteurs assidus les connaissent déjà) nous affrontons quatre gars que nous avons rencontrés sur la plage. Les deux équipes sont sensiblement de la même force se qui crée des échanges violents, forts et spectaculaires. Je ne suis pas le plus grand ni le meilleur à ce sport, mais comme dans tout ce que je fais je me donne à fond, je n’hésite pas à plonger tête première pour sauver une balle perdu, ou encore à bloquer un tir au filet que je sais qui va m’écraser la face. Bref, comme nous tous, Je joue avec passion à chacun des sets. Le match premier à cinquante, 4 contre 4, attire bien quelque curieux, quelque curieuses serait plus juste comme affirmation. Bien que je n’aie aucune attirance pour mes compagnons, je sais reconnaître que huit mâles dans la mi-vingtaine au physique sculpté au couteau, jouant en torse sur une plage bondée finissent par attirer les regards féminins.
La sueur brûle mes yeux, l’eau coule sur mon corps comme si j’étais sous la douche. Ils sont finalement en en train de creuser une petite avance. 35-27 en leur faveur. 8 points ce n’est pas si pire sur cinquante on est encore capable de remonter. 42- 30 incapables de combler notre retard… 45-31 là on commence à être dans le trouble. 48-44 on s’est rapprochés, mais pas assez, le score final est de 50- 44. Des félicitations, Des poignées de mains.
Exténués on laisse le terrain en compagnie des nouveaux amis. On cherche une place pour s’asseoir et planter nos affaires. On trouve un petit coin un peu à l’écart de la foule, enfin on s’assoie et on ouvre le cooler. Douce récompense dans la gorge, la bière est froide et bonne. Que c’est bon ! Après la bière le Lac, l’eau lave le sable collé, j’enlève les grains de mes cheveux de mon corps, j’en ai jusque dans la craque, sous l’eau je me rince du mieux que je peux sans être obscène, c’est un parc familial quand même.
Rafraîchi, Je remonte au bord, c’est en marchant sur le sable brûlant que je remarque pour la première fois la beauté du paysage : Partout sur la plage les femmes se bronzent au soleil, mettant leurs corps en évidence.
Notre coin de plage, qui me semblait en retrait est maintenant occupé par une demi douzaine de nouvelles arrivées. Je reconnais parmi elles, une spectatrice du match de volley. Elle est accompagnée de ces deux amies et elles semblent toutes en grande conversation avec les autres gars sur la plage. A gauche de nos serviettes, deux autres filles se sont ajoutées, je ne connais pas ces deux la. Il y a deux autres encore qui semblent connaître nos adversaires de volley.
Les présentations faîtes, la conversation commence. Les filles sont courtoises et agréables. Les rafraîchissements coulent rapidement. Les femmes commencent à être de plus en plus chaleureuses, au mélange des conversations, il n’est pas rare qu’elles s’accotent sur l’un des gars, ou bien qu’elles acceptent que nos mains glissent sur leur dos ou cuisses sans aucune gêne. Et croyez moi les gars en profitent.
Elles sont toutes dans cet état d’esprit qui laisse entrevoir une superbe fin de la soirée, reste à deviner qui finira avec qui ? Toutes, sauf celle que je nommerai la spectatrice. La spectatrice, est plus réservée que ses amies, les deux autres rient fort parlent tout le temps. Elle, de son côté, ne parle que très peu. Son bikini est bleu pâle avec des motifs de nuage, elle est vraiment belle. Ses cheveux châtains lui tombent un peu sous les épaules. Caché sous sa timidité, son regard était fuyant, laissant cacher quelques secrets et mystères inconnus.
Est-ce simplement parce qu’elle est belle ou est-ce par défi, parce qu’elle ne semble pas participer au jeu de séduction qui s’opère autour de nous. Je décide que sera elle ou personne avec qui je veux finir l’aventure.
Déjà je me sens un peu étourdi, le mélange bière et soleil fait son effet. Je retourne au lac, nage un peu pour me rafraîchir. Je la vois sur la berge, elle est un peu à l’écart du groupe. Elle se crème les bras, le ventre et les jambes ; demande à une de ses copines de lui frotter le dos. Elle se couche sur le ventre pour bronzer.
Je suis à mon tour spectateur d’un spectacle délicieux. De mon point d’observation dans l’eau, je me régale de sa beauté. Son cul est relevé, ses jambes légèrement écartées, me laissant deviner le sillon qui mène à son sexe. J’en rêve déjà. J’imagine le goût de sa chatte sous ma langue, j’entends déjà son souffle coupé d’excitation, j’invente sa jouissance prochaine. Je bande légèrement sous l’eau. Je détourne les yeux, me concentre à nager pour me changer les idées. Question de ne pas sortir de l’eau le sexe tendu.
De retour à la plage, je m’allonge en silence à ses cotés, le soleil me sèche. Je la contemple avec convoitise, la chaleur crée des gouttelettes qui perlent sur son dos. Elle tourne la tête et me fait face. Elle remarque sans doute que je l’observe. Ses yeux croisent les miens, loin de moi l’idée de la brusquer, mais je la fixe du regard un peu plus long que nécessaire. Comme si mes yeux pouvaient briser ses défenses, je fouille les siens à la recherche des mystères cachés sous cette timidité.
Elle rougie légèrement, avant de sourire et de détourner la tête. J’ai gagné la première manche. Je me tourne sur le ventre pour cacher un début d’excitation qui menace de poindre dans mon maillot.
Tous, nous continuons à boire. Les esprits s’échaudent un peu, les gestes sont de moins en moins subtiles, les avances fusent de part et d’autres, seule la spectatrice n’y participe. Un des gars avec qui nous avons joué au volley lui passe la main le dos et pose l’autre outrageusement haut sur sa cuisse. Elle se raidit et le repousse. Le gars lui répond de se laisser faire que dans le fond elle n’attend que ça. Comme toute réponse, elle l’envoie chier et l’insulte. Avant qu’il ne réplique et l’insulte à son tour, je lui dis de fermer sa gueule et garder ses conneries pour lui.
Il se ferme, va s’asseoir plus loin. La spectatrice me regarde, ses lèvres articulent un merci silencieux. Sans la quitter des yeux, je ne réponds rien et lui sourie en baissant la tête voulant dire que ce n’était rien. Une fois de plus elle rougie avant d’esquiver mon regard. Une nouvelle manche remportée !
Du bout du pied je caresse son mollet, si doucement que c’est presque imperceptible. Elle ne me repousse pas et se laisse chatouiller. Elle semble plus détendu qu’au début de l’après midi. Elle rie plus facilement et se mêle maintenant à la conversation. L’après midi se déroule sans autre accrochage. Mais je réussis à me rapprocher de plus en plus de la spectatrice, j’en suis venu à ce qu’elle me demande lui crémer le dos, je n’allais quant même pas refuser. Avec soins, mes mains glissent entre ses épaules pour étendre la crème solaire. Le retenant d’une main, la spectatrice dénoue le cordon de son bikini pour laisser passer mes mains dans son dos. Puis elle se couche sur le ventre et se bronze.
Les ombres s’allonge sur la plage, mais la température ne descend pas. Le mercure est toujours au dessus des trente degrés. Assis à coté d’elle je laisse filer le temps. Je profite de l’intimité que je suis en train de crée avec la spectatrice. La température me force à regagner le lac. J’invite la spectatrice à venir avec moi. Elle baragouine un faible oui. En direction de l’eau, galamment je lui tends mon bras, qu’elle accepte naturellement. Sans gêne, elle marche sur la plage à mes côtés en me tenant le bras. Un peu éméchés par l’alcool, nous nous frayons un chemin au dédale de la foule sur la plage en chancelant.
L’eau nous rafraîchi, nous nageons côte à côte. En tournant autour d’elle, comme un requin autour de sa proie, je me rapproche de plus en plus. J’en viens à la frôler. Plus je m’approche, plus elle rie. Puis je me plante devant elle et la regarde droit dans les yeux.
Une petite brise forme des ondulations sur le lacs, se qui crée un halo blanc autour de ses épaules lorsque les rayons du soleil viennent s’y écraser. Elle est magnifique. Nos visage sont si proche, immobiles nous restons là à nous apprivoiser. Sous l’eau, d’une une main je parcours ses cuisses en remontant vers ses fesses. Rien n’est visible de la surface, encore moins de la berge. Arrivé aux hanches, je la tire contre moi. Comme prisonnière d’un désir qu’elle n’ose s’avouer elle me laisse la guider sans opposition aucune. Sa poitrine, vient s’écraser contre mon torse nu.
Le soir tombe, je sens que je gagne la partie. Tranquillement, ses défenses tombent. Une à une j’enlève les barrières de son esprit. Bientôt elle s’abandonnera, j’en suis sur. Nos visages sont si près, je pourrais l’embrasser, mais je n’en fais rien, je savoure l’attente…
Sans avertissement, je plaque ma main sur son entrejambe. Mes doigts se referment sur son sexe et je le maintiens solidement au creux de ma main. Surprise et confuse, la spectatrice arrête de respirer. Elle me dévisage un instant comme si elle essaie de décider de sa réaction et de la suite des événements. Son regard est entre l’extase et indignation. Mais la pression sur son sexe ne se relâche pas, au contraire je serre un peu plus fort. Je sens son sexe palpité au travers du maillot. L’affrontement visuel dure bien plusieurs secondes qui me paraissent une éternité.
Elle cède…
L’outrage disparaît de ses yeux, pour laisser place à une libération. Puis la spectatrice ferme les yeux laissant son corps prendre le dessus. Elle passe ses bras sur mes épaules et me tire à elle. Alors que nos bouches se découvrent, ses cuisses s’ouvrent largement pour laisser ma main pétrir son sexe. Au travers de son maillot, je sens son clito se gorger de plaisir.
Rapidement, mes doigts trouvent le chemin et se glissent sous la barrière de tissu. Sous l’eau ma main fouille son sexe. Sous la pression de mes doigts, son sexe s’ouvre et mon index et mon majeur entrent en elle. S’accrochant à mes épaules, elle se laisse flotter dans le lac. Ses pieds ne touchent plus à terre. La spectatrice se colle contre moi, elle pose ses lèvres sur mon cou et me cajole.
Dans les derniers rayons de soleil, je masse le feu qui brûle entre ses cuisses. Son bassin ondule, porté par le plaisir. Nous nous embrassons. Soudés l’un à l’autre, nous restons longtemps dans le lac à nous caresser. Mes mains parcourent son corps. Ses mains découvrent le mien. Je prends ses seins. Ils sont lourds et chauds dans ma main, comme je les aime. Je bécote son cou. Nous nous laissons guider par nos sens. Le désir prend le dessus, nous oublions le temps.
J’ignore combien de temps s’est écoulé depuis que j’ai commencé à la caresser mais la plage est maintenant presque déserte. Le reste du groupe est parti, ils sont probablement déjà au camping. Le soleil a disparu mais il ne fait pas encore noir, il reste encore une faible lumière. Main dans la main, portés par un désir commun nous retournons vers la rive. Alors que nous retrouvons nos serviettes, les derniers touristes quittent la plage nous laissant seuls.
Nos corps affamés se rejoignent. Mes mains découvrent sont corps. Je passe sous son maillot m’approprie ses seins. Elle s’empare de mon sexe tendu dans mon maillot. Ses mamelons durcissent sous mes caresses. Nous nous embrassons à pleine bouche. Je reprends ma maîtrise entre ses cuisses. Je masse avec fébrilité l’antre de son plaisir.
Pris par une fièvre charnelle, nous roulons au sol. Le peu de tissu qui nous sépare est rapidement enlevé. D’abord le haut de son maillot libérant sa poitrine : je me régale de ses seins sous ma langue. Je les englouti, les suce, les mordille. Puis c’est mon maillot qui prend le bord : ses mains caressent et cajolent mon membre. Enfin je retire la dernière frontière. Je découvre son sexe. Un pubis doux et soyeux finement taillé en pointe. Sa chatte est si trempée que j’en ai les doigts poisseux. Je porte mes doigts à ma bouche et me délecte du goût de son nectar.
J’effleure ses lèvres de mon nez et embrasse ses cuisses. Je m’approche de nouveau de sa vulve, que je lèche un bref instant, puis je m’éloigne encore une fois pour venir appuyer ma joue sur son ventre lisse, doux, ferme. Alors que son désir est maximum, La spectatrice ne peut plus attendre de le soulager ; elle glisse d’elle-même un doigt dans sa chatte et soupire d’aise. Je comprends le message et approche à nouveau mon visage de son entrejambe. Ayant obtenue ce qu’elle attendait de moi, la spectatrice cesse sa masturbation, me confie le relais.
Mais avant, en guise d’encouragement, elle vient caresser mes lèvres du doigt qu’elle a inséré dans sa chatte ; je l’engloutis et le suce. Il est couvert de mouille. C’est délicieux.
Je blottis finalement ma bouche au creux de son entrejambe. De mes doigts, j’écarte ses grandes lèvres et lèche très lentement, effleurant à peine l’entrée de son vagin. Puis ma langue prend de l’assurance et de la vigueur dans sa chatte. Mes coups son de plus en plus forts. Aucune parcelle de son sexe n’est épargnée. Dans le délire de son plaisir, la spectatrice s’empare de ma queue et l’engloutie dans sa bouche. Ma langue découvre l’entrée de la grotte de plaisir. J’enfonce alors trois doigts dans cette dernière. Son plaisir est instantané.
Sa langue courre sur mon gland, augmentant mon plaisir en flèche. Guider par mes seuls instincts animal, je lui assène de violent coup de rein, enfonçant mon membre profondément dans sa gorge. Mes sens sont tous en éveil. L’odeur de la cyprine de la spectatrice m’enivre, sa vue, son goût, sa texture, m’excitent comme je ne l’ai jamais été. Jamais je n’ai vu une femme mouiller autant. Son sexe est trempé, mes doigts y glissent sans aucune difficulté. Par des allers-retours rapides, je propulse son plaisir. Trois de mes doigts entre et sorte à une vitesse folle de sa grotte de plaisir.
Son clito est prisonnier de ma bouche, je l’écrase contre mon palais et fais rouler ma langue dessus ; tandis que mes doigts fouillent son bas ventre. Tout son corps m’indique la force de son plaisir. Elle tremble, ses cuisses se referment sur mon visage, ses mains tiennent ma tête appuyée contre son sexe, elle cambre le dos. Mon sexe toujours planté au fond de la gorge elle tente de continuer à me sucer malgré l’orgasme qui monte, peine perdue, elle perd le contrôle. Etouffant de plaisir, elle sort mon sexe de sa bouche, pour rendre de l’air. Elle reprend difficilement son souffle tant le plaisir est grand. Je la laisse savourer cette première décharge en ralentissant le rythme de mes caresses. Lentement les tremblements de son corps s’apaisent, doucement les ondulations de son bassin reviennent calmes. Prise dans son délire elle murmure des mots que je ne comprends pas.
Elle s’étale de tout son long sur la serviette, profitant des dernières vagues de ce premier orgasme, je me place entre ses cuisses. J’appuie ma queue à l’entrée de son sexe. Je prends et remonte ses jambes, ses mollets se posent de chaque coté de mon torse sur mes épaules. Nue, couchée sur le dos, la spectatrice offre son corps à mon regard cupide. Je la regarde. La faible lueur de la lune me donne seulement assez de lumière pour apprécier sa beauté.
Sans la prévenir, ni l’avertir, je pousse un grand coup et la pénètre. Dès le premier coup de butoir, mon pieu s’enfonce au plus profond de son ventre. Instantanément, elle râle de plaisir.
Pour son plus grand plaisir, je reste immobile planté au fond de sa grotte. Elle ressent mon sexe palpiter au fond de sa chatte. Les battements de mon cœur se répercutent le long de mon membre dressé et provoquent en elle des ondes de chaleur et de sensations enivrantes. Puis, je m’active en elle. Avec fureur, mon sexe s’enfonce dans les entrailles de la spectatrice; s’y succède une série rapide de profonds déhanchements.
Mon gland, gonflé par le désir, tapisse les parois de son plaisir. Mes coups de reins portent son plaisir pour une seconde fois vers les sommets de l’extase. Mes mains rejoignent les siennes, nos doigts s’enlacent. Alors que je plaque ses mains au sol, la spectatrice relève le bassin, laissant mon sexe aller encore plus loin en elle. Je mange sa poitrine avec avidité, je me régale du sel de sa sueur.
Je la conquière, je la possède. Tout son corps m’appartient maintenant. Je lui assène de grands coups de queue au fond la chatte. Chaque coup de butoir lui arrache un soupir de plaisir. Notre plaisir commun est si grand que notre esprit chavire. Suivant nos corps en fusion nous roulons.
Je suis maintenant derrière elle. Les mains sur ses hanches, je profite de sa croupe bien définie. Ses râles de plaisir m’existent encore plus. Je tiens ses seins à deux mains, sentant sa lourde poitrine rebondir sous mes coups.
Elle pousse le bassin en arrière m’invitant à la prendre encore plus fort. L’excitation fait place à la frénésie. Je passe pardessus elle, mes pieds passent devant ses jambes et glissent sous son ventre. A quatre pattes dans le sable, appuyée sur les coudes, elle colle ses genoux l’un contre l’autre, elle ressert les cuisses. Le passage de son sexe se referme sur mon membre tendu. Elle me laisse la chevaucher à ma guise. Ses genoux s’enfoncent dans la plage creusant des sillons sous mes coups de reins. Son sexe forme un anneau de plaisir autour du mien, quelle sublime sensation. !
Mon ventre cogne sur ses fesses sans relâche. La spectatrice bredouille quelles que syllabes incompréhensibles m’indiquant qu’elle jouie, Je suis, moi aussi, au bord du gouffre de plaisir.
Écrasée par la force de mes coups de reins en elle, la spectatrice s’allonge sur le ventre. Mes jambes glissent sous ses cuisses, empêchant ses pieds de toucher au sol. Sa poitrine est plaquée contre le sable de la plage. Ses mains rejoignent les miennes sous son corps et maintienne solidement sa poitrine
Un passant apercevant la scène croirait à un viol, tant la passion qui nous consume est foudroyante. La spectatrice, crie son plaisir, alors que j’ai peine à respirer.
De violents spasmes me forcent à m’allonger contre le dos de la spectatrice. Tout mon poids appuyé contre elle, je ressens son corps trembler. Les valves s’ouvrent, un torrent de sève chaude inonde sa grotte. Je pousse encore quels que coups de rein au fond de son sexe, notre orgasme est commun et puissant. Nos corps ne sont plus que plaisir et sensation.
Rarement j’ai vécu une telle passion.
A suivre …
Bonne lecture
Un soleil de plomb frappe la plage, l’éclat blanc de sa lumière sur le sable fin est complètement aveuglant. La plus part des visiteurs sont à l’eau.
Nous jouons au volley depuis plus d’une heure. Avec mes trois chums, (mes lecteurs assidus les connaissent déjà) nous affrontons quatre gars que nous avons rencontrés sur la plage. Les deux équipes sont sensiblement de la même force se qui crée des échanges violents, forts et spectaculaires. Je ne suis pas le plus grand ni le meilleur à ce sport, mais comme dans tout ce que je fais je me donne à fond, je n’hésite pas à plonger tête première pour sauver une balle perdu, ou encore à bloquer un tir au filet que je sais qui va m’écraser la face. Bref, comme nous tous, Je joue avec passion à chacun des sets. Le match premier à cinquante, 4 contre 4, attire bien quelque curieux, quelque curieuses serait plus juste comme affirmation. Bien que je n’aie aucune attirance pour mes compagnons, je sais reconnaître que huit mâles dans la mi-vingtaine au physique sculpté au couteau, jouant en torse sur une plage bondée finissent par attirer les regards féminins.
La sueur brûle mes yeux, l’eau coule sur mon corps comme si j’étais sous la douche. Ils sont finalement en en train de creuser une petite avance. 35-27 en leur faveur. 8 points ce n’est pas si pire sur cinquante on est encore capable de remonter. 42- 30 incapables de combler notre retard… 45-31 là on commence à être dans le trouble. 48-44 on s’est rapprochés, mais pas assez, le score final est de 50- 44. Des félicitations, Des poignées de mains.
Exténués on laisse le terrain en compagnie des nouveaux amis. On cherche une place pour s’asseoir et planter nos affaires. On trouve un petit coin un peu à l’écart de la foule, enfin on s’assoie et on ouvre le cooler. Douce récompense dans la gorge, la bière est froide et bonne. Que c’est bon ! Après la bière le Lac, l’eau lave le sable collé, j’enlève les grains de mes cheveux de mon corps, j’en ai jusque dans la craque, sous l’eau je me rince du mieux que je peux sans être obscène, c’est un parc familial quand même.
Rafraîchi, Je remonte au bord, c’est en marchant sur le sable brûlant que je remarque pour la première fois la beauté du paysage : Partout sur la plage les femmes se bronzent au soleil, mettant leurs corps en évidence.
Notre coin de plage, qui me semblait en retrait est maintenant occupé par une demi douzaine de nouvelles arrivées. Je reconnais parmi elles, une spectatrice du match de volley. Elle est accompagnée de ces deux amies et elles semblent toutes en grande conversation avec les autres gars sur la plage. A gauche de nos serviettes, deux autres filles se sont ajoutées, je ne connais pas ces deux la. Il y a deux autres encore qui semblent connaître nos adversaires de volley.
Les présentations faîtes, la conversation commence. Les filles sont courtoises et agréables. Les rafraîchissements coulent rapidement. Les femmes commencent à être de plus en plus chaleureuses, au mélange des conversations, il n’est pas rare qu’elles s’accotent sur l’un des gars, ou bien qu’elles acceptent que nos mains glissent sur leur dos ou cuisses sans aucune gêne. Et croyez moi les gars en profitent.
Elles sont toutes dans cet état d’esprit qui laisse entrevoir une superbe fin de la soirée, reste à deviner qui finira avec qui ? Toutes, sauf celle que je nommerai la spectatrice. La spectatrice, est plus réservée que ses amies, les deux autres rient fort parlent tout le temps. Elle, de son côté, ne parle que très peu. Son bikini est bleu pâle avec des motifs de nuage, elle est vraiment belle. Ses cheveux châtains lui tombent un peu sous les épaules. Caché sous sa timidité, son regard était fuyant, laissant cacher quelques secrets et mystères inconnus.
Est-ce simplement parce qu’elle est belle ou est-ce par défi, parce qu’elle ne semble pas participer au jeu de séduction qui s’opère autour de nous. Je décide que sera elle ou personne avec qui je veux finir l’aventure.
Déjà je me sens un peu étourdi, le mélange bière et soleil fait son effet. Je retourne au lac, nage un peu pour me rafraîchir. Je la vois sur la berge, elle est un peu à l’écart du groupe. Elle se crème les bras, le ventre et les jambes ; demande à une de ses copines de lui frotter le dos. Elle se couche sur le ventre pour bronzer.
Je suis à mon tour spectateur d’un spectacle délicieux. De mon point d’observation dans l’eau, je me régale de sa beauté. Son cul est relevé, ses jambes légèrement écartées, me laissant deviner le sillon qui mène à son sexe. J’en rêve déjà. J’imagine le goût de sa chatte sous ma langue, j’entends déjà son souffle coupé d’excitation, j’invente sa jouissance prochaine. Je bande légèrement sous l’eau. Je détourne les yeux, me concentre à nager pour me changer les idées. Question de ne pas sortir de l’eau le sexe tendu.
De retour à la plage, je m’allonge en silence à ses cotés, le soleil me sèche. Je la contemple avec convoitise, la chaleur crée des gouttelettes qui perlent sur son dos. Elle tourne la tête et me fait face. Elle remarque sans doute que je l’observe. Ses yeux croisent les miens, loin de moi l’idée de la brusquer, mais je la fixe du regard un peu plus long que nécessaire. Comme si mes yeux pouvaient briser ses défenses, je fouille les siens à la recherche des mystères cachés sous cette timidité.
Elle rougie légèrement, avant de sourire et de détourner la tête. J’ai gagné la première manche. Je me tourne sur le ventre pour cacher un début d’excitation qui menace de poindre dans mon maillot.
Tous, nous continuons à boire. Les esprits s’échaudent un peu, les gestes sont de moins en moins subtiles, les avances fusent de part et d’autres, seule la spectatrice n’y participe. Un des gars avec qui nous avons joué au volley lui passe la main le dos et pose l’autre outrageusement haut sur sa cuisse. Elle se raidit et le repousse. Le gars lui répond de se laisser faire que dans le fond elle n’attend que ça. Comme toute réponse, elle l’envoie chier et l’insulte. Avant qu’il ne réplique et l’insulte à son tour, je lui dis de fermer sa gueule et garder ses conneries pour lui.
Il se ferme, va s’asseoir plus loin. La spectatrice me regarde, ses lèvres articulent un merci silencieux. Sans la quitter des yeux, je ne réponds rien et lui sourie en baissant la tête voulant dire que ce n’était rien. Une fois de plus elle rougie avant d’esquiver mon regard. Une nouvelle manche remportée !
Du bout du pied je caresse son mollet, si doucement que c’est presque imperceptible. Elle ne me repousse pas et se laisse chatouiller. Elle semble plus détendu qu’au début de l’après midi. Elle rie plus facilement et se mêle maintenant à la conversation. L’après midi se déroule sans autre accrochage. Mais je réussis à me rapprocher de plus en plus de la spectatrice, j’en suis venu à ce qu’elle me demande lui crémer le dos, je n’allais quant même pas refuser. Avec soins, mes mains glissent entre ses épaules pour étendre la crème solaire. Le retenant d’une main, la spectatrice dénoue le cordon de son bikini pour laisser passer mes mains dans son dos. Puis elle se couche sur le ventre et se bronze.
Les ombres s’allonge sur la plage, mais la température ne descend pas. Le mercure est toujours au dessus des trente degrés. Assis à coté d’elle je laisse filer le temps. Je profite de l’intimité que je suis en train de crée avec la spectatrice. La température me force à regagner le lac. J’invite la spectatrice à venir avec moi. Elle baragouine un faible oui. En direction de l’eau, galamment je lui tends mon bras, qu’elle accepte naturellement. Sans gêne, elle marche sur la plage à mes côtés en me tenant le bras. Un peu éméchés par l’alcool, nous nous frayons un chemin au dédale de la foule sur la plage en chancelant.
L’eau nous rafraîchi, nous nageons côte à côte. En tournant autour d’elle, comme un requin autour de sa proie, je me rapproche de plus en plus. J’en viens à la frôler. Plus je m’approche, plus elle rie. Puis je me plante devant elle et la regarde droit dans les yeux.
Une petite brise forme des ondulations sur le lacs, se qui crée un halo blanc autour de ses épaules lorsque les rayons du soleil viennent s’y écraser. Elle est magnifique. Nos visage sont si proche, immobiles nous restons là à nous apprivoiser. Sous l’eau, d’une une main je parcours ses cuisses en remontant vers ses fesses. Rien n’est visible de la surface, encore moins de la berge. Arrivé aux hanches, je la tire contre moi. Comme prisonnière d’un désir qu’elle n’ose s’avouer elle me laisse la guider sans opposition aucune. Sa poitrine, vient s’écraser contre mon torse nu.
Le soir tombe, je sens que je gagne la partie. Tranquillement, ses défenses tombent. Une à une j’enlève les barrières de son esprit. Bientôt elle s’abandonnera, j’en suis sur. Nos visages sont si près, je pourrais l’embrasser, mais je n’en fais rien, je savoure l’attente…
Sans avertissement, je plaque ma main sur son entrejambe. Mes doigts se referment sur son sexe et je le maintiens solidement au creux de ma main. Surprise et confuse, la spectatrice arrête de respirer. Elle me dévisage un instant comme si elle essaie de décider de sa réaction et de la suite des événements. Son regard est entre l’extase et indignation. Mais la pression sur son sexe ne se relâche pas, au contraire je serre un peu plus fort. Je sens son sexe palpité au travers du maillot. L’affrontement visuel dure bien plusieurs secondes qui me paraissent une éternité.
Elle cède…
L’outrage disparaît de ses yeux, pour laisser place à une libération. Puis la spectatrice ferme les yeux laissant son corps prendre le dessus. Elle passe ses bras sur mes épaules et me tire à elle. Alors que nos bouches se découvrent, ses cuisses s’ouvrent largement pour laisser ma main pétrir son sexe. Au travers de son maillot, je sens son clito se gorger de plaisir.
Rapidement, mes doigts trouvent le chemin et se glissent sous la barrière de tissu. Sous l’eau ma main fouille son sexe. Sous la pression de mes doigts, son sexe s’ouvre et mon index et mon majeur entrent en elle. S’accrochant à mes épaules, elle se laisse flotter dans le lac. Ses pieds ne touchent plus à terre. La spectatrice se colle contre moi, elle pose ses lèvres sur mon cou et me cajole.
Dans les derniers rayons de soleil, je masse le feu qui brûle entre ses cuisses. Son bassin ondule, porté par le plaisir. Nous nous embrassons. Soudés l’un à l’autre, nous restons longtemps dans le lac à nous caresser. Mes mains parcourent son corps. Ses mains découvrent le mien. Je prends ses seins. Ils sont lourds et chauds dans ma main, comme je les aime. Je bécote son cou. Nous nous laissons guider par nos sens. Le désir prend le dessus, nous oublions le temps.
J’ignore combien de temps s’est écoulé depuis que j’ai commencé à la caresser mais la plage est maintenant presque déserte. Le reste du groupe est parti, ils sont probablement déjà au camping. Le soleil a disparu mais il ne fait pas encore noir, il reste encore une faible lumière. Main dans la main, portés par un désir commun nous retournons vers la rive. Alors que nous retrouvons nos serviettes, les derniers touristes quittent la plage nous laissant seuls.
Nos corps affamés se rejoignent. Mes mains découvrent sont corps. Je passe sous son maillot m’approprie ses seins. Elle s’empare de mon sexe tendu dans mon maillot. Ses mamelons durcissent sous mes caresses. Nous nous embrassons à pleine bouche. Je reprends ma maîtrise entre ses cuisses. Je masse avec fébrilité l’antre de son plaisir.
Pris par une fièvre charnelle, nous roulons au sol. Le peu de tissu qui nous sépare est rapidement enlevé. D’abord le haut de son maillot libérant sa poitrine : je me régale de ses seins sous ma langue. Je les englouti, les suce, les mordille. Puis c’est mon maillot qui prend le bord : ses mains caressent et cajolent mon membre. Enfin je retire la dernière frontière. Je découvre son sexe. Un pubis doux et soyeux finement taillé en pointe. Sa chatte est si trempée que j’en ai les doigts poisseux. Je porte mes doigts à ma bouche et me délecte du goût de son nectar.
J’effleure ses lèvres de mon nez et embrasse ses cuisses. Je m’approche de nouveau de sa vulve, que je lèche un bref instant, puis je m’éloigne encore une fois pour venir appuyer ma joue sur son ventre lisse, doux, ferme. Alors que son désir est maximum, La spectatrice ne peut plus attendre de le soulager ; elle glisse d’elle-même un doigt dans sa chatte et soupire d’aise. Je comprends le message et approche à nouveau mon visage de son entrejambe. Ayant obtenue ce qu’elle attendait de moi, la spectatrice cesse sa masturbation, me confie le relais.
Mais avant, en guise d’encouragement, elle vient caresser mes lèvres du doigt qu’elle a inséré dans sa chatte ; je l’engloutis et le suce. Il est couvert de mouille. C’est délicieux.
Je blottis finalement ma bouche au creux de son entrejambe. De mes doigts, j’écarte ses grandes lèvres et lèche très lentement, effleurant à peine l’entrée de son vagin. Puis ma langue prend de l’assurance et de la vigueur dans sa chatte. Mes coups son de plus en plus forts. Aucune parcelle de son sexe n’est épargnée. Dans le délire de son plaisir, la spectatrice s’empare de ma queue et l’engloutie dans sa bouche. Ma langue découvre l’entrée de la grotte de plaisir. J’enfonce alors trois doigts dans cette dernière. Son plaisir est instantané.
Sa langue courre sur mon gland, augmentant mon plaisir en flèche. Guider par mes seuls instincts animal, je lui assène de violent coup de rein, enfonçant mon membre profondément dans sa gorge. Mes sens sont tous en éveil. L’odeur de la cyprine de la spectatrice m’enivre, sa vue, son goût, sa texture, m’excitent comme je ne l’ai jamais été. Jamais je n’ai vu une femme mouiller autant. Son sexe est trempé, mes doigts y glissent sans aucune difficulté. Par des allers-retours rapides, je propulse son plaisir. Trois de mes doigts entre et sorte à une vitesse folle de sa grotte de plaisir.
Son clito est prisonnier de ma bouche, je l’écrase contre mon palais et fais rouler ma langue dessus ; tandis que mes doigts fouillent son bas ventre. Tout son corps m’indique la force de son plaisir. Elle tremble, ses cuisses se referment sur mon visage, ses mains tiennent ma tête appuyée contre son sexe, elle cambre le dos. Mon sexe toujours planté au fond de la gorge elle tente de continuer à me sucer malgré l’orgasme qui monte, peine perdue, elle perd le contrôle. Etouffant de plaisir, elle sort mon sexe de sa bouche, pour rendre de l’air. Elle reprend difficilement son souffle tant le plaisir est grand. Je la laisse savourer cette première décharge en ralentissant le rythme de mes caresses. Lentement les tremblements de son corps s’apaisent, doucement les ondulations de son bassin reviennent calmes. Prise dans son délire elle murmure des mots que je ne comprends pas.
Elle s’étale de tout son long sur la serviette, profitant des dernières vagues de ce premier orgasme, je me place entre ses cuisses. J’appuie ma queue à l’entrée de son sexe. Je prends et remonte ses jambes, ses mollets se posent de chaque coté de mon torse sur mes épaules. Nue, couchée sur le dos, la spectatrice offre son corps à mon regard cupide. Je la regarde. La faible lueur de la lune me donne seulement assez de lumière pour apprécier sa beauté.
Sans la prévenir, ni l’avertir, je pousse un grand coup et la pénètre. Dès le premier coup de butoir, mon pieu s’enfonce au plus profond de son ventre. Instantanément, elle râle de plaisir.
Pour son plus grand plaisir, je reste immobile planté au fond de sa grotte. Elle ressent mon sexe palpiter au fond de sa chatte. Les battements de mon cœur se répercutent le long de mon membre dressé et provoquent en elle des ondes de chaleur et de sensations enivrantes. Puis, je m’active en elle. Avec fureur, mon sexe s’enfonce dans les entrailles de la spectatrice; s’y succède une série rapide de profonds déhanchements.
Mon gland, gonflé par le désir, tapisse les parois de son plaisir. Mes coups de reins portent son plaisir pour une seconde fois vers les sommets de l’extase. Mes mains rejoignent les siennes, nos doigts s’enlacent. Alors que je plaque ses mains au sol, la spectatrice relève le bassin, laissant mon sexe aller encore plus loin en elle. Je mange sa poitrine avec avidité, je me régale du sel de sa sueur.
Je la conquière, je la possède. Tout son corps m’appartient maintenant. Je lui assène de grands coups de queue au fond la chatte. Chaque coup de butoir lui arrache un soupir de plaisir. Notre plaisir commun est si grand que notre esprit chavire. Suivant nos corps en fusion nous roulons.
Je suis maintenant derrière elle. Les mains sur ses hanches, je profite de sa croupe bien définie. Ses râles de plaisir m’existent encore plus. Je tiens ses seins à deux mains, sentant sa lourde poitrine rebondir sous mes coups.
Elle pousse le bassin en arrière m’invitant à la prendre encore plus fort. L’excitation fait place à la frénésie. Je passe pardessus elle, mes pieds passent devant ses jambes et glissent sous son ventre. A quatre pattes dans le sable, appuyée sur les coudes, elle colle ses genoux l’un contre l’autre, elle ressert les cuisses. Le passage de son sexe se referme sur mon membre tendu. Elle me laisse la chevaucher à ma guise. Ses genoux s’enfoncent dans la plage creusant des sillons sous mes coups de reins. Son sexe forme un anneau de plaisir autour du mien, quelle sublime sensation. !
Mon ventre cogne sur ses fesses sans relâche. La spectatrice bredouille quelles que syllabes incompréhensibles m’indiquant qu’elle jouie, Je suis, moi aussi, au bord du gouffre de plaisir.
Écrasée par la force de mes coups de reins en elle, la spectatrice s’allonge sur le ventre. Mes jambes glissent sous ses cuisses, empêchant ses pieds de toucher au sol. Sa poitrine est plaquée contre le sable de la plage. Ses mains rejoignent les miennes sous son corps et maintienne solidement sa poitrine
Un passant apercevant la scène croirait à un viol, tant la passion qui nous consume est foudroyante. La spectatrice, crie son plaisir, alors que j’ai peine à respirer.
De violents spasmes me forcent à m’allonger contre le dos de la spectatrice. Tout mon poids appuyé contre elle, je ressens son corps trembler. Les valves s’ouvrent, un torrent de sève chaude inonde sa grotte. Je pousse encore quels que coups de rein au fond de son sexe, notre orgasme est commun et puissant. Nos corps ne sont plus que plaisir et sensation.
Rarement j’ai vécu une telle passion.
A suivre …
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