La star académie: la plus digne des deux. épisode 4
Récit érotique écrit par Sabine et Patrick [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2004 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La star académie: la plus digne des deux. épisode 4
Etendue sur son lit, elle prit sa poitrine à pleines mains et commença à pétrir ses inébranlables mamelles avec ses petits doigts… Elle ferma les yeux et, la puanteur du foutre encore présentes, çà et là, sur les draps, lui permit un flash-back excitant. À tâtons, elle ratissa le dessus du lit à la rechercher du Kleenex avec lequel Xavier s’était essuyé la verge. Christine saisie le morceau de papier avec délicatesse, soudainement, elle a l’appréhension de souiller ses doigts, mais il est déjà trop tard... Elle porte le bout de feuilles humides à ses narines et hume ces odeurs qui l’ont toujours obsédée.
Avec une moindre conviction, elle continuait de se caresser en pensant à ses deux séducteurs et peu à peu, ses paupières se firent lourdes, très lourdes…
Deux nuits s’étaient écoulées… Comme tous les soirs, les cimes du village de Mortelèze accueillaient l’obscurité. Alors que le clocher de l’église sonnait vingt heures, le célèbre café-restaurant était empli de consommateur et de curieux. Pourquoi ? Question saugrenue !!! Autant que ces quadragénaires qui circulaient sur le pavé et qui examinaient l’intérieur de la « pension de vieillard » à la recherche de leur unique centre d’intérêt !
Un quart d’heure plus tard, en retard, Christine entra en toute hâte dans l’établissement et déjà, comme chaque soir, elle subissait plusieurs sifflets d’admirations. Ce soir, elle était encore égale à elle-même. Pour servir et séduire la clientèle, elle avait revêtu une robe noire très seyante qui lui permettait de mettre en valeur toutes ses formes et, pour une fois, sa tenue descendait plus bas que mi-cuisses (aux genoux).
Rapidement, alors qu’elle s’apprêtait à prendre son service, Christian l’interpella et l’informa que ce soir, elle ne servirait pas !? Il avait besoin d’elle pour faire la comptabilité du mois et devant la grandeur de cette besogne, il préférait échanger son travail et retrouver le contact avec les consommateurs. C’était étrange, il ne semblait plus autant attiré par son employée ; toutefois, la sensualité des formes de l’aguicheuse ne le laissait pas complètement indifférent.
Deux heures s’étaient écoulées... Mademoiselle Christine Chapot était descendue dans la cave pour faire l’inventaire des célèbres breuvages du père Christian. Après avoir poussé la lourde porte du cellier, affronté une humidité pénétrante et quelques toiles d’araignées, elle vérifiait l’étiquette des vins et leurs millésimes. Subitement, elle se retourna vers la porte et découvrit, une créature hostile : son patron, en train de barrer l’échappatoire. Malgré la panique qui glaçait ses chairs et ses os, elle ne se troublait point. L’obsédé avançait vers elle et Christian se retrouvait rapidement épaule contre épaule avec son unique fantasme.
- Que faites-vous, Christine ?! Ça fait trente minutes que vous êtes descendue !!! Vous vous pinter ou vous faites vos comptes ?
- Devinez !
- Cessez d’être arrogante avec moi ! Ça suffit !
- Je viens à peine de descendre, alors vos fantasmes d’alcoolique, vous pouvez vous les mettre là où je le pense !!!
- L’arrogance ne vous va pas ! Restez vous-même ! (Il la regardait de bas en haut) Vous vous habillez comme une putain, une allumeuse et je suis certain que vous devez allumer des clients dans mon restaurant pour faire des passes après votre travail !…
Christine n’eut pas envie de développer ces divagations, elle se dirigea vers la sortie et ignora son patron ; mais il fut le plus rapide : violemment, Christian referma la porte et coinça la blondinette. Il s’emporta et rapidement, il posa ses grosses mains sur le corps aux formes sensuelles. Depuis qu’elle était arrivée dans son restaurant, il n’en pouvait plus de voir ses seins et ses grosses fesses mises en valeur par des robes trop seyantes et abusivement vulgaires. Ce soir, il n’avait plus peur des conséquences de ce que certain appel un viol ! « P’tit bec » tenta de se débattre, mais elle n’y mit pas de conviction ?!… Quand l’agresseur empoigna la grosse poitrine, Christine poussa une plainte de ravissement, les doigts virils compressèrent les obus confinés à l’étroit, la brutalité de l’ex-militaire révéla les deux bonnets d’un soutien-gorge blanc et, une aréole foncée qui captiva le regard de Christian, avant de le faire baver malgré lui… Subitement, la petite garce lui envoya un coup de genou dans les testicules. Christian s’écroula sur le sol. Enervée, notre tombeuse de mâles passa la porte, la referma sur la colère et elle remonta au premier pour finir sa comptabilité.
L’heure était passée bien vite et entre deux colonnes de chiffre, Christine s’était sentie flattée d’être courtisée par cet homme qu’elle aimait simplement allumer. À ce moment-là, elle entr’aperçue l’ombre rouge du blouson de Christian par la fenêtre du bureau. Quelques instants après résonna le bruit d’un moteur de camionnette et le constat d’un départ. Débarrassée de son seigneur, elle prenait ses aises et par vice, elle prit la pose dans le fauteuil de celui qui devait, ici même, se masturber tous les jours en pensant à elle.
Alors que vingt-trois heures étaient passées depuis trente minutes, l’un des serveurs vint interroger Christine à propos de la présence du patron. Tout le monde le cherchait et Christine répondit qu’elle l’avait vue s’en aller en direction de sa camionnette ! En professionnelle, elle demanda à l’employé de prendre les dispositions nécessaires au cas où Christian ne reviendrait pas prendre la caisse ! L’esprit de Christine s’emballait : peut-être que le coup de genou avait poussé son patron à rejoindre l’hôpital ?! C’était étrange, ce départ précipité et, une grosse incertitude sur le coeur, la star du village de Mortelèze descendit dans la cave. Un peu trop confinée dans une robe noire trop étroite, elle eut du mal à descendre la vingtaine de marches…
- Vous pouvez descendre, s’il vous plait ?! Je suis ici ! Je n’arrive plus à bouger !!! À l’aide !!! Qui est-ce ?
Christine accéléra le pas en direction des paroles. Sa poitrine balança au rythme de sa nervosité… Derrière la porte qu’elle était obligée pousser, elle découvrit son patron allongé sur le sol. Il était blême et acariâtre.
- Je ne peux plus bouger les jambes ! Si tu m’as bousillé quelques choses, je te jure que je porte plainte contre toi, p’tite conne ! Ce n’est pas croyable de tomber sur des garces comme toi !
- Mon dieu !!! Calmez-vous ! Si ça se trouve, ce n\'est rien ! Cessez ce jeu !
- Comment expliques-tu que je ne puisse plus bouger, connasse ?
- Je vais appeler une ambulance !
- Non ! Tu es conne ou quoi ?! Je ne suis pas mourant !!! Va me chercher un verre de rouge : j’ai soif !
- Mais…
- J’ai fait l’armée, je ne suis pas une femmelette ! Bouge ton gros cul !!! Allez !!! Dépêche-toi !
Visiblement, le coup qu’elle lui avait porté avait fait plus de dégât que prévu. Christine s’en alla chercher un verre de Beaujolais et pendant ce temps-là, le rustre déboutonna son pantalon !? Il le descendit avec son slip jusqu’aux genoux pour exhiber à lui-même sa verge en pleine érection molle. Tant bien que mal, il écarta les cuisses et vérifia l’état de ses testicules. Quand Christine revint, elle se sentit outrée, mais il la musela en cachant une partie de son sexe.
- Regarde, espèce de connasse !!! Elles sont toutes rouges !!! (Il les dévoila) J’ai peur qu’un caillot de sang ne se forme et que cela entraîne un infarctus. Si… (il accusait le coup) je ne me sens déjà pas très bien ! Je te traînerais en justice !
- L’ambulance ! Soyez raisonnable ! (elle s’approchait de lui…)
- Mais non ! Ça ne changera rien… pour toi !
Elle resta là, sans parole, quand soudain, d’un air vicieux, le patron interpella son employée :
- Si tu me branles, afin de faire sortir le caillot de sang, alors je ne dirais rien ! Rien qu’entre tes petits doigts de secrétaire de mairie ?! D’accord ?
- Un caillot de sang, ça ne peut pas s’évacuer comme ça !?!?!? Vous me prenez pour une conne ? Puis on ne prend pas un infarctus à cause d’un coup de pied dans les couilles !?
- C’est toi qui as fait l’armée ou moi ! Branle-moi, salope !!!
Pendant qu’il buvait une gorgée de rouge, Christine hésita… Tout c’était enchaîné si vite que maintenant, elle paniquait… Perplexe, elle est dévisagée par les gros yeux de Christian. Finalement, à regret, elle s’agenouille sur le sol et, perverse, elle ne peut s’enlever de l’esprit sa séance de touche pipi chez elle. Ça lui donne envie de recommencer et cette fois-ci, sauver sa peau ! Elle commence par saisir, entre quatre doigts, le membre à la forme retrouvée… Délicatement et à contrecœur, elle décalotte le gland et commence à branler la belle verge. Christian est au paradis, son visage est étreint par la béatitude, ses paupières se closent et il esquisse un sourire idiot. Au bout de quelques minutes, il pose une main sur les cuisses de Christine, sa robe est remontée jusqu’à mi-cuisses. L’inspection peut débuter, les doigts noueux remontent difficilement sous la robe, entre les cuisses humides, puis touchent le string et bientôt, les poils pubiens... L’ex-militaire écarte l’obstacle du morceau de tissu, il frotte ses doigts contre le clitoris, mais la jeune femme est trop nerveuse pour broncher. Alors Christian abandonne ses prestations sur son employée, il prend ses aises en autant son pantalon et son slip ; il écarte en grand les jambes pour exhiber ses bourses à l’opinion de Christine : tous les deux croisent leur regard et la petite blonde tente de garder un brin fierté en empoignant plus fermement la grosse verge dans sa petite main. Elle baisse les yeux, presse ses doigts autour du pieu et accélère ses mouvements de va et vient.
- Assis toi sur moi, Christine ! Aller, viens ma chérie !
- Non ! Pas ça ! Je ne suis pas une fille facile !
Christine se redresse presque immédiatement et fermement, elle quitte la cave… en direction des escaliers.
- Reviens ici, salope ! Je veux que tu me fasses jouir ! Allez !!! Reviens ici, fait moi cracher !!!
Elle n’a pas eu le temps de redescendre sa robe ; dans la montée d’escalier qui débouche dans les cuisines, sur les marches en bois, elle s’immobilise et réfléchit... Elle lève les yeux vers cette porte qui est close, avant de tourner les talons et s’assoire sur l’une des marches. Elle ferme les yeux et resserre les cuisses. Son intense réflexion est contrariée par une toile d’araignée collée sur le bas de sa robe : elle l’ôte, quand soudain, son regard est captivé par la porte du cellier d’où s’échappent des paroles monstrueuses :
- Je sais que tu es là, petite pute ! Saches que je suis en train de me branler en pensant à ton petit string. J’ai les doigts encore imprégnés de ton odeur de blondasse lubrique. Mmm… si tu voyais, je les passe sur mon gland… Allez viens ! Sois toi-même !
Alors qu’il se fait son cinéma, Mademoiselle Chapot desserre les cuisses ; elle soupire et ne semble plus vraiment la même… En pointant ses yeux sur la porte du cellier, elle prend ses seins à deux mains et impudique, elle commence à les tripoter. Assez rapidement, une de ses mains abandonne sa poitrine pour relever difficilement la robe jusqu’aux hanches, afin d’autoriser cinq doigts à détourner son string. Son index frictionne son bourgeon ventru au rythme des gémissements de son patron qui s’excite de plus en plus fort dans la cave. Avec lui, elle « s’unit » dans le vice pour atténuer un feu qui la consume depuis trop longtemps… Au bout d’un instant, elle baisse sa robe sur son string trempé de cyprine, elle ne peut s’empêcher de redescendre les quelques marches pour retourner discrètement dans l’entrée du cellier… Elle repousse à peine la porte et là, elle découvre de suite Christian, en pleine extase : une giclée s’extirpe de son gland tout pourpre, des jets de semence sont éjectés puissamment et retombent en flots compacts et visqueux sur les doigts et les testicules de Christian.
Christine est écarlate, son patron a déchargé pour elle et maintenant, elle le découvre inoffensif. Elle ne peut détacher son regard de cette verge qui reflux encore... La blonde aux formes luxurieuses, provocantes, pousse la porte et entre dans le cellier pour… (Cher lecteur, ici, c’est à vous d’imaginé ce que « P’tit bec va bien pouvoir faire ?! Envoyez-moi votre réponse et la meilleure scène sera récompensée par sa présentation dans la Star Académie 5, la suite !)
Une semaine plus tard… Alain, le célèbre facteur de Mortelèze entrait dans la propriété des parents de Mademoiselle Chapot. Ce n’était pas sans une certaine appréhension, une certaine excitation, qu’il se dirigea et sonna à la porte qui s’entrouvrit rapidement sur le beau-père de Christine.
- Bonjour ! Comment va aujourd’hui ? J’ai un recommandé pour Christine !
- Bonjour ! Ça va très bien ! J’espère qu’elle ne nous amène pas d’ennuis !?!?!?
- Non, pensez-vous ! Elle est inoffensive !!!
Le jeune entrepreneur des cœurs sortit de sa sacoche un pli cacheté par un sceau. Les deux hommes se remplirent de perplexité.
- Ça doit être une lettre de licenciement ?!
- Je ne sais pas ! Vous devriez avoir plus d’estime pour votre fille ! Elle vaut bien mieux que ce que vous laissez entendre à tord et à travers !…
- Mais… de quoi je me mêle ?! Occupez-vous de faire votre tournée et… cessez de tourner autour de ma fille !
Alain entra dans la demeure, alors que le beau-père, furieux d’avoir accueilli chez lui un second coq, décida de retourner dans le salon. Alain, quant à lui, décrivit les lieux, la montée d’escaliers avec un sourire vicieux, avant de s’élancer vers le premier étage avec un étonnant dynamisme.
Derrière la porte de la chambre, le facteur percevait la musique d’un concert R&B en live. Après avoir frappé par deux fois et en vain, il entra prudemment dans le repère secret de Christine. Tout de suite, il fut surpris par l’étonnante clarté de la chambre, une lumière presque surnaturelle…
La porte s’ouvrit sur Alain avec une étrange lettre à la main. Il regarda en direction du lit et son visage se ferma sur le coup de la colère. Ses yeux papillonnèrent, son visage devint grave et il posa un genou à terre en éclatant en sanglot… ?!?!
Soudainement, nu (?!) , à quatre pattes sur le sol, il se dirigea vers le lit. Brusquement, il dût se frayer un passage entre une paire de jambes d’hommes, puis une seconde, avant de rester au pied d’une troisième paire de jambe très poilue qui montait la garde. Alain contourna l’homme et poursuivit son parcours. Enfin, il redressa la tête et vérifia que Christine était allongée sur le lit, son visage irradiait la joie et le bonheur. Dix hommes encerclaient son lit ?!?! Ils étaient tous nus ! Ils se masturbaient de concert tout en caressant le corps de la célèbre secrétaire de mairie : une cinquantaine de doigts se partageaient cuisses, pieds et cheveux, mais plus particulièrement, les formes rebondies d’une imposante poitrine. Dix mains pour toucher une star et dix autres mains, chacune branlant un sexe enveloppé dans un préservatif.
- Approche Alain !…
- Mais que fais-tu Christine ?!
Il se hissait sur les genoux et posait les deux mains sur le bord du lit comme le bon toutou pour sa maîtresse.
- En bon facteur, n’as-tu rien à me remettre ?
Devant son incertitude, elle le gifla violement et il éclata en sanglot, avant de se mettre debout en baissant la tête et les yeux. Autour de sa verge fermement bandée, il a attaché la lettre recommandée… que Christine vient quérir.
- Rends-moi hommage !
Mademoiselle Chapot se désintéressa de cette lettre qui excitait de suite les curiosités, elle préférait attarder son regard sur la virilité d’Alain qui avait commencé à se branler comme les autres, mais lui, c’était sans préservatif…
Entièrement nue, sur le lit, elle se régalait du spectacle à en voir ses petits doigts de pieds qui se recroquevillaient sur eux-mêmes. Elle frotta délicatement ses talons sur les draps, releva légèrement les genoux et frotta l’intérieur de ses cuisses bien grasses, l’une contre l’autre… Une petite main forte vint se poser sur les poils bruns de son sexe esthétiquement taillé. C’était étrange, vu sous cet angle, son ventre était plus enrobé qu’à l’habitude, plus gras, un bourrelet le marquait comme jamais… Ses hanches semblaient légèrement plus larges. Sa poitrine était toujours imposante, mais la fermeté l’avait abandonné : avait-elle grossi ? Ses seins reposaient bien gras sur sa poitrine. Son regard foncé se leva plein d’abandon vers Alain qui tirait sur son sexe. La brunette aux longs cheveux bruns posés en batailles sur les draps entrouvrait sa bouche à pipes. Quelques mèches courraient sur son front et la vulgarité était affichée sur son visage : qui était-elle ? Où était passée Christine ?!?!
Alors que tous les hommes se bandaient les yeux, le corps de cette brune devenait la seule proie du regard d’Alain. Mèche brune passa une main sur sa poitrine, ses doigts bagués s’enfoncèrent dans son épaisse poitrine aux pointes dressées par la perversité. La jeune femme se régalait de sentir ses bracelets métalliques frotter contre ses pointes. Soudain, quelques préservatifs atterrirent sur les draps… Un jet de semence vint se mêler aux doigts bagués, le foutre coula et « la grosse » n’eut pas le temps de l’étaler sur ses seins qu’un second jet vint augmenter la quantité de crème testiculaire. Le visage de cette jeune femme de vingt et un ans s’illuminait de bonheur, de plaisir, sa mèche tremblotait aux sommets de son front, avant qu’une giclée plus épaisse que les autres ne l’ébranle et la fixe sur le reste de ses cheveux. Cette salve gluante vint d’autre part, carrément à l’opposé d’Alain : c’était l’un des autres mâles, il ébranlait fortement sa verge et finit par jouir… La mèche brune de la petite grosse se retrouvait engluée sous plusieurs salves de foutre, alors que l’on devinait la semence originelle couler entre ses seins et s’écouler lentement vers sa gorge pour probablement se fondre dans les cheveux ou l’oreiller. Ses yeux brillaient de joie, alors qu’une troisième semonce vint atterrir en plein sur ses lèvres plutôt charnues, elle sortit sa langue pour laper un zest de foutre, quand soudain… quelqu’un se réveilla !!!!!!
Les yeux exorbités, Christine décrivit la pièce… vide et, son corps recouvert par sa seule couette. Notre blondinette se posa sur les coudes.
- Mon dieu : que j’étais vulgaire !!! J’espère que je ne serais jamais aussi grosse que cette fille !!!
Alors qu’elle se rappelait les impressions goulues du sperme qui avait englué ses petites lèvres, elle repensa immédiatement aux grossièretés qu’elle avait faites dans le sellier.
Soudain, derrière la porte de sa chambre, elle entendit quelqu’un descendre les escaliers en toute hâte. Elle n’y porta point attention et savoura exclusivement le silence de la pièce après ce déluge d’émotions. Elle descendit le drap jusqu’à son nombril et regarda son corps dénudé, encore moite et humide de ses frayeurs... Un coup d’œil sur la descente de lit, mais définitivement, elle était bien seule avec ses chaleurs.
Soudain, son attention fut mobilisée par une personne qui essayait délicatement de tourner la poignée de la porte de sa chambre et Christine, surprise, n’eut pas le temps de se recouvrir… Elle s’allongeait de nouveau et faisait celle qui dormait.
La porte s’ouvrit sur… sa mère. Prudemment, cette dernière alla vers le bureau de sa fille et y déposa une… lettre cachetée par un sceau (!?!?) avant de repartir précautionneusement.
Un quart d’heure s’écoula… Remise de ses émotions, Christine se leva entièrement nue et se dirigea vers son bureau. Elle ouvrit son courrier et vérifia avec joie qu’elle était la gagnante d’un concours. Cette fois-ci, elle avait obtenu une après-midi gratuite pour une séance photo à Villefranche-sur-saône. Ça devait être situé à soixante-dix kilomètres de Mortelèze, c’était loin, mais peu importe : c’était sa chance ! Le nom du studio photo : « Le 666 »
Quatre matins plus tard, harnachée de deux petits sacs de sport, elle quittait la demeure familiale pour conquérir le monde… Enfin, Villefranche-sur-saône ! Vêtue d’un jean clair, bien moulant et d’un chemisier d’un blanc éclatant, elle s’éloigna de trois cents mètres avant qu’une voiture ne s’arrête… pour l’emmener jusqu’au village. À l’arrêt du bus, elle attendit une quinzaine de minutes. Mais les minutes passèrent vite, sa présence ne passait pas inaperçue et la star de Mortelèze attira à elle une foule de passant à qui elle ne manqua pas de dire que bientôt, elle allait devenir une star internationale.
Trois quarts d’heure plus tard, à la gare de Lyon, la Part dieu, elle dû attendre quarante minutes pour pouvoir prendre ce train qui allait l’emmener à Villefranche. Elle ne venait pas souvent dans la capitale des gaules, trop rarement et à chaque fois, cette ville était une découverte pour elle. Mais ce regard tout écarquillé qui refusait toutes les attentions des voyageurs s’évertuait à trouver le panonceau des toilettes.
Enfermée derrière sa porte, elle ouvrait l’un de ses sacs de sport, puis se déshabilla, afin de revêtir une toute petite jupe noire à carreaux blancs. Elle chaussa des souliers à talons hauts et après s’être refaite une petite beauté, elle déboutonna l’un des boutons de son chemisier pour sublimer son large décolleté et vanter une poitrine toujours aussi généreuse.
Pour la plus grande joie des voyageurs du quai D, elle dut se hâter pour trouver sa voiture et ne pas louper son train. Elle chercha la tranquillité et pour passer les quarante minutes qui la séparaient de Villefranche, elle décida de bouquiner et lire : « Marie est une petite effrontée » de Sabine Delamontagne. À la découverte de ce récit, Christine déménagea de sa place pour se diriger plus en arrière du train, plus précisément dans les compartiments cabines où elle serait plus tranquille pour savourer ce récit.
À Villefranche, elle commanda un taxi… qui la déposa à la hauteur du 46, rue des manufactures. Inquiète, elle paya le taxi. Devant l’absence d’une quelconque enseigne de studio, elle se dirigea vers le numéro… 46 et découvrit que le grand studio « 666 » se trouvait probablement être, un petit studio au quatrième étage d’un immeuble assez vétuste.
Pleine d’inquiétude, elle entra dans le hall plutôt sordide. Les boîtes aux lettres étaient dans un état pitoyable et entre deux prémonitions de violence, elle repéra sur un scotch, l’intitulé : « Studio 666 : Benoît Mancini ». Elle n’eut pas le temps de s’interroger sur la suite des événements que dans les étages, elle percevait un rire de femme vulgaire et épanouie. Aux bruits des pas, Christine devina qu’elle n’était pas seule. Prudemment, elle se dirigea dans la montée d’escaliers. Rapidement, elle tomba nez à nez avec une petite brune, un peu enrobée, tout comme elle. Les deux femmes croisèrent leur regard et Christine n’eut pas le temps de vérifier sa cote auprès des deux hommes qui accompagnaient cette jeune femme aux longs cheveux bruns. Soudain, une odeur de luxure incommodait les narines de « P’tit bec ». C’était une odeur familière… La gorge serrée, notre mannequin finissait de gravir l’escalier avant de se retourner vers la « mèche gominée ». La paluche de l’un des types était en train de batifoler sur les grosses fesses de cette femme que Mademoiselle Chapot trouvait un peu vulgaire.
Trois étages plus haut, Christine se retrouva nez à nez avec son destin, elle était plutôt juste à l’heure et se dit qu’un photographe pouvait bien accepter une heure et demie de retard pour une future star.
Elle sonna à la porte et presque immédiatement, une odeur de fauve avait semblé précéder l’ouverture de la porte. Dès le premier regard, Benoît, le photographe détailla le corps de Christine sur un ton sexuel. Alors que notre héroïne se présenta sommairement dans l’entrée, une odeur de copulation, de sperme, violait ses narines et s’imposait à son esprit sur un ton de plus en plus familier.
Au premier regard, elle avait trouvé Monsieur Mancini vraiment charmant et elle était ravie que ce soit réciproque. Elle se disait que c’était toujours bien d’avoir un photographe dans sa poche quand on veut devenir une star.
Alors qu’elle se dirigeait vers ce qui ressemblait à un salon, elle baignait dans une moiteur douteuse qui relativisait le charme de son jeune photographe. Lui, il la regardait comme un chien en chaleur, sa tenue sexy le faisait flipper !!! Il ne pouvait plus détacher ses yeux de cette jupe à carreaux noirs et surtout, de ce décolleté qui cachait des obus qui le faisait bégayer.
Ils discutèrent de chose et d’autres, chacun savaient ce qu’il avait à faire et aujourd’hui, il n’y aurait pas d’inconnue au programme ! Benoît Mancini était un arriviste et Christine se sentait sur la même longueur d’onde. Mademoiselle Chapot parlait avec passion de sa soif de célébrité, de sa popularité à la mairie et au café-restaurant. Ça faisait à peine dix minutes qu’elle était entrée dans ce studio, qu’elle commençait déjà à s’y sentir bien. Benoît voulu passer aux choses sérieuses et en ce début d’après-midi, il invita Christine à prendre une douche, avant l’essayage d’une multitude d’habits…
À SUIVRE
Avec une moindre conviction, elle continuait de se caresser en pensant à ses deux séducteurs et peu à peu, ses paupières se firent lourdes, très lourdes…
Deux nuits s’étaient écoulées… Comme tous les soirs, les cimes du village de Mortelèze accueillaient l’obscurité. Alors que le clocher de l’église sonnait vingt heures, le célèbre café-restaurant était empli de consommateur et de curieux. Pourquoi ? Question saugrenue !!! Autant que ces quadragénaires qui circulaient sur le pavé et qui examinaient l’intérieur de la « pension de vieillard » à la recherche de leur unique centre d’intérêt !
Un quart d’heure plus tard, en retard, Christine entra en toute hâte dans l’établissement et déjà, comme chaque soir, elle subissait plusieurs sifflets d’admirations. Ce soir, elle était encore égale à elle-même. Pour servir et séduire la clientèle, elle avait revêtu une robe noire très seyante qui lui permettait de mettre en valeur toutes ses formes et, pour une fois, sa tenue descendait plus bas que mi-cuisses (aux genoux).
Rapidement, alors qu’elle s’apprêtait à prendre son service, Christian l’interpella et l’informa que ce soir, elle ne servirait pas !? Il avait besoin d’elle pour faire la comptabilité du mois et devant la grandeur de cette besogne, il préférait échanger son travail et retrouver le contact avec les consommateurs. C’était étrange, il ne semblait plus autant attiré par son employée ; toutefois, la sensualité des formes de l’aguicheuse ne le laissait pas complètement indifférent.
Deux heures s’étaient écoulées... Mademoiselle Christine Chapot était descendue dans la cave pour faire l’inventaire des célèbres breuvages du père Christian. Après avoir poussé la lourde porte du cellier, affronté une humidité pénétrante et quelques toiles d’araignées, elle vérifiait l’étiquette des vins et leurs millésimes. Subitement, elle se retourna vers la porte et découvrit, une créature hostile : son patron, en train de barrer l’échappatoire. Malgré la panique qui glaçait ses chairs et ses os, elle ne se troublait point. L’obsédé avançait vers elle et Christian se retrouvait rapidement épaule contre épaule avec son unique fantasme.
- Que faites-vous, Christine ?! Ça fait trente minutes que vous êtes descendue !!! Vous vous pinter ou vous faites vos comptes ?
- Devinez !
- Cessez d’être arrogante avec moi ! Ça suffit !
- Je viens à peine de descendre, alors vos fantasmes d’alcoolique, vous pouvez vous les mettre là où je le pense !!!
- L’arrogance ne vous va pas ! Restez vous-même ! (Il la regardait de bas en haut) Vous vous habillez comme une putain, une allumeuse et je suis certain que vous devez allumer des clients dans mon restaurant pour faire des passes après votre travail !…
Christine n’eut pas envie de développer ces divagations, elle se dirigea vers la sortie et ignora son patron ; mais il fut le plus rapide : violemment, Christian referma la porte et coinça la blondinette. Il s’emporta et rapidement, il posa ses grosses mains sur le corps aux formes sensuelles. Depuis qu’elle était arrivée dans son restaurant, il n’en pouvait plus de voir ses seins et ses grosses fesses mises en valeur par des robes trop seyantes et abusivement vulgaires. Ce soir, il n’avait plus peur des conséquences de ce que certain appel un viol ! « P’tit bec » tenta de se débattre, mais elle n’y mit pas de conviction ?!… Quand l’agresseur empoigna la grosse poitrine, Christine poussa une plainte de ravissement, les doigts virils compressèrent les obus confinés à l’étroit, la brutalité de l’ex-militaire révéla les deux bonnets d’un soutien-gorge blanc et, une aréole foncée qui captiva le regard de Christian, avant de le faire baver malgré lui… Subitement, la petite garce lui envoya un coup de genou dans les testicules. Christian s’écroula sur le sol. Enervée, notre tombeuse de mâles passa la porte, la referma sur la colère et elle remonta au premier pour finir sa comptabilité.
L’heure était passée bien vite et entre deux colonnes de chiffre, Christine s’était sentie flattée d’être courtisée par cet homme qu’elle aimait simplement allumer. À ce moment-là, elle entr’aperçue l’ombre rouge du blouson de Christian par la fenêtre du bureau. Quelques instants après résonna le bruit d’un moteur de camionnette et le constat d’un départ. Débarrassée de son seigneur, elle prenait ses aises et par vice, elle prit la pose dans le fauteuil de celui qui devait, ici même, se masturber tous les jours en pensant à elle.
Alors que vingt-trois heures étaient passées depuis trente minutes, l’un des serveurs vint interroger Christine à propos de la présence du patron. Tout le monde le cherchait et Christine répondit qu’elle l’avait vue s’en aller en direction de sa camionnette ! En professionnelle, elle demanda à l’employé de prendre les dispositions nécessaires au cas où Christian ne reviendrait pas prendre la caisse ! L’esprit de Christine s’emballait : peut-être que le coup de genou avait poussé son patron à rejoindre l’hôpital ?! C’était étrange, ce départ précipité et, une grosse incertitude sur le coeur, la star du village de Mortelèze descendit dans la cave. Un peu trop confinée dans une robe noire trop étroite, elle eut du mal à descendre la vingtaine de marches…
- Vous pouvez descendre, s’il vous plait ?! Je suis ici ! Je n’arrive plus à bouger !!! À l’aide !!! Qui est-ce ?
Christine accéléra le pas en direction des paroles. Sa poitrine balança au rythme de sa nervosité… Derrière la porte qu’elle était obligée pousser, elle découvrit son patron allongé sur le sol. Il était blême et acariâtre.
- Je ne peux plus bouger les jambes ! Si tu m’as bousillé quelques choses, je te jure que je porte plainte contre toi, p’tite conne ! Ce n’est pas croyable de tomber sur des garces comme toi !
- Mon dieu !!! Calmez-vous ! Si ça se trouve, ce n\'est rien ! Cessez ce jeu !
- Comment expliques-tu que je ne puisse plus bouger, connasse ?
- Je vais appeler une ambulance !
- Non ! Tu es conne ou quoi ?! Je ne suis pas mourant !!! Va me chercher un verre de rouge : j’ai soif !
- Mais…
- J’ai fait l’armée, je ne suis pas une femmelette ! Bouge ton gros cul !!! Allez !!! Dépêche-toi !
Visiblement, le coup qu’elle lui avait porté avait fait plus de dégât que prévu. Christine s’en alla chercher un verre de Beaujolais et pendant ce temps-là, le rustre déboutonna son pantalon !? Il le descendit avec son slip jusqu’aux genoux pour exhiber à lui-même sa verge en pleine érection molle. Tant bien que mal, il écarta les cuisses et vérifia l’état de ses testicules. Quand Christine revint, elle se sentit outrée, mais il la musela en cachant une partie de son sexe.
- Regarde, espèce de connasse !!! Elles sont toutes rouges !!! (Il les dévoila) J’ai peur qu’un caillot de sang ne se forme et que cela entraîne un infarctus. Si… (il accusait le coup) je ne me sens déjà pas très bien ! Je te traînerais en justice !
- L’ambulance ! Soyez raisonnable ! (elle s’approchait de lui…)
- Mais non ! Ça ne changera rien… pour toi !
Elle resta là, sans parole, quand soudain, d’un air vicieux, le patron interpella son employée :
- Si tu me branles, afin de faire sortir le caillot de sang, alors je ne dirais rien ! Rien qu’entre tes petits doigts de secrétaire de mairie ?! D’accord ?
- Un caillot de sang, ça ne peut pas s’évacuer comme ça !?!?!? Vous me prenez pour une conne ? Puis on ne prend pas un infarctus à cause d’un coup de pied dans les couilles !?
- C’est toi qui as fait l’armée ou moi ! Branle-moi, salope !!!
Pendant qu’il buvait une gorgée de rouge, Christine hésita… Tout c’était enchaîné si vite que maintenant, elle paniquait… Perplexe, elle est dévisagée par les gros yeux de Christian. Finalement, à regret, elle s’agenouille sur le sol et, perverse, elle ne peut s’enlever de l’esprit sa séance de touche pipi chez elle. Ça lui donne envie de recommencer et cette fois-ci, sauver sa peau ! Elle commence par saisir, entre quatre doigts, le membre à la forme retrouvée… Délicatement et à contrecœur, elle décalotte le gland et commence à branler la belle verge. Christian est au paradis, son visage est étreint par la béatitude, ses paupières se closent et il esquisse un sourire idiot. Au bout de quelques minutes, il pose une main sur les cuisses de Christine, sa robe est remontée jusqu’à mi-cuisses. L’inspection peut débuter, les doigts noueux remontent difficilement sous la robe, entre les cuisses humides, puis touchent le string et bientôt, les poils pubiens... L’ex-militaire écarte l’obstacle du morceau de tissu, il frotte ses doigts contre le clitoris, mais la jeune femme est trop nerveuse pour broncher. Alors Christian abandonne ses prestations sur son employée, il prend ses aises en autant son pantalon et son slip ; il écarte en grand les jambes pour exhiber ses bourses à l’opinion de Christine : tous les deux croisent leur regard et la petite blonde tente de garder un brin fierté en empoignant plus fermement la grosse verge dans sa petite main. Elle baisse les yeux, presse ses doigts autour du pieu et accélère ses mouvements de va et vient.
- Assis toi sur moi, Christine ! Aller, viens ma chérie !
- Non ! Pas ça ! Je ne suis pas une fille facile !
Christine se redresse presque immédiatement et fermement, elle quitte la cave… en direction des escaliers.
- Reviens ici, salope ! Je veux que tu me fasses jouir ! Allez !!! Reviens ici, fait moi cracher !!!
Elle n’a pas eu le temps de redescendre sa robe ; dans la montée d’escalier qui débouche dans les cuisines, sur les marches en bois, elle s’immobilise et réfléchit... Elle lève les yeux vers cette porte qui est close, avant de tourner les talons et s’assoire sur l’une des marches. Elle ferme les yeux et resserre les cuisses. Son intense réflexion est contrariée par une toile d’araignée collée sur le bas de sa robe : elle l’ôte, quand soudain, son regard est captivé par la porte du cellier d’où s’échappent des paroles monstrueuses :
- Je sais que tu es là, petite pute ! Saches que je suis en train de me branler en pensant à ton petit string. J’ai les doigts encore imprégnés de ton odeur de blondasse lubrique. Mmm… si tu voyais, je les passe sur mon gland… Allez viens ! Sois toi-même !
Alors qu’il se fait son cinéma, Mademoiselle Chapot desserre les cuisses ; elle soupire et ne semble plus vraiment la même… En pointant ses yeux sur la porte du cellier, elle prend ses seins à deux mains et impudique, elle commence à les tripoter. Assez rapidement, une de ses mains abandonne sa poitrine pour relever difficilement la robe jusqu’aux hanches, afin d’autoriser cinq doigts à détourner son string. Son index frictionne son bourgeon ventru au rythme des gémissements de son patron qui s’excite de plus en plus fort dans la cave. Avec lui, elle « s’unit » dans le vice pour atténuer un feu qui la consume depuis trop longtemps… Au bout d’un instant, elle baisse sa robe sur son string trempé de cyprine, elle ne peut s’empêcher de redescendre les quelques marches pour retourner discrètement dans l’entrée du cellier… Elle repousse à peine la porte et là, elle découvre de suite Christian, en pleine extase : une giclée s’extirpe de son gland tout pourpre, des jets de semence sont éjectés puissamment et retombent en flots compacts et visqueux sur les doigts et les testicules de Christian.
Christine est écarlate, son patron a déchargé pour elle et maintenant, elle le découvre inoffensif. Elle ne peut détacher son regard de cette verge qui reflux encore... La blonde aux formes luxurieuses, provocantes, pousse la porte et entre dans le cellier pour… (Cher lecteur, ici, c’est à vous d’imaginé ce que « P’tit bec va bien pouvoir faire ?! Envoyez-moi votre réponse et la meilleure scène sera récompensée par sa présentation dans la Star Académie 5, la suite !)
Une semaine plus tard… Alain, le célèbre facteur de Mortelèze entrait dans la propriété des parents de Mademoiselle Chapot. Ce n’était pas sans une certaine appréhension, une certaine excitation, qu’il se dirigea et sonna à la porte qui s’entrouvrit rapidement sur le beau-père de Christine.
- Bonjour ! Comment va aujourd’hui ? J’ai un recommandé pour Christine !
- Bonjour ! Ça va très bien ! J’espère qu’elle ne nous amène pas d’ennuis !?!?!?
- Non, pensez-vous ! Elle est inoffensive !!!
Le jeune entrepreneur des cœurs sortit de sa sacoche un pli cacheté par un sceau. Les deux hommes se remplirent de perplexité.
- Ça doit être une lettre de licenciement ?!
- Je ne sais pas ! Vous devriez avoir plus d’estime pour votre fille ! Elle vaut bien mieux que ce que vous laissez entendre à tord et à travers !…
- Mais… de quoi je me mêle ?! Occupez-vous de faire votre tournée et… cessez de tourner autour de ma fille !
Alain entra dans la demeure, alors que le beau-père, furieux d’avoir accueilli chez lui un second coq, décida de retourner dans le salon. Alain, quant à lui, décrivit les lieux, la montée d’escaliers avec un sourire vicieux, avant de s’élancer vers le premier étage avec un étonnant dynamisme.
Derrière la porte de la chambre, le facteur percevait la musique d’un concert R&B en live. Après avoir frappé par deux fois et en vain, il entra prudemment dans le repère secret de Christine. Tout de suite, il fut surpris par l’étonnante clarté de la chambre, une lumière presque surnaturelle…
La porte s’ouvrit sur Alain avec une étrange lettre à la main. Il regarda en direction du lit et son visage se ferma sur le coup de la colère. Ses yeux papillonnèrent, son visage devint grave et il posa un genou à terre en éclatant en sanglot… ?!?!
Soudainement, nu (?!) , à quatre pattes sur le sol, il se dirigea vers le lit. Brusquement, il dût se frayer un passage entre une paire de jambes d’hommes, puis une seconde, avant de rester au pied d’une troisième paire de jambe très poilue qui montait la garde. Alain contourna l’homme et poursuivit son parcours. Enfin, il redressa la tête et vérifia que Christine était allongée sur le lit, son visage irradiait la joie et le bonheur. Dix hommes encerclaient son lit ?!?! Ils étaient tous nus ! Ils se masturbaient de concert tout en caressant le corps de la célèbre secrétaire de mairie : une cinquantaine de doigts se partageaient cuisses, pieds et cheveux, mais plus particulièrement, les formes rebondies d’une imposante poitrine. Dix mains pour toucher une star et dix autres mains, chacune branlant un sexe enveloppé dans un préservatif.
- Approche Alain !…
- Mais que fais-tu Christine ?!
Il se hissait sur les genoux et posait les deux mains sur le bord du lit comme le bon toutou pour sa maîtresse.
- En bon facteur, n’as-tu rien à me remettre ?
Devant son incertitude, elle le gifla violement et il éclata en sanglot, avant de se mettre debout en baissant la tête et les yeux. Autour de sa verge fermement bandée, il a attaché la lettre recommandée… que Christine vient quérir.
- Rends-moi hommage !
Mademoiselle Chapot se désintéressa de cette lettre qui excitait de suite les curiosités, elle préférait attarder son regard sur la virilité d’Alain qui avait commencé à se branler comme les autres, mais lui, c’était sans préservatif…
Entièrement nue, sur le lit, elle se régalait du spectacle à en voir ses petits doigts de pieds qui se recroquevillaient sur eux-mêmes. Elle frotta délicatement ses talons sur les draps, releva légèrement les genoux et frotta l’intérieur de ses cuisses bien grasses, l’une contre l’autre… Une petite main forte vint se poser sur les poils bruns de son sexe esthétiquement taillé. C’était étrange, vu sous cet angle, son ventre était plus enrobé qu’à l’habitude, plus gras, un bourrelet le marquait comme jamais… Ses hanches semblaient légèrement plus larges. Sa poitrine était toujours imposante, mais la fermeté l’avait abandonné : avait-elle grossi ? Ses seins reposaient bien gras sur sa poitrine. Son regard foncé se leva plein d’abandon vers Alain qui tirait sur son sexe. La brunette aux longs cheveux bruns posés en batailles sur les draps entrouvrait sa bouche à pipes. Quelques mèches courraient sur son front et la vulgarité était affichée sur son visage : qui était-elle ? Où était passée Christine ?!?!
Alors que tous les hommes se bandaient les yeux, le corps de cette brune devenait la seule proie du regard d’Alain. Mèche brune passa une main sur sa poitrine, ses doigts bagués s’enfoncèrent dans son épaisse poitrine aux pointes dressées par la perversité. La jeune femme se régalait de sentir ses bracelets métalliques frotter contre ses pointes. Soudain, quelques préservatifs atterrirent sur les draps… Un jet de semence vint se mêler aux doigts bagués, le foutre coula et « la grosse » n’eut pas le temps de l’étaler sur ses seins qu’un second jet vint augmenter la quantité de crème testiculaire. Le visage de cette jeune femme de vingt et un ans s’illuminait de bonheur, de plaisir, sa mèche tremblotait aux sommets de son front, avant qu’une giclée plus épaisse que les autres ne l’ébranle et la fixe sur le reste de ses cheveux. Cette salve gluante vint d’autre part, carrément à l’opposé d’Alain : c’était l’un des autres mâles, il ébranlait fortement sa verge et finit par jouir… La mèche brune de la petite grosse se retrouvait engluée sous plusieurs salves de foutre, alors que l’on devinait la semence originelle couler entre ses seins et s’écouler lentement vers sa gorge pour probablement se fondre dans les cheveux ou l’oreiller. Ses yeux brillaient de joie, alors qu’une troisième semonce vint atterrir en plein sur ses lèvres plutôt charnues, elle sortit sa langue pour laper un zest de foutre, quand soudain… quelqu’un se réveilla !!!!!!
Les yeux exorbités, Christine décrivit la pièce… vide et, son corps recouvert par sa seule couette. Notre blondinette se posa sur les coudes.
- Mon dieu : que j’étais vulgaire !!! J’espère que je ne serais jamais aussi grosse que cette fille !!!
Alors qu’elle se rappelait les impressions goulues du sperme qui avait englué ses petites lèvres, elle repensa immédiatement aux grossièretés qu’elle avait faites dans le sellier.
Soudain, derrière la porte de sa chambre, elle entendit quelqu’un descendre les escaliers en toute hâte. Elle n’y porta point attention et savoura exclusivement le silence de la pièce après ce déluge d’émotions. Elle descendit le drap jusqu’à son nombril et regarda son corps dénudé, encore moite et humide de ses frayeurs... Un coup d’œil sur la descente de lit, mais définitivement, elle était bien seule avec ses chaleurs.
Soudain, son attention fut mobilisée par une personne qui essayait délicatement de tourner la poignée de la porte de sa chambre et Christine, surprise, n’eut pas le temps de se recouvrir… Elle s’allongeait de nouveau et faisait celle qui dormait.
La porte s’ouvrit sur… sa mère. Prudemment, cette dernière alla vers le bureau de sa fille et y déposa une… lettre cachetée par un sceau (!?!?) avant de repartir précautionneusement.
Un quart d’heure s’écoula… Remise de ses émotions, Christine se leva entièrement nue et se dirigea vers son bureau. Elle ouvrit son courrier et vérifia avec joie qu’elle était la gagnante d’un concours. Cette fois-ci, elle avait obtenu une après-midi gratuite pour une séance photo à Villefranche-sur-saône. Ça devait être situé à soixante-dix kilomètres de Mortelèze, c’était loin, mais peu importe : c’était sa chance ! Le nom du studio photo : « Le 666 »
Quatre matins plus tard, harnachée de deux petits sacs de sport, elle quittait la demeure familiale pour conquérir le monde… Enfin, Villefranche-sur-saône ! Vêtue d’un jean clair, bien moulant et d’un chemisier d’un blanc éclatant, elle s’éloigna de trois cents mètres avant qu’une voiture ne s’arrête… pour l’emmener jusqu’au village. À l’arrêt du bus, elle attendit une quinzaine de minutes. Mais les minutes passèrent vite, sa présence ne passait pas inaperçue et la star de Mortelèze attira à elle une foule de passant à qui elle ne manqua pas de dire que bientôt, elle allait devenir une star internationale.
Trois quarts d’heure plus tard, à la gare de Lyon, la Part dieu, elle dû attendre quarante minutes pour pouvoir prendre ce train qui allait l’emmener à Villefranche. Elle ne venait pas souvent dans la capitale des gaules, trop rarement et à chaque fois, cette ville était une découverte pour elle. Mais ce regard tout écarquillé qui refusait toutes les attentions des voyageurs s’évertuait à trouver le panonceau des toilettes.
Enfermée derrière sa porte, elle ouvrait l’un de ses sacs de sport, puis se déshabilla, afin de revêtir une toute petite jupe noire à carreaux blancs. Elle chaussa des souliers à talons hauts et après s’être refaite une petite beauté, elle déboutonna l’un des boutons de son chemisier pour sublimer son large décolleté et vanter une poitrine toujours aussi généreuse.
Pour la plus grande joie des voyageurs du quai D, elle dut se hâter pour trouver sa voiture et ne pas louper son train. Elle chercha la tranquillité et pour passer les quarante minutes qui la séparaient de Villefranche, elle décida de bouquiner et lire : « Marie est une petite effrontée » de Sabine Delamontagne. À la découverte de ce récit, Christine déménagea de sa place pour se diriger plus en arrière du train, plus précisément dans les compartiments cabines où elle serait plus tranquille pour savourer ce récit.
À Villefranche, elle commanda un taxi… qui la déposa à la hauteur du 46, rue des manufactures. Inquiète, elle paya le taxi. Devant l’absence d’une quelconque enseigne de studio, elle se dirigea vers le numéro… 46 et découvrit que le grand studio « 666 » se trouvait probablement être, un petit studio au quatrième étage d’un immeuble assez vétuste.
Pleine d’inquiétude, elle entra dans le hall plutôt sordide. Les boîtes aux lettres étaient dans un état pitoyable et entre deux prémonitions de violence, elle repéra sur un scotch, l’intitulé : « Studio 666 : Benoît Mancini ». Elle n’eut pas le temps de s’interroger sur la suite des événements que dans les étages, elle percevait un rire de femme vulgaire et épanouie. Aux bruits des pas, Christine devina qu’elle n’était pas seule. Prudemment, elle se dirigea dans la montée d’escaliers. Rapidement, elle tomba nez à nez avec une petite brune, un peu enrobée, tout comme elle. Les deux femmes croisèrent leur regard et Christine n’eut pas le temps de vérifier sa cote auprès des deux hommes qui accompagnaient cette jeune femme aux longs cheveux bruns. Soudain, une odeur de luxure incommodait les narines de « P’tit bec ». C’était une odeur familière… La gorge serrée, notre mannequin finissait de gravir l’escalier avant de se retourner vers la « mèche gominée ». La paluche de l’un des types était en train de batifoler sur les grosses fesses de cette femme que Mademoiselle Chapot trouvait un peu vulgaire.
Trois étages plus haut, Christine se retrouva nez à nez avec son destin, elle était plutôt juste à l’heure et se dit qu’un photographe pouvait bien accepter une heure et demie de retard pour une future star.
Elle sonna à la porte et presque immédiatement, une odeur de fauve avait semblé précéder l’ouverture de la porte. Dès le premier regard, Benoît, le photographe détailla le corps de Christine sur un ton sexuel. Alors que notre héroïne se présenta sommairement dans l’entrée, une odeur de copulation, de sperme, violait ses narines et s’imposait à son esprit sur un ton de plus en plus familier.
Au premier regard, elle avait trouvé Monsieur Mancini vraiment charmant et elle était ravie que ce soit réciproque. Elle se disait que c’était toujours bien d’avoir un photographe dans sa poche quand on veut devenir une star.
Alors qu’elle se dirigeait vers ce qui ressemblait à un salon, elle baignait dans une moiteur douteuse qui relativisait le charme de son jeune photographe. Lui, il la regardait comme un chien en chaleur, sa tenue sexy le faisait flipper !!! Il ne pouvait plus détacher ses yeux de cette jupe à carreaux noirs et surtout, de ce décolleté qui cachait des obus qui le faisait bégayer.
Ils discutèrent de chose et d’autres, chacun savaient ce qu’il avait à faire et aujourd’hui, il n’y aurait pas d’inconnue au programme ! Benoît Mancini était un arriviste et Christine se sentait sur la même longueur d’onde. Mademoiselle Chapot parlait avec passion de sa soif de célébrité, de sa popularité à la mairie et au café-restaurant. Ça faisait à peine dix minutes qu’elle était entrée dans ce studio, qu’elle commençait déjà à s’y sentir bien. Benoît voulu passer aux choses sérieuses et en ce début d’après-midi, il invita Christine à prendre une douche, avant l’essayage d’une multitude d’habits…
À SUIVRE
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