La suite de la soirée « naked » dans un club à Nice - histoire érotique

Je suis de passage à Nice pour le travail mais je ne reste qu’une nuit sur place. Je suis hébergé par mon pote Franck, que je retrouve en fin de journée dans un bar de la vieille ville. Après une bière et un bon petit resto, nous marchons un moment pour digérer le repas mais aussi le vin que nous avons bu. Franck essaye de m’entrainer dans une boite du quartier gay mais je refuse.

Du coup il me traine jusqu’à l’entrée d’un club de sexe bien connu de la ville. C’est une soirée « A poil ou en serviette », évidement nous décidons d’arpenter le club complètement nu. Lui descend directement dans les sous sol à la recherche d’une bonne bite qui pourrait le combler alors que je bois une bière pour m’habituer à l’ambiance et voir le monde venir.

Je finis par descendre moi aussi, j’ai beau chercher je ne vois pas Franck, il doit être entrain de bien s’amuser. Après quelques rencontres pas intéressantes ou malheureusement trop rapide, je décide de remonter et je fais la connaissance de David et Igor. Ces deux mecs me chauffent tellement que je commence à les sucer au bar avant que nous descendions chercher un coin tranquille.

David se met directement en position pour se faire sodomiser par la queue pas trop longue mais bien large de notre nouvel ami russe. Pendant qu’il se fait limer les entrailles nous nous suçons en 69 avant que je lui donne mon cul a ouvrir pour recevoir la queue d’Igor. Pendant que c’est à mon tour de me faire prendre, David vient s’empaler sur mon sexe. Notre russe de service joui le premier et disparait, mon ami sudiste et moi venons presque en même temps.

Nous remontons faire une pause et quand je suis de nouveau prêt à m’occuper de son postérieur, il préfère rentrer chez lui vu qu’il est déjà une heure du matin. Je redescends donc seul dans les sous sols de ce club plein de surprise. Après un passage aux toilettes je vois deux mecs à 4 pattes sur un matelas dans une pièce totalement ouverte.

Ils sont assez jeune, je pense moins de 30 ans, un des deux se fait ramoner par un homme d’une cinquantaine d’année. Il prend tout son temps à faire rentrer et sortir son sexe dans les entrailles de ce jeunot. son copain quitte sa position levrette et vient sous lui pour le sucer au même rythme qu’il se fait prendre. Le mec gémit de plus belle et lâche des:« Yessssss….. oh my god…. morrrrrrre…. »
J’en déduis que se sont des américains. J’admire le spectacle alors que mon sexe reprend sa forme de course. Je me branle en les observant mais n’interviens pas. Le cinquantenaire s’excite de plus en plus dans le cul devant lui mais le suceur continue d’aller aussi lentement. Le mec s’immobilise au fond des entrailles qui lui sont offertes dans un grand râle.

Une fois qu’il a finit de se vider il décule, retire son préservatif et le jette dans la poubelle derrière lui. Le suceur arrête son travail et reprend une position à 4 pattes à côté de son copain. J’attrape une capote dans le distributeur que je déroule sur ma queue raide, je prend des sachets de gel et je viens me positionner entre les deux américains.

Avec chacune de mes mains je tape ces deux culs devant moi. Mes index s’approchent de leurs rondelles, je sens tout de suite qu’un s’est fait prendre et pas l’autre. Celui qui est à ma gauche à les entrailles bien ouvertes alors j’enfonce un deuxième doigt et le ramone pendant que je pose mon gland entre les fesses de l’autre.

Avec ma main de libre j’ouvre un sachet de lubrifiant que je vide entre ma queue et son cul. Je pose le sachet sur le matelas et empoigne mon sexe, avec mon champignon j’étale bien le gel avant de m’enfoncer d’un coup sec dans ce petit cul déjà assez ouvert grâce à l’excitation. Une fois que je suis bien au fond, je reste un moment immobile avant de ressortir lentement.

Je retire mes doigts un après l’autre du cul de son copain et je m’enfonce de la même façon dans ses entrailles. Le plaisir n’est pas le même car il est beaucoup trop ouvert, soit je n’avais pas vu et le cinquantenaire à un sexe énorme soit malgré son jeune âge il s’est fait déjà prendre pas trop de queues. Quand je décule, je retourne entre les fesses de son copain mais je ne laisse pas vide et le rempli avec tous mes doigts sauf mon pouce.

Je lime c’est deux culs, un avec ma main et l’autre avec ma bite que je ressort très souvent pour bien profiter de sa rondelle encore bien fermée. Je les baise tous les deux pendant un bon quart d’heure puis je me retire de leur corps mais aussi de la pièce pour repartir explorer les lieux avec mon sexe prêt à l’emploi.

J’adore ce genre de lieu parce que rien qu’en regardant les mecs se sucer ou s’enfiler on reste constamment à un certain niveau d’excitation. Alors que je continue a déambuler il me semble reconnaitre les gémissements de Franck. Je me rapproche de la source et je vois mon cochon de copain enfermé dans une pièce avec 3 autres mecs. J’essaye d’entrer pour les rejoindre mais la porte est fermée à clé.

Je prends place derrière une fenêtre à barreau et j’admire mon pote qui est allongé sur un matelas au milieu de la pièce. Un de ses nouveaux copains le chevauche, il monte et descend sur cette bite très large que j’aime tant. Derrière lui un autre mec est accroupi sur le matelas et sodomise mon pote. Tous les trois gémissent en coeur alors que le quatrième larron les admire en se branlant.

Je suis moi aussi bien raide mais je préfère les regarder sans me toucher et garder des forces pour de l’action. Le quatrième de la bande attrape une capote et la déroule sur son sexe tendu, il est dans la moyenne (15 centimètres je pense) mais n’est pas très large. Il prend place, debout entre les cuisses de Franck et au lieu de remplacer celui qui le sodomise il va le rejoindre.

Mon pote est en train de se prendre deux bites dans le cul alors qu’il sodomise lui même un autre mec. Je connais bien son cul et je ne suis pas surpris qu’il accepte aussi facilement une double vu qu’il aime être fisté. Je continue à les admirer tous les 4 prendre du plaisir quand une mains se pose sur ma queue et commence à me caresser.

Je tourne la tête et reconnais tout de suite, grâce à son bouc, le mec qui sucé le black tout à l’heure dans les glorys holes (voir première partie). Je lui souris et le laisse faire alors qu’avec ma main gauche je malaxe ses fesses. Quand mon index s’approche de sa rondelle je remarque que non seulement son cul est ouvert mais aussi plein de sperme. je dois dire que ça m’excite tellement que je frétille dans sa main.

Il se met sur le côté et me fait me retourner, mon doigt est obligé de quitter ses entrailles. Il s’agenouille et pose ses mains sur mes couilles alors que ses lèvres s’emparent de mon gland. Sa langue passe sur chaque millimètre de peau de mon champignon, il la fait descendre sur mon frein et appuie dessus avant de remonter. Il pose ses lèvres et ses dents sous le repli de mon gland et commence à aspirer alors que sa langue s’occupe de mon méat.

Quand il relâche la pression, c’est uniquement pour m’enfoncer encore plus dans sa bouche. Je place mes mains autour de sa tête et je le fais aller et venir doucement le long de ma tige. Je tourne la tête vers Franck, il se fait toujours prendre en double mais maintenant le mec qu’il sodomisait et sur lui en 69. J’accélère le rythme de mon suceur mais pas trop. Ses mains explorent mes couilles et mes fesses.

Au bout de quelques minutes je le fais se relever et lui propose d’aller dans un coin plus confortable. Il fait oui de la tête et se penche vers moi pour me dire qu’il s’appelle Martin, je lui réponds juste:« Romain. »Je pose mes mains sur ses joues et je lui roule une pelle phénoménale, sa bouche à un gout de sperme. Avant de partir je jette un dernier coup d’oeil sur mon pote mais il est tellement occupé qu’il n’a même pas remarqué ma présence.

Martin m’entraine dans une pièce moins grande que celle dans laquelle se trouve Franck. Le matelas est au fond contre le mur, il y a pas de fenêtres mais pas non plus de porte. Mon nouvel ami me jette sur le lit et se place entre mes cuisses pour continuer de me sucer. Je ne le laisse pas faire et l’attire vers moi, il me grimpe dessus en 69 pour que nous puissions nous sucer mutuellement.

Alors qu’il fait rentrer et sortir sa bite de ma bouche au même rythme qu’il le fait avec la mienne, je masse ses couilles complètement lisses. Je profite d’un mouvement brusque où son sexe quitte mes lèvres pour lécher, gober et aspirer ses bourses avant de le reprendre en bouche. La fois suivante ou il se soulève trop je le fais descendre pour avoir son cul devant mon visage.

J’écarte à deux mains ses fesses et admire le sperme qui continue de couler de son petit trou. Je commence par le lécher avant de remonter vers sa rondelle, il est tellement ouvert que ma langue est aspirée en lui. Je la rentre et la sort comme je le ferai avec mon sexe mais il est tellement ouvert que je la remplace vite par deux doigts puis trois pour lui donner plus de sensations. Bien qu’il a la bouche pleine je l’entends nettement gémir.

Au bout d’une dizaine de minutes de ce traitement, il se soulève et m’enjambe en me tournant le dos. Il empoigne ma queue et commence à descendre pour que je le sodomise mais je l’arrête et lui dit:« Pas sans capote. »Pendant qu’il va en chercher une, je m’assoie sur le bord du lit et j’admire son cul se dandiner ce qui renforce bien mon érection.

Quand il revient, il déroule le préservatif sur ma bite et m’enjambe de nouveau en me tournant le dos. Martin s’assoit sur moi sans vergogne et une fois que je suis bien planté en lui, il se retourne et me demande:« Préviens moi avant de jouir, j’ai envie que tu gicles dans ma bouche. »Je lui fais oui de la tête, je l’attrape par la taille et le fait monter et descendre lentement sur moi.

Tout d’un coup j’accélère le rythme et lui martèle le cul comme un fou avant de reprendre une cadence plus calme. Je le ramone comme ça un bon moment, accompagné par nos gémissements quand un mec se rapproche. Si Martin est une armoire à glace lui est tout fin, son corps est totalement imberbe et sa bite est plus fine que la mienne mais doit faire plus de 20 centimètre.

Le nouveau venu monte, debout, sur le matelas et m’offre sa queue à sucer. Je commence à m’occuper de son gland, mes mains quittent Martin pour branler notre invité et s’occuper de ses couilles. Il est tellement long que même lorsque je le fait rentrer dans ma gorge, j’avale même pas les 3/4 de sa tige. J’adore m’occuper d’un mec pendant que j’en sodomise un autre.

Je m’applique le plus possible à lécher, aspirer et même mordre cette longue bite dans l’espoir de lui donner envie de changer de positon et envahir mes entrailles. Mais je fais un tellement bon travaille qu’en à peine quelques minutes, il se vide dans ma bouche. Je m’applique à le nettoyer mais il se dégage et sort de la pièce. Du coups je soulève Martin et me lève aussi.

Je le met debout face au lit et appuie sur son dos pour allonger son torse sur le matelas. J’écarte bien ses jambes et je rentre d’un coup sec dans ses entrailles, je reste un moment planté en lui avant de limer ardemment. Au bout de quelques minutes, je décule et après l’avoir posséder de nouveau je le lime tranquillement. Je sors encore une fois complètement mais quand je me mets à le ramoner j’y vais un peu plus violemment.

Je continue ce petit manège pendant un bon moment, alors que je le sodomise sauvagement je sens son cul se refermer autour de ma bite. Martin se met à beugler comme un sauvage, il m’enserre tellement que je n’arrive presque plus à bouger. Je l’empoigne fermement par les fesses et je me déchaînes dans ses entrailles, il crie encore plus fort. Alors que je continue de le pilonner, je penche vers lui pour le prévenir que je ne vais pas tarder à jouir.

Pour toute réponse, j’ai le droit à un:« Baise moi encore une minute! »Je me redresse et décide de lui donner une minute mémorable qui le fait couiner comme un cochon. Ses entrailles se contractent tellement qu’il me fait presque mal, son étreinte se relâche doucement. Je reprends mes mouvements mais lentement pour me retenir et jouir dans sa bouche comme il me l’a demandé.

Je décule d’un coup sec, ce qui lui arrache un dernier petit cri de plaisir et alors qu’il retire ma capote, je m’assoie à sa place sur le lit. Mes fesses se posent sur une petit flaque, il a du éjaculer pendant que je le sodomisais. Il s’agenouille entre mes jambes et se jette sur ma queue, il m’enserre entre ses lèvres et m’aspire tellement fort que j’ai l’impression qu’il va emporter mon sexe.

Sa main gauche serre mes couilles pendant que la droite part à la recherche de mon petit trou. Alors que sa bouche continue de courir sur ma tige je glisse un peu pour lui donner un meilleur accès à mes entrailles. Il y rentre facilement un doigt, il va tellement profondément en moi que ça doit être son majeur. Je suis au bord de l’explosion mais je me retiens pour faire durer le plaisir.

Je relève et plie mes jambes pour poser mes pieds sur ses épaules. Son doigt tournoie en moi et va même jusqu’à cogner ma prostate. Je ne contrôle plus rien, mes couilles se congestionnent, mes veines se contractent et je lâche 4 belles giclées directement dans sa gueule. Ses lèvres continuent de monter et descendre sur mon sexe alors que je l’entends déglutir mon jus.

Pendant que Martin me nettoie, je relève la tête et remarque que Franck est dans la pièce à nous observer. Je baisse la tête pour regarder son entrejambe, il est en demi molle. Sur son torse imberbe je remarque des traces qui ne peuvent être que du sperme. Je lui sourit alors que mon nouvel ami recrache mon sexe complètement propre. Je leur propose d’aller boire un dernier verre avant de rentrer mais il est 2h30 passé et le bar est fermé.

Nous allons récupéré nos sacs avec nos habits à la caisse et nous nous rhabillons dans le petit couloir. Devant le club nous disons tous les deux au revoir à Martin avec un petit smack, Franck et moi marchons vers nos voitures en nous racontant notre soirée. Nous tombons en premier sur ma voiture de location, je le ramène à la sienne pour continuer à profiter de son récit, je recommence à bander.

Sur la route nous roulons rapidement pour vite se retrouver chez lui. Une fois dans son appartement je vais poser mon sac dans sa chambre et je n’ai pas le temps de me retourner qu’il commence à me déshabiller. Nous baisons comme des sauvages pendant un bon moment avant de nous endormir dans les bras l’un de l’autre.

Le lendemain quand je monte dans l’avion en direction retour je me dis que je devrais plus régulièrement dormir chez Franck quand je suis sur Nice….