La surprise - histoire érotique

En rentrant qu’elle ne fut pas ma surprise de voir la porte d’entrée entrouverte, un peu inquiet au départ je suis vite rassuré, car dans l’entrée est affiché un mot disant : « Direction la salle de bain »
Sans me faire prier je me dirige donc dans la salle d’eau et là, un autre message m’attend : « Déshabille toi entièrement, équipe toi de ce qui a dans le sac vert ».

Une fois nu comme un ver, un peu excité, j’ouvre alors ce fameux sac et découvre un collier ainsi qu’une laisse accrochée à ce même collier. Je le passe donc autour de mon cou, il est doux et l’excitation est encore plus forte. Au fond de son sac, encore un petit mot : « Emmène le sac bleu et je t’attends dans la salle à manger ». Alors je sors de la salle de bain et arrive en érection avec ma laisse dans une main et le sac dans l’autre.

Elle est assise dans le fauteuil, dans une jolie nuisette légèrement transparente noire, je devine en dessous un ravissant soutien- gorge en dentelle, mais je ne discerne pas encore sa petite culotte car ses jambes sont croisées. Bien sur mon arrivée ne passe pas inaperçu : « Et bien mon cochon, je vois que mon jeu te plaît, allez mets toi à quatre pattes et viens jusqu’à moi ». Aussi dit aussi fait, me voici entrain de marcher à quatre pattes jusqu’à ses pieds, je lui tends la laisse qu’elle s’empresse de tirer qui a pour effet me retrouver bouche contre pied : « A présent lèche les ».

Elle ne me le dit pas deux fois et je commence à lui sucer les doigts de pied un à un, ses deux pieds sur mon visage elle m’enfonce ses doigts de pied dans la bouche : « Allez suce les, comme tu aimes, et tu sais aussi que ça m’excite » tout en tirant sur la laisse : « A présent tu vas bien les essuyer et tu vas ouvrir le sac bleu et t’occuper de moi ».

En ouvrant ce fameux sac , je découvre un nécessaire à vernis. Sous ses ordres je lui pose les écarte-orteils sur chaque pied, puis une première couche transparente qui va comme elle me l’explique bien accrocher le vernis. Puis je saisis le joli vernis rouge, d’abord une couche fine en couvrant bien l’ongle, je passe à l’autre pied et fait de même, je reviens sur le premier pied qui a eu le temps de sécher sous le regard minutieux de ma chérie. J’en profite maintenant que ses jambes sont écartées pour découvrir sa délicieuse culotte rouge et noir à moitié transparente qui permet d’admirer sa ravissante chatte rasée, je peux constater qu’elle mouille déjà un peu , je continue donc mon travail et passe la deuxième couche sur chaque pied et enfin le top coat qui visiblement sert à protéger le vernis : « Ce n’est pas trop mal pour une première fois, à présent la même chose pour les mains.

Une fois les pieds et les mains fraîchement vernis, elle pose ses pieds de chaque côté de l’accoudoir du fauteuil, qui me permet d’admirer d’avant son minou : « Bon en attendant que ça sèche tu vas me lécher ». Elle accompagne ses paroles en me tirant la laisse de façon à ce que mon visage se colle sur son sexe. J’écarte délicatement son string commence par la caresser avec mes doigts, sa chatte est bien humide, je passe sur ses grandes lèvres, ses petites lèvres je la pénètre d’un doigt, deux doigts que je lèche car j’adore cette liqueur exquise, elle commence à pousser de petits cris, écarte de plus en plus ses cuisses, je remonte sur son clitoris, cela la fait sursauter, je tourne un peu a droite, puis à gauche. La laisse se tend davantage et je comprends qu’il est temps de la dévorer, ma bouche approche de son minou, ma langue récolte sa mouille qui coule, l’odeur de sa chatte m’excite et mon sexe est tendu, pressant contre le sol. Je la lèche, la lèche encore, je suis le rythme de son souffle, ma langue accélère ses mouvements autour se son clitoris, jusqu’à l’orgasme ou elle se laisse aller à crier son plaisir.

A peine redescendue de son orgasme, j’enchaîne à nouveau un cunnilingus car ma belle à l’avantage de pouvoir jouir plusieurs fois de suite. Sa chatte est trempée, je la pénètre des mes doigts d’abord son sexe puis son cul, mes doigts sont partout, elle ne sait plus ou elle est, et un deuxième orgasme arrivent. Je me lèche à nouveau les doigts couverts de cyprine et revient à la charge pour la troisième fois, le fauteuil est couvert de son précieux liquide, encore qu’elle coup de langue en suivant son désir et elle ne tarde pas à jouir encore.

La laisse se relâche ses jambes retombent sur le sol. Sa respiration est forte : «Eh bien mon salopard tu m’as bien comblé et mon vernis est impeccable ».