La tante et son neveu
Récit érotique écrit par Joseph [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La tante et son neveu
C’est une histoire réelle ! ! !
J'ai 18 ans et très timide. J'ai eu quelques aventures mais ce sont souvent elles qui ont décidé, pourtant je suis un obsédé du sexe et j'adore mater, ça m'excite au plus haut point. Cela se passait au mois de Juillet, donc il y a peu de temps.
Ma voisine, la cinquantaine, de belles formes et assez jolie recevait un de ses neveux. Allure efféminée, très imberbe, blond la peau dorée, des jambes longues. Il portait presque toute la journée un maillot de bain ou un boxer short, laissant son corps nu au regard de tous. Moi aussi je le trouvais très mignon.
Un après midi, alors que les volets étaient rabattus, légèrement ouverts, je matais les aller venu de mes voisins. La tante faisait du bronzage sur une chaise longue et le neveu allait, revenait, son maillot très moulant laissait deviner une petite queue fine et arrogante. Puis tout d'un coup, je vis le bras de la tante se lever et barrer le passage incessant de son neveu. Celui-ci s'arrêta amenant son sexe sur le bras de la femme mure. Il resta un moment immobile et je vis la main de la tante caresser la petite bosse. Le neveu ne bougeait plus et se laissait faire, la bosse enfla lentement sous la caresse, elle toujours étendue et lui debout. La caresse dura un moment, le gamin regardait la main qui lui faisait du bien. Soudain la main disparut derrière l'élastique du slip et on pouvait voir l'entrejambe de l'adolescent bouger. De ma fenêtre, j'étais très excité par le spectacle et je retenais ma respiration pour ne pas me faire découvrir.
Puis d'une main, la femme baissa le souvêtement jusqu'aux genoux et reprit sa caresse. Elle le caressait lentement et l'on pouvait voir à chaque aller retour le bout pointu du gland de l’éphèbe qui se tenait cambré avançant son bassin pour bien profiter de la branle. Elle se redressa légèrement, le regarda dans les yeux puis ouvrit la bouche et avala la tige raide décalottée. On aurait dit qu'elle suçait un sucre d'orge, serrant bien ses lèvres quand elle remontait, s'arrêtant, donnait de petits coups de langue sur le méat puis reprenait sa suce pour s'arrêter de nouveau pour lécher toute la hampe des boules jusqu'au frein. Boules qu'elle tenait d'une main et caressait. Que c'était jouissif de voir cette bouche enveloppant ce sexe fin, de voir glisser les lèvres pulpeuses le long de son membre. De son autre main elle caressait les fesses du mec et l'attirait vers elle afin d'en avaler le maximum. Lui, il avait posé sa main dans la chevelure de sa tante... Que c'était beau à voir... La bouche glissait magnifiquement sur le sexe tendu et parfois elle prenait boules et tige dans sa bouche comme si elle voulait tout dévorer.
Je vis son corps se raidir, les jambes tendues le bassin avancer au maximum et plusieurs coups de rein me firent comprendre qu'il éjaculait. Il échappa des petits cris de plaisir pendant qu'elle pompait de plus en plus fort absorbant le maximum de jus qu'il pouvait lâcher, ses deux mains attirant le corps frêle de l'ado. Ils restèrent un bon moment immobiles, elle, la bouche pleine de jus et de salive et lui, serrant la tête de sa bienfaitrice dans ses bras. Je l’entendis dire "Oh ! Que c'était bon mon chéri" et lui rétorqua "fantastique, ma tante, fantastique, c'était trop bon..."
J'ai 18 ans et très timide. J'ai eu quelques aventures mais ce sont souvent elles qui ont décidé, pourtant je suis un obsédé du sexe et j'adore mater, ça m'excite au plus haut point. Cela se passait au mois de Juillet, donc il y a peu de temps.
Ma voisine, la cinquantaine, de belles formes et assez jolie recevait un de ses neveux. Allure efféminée, très imberbe, blond la peau dorée, des jambes longues. Il portait presque toute la journée un maillot de bain ou un boxer short, laissant son corps nu au regard de tous. Moi aussi je le trouvais très mignon.
Un après midi, alors que les volets étaient rabattus, légèrement ouverts, je matais les aller venu de mes voisins. La tante faisait du bronzage sur une chaise longue et le neveu allait, revenait, son maillot très moulant laissait deviner une petite queue fine et arrogante. Puis tout d'un coup, je vis le bras de la tante se lever et barrer le passage incessant de son neveu. Celui-ci s'arrêta amenant son sexe sur le bras de la femme mure. Il resta un moment immobile et je vis la main de la tante caresser la petite bosse. Le neveu ne bougeait plus et se laissait faire, la bosse enfla lentement sous la caresse, elle toujours étendue et lui debout. La caresse dura un moment, le gamin regardait la main qui lui faisait du bien. Soudain la main disparut derrière l'élastique du slip et on pouvait voir l'entrejambe de l'adolescent bouger. De ma fenêtre, j'étais très excité par le spectacle et je retenais ma respiration pour ne pas me faire découvrir.
Puis d'une main, la femme baissa le souvêtement jusqu'aux genoux et reprit sa caresse. Elle le caressait lentement et l'on pouvait voir à chaque aller retour le bout pointu du gland de l’éphèbe qui se tenait cambré avançant son bassin pour bien profiter de la branle. Elle se redressa légèrement, le regarda dans les yeux puis ouvrit la bouche et avala la tige raide décalottée. On aurait dit qu'elle suçait un sucre d'orge, serrant bien ses lèvres quand elle remontait, s'arrêtant, donnait de petits coups de langue sur le méat puis reprenait sa suce pour s'arrêter de nouveau pour lécher toute la hampe des boules jusqu'au frein. Boules qu'elle tenait d'une main et caressait. Que c'était jouissif de voir cette bouche enveloppant ce sexe fin, de voir glisser les lèvres pulpeuses le long de son membre. De son autre main elle caressait les fesses du mec et l'attirait vers elle afin d'en avaler le maximum. Lui, il avait posé sa main dans la chevelure de sa tante... Que c'était beau à voir... La bouche glissait magnifiquement sur le sexe tendu et parfois elle prenait boules et tige dans sa bouche comme si elle voulait tout dévorer.
Je vis son corps se raidir, les jambes tendues le bassin avancer au maximum et plusieurs coups de rein me firent comprendre qu'il éjaculait. Il échappa des petits cris de plaisir pendant qu'elle pompait de plus en plus fort absorbant le maximum de jus qu'il pouvait lâcher, ses deux mains attirant le corps frêle de l'ado. Ils restèrent un bon moment immobiles, elle, la bouche pleine de jus et de salive et lui, serrant la tête de sa bienfaitrice dans ses bras. Je l’entendis dire "Oh ! Que c'était bon mon chéri" et lui rétorqua "fantastique, ma tante, fantastique, c'était trop bon..."
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