La thésarde. Fin
Récit érotique écrit par ANDRERP95 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La thésarde. Fin
LA THESE
Fin
Ce sont mes premières paroles dans cette pièces. Plutôt des balbutiements. Ils mordent mes seins. Les doigts dans mon cul et dans ma chatte me procurent des pulsions frénétiques. Ils me faut leurs sexes.
- Prenez-moi... Vite...
- A toi de choisir Eric ...
Eric se couche sur le lit. Je l’enjambe. Je m’assoie sur lui. Son sexe se fiche dans mon vagin béant. Je pousse un feulement de plaisir. Son gland va loin. Très loin dans mon antre liquéfié. Je m’empale avec bonheur sur sa bitte bien droite. Il me pince très fort les seins. Je vais devenir folle. Je commence à le chevaucher. Je sens son vît racler mes paroi et je serre les dents pour contenir le plaisir qui monte en moi.
Il tire mes seins vers lui m’obligeant à me pencher. Il me serre contre lui. Mon torse frotte contre le sien. Je suis complètement ouverte, investie par ce pieux. C’est lui qui donne des coups de bassins et fait coulisser son mandrin dans ma chatte. Ma bouche se plaque contre la sienne. Sa langue investi mon palais.
- Restez comme ça... Gardes la comme ça.... Ecartes tes jambes Eric.... Ouvre la bien...
Il le fait m’ouvrant encore plus si c’était encore possible. Ses bras musclés entourent mon torse pour bien me coller contre lui. Une de ses mains plaque ma tête contre la sienne. Sa langue fouille ma bouche aussi loin que son sexe ma chatte. Je reste comme cela, pantelante de désir, à subir ses assauts virils.
J’ai un peu peur quand je sens une pression sur mon anus dévoilé. je me tend. François le comprend.
- N’aie pas peur chérie... Tu dois avoir l’habitude....
Dans sa bouche, le mot chérie avait un coté trivial ou vulgaire sans aucune tendresse, même si il y avait une certaine douceur. Je n’avais jamais offert ce passage à mes amants précédents. Bien sur certains avaient essayaient de me convaincre de les laisser entrer par là. Je m’y étais fermement opposée. Mais à cet instant précis, je n’avais ni la force ni l’envie d’opposer la moindre résistance. J’étais bien trop excitée par le sexe qui me fouillait le ventre pour me révolter ou me rebeller.
- Tiens la bien Eric.... Essaies de ne pas trop la faire bouger..... C’est dommage que tu ne puisses pas voir ce petit trou tout plissé...
- Y a du gel dans le tiroir de la table de nuit si tu veux.....
Je les écoute sans les entendre. Eric me serre fermement contre lui et bouge très lentement dans mon ventre ouvert. Son torse poilu frotte contre mes seins écrasés. Ses bras m’enlacent avec puissance et ses jambes écartent les miennes. Son gland caresse le fonds de mon utérus glissant.
Je frémis quand un liquide froid coule le long de ma raie bien ouverte par la position ou ils m’ont mise. La langue d’Eric se fait pressante dans ma bouche.
- Laisse toi faire, je suis sur que tu adores par la aussi....
La bitte de François est contre mon anus. Il m’agrippe par les hanches pour bien assurer sa position. Il pousse doucement et revient plusieurs fois à la charge sans résultat.
- T’es serrée dis donc!
Qu’est ce qu’il croit? Que j’offre mon cul tous les jours. Pourtant c’est ce que je fais en ce moment. Vu mon comportement, ils ne peuvent pas savoir. Pour eux, je suis une fille facile qu’ils viennent de lever dans un ciné. Une fille qui accepte de faire une partouze avec des inconnus.
- Attends ma poule tu vas voir.
Il me serre par la taille. Son gland pousse très fort. De plus en plus fort. Je me cabre. Sous la douleur. Eric ne bouge plus et me maintien de toute sa force. Je tente de me débattre. J’ai lâché la bouche d’Eric. Brusquement, sous une poussée plus forte encore, mon anus s’ouvre d’un coup. Le gland passe. Mon anus se dilate autour du gland. Je me trémousse. Ils me bloquent.
- Laisses toi faire.... T’attends que ça.... Tu vas voir comme c’est bon deux queues ensembles....
Le gland passe m’arrachant un cri de douleur. Eric recommence à me pistonner très lentement la chatte. François continue à pousser contre mon cul. Je crie de nouveau. J’ai mal et je ne peux rien faire pour empêcher la verge d’entrer. Çà glisse trop bien. Mon excitation tombe d’un cran sous la douleur qui augmente. C’est comme une boule de feu qui m'irrite l’anus.
Eric va plus vite. Dans ma chatte qui dégouline. Son sexe très épais frotte contre mes parois lubrifiées. Je suis ouverte de tous les cotés. J’ai mal au cul. Comme du plomb fondu.
- Elle coule tellement que ça sort de sa chatte.... T’en ai ou?.... J’ai envie de lui défoncer la moule à la chérie!
Un douleur terrible. Mes intestins explosent sous la pression. Impression de me remplir par en bas. Envie de vomir et de chier. Mon cri emplie la pièce. J’ai le souffle coupé. La bitte est entrée d’un coup dans mon fondement, écartelant mon conduit anal, frappant le fonds de mes intestins.
- Tu peux y aller mon pote! Elle l’a entièrement dans le cul la mignonne... Tu vois avec ce genre de fille aucun problème...
Eric recommence à me tringler. François commence et trouve le même rythme. Ils vont me casser, me déchirer, m’empaler vivante sur leurs deux sexes. Je crie sans arrêt. Douleur. Douleur...
- Pourquoi tu cries?
Je ne sais pas qui m’a posé la question. Je ne sais pas pourquoi je crie. Les vagues de plaisirs reviennent. Je me tais. La bitte dans mon cul m’aspire de l’intérieur chaque fois qu’elle sort. Quand elle revient, mon intestin l’avale. La peau frotte contre mon muscle anal. La bitte dans ma chatte tape durement contre le fonds de mon ventre. A certain moment quand les deux sexes sont enfoncés au maximum en même temps, ils tapent ensemble de chaque côté me faisant crier de bonheur. C’est moi qui jouis la première. Encore une fois.
Ils accélèrent à la recherche de leurs plaisirs. Je deviens poupée entre leurs corps. Je leur donne mes deux trous sans regret. Les glands tapent de plus en plus fort, de plus en plus vite pour me remplir ensemble de sperme chaud. Ils se vident dans mon corps.
J’ai une conscience aiguë des jets qui s’écrasent par saccade dans mon vagin et mon derrière. Leurs virilités tendues gonflent mes entrailles malmenées, les noient de semence.
Je les laisse faire haletante, encore sous la force de cette jouissance qui me parcoure. Je suis folle de sexe et de plaisir. Aucune douleur, aucun remords, aucune honte. Rien. Rien que du plaisir. Plaisir d’avoir reçu et plaisir d’avoir donné.
Nous sortons lentement de l’extase. On se lève. On s’ébroue. On se regarde. Je suis assez sale. Cela ne me dérange pas. Ils me regardent. Je soutiens leurs regards.
- T’es une sacrée nana toi!
- Tu fais ça souvent?
- Souvent quoi?
- Lever des mecs comme ça?
- Non.... C’est la première fois.
Je vois bien qu’ils ne me croient pas. Je ne tente pas de les convaincre. Pour le moment, j’ai surtout envie d’aller aux toilettes et faire un brin de toilette.
- Je peux utiliser les toilettes?
- Bien sûr.
J’y vais. Je me soulage. L’urine fait du bruit en tapant dans l’eau. La porte s’ouvre. Ils sont sur le seuil. Je ne dis rien. Ils me regardent pisser puis me nettoyer le sexe.
Je comprends que pour eux je suis devenu une pute au fil de notre relation. Leurs sexes au repos battent contre leurs cuisses. Ils sont maculés de spermes et autre chose pour celui de François. Leurs poils sont collés. Les odeurs de sueurs, d’urine, de foutre assaillent mes narines. J’ai encore le goût du sperme dans la bouche. Mon anus endolori laisse échapper du liquide.
- On a aussi envie de pisser
Je me lève du siège pour leur céder la place. François est devant la cuvette. Il tient son sexe en main. Un jet brillant jaillit pour s’écraser sur l’émail blanc. Je ne peux m’empêcher de regarder le jet d’or.
- A mon tour...
Même au repos, le sexe d’Eric est imposant. Court et très gros. Il pisse en me regardant. Il montre bien sa bitte. Quand ils ont finis. Ils me regardent et sourient.
Mais leurs sourires n’a rien à voir avec les précédents. Ce sont des sourires de macho, vulgaires, sûrs d’eux. Des sourires d’hommes repus.
- Qui veut une bière?
Pas moi. Je me contente d’un verre d’eau. Ils boivent à même le goulot. Ils ne se gênent pas pour roter. Moi je ne sais pas si je veux partir ou rester. Je ne peux même pas mettre de culotte, je n’en ai plus. Il me reste uniquement mon soutien-gorge comme sous-vêtement. Je le prends et commence à le mettre.
- Qu’est ce tu fais.....
- Ben oui.... Tu fais quoi là? On ne t’a pas dit de te rhabiller.....
Ils sont face à moi. Me dépassant d’une tête. Sûr d’eux et de leur pouvoir. Echanges de regard entre eux. Leur connivence a encore grandi. Ils me testent et testent leur pouvoir sur moi. Un pointe de mépris dans les yeux.
- Donnes t’en a pas besoin....
- On a encore du temps....
Ils restent nus aussi et vident leurs bouteilles de bière.
Le verre ne me suffit plus. J’ai envie de quelque chose de plus gros. Je plante mes doigts dans ma chatte. Je les pousse très loin dans mon corps. Mon autre main tâte mon cul. Comment une bitte peut entrer dans un si petit trou. J’ai encore un peu mal et toujours cette envie de chier. Je suis écartelée dans ma chambre, chatte et cul investis par mes doigts. J’ai encore envie... Encore envie d’une queue, d’un mec, de plusieurs. Comme tout à l’heure.
Ils ont bu deux bières chacun. Moi deux verres d’eau. Ils ont souri en me voyant aller plusieurs fois aux toilettes. Au milieu de la pièce, il y a une petite table recouverte de livres et de cours. Il me semble que se sont des cours de math ou de physique. Deux chaises de part et d’autre de la table. Ils s’assoient dessus. Bien sur , ils ne me proposent pas de faire comme eux et je devine que si je le fait, ils voudront que je reste debout.
Quelque chose en moi me pousse à jouer le jeux. En plus, l’envie revient lentement. J’espère que leurs sexes retrouveront de la vigueur. Combien de fois ça peut jouir un mec? J’en sais rien. Ceux que j’ai fréquenté, faisaient l’amour une ou deux fois d’affilé. Pas plus. Quant à moi, je n’avais jamais jouis autant de fois en une journée.
- Tourne toi pour montrer ton derrière à Eric...
- Ouais, moi j’ai pas bien pu voir.... Vas y montres nous ton derche.. Je parie qu’y a pas mal de mecs qui te l’ont ouvert...
- Pourtant il est serré tu peux me croire...
- Çà ne veut rien dire ça.... Il a beau être serré, t’es entré sans trop de problème....
- Je lui ai mis la totale dans les boyaux.... Putain c’était bon, rien que d’y penser, je recommence à bander....
- Regarde comme il est beau ce cul avec ses fesses toutes blanches et cette raie toute mignonne.... Baisse toi une peu chérie qu’on voit mieux..... Regarde François, on voit les poils de la chatte....
- On dirai qu’elle a le cul mouillé.... Elle mouille de partout.... J’ai comme l’impression qu’on a tiré le gros lot cet ap’.....
- Regarde les mamelles comme elles pendouillent bien.... Eh chérie!... Bouge un peu ton cul qu’on voit si tu sais danser....
- Putain! J’y crois pas eh!... Elle le fait.... Regarde, regarde ce cul quand il bouge.... Ouais! Vas y bouge bien ton derche.... Oui chérie comme ça..... Oui cambre toi bien.... C’est ça vas-y.... vise un peu cette salope!... Çà lui coule entre les jambes....
- Eh chérie! Montre nous ton petit trou..... On aimerai le voir mieux que ça... Tu vas bien t’écarter tes grosses fesses pour qu’on voit bien.... Allez vas-y fait bien la pute...
- Ma parole! Elle le fait... Ouahouuuu... Regarde comme elle est profonde et son trou. Regarde-moi ce fion! ....
- Elle est toute serrée la petite chérie.... Elle mouille du cul... Continue comme ça et tu vas nous remettre le biberon à la verticale....
- Je suis sûr qu’elle demande que ça cette fille....
- Putain je ne peux même pas me branler j’ai la bitte dégueulasse....
- Attend je vais t’arranger ça.... Bouge pas.... Tu vas voir.....
Eric est venu à côté de moi. Il m’a saisi par les cheveux. J’ai lâché mes fesses. Au creux de mon ventre une grosse boule me taraudait les nerfs. J’ai oublié qui j’étais et ou j’étais pour vivre le moment présent. Après tout pourquoi ne pas être une pute pour une après-midi? Pourquoi ne pas offrir mon corps aux premiers venus? Je ne sais pas jusqu'où j’irai. On verra bien.
Il tire mes cheveux m’obligeant à me mettre à genoux. Il n’hésite pas à me faire mal pour empêcher toute révolte. Puis il a avancé vers son pote toujours assis. Je suis obligée de le suivre à genoux.
- Allez chérie.... Viens.... Tu vas bien nettoyer mon nouveau pote..... Maintenant finis la rigolade. Tu vas être bien obéissante.... Je suis sûr que tu vas bien nous obéir...
- Amène la Eric.... Faut qu’elle nettoie bien ma queue.... Ouais.... Approche encore.... Tu vas être une bonne pute bien obéissante...
François a pris le relais de son nouvel ami pour me plaquer le visage contre son sexe tendu. L’odeur très forte m’a soulevé le coeur. Je ne voulais pas sucer son sexe. J’ai résisté. Impossible d’ouvrir la bouche. La bitte sentait trop mauvais et je pouvais parfaitement voir les traces de sperme, de gel et des relents d’excréments.
- Allez au turbin! Tu vas la faire bien reluire....
Eric claque mes fesses plusieurs fois. Il n’y allé pas de mains mortes et je criais à chaque coup reçu. Mon visage était collé contre le bas ventre de l’autre mec. Sa bitte était contre de ma joue.
- Ouvre la bouche.... Allez ouvre et nettoie ta merde..... Obéis salope si non tu vas avoir vraiment mal....
Ma soumission les rend dominateurs. Ils jouent les maîtres. Le gland est collé contre mes lèvres serrées. Je respire les odeurs. Les claques pleuvent sur mon cul. Ils me font mal. Ils sont entrain de me forcer. C’est la première fois. Je mouille. Jusqu'où vais-je résister?
- Tant pis tu l’auras voulu
Il prend mes tétons entre ses doigts et serre très fort. La douleur aiguë me fait ouvrir la bouche. J’ai les fesses en feu et les tétons me font très mal.
- Tu vas mettre tous tes trous à notre disposition.....
François plante sa bitte dans ma bouche. Je manque de vomir. Un goût très fort envahi mes papilles. J’ai le hoquet. Eric lâche mes seins. Je ne tente plus de me dérober au pieu qui remplit ma bouche. Je redeviens la fille docile et facile. Malgré le goût et l’odeur, le bitte est douce dans ma bouche. Je ne résiste plus.
- Tu vois quand tu veux..... Maintenant tu vas bien tout nettoyer.... Bien à fonds.... Jusqu’aux couilles....
Je le fait. Je suce la bitte sale De la base au gland. Je me suis habituée à l’odeur et au goût. Je lèche la hampe et les couilles. Je suce lentement en prenant mon temps. Le mec me laisse faire en me caressant les cheveux.
- Avales bien profonds.... Vas-y dans la gorge...
Il pousse au plus loin ou plutôt, il tire ma tête vers son ventre. Le gland pénètre dans ma gorge. J’ai des hoquets. J’avale comme si je mangeais un truc. Heureusement il ne force pas plus.
- Putain! Elle m’excite trop cette salope....
- Moi je peux plus attendre....
Eric se met à genoux derrière moi. Son bas-ventre contre mes fesses. Il a la queue très dure. Il la frotte contre moi. Ses mollets se collent contre les miens.
- Ecartes tes jambes.... Encore mieux que ça.... Je te veux complètement offerte....
François me bloque la tête pendant que l’autre m’oblige à me cambrer pour lui offrir mon cul. Son gland parcoure ma raie, de ma chatte toute mouillée à mon trou plissé.
- Tu te rends compte! Elle mouille encore! Elle a la chatte trempée....
- Je m’en tape c’est pas sa chatte que je veux.
Le gland s’est posé sur mon anus. Il me tient les fesses bien écartées. ses pouces sont de chaque côté de mon petit trou et tirent pour l’ouvrir. Je lâche un pet et je sens du liquide sortir.
- Elle jouit même du cul cette pouf’
Il pousse pendant que François tient mon visage bien arrimé à sa verge Je ne peux plus sucer. C’est lui qui me pistonne la bouche.
Eric pousse d’un coup bitte. Je crie avec le sexe dans la bouche. Le gland ouvre brutalement mon trou du cul. Un autre coup de reins sans me laisser le temps de récupérer. J’ai l’impression que mon cul se déchire sous la pression. Des râles sortent de ma bouche bâillonnée.
- J’ai envie de t’exploser le cul....
Sourd à ma douleur, il donne encore un coup de piston en me tirant vers lui. J’ai des étoiles dans les yeux. J’ai envie de vomir. Je hurle avec ce sexe planté dans ma bouche.
- Jusqu'à la garde mon pote.... Elle l’a dans le cul jusqu’aux roupettes.... T’as raison, elle a un super cul bien serré...
- Tu crois qu’elle fait son cinoche ou elle a vraiment mal?
- Vu comme elle mouille ça m’étonnerais qu’elle ait mal....
Eric commence à m’enculer. Il n’y met aucune douceur, aucun respect. Il me tringle à la recherche de son plaisir, faisant fi de mes douleurs. A chaque coup de boutoir, mon ventre se dilate. Son gland tape au fond de ma paroi anale. C’est comme des décharges électriques. Le plaisir revient doucement. Mon cul se dilate et s’ouvre sous les assauts de mec. Dans ma bouche, l’autre sexe gonfle est frémis. Les veines battent contre ma langue.
Eric me sodomise en prenant tout son temps. Il ne veut pas jouir tout de suite. Sa queue me fore les intestins avec souplesse et force. Il sort toute la longueur de sa bitte avant de la replanter d’un coup sec en allant très loin. A chaque coup de queue, je me cabre, mais j’ai la tête bloquée par son pote qui lui aussi me pistonne la bouche.
C’est bon ma vieille, t’es une enculée et tu aimes cela. Tu aimes les bittes bien dures qui te trouent de partout. Tu aimes sucer y compris ta merde. Tu mouilles quand on te traite comme une pute. Tu en redemande même. T’es une vraie salope. Pire qu’une pute puisqu’elles se font payer et que c’est leur métier. Toi tu fait cela gratos avec n’importe qui. Quand tu as envie tu ne fais pas les choses à moitié. Vas toi aussi au bout de tes envies.... Branle-toi.
Je me branle en suçant cette queue. Mon cul est incroyablement ouvert. Eric en profite pour me défoncer littéralement. Chaque coup de pinne me pousse contre le bas-ventre de François et m’oblige a tout prendre dans la bouche.
- Son cul c’est un vrai tunnel...
- Et en plus je te signale qu’elle est en train de se branler....
- Incroyable! Je vais bientôt exploser mec..... Tiens la bien, il faut que je lui éclate le cul...
Il l’a fait. J’ai cru mourir. J’ai jouit comme une folle en avalant encore du sperme. C’est bon. C’est chaud. Ça descend dans la gorge lentement. J’ai le cul complètement défoncé. Il reste ouvert et suintant du sperme de l’autre. J’ai du mal à marcher.
Ça les fait rire de me voir marcher en canard. Ils me lancent mes vêtements. Ils ne veulent pas que je me lave.
- Casse toi...
Ils gardent mes sous-vêtements et restent nus. Eric me donne un papier avec un numéro de téléphone.
- J’ai plein de potes prêts à te sauter si tu veux...
Je fourre le papier dans ma poche. Je remets mon manteau. Mon entrejambe et ma raie sont trempés de foutre. Je m’en fous. J’ai jouit comme jamais. Je les quitte. Ils sont à nouveau tendres et déposent chacun un chaste baiser sur ma joue avant de me laisser partir.
Dans la rue, je lève les yeux. Ils sont adossés les deux à la balustrade d’un des balcons. Torses nus, ils me font un geste de la main.
- Remonte t’as oublié un truc....
Des passants me regardent. Je remonte en me demandant ce que j’ai pu oublier. J’arrive essoufflée sur le palier. Ils ouvrent et me font entrer. J’ai pas le temps de demander ce que j’ai oublié.
Ils me plaquent contre la porte. Remontent ma jupe et le manteau autour de ma taille. Leurs mains fouillent mon entrejambe, palpent mes fesses, ma chatte et mon anus. Ils n’hésitent pas à pousser leurs doigts dans mes orifices.
- On voulait juste vérifier que tu t’étais pas nettoyer dans les escaliers.... Faut que ça coule pour bien te souvenir de nous....
- Allez casse toi....
Sur mon petit lit, je jouis une dernière fois avant de m’endormir comme une masse sans même me nettoyer. Le petit papier avec le numéro de téléphone est à côté de moi.
Un autre jours peut être.
Fin
Ce sont mes premières paroles dans cette pièces. Plutôt des balbutiements. Ils mordent mes seins. Les doigts dans mon cul et dans ma chatte me procurent des pulsions frénétiques. Ils me faut leurs sexes.
- Prenez-moi... Vite...
- A toi de choisir Eric ...
Eric se couche sur le lit. Je l’enjambe. Je m’assoie sur lui. Son sexe se fiche dans mon vagin béant. Je pousse un feulement de plaisir. Son gland va loin. Très loin dans mon antre liquéfié. Je m’empale avec bonheur sur sa bitte bien droite. Il me pince très fort les seins. Je vais devenir folle. Je commence à le chevaucher. Je sens son vît racler mes paroi et je serre les dents pour contenir le plaisir qui monte en moi.
Il tire mes seins vers lui m’obligeant à me pencher. Il me serre contre lui. Mon torse frotte contre le sien. Je suis complètement ouverte, investie par ce pieux. C’est lui qui donne des coups de bassins et fait coulisser son mandrin dans ma chatte. Ma bouche se plaque contre la sienne. Sa langue investi mon palais.
- Restez comme ça... Gardes la comme ça.... Ecartes tes jambes Eric.... Ouvre la bien...
Il le fait m’ouvrant encore plus si c’était encore possible. Ses bras musclés entourent mon torse pour bien me coller contre lui. Une de ses mains plaque ma tête contre la sienne. Sa langue fouille ma bouche aussi loin que son sexe ma chatte. Je reste comme cela, pantelante de désir, à subir ses assauts virils.
J’ai un peu peur quand je sens une pression sur mon anus dévoilé. je me tend. François le comprend.
- N’aie pas peur chérie... Tu dois avoir l’habitude....
Dans sa bouche, le mot chérie avait un coté trivial ou vulgaire sans aucune tendresse, même si il y avait une certaine douceur. Je n’avais jamais offert ce passage à mes amants précédents. Bien sur certains avaient essayaient de me convaincre de les laisser entrer par là. Je m’y étais fermement opposée. Mais à cet instant précis, je n’avais ni la force ni l’envie d’opposer la moindre résistance. J’étais bien trop excitée par le sexe qui me fouillait le ventre pour me révolter ou me rebeller.
- Tiens la bien Eric.... Essaies de ne pas trop la faire bouger..... C’est dommage que tu ne puisses pas voir ce petit trou tout plissé...
- Y a du gel dans le tiroir de la table de nuit si tu veux.....
Je les écoute sans les entendre. Eric me serre fermement contre lui et bouge très lentement dans mon ventre ouvert. Son torse poilu frotte contre mes seins écrasés. Ses bras m’enlacent avec puissance et ses jambes écartent les miennes. Son gland caresse le fonds de mon utérus glissant.
Je frémis quand un liquide froid coule le long de ma raie bien ouverte par la position ou ils m’ont mise. La langue d’Eric se fait pressante dans ma bouche.
- Laisse toi faire, je suis sur que tu adores par la aussi....
La bitte de François est contre mon anus. Il m’agrippe par les hanches pour bien assurer sa position. Il pousse doucement et revient plusieurs fois à la charge sans résultat.
- T’es serrée dis donc!
Qu’est ce qu’il croit? Que j’offre mon cul tous les jours. Pourtant c’est ce que je fais en ce moment. Vu mon comportement, ils ne peuvent pas savoir. Pour eux, je suis une fille facile qu’ils viennent de lever dans un ciné. Une fille qui accepte de faire une partouze avec des inconnus.
- Attends ma poule tu vas voir.
Il me serre par la taille. Son gland pousse très fort. De plus en plus fort. Je me cabre. Sous la douleur. Eric ne bouge plus et me maintien de toute sa force. Je tente de me débattre. J’ai lâché la bouche d’Eric. Brusquement, sous une poussée plus forte encore, mon anus s’ouvre d’un coup. Le gland passe. Mon anus se dilate autour du gland. Je me trémousse. Ils me bloquent.
- Laisses toi faire.... T’attends que ça.... Tu vas voir comme c’est bon deux queues ensembles....
Le gland passe m’arrachant un cri de douleur. Eric recommence à me pistonner très lentement la chatte. François continue à pousser contre mon cul. Je crie de nouveau. J’ai mal et je ne peux rien faire pour empêcher la verge d’entrer. Çà glisse trop bien. Mon excitation tombe d’un cran sous la douleur qui augmente. C’est comme une boule de feu qui m'irrite l’anus.
Eric va plus vite. Dans ma chatte qui dégouline. Son sexe très épais frotte contre mes parois lubrifiées. Je suis ouverte de tous les cotés. J’ai mal au cul. Comme du plomb fondu.
- Elle coule tellement que ça sort de sa chatte.... T’en ai ou?.... J’ai envie de lui défoncer la moule à la chérie!
Un douleur terrible. Mes intestins explosent sous la pression. Impression de me remplir par en bas. Envie de vomir et de chier. Mon cri emplie la pièce. J’ai le souffle coupé. La bitte est entrée d’un coup dans mon fondement, écartelant mon conduit anal, frappant le fonds de mes intestins.
- Tu peux y aller mon pote! Elle l’a entièrement dans le cul la mignonne... Tu vois avec ce genre de fille aucun problème...
Eric recommence à me tringler. François commence et trouve le même rythme. Ils vont me casser, me déchirer, m’empaler vivante sur leurs deux sexes. Je crie sans arrêt. Douleur. Douleur...
- Pourquoi tu cries?
Je ne sais pas qui m’a posé la question. Je ne sais pas pourquoi je crie. Les vagues de plaisirs reviennent. Je me tais. La bitte dans mon cul m’aspire de l’intérieur chaque fois qu’elle sort. Quand elle revient, mon intestin l’avale. La peau frotte contre mon muscle anal. La bitte dans ma chatte tape durement contre le fonds de mon ventre. A certain moment quand les deux sexes sont enfoncés au maximum en même temps, ils tapent ensemble de chaque côté me faisant crier de bonheur. C’est moi qui jouis la première. Encore une fois.
Ils accélèrent à la recherche de leurs plaisirs. Je deviens poupée entre leurs corps. Je leur donne mes deux trous sans regret. Les glands tapent de plus en plus fort, de plus en plus vite pour me remplir ensemble de sperme chaud. Ils se vident dans mon corps.
J’ai une conscience aiguë des jets qui s’écrasent par saccade dans mon vagin et mon derrière. Leurs virilités tendues gonflent mes entrailles malmenées, les noient de semence.
Je les laisse faire haletante, encore sous la force de cette jouissance qui me parcoure. Je suis folle de sexe et de plaisir. Aucune douleur, aucun remords, aucune honte. Rien. Rien que du plaisir. Plaisir d’avoir reçu et plaisir d’avoir donné.
Nous sortons lentement de l’extase. On se lève. On s’ébroue. On se regarde. Je suis assez sale. Cela ne me dérange pas. Ils me regardent. Je soutiens leurs regards.
- T’es une sacrée nana toi!
- Tu fais ça souvent?
- Souvent quoi?
- Lever des mecs comme ça?
- Non.... C’est la première fois.
Je vois bien qu’ils ne me croient pas. Je ne tente pas de les convaincre. Pour le moment, j’ai surtout envie d’aller aux toilettes et faire un brin de toilette.
- Je peux utiliser les toilettes?
- Bien sûr.
J’y vais. Je me soulage. L’urine fait du bruit en tapant dans l’eau. La porte s’ouvre. Ils sont sur le seuil. Je ne dis rien. Ils me regardent pisser puis me nettoyer le sexe.
Je comprends que pour eux je suis devenu une pute au fil de notre relation. Leurs sexes au repos battent contre leurs cuisses. Ils sont maculés de spermes et autre chose pour celui de François. Leurs poils sont collés. Les odeurs de sueurs, d’urine, de foutre assaillent mes narines. J’ai encore le goût du sperme dans la bouche. Mon anus endolori laisse échapper du liquide.
- On a aussi envie de pisser
Je me lève du siège pour leur céder la place. François est devant la cuvette. Il tient son sexe en main. Un jet brillant jaillit pour s’écraser sur l’émail blanc. Je ne peux m’empêcher de regarder le jet d’or.
- A mon tour...
Même au repos, le sexe d’Eric est imposant. Court et très gros. Il pisse en me regardant. Il montre bien sa bitte. Quand ils ont finis. Ils me regardent et sourient.
Mais leurs sourires n’a rien à voir avec les précédents. Ce sont des sourires de macho, vulgaires, sûrs d’eux. Des sourires d’hommes repus.
- Qui veut une bière?
Pas moi. Je me contente d’un verre d’eau. Ils boivent à même le goulot. Ils ne se gênent pas pour roter. Moi je ne sais pas si je veux partir ou rester. Je ne peux même pas mettre de culotte, je n’en ai plus. Il me reste uniquement mon soutien-gorge comme sous-vêtement. Je le prends et commence à le mettre.
- Qu’est ce tu fais.....
- Ben oui.... Tu fais quoi là? On ne t’a pas dit de te rhabiller.....
Ils sont face à moi. Me dépassant d’une tête. Sûr d’eux et de leur pouvoir. Echanges de regard entre eux. Leur connivence a encore grandi. Ils me testent et testent leur pouvoir sur moi. Un pointe de mépris dans les yeux.
- Donnes t’en a pas besoin....
- On a encore du temps....
Ils restent nus aussi et vident leurs bouteilles de bière.
Le verre ne me suffit plus. J’ai envie de quelque chose de plus gros. Je plante mes doigts dans ma chatte. Je les pousse très loin dans mon corps. Mon autre main tâte mon cul. Comment une bitte peut entrer dans un si petit trou. J’ai encore un peu mal et toujours cette envie de chier. Je suis écartelée dans ma chambre, chatte et cul investis par mes doigts. J’ai encore envie... Encore envie d’une queue, d’un mec, de plusieurs. Comme tout à l’heure.
Ils ont bu deux bières chacun. Moi deux verres d’eau. Ils ont souri en me voyant aller plusieurs fois aux toilettes. Au milieu de la pièce, il y a une petite table recouverte de livres et de cours. Il me semble que se sont des cours de math ou de physique. Deux chaises de part et d’autre de la table. Ils s’assoient dessus. Bien sur , ils ne me proposent pas de faire comme eux et je devine que si je le fait, ils voudront que je reste debout.
Quelque chose en moi me pousse à jouer le jeux. En plus, l’envie revient lentement. J’espère que leurs sexes retrouveront de la vigueur. Combien de fois ça peut jouir un mec? J’en sais rien. Ceux que j’ai fréquenté, faisaient l’amour une ou deux fois d’affilé. Pas plus. Quant à moi, je n’avais jamais jouis autant de fois en une journée.
- Tourne toi pour montrer ton derrière à Eric...
- Ouais, moi j’ai pas bien pu voir.... Vas y montres nous ton derche.. Je parie qu’y a pas mal de mecs qui te l’ont ouvert...
- Pourtant il est serré tu peux me croire...
- Çà ne veut rien dire ça.... Il a beau être serré, t’es entré sans trop de problème....
- Je lui ai mis la totale dans les boyaux.... Putain c’était bon, rien que d’y penser, je recommence à bander....
- Regarde comme il est beau ce cul avec ses fesses toutes blanches et cette raie toute mignonne.... Baisse toi une peu chérie qu’on voit mieux..... Regarde François, on voit les poils de la chatte....
- On dirai qu’elle a le cul mouillé.... Elle mouille de partout.... J’ai comme l’impression qu’on a tiré le gros lot cet ap’.....
- Regarde les mamelles comme elles pendouillent bien.... Eh chérie!... Bouge un peu ton cul qu’on voit si tu sais danser....
- Putain! J’y crois pas eh!... Elle le fait.... Regarde, regarde ce cul quand il bouge.... Ouais! Vas y bouge bien ton derche.... Oui chérie comme ça..... Oui cambre toi bien.... C’est ça vas-y.... vise un peu cette salope!... Çà lui coule entre les jambes....
- Eh chérie! Montre nous ton petit trou..... On aimerai le voir mieux que ça... Tu vas bien t’écarter tes grosses fesses pour qu’on voit bien.... Allez vas-y fait bien la pute...
- Ma parole! Elle le fait... Ouahouuuu... Regarde comme elle est profonde et son trou. Regarde-moi ce fion! ....
- Elle est toute serrée la petite chérie.... Elle mouille du cul... Continue comme ça et tu vas nous remettre le biberon à la verticale....
- Je suis sûr qu’elle demande que ça cette fille....
- Putain je ne peux même pas me branler j’ai la bitte dégueulasse....
- Attend je vais t’arranger ça.... Bouge pas.... Tu vas voir.....
Eric est venu à côté de moi. Il m’a saisi par les cheveux. J’ai lâché mes fesses. Au creux de mon ventre une grosse boule me taraudait les nerfs. J’ai oublié qui j’étais et ou j’étais pour vivre le moment présent. Après tout pourquoi ne pas être une pute pour une après-midi? Pourquoi ne pas offrir mon corps aux premiers venus? Je ne sais pas jusqu'où j’irai. On verra bien.
Il tire mes cheveux m’obligeant à me mettre à genoux. Il n’hésite pas à me faire mal pour empêcher toute révolte. Puis il a avancé vers son pote toujours assis. Je suis obligée de le suivre à genoux.
- Allez chérie.... Viens.... Tu vas bien nettoyer mon nouveau pote..... Maintenant finis la rigolade. Tu vas être bien obéissante.... Je suis sûr que tu vas bien nous obéir...
- Amène la Eric.... Faut qu’elle nettoie bien ma queue.... Ouais.... Approche encore.... Tu vas être une bonne pute bien obéissante...
François a pris le relais de son nouvel ami pour me plaquer le visage contre son sexe tendu. L’odeur très forte m’a soulevé le coeur. Je ne voulais pas sucer son sexe. J’ai résisté. Impossible d’ouvrir la bouche. La bitte sentait trop mauvais et je pouvais parfaitement voir les traces de sperme, de gel et des relents d’excréments.
- Allez au turbin! Tu vas la faire bien reluire....
Eric claque mes fesses plusieurs fois. Il n’y allé pas de mains mortes et je criais à chaque coup reçu. Mon visage était collé contre le bas ventre de l’autre mec. Sa bitte était contre de ma joue.
- Ouvre la bouche.... Allez ouvre et nettoie ta merde..... Obéis salope si non tu vas avoir vraiment mal....
Ma soumission les rend dominateurs. Ils jouent les maîtres. Le gland est collé contre mes lèvres serrées. Je respire les odeurs. Les claques pleuvent sur mon cul. Ils me font mal. Ils sont entrain de me forcer. C’est la première fois. Je mouille. Jusqu'où vais-je résister?
- Tant pis tu l’auras voulu
Il prend mes tétons entre ses doigts et serre très fort. La douleur aiguë me fait ouvrir la bouche. J’ai les fesses en feu et les tétons me font très mal.
- Tu vas mettre tous tes trous à notre disposition.....
François plante sa bitte dans ma bouche. Je manque de vomir. Un goût très fort envahi mes papilles. J’ai le hoquet. Eric lâche mes seins. Je ne tente plus de me dérober au pieu qui remplit ma bouche. Je redeviens la fille docile et facile. Malgré le goût et l’odeur, le bitte est douce dans ma bouche. Je ne résiste plus.
- Tu vois quand tu veux..... Maintenant tu vas bien tout nettoyer.... Bien à fonds.... Jusqu’aux couilles....
Je le fait. Je suce la bitte sale De la base au gland. Je me suis habituée à l’odeur et au goût. Je lèche la hampe et les couilles. Je suce lentement en prenant mon temps. Le mec me laisse faire en me caressant les cheveux.
- Avales bien profonds.... Vas-y dans la gorge...
Il pousse au plus loin ou plutôt, il tire ma tête vers son ventre. Le gland pénètre dans ma gorge. J’ai des hoquets. J’avale comme si je mangeais un truc. Heureusement il ne force pas plus.
- Putain! Elle m’excite trop cette salope....
- Moi je peux plus attendre....
Eric se met à genoux derrière moi. Son bas-ventre contre mes fesses. Il a la queue très dure. Il la frotte contre moi. Ses mollets se collent contre les miens.
- Ecartes tes jambes.... Encore mieux que ça.... Je te veux complètement offerte....
François me bloque la tête pendant que l’autre m’oblige à me cambrer pour lui offrir mon cul. Son gland parcoure ma raie, de ma chatte toute mouillée à mon trou plissé.
- Tu te rends compte! Elle mouille encore! Elle a la chatte trempée....
- Je m’en tape c’est pas sa chatte que je veux.
Le gland s’est posé sur mon anus. Il me tient les fesses bien écartées. ses pouces sont de chaque côté de mon petit trou et tirent pour l’ouvrir. Je lâche un pet et je sens du liquide sortir.
- Elle jouit même du cul cette pouf’
Il pousse pendant que François tient mon visage bien arrimé à sa verge Je ne peux plus sucer. C’est lui qui me pistonne la bouche.
Eric pousse d’un coup bitte. Je crie avec le sexe dans la bouche. Le gland ouvre brutalement mon trou du cul. Un autre coup de reins sans me laisser le temps de récupérer. J’ai l’impression que mon cul se déchire sous la pression. Des râles sortent de ma bouche bâillonnée.
- J’ai envie de t’exploser le cul....
Sourd à ma douleur, il donne encore un coup de piston en me tirant vers lui. J’ai des étoiles dans les yeux. J’ai envie de vomir. Je hurle avec ce sexe planté dans ma bouche.
- Jusqu'à la garde mon pote.... Elle l’a dans le cul jusqu’aux roupettes.... T’as raison, elle a un super cul bien serré...
- Tu crois qu’elle fait son cinoche ou elle a vraiment mal?
- Vu comme elle mouille ça m’étonnerais qu’elle ait mal....
Eric commence à m’enculer. Il n’y met aucune douceur, aucun respect. Il me tringle à la recherche de son plaisir, faisant fi de mes douleurs. A chaque coup de boutoir, mon ventre se dilate. Son gland tape au fond de ma paroi anale. C’est comme des décharges électriques. Le plaisir revient doucement. Mon cul se dilate et s’ouvre sous les assauts de mec. Dans ma bouche, l’autre sexe gonfle est frémis. Les veines battent contre ma langue.
Eric me sodomise en prenant tout son temps. Il ne veut pas jouir tout de suite. Sa queue me fore les intestins avec souplesse et force. Il sort toute la longueur de sa bitte avant de la replanter d’un coup sec en allant très loin. A chaque coup de queue, je me cabre, mais j’ai la tête bloquée par son pote qui lui aussi me pistonne la bouche.
C’est bon ma vieille, t’es une enculée et tu aimes cela. Tu aimes les bittes bien dures qui te trouent de partout. Tu aimes sucer y compris ta merde. Tu mouilles quand on te traite comme une pute. Tu en redemande même. T’es une vraie salope. Pire qu’une pute puisqu’elles se font payer et que c’est leur métier. Toi tu fait cela gratos avec n’importe qui. Quand tu as envie tu ne fais pas les choses à moitié. Vas toi aussi au bout de tes envies.... Branle-toi.
Je me branle en suçant cette queue. Mon cul est incroyablement ouvert. Eric en profite pour me défoncer littéralement. Chaque coup de pinne me pousse contre le bas-ventre de François et m’oblige a tout prendre dans la bouche.
- Son cul c’est un vrai tunnel...
- Et en plus je te signale qu’elle est en train de se branler....
- Incroyable! Je vais bientôt exploser mec..... Tiens la bien, il faut que je lui éclate le cul...
Il l’a fait. J’ai cru mourir. J’ai jouit comme une folle en avalant encore du sperme. C’est bon. C’est chaud. Ça descend dans la gorge lentement. J’ai le cul complètement défoncé. Il reste ouvert et suintant du sperme de l’autre. J’ai du mal à marcher.
Ça les fait rire de me voir marcher en canard. Ils me lancent mes vêtements. Ils ne veulent pas que je me lave.
- Casse toi...
Ils gardent mes sous-vêtements et restent nus. Eric me donne un papier avec un numéro de téléphone.
- J’ai plein de potes prêts à te sauter si tu veux...
Je fourre le papier dans ma poche. Je remets mon manteau. Mon entrejambe et ma raie sont trempés de foutre. Je m’en fous. J’ai jouit comme jamais. Je les quitte. Ils sont à nouveau tendres et déposent chacun un chaste baiser sur ma joue avant de me laisser partir.
Dans la rue, je lève les yeux. Ils sont adossés les deux à la balustrade d’un des balcons. Torses nus, ils me font un geste de la main.
- Remonte t’as oublié un truc....
Des passants me regardent. Je remonte en me demandant ce que j’ai pu oublier. J’arrive essoufflée sur le palier. Ils ouvrent et me font entrer. J’ai pas le temps de demander ce que j’ai oublié.
Ils me plaquent contre la porte. Remontent ma jupe et le manteau autour de ma taille. Leurs mains fouillent mon entrejambe, palpent mes fesses, ma chatte et mon anus. Ils n’hésitent pas à pousser leurs doigts dans mes orifices.
- On voulait juste vérifier que tu t’étais pas nettoyer dans les escaliers.... Faut que ça coule pour bien te souvenir de nous....
- Allez casse toi....
Sur mon petit lit, je jouis une dernière fois avant de m’endormir comme une masse sans même me nettoyer. Le petit papier avec le numéro de téléphone est à côté de moi.
Un autre jours peut être.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bien foutue, bien écrite (malgré quelques fautes d'orthographe), bien construite, et surtout, bien excitante.
Merci
Merci
merci pour ce récit.
Tres belle histoire
Vivement une suite
Vivement une suite
Tres belle histoire
Vivement une suite
Vivement une suite
On en redemande :)