La toison de la voisine (2)
Récit érotique écrit par Auteur anonyme [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2009 dans la catégorie Fétichisme
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La toison de la voisine (2)
En partant de mon bureau, Maryse refusa d’aller au resto, elle me dit : j’ai un endroit pas loin d’ici qu’une amie me prête, allons y, c’est la maison de ses parents, c’est une grande maison qu’elle loue aux grandes vacances, on y sera tranquille. Elle m’indiqua la route tout en me montrant sa chatte poilue, je bandais comme un fou. Juste avant d’arriver, Maryse me fait : je n’en peux plus, arrête, je veux te sucer ! Je me gare et elle ouvre mon pantalon et sort ma verge. Elle suçait avec rapidité, je passe ma main dans ses cheveux et lui dit : ralentis. Maryse releva la tète et me dit en enlevant un poil de sa langue : elle sent bon !
Juste avant de décharger je passe un doigt dans son anus. Maryse soulève sa cuisse avec ses mains pour me faciliter l’accès de son cul. Elle me dit : tu es bien là ? Je répondis : je sens tes poils sur mon doigt, je bande comme jamais ! Elle répond : hum je le vois…
Au bout de dix minutes, je jouis dans sa bouche. De toutes mes copines, Maryse, est la seule à avaler tout mon sperme, elle se relève après avoir bien nettoyée ma queue avec sa langue. Elle me dit en me caressant la joue : j’avais peur que tu éjacules dans ton slip et je n’aurais pas eu beaucoup de semence, j’adore le jus d’homme. Je réponds : Robert ne connait pas son bonheur… Maryse me fit : à chaque fois que je lui fais une pipe, il reste indifférent, aucunes réactions, j’ai tout acceptée au début, les vingt premières années de notre mariage on baisait partout : sur un coin de table, dans une écurie ou dans une cage d’escalier, il adorait me passer la main au cul sous ma robe, il me suppliait de ne pas mettre de culotte et avec les années nos rapports ont changés, il a du mal à bander et ne veut pas voir de médecin. Il se retranche dans ses loisirs : sa pêche… Il part souvent avec des amis la nuit ou le week-end.
Une fois arrivé à la propriété, Maryse ouvre la porte avec une télécommande, je rentre la voiture et nous rentrons dans la cuisine. Maryse baissa les stores de la cuisine pour avoir de l’ombre, elle me dit : il y a du champagne au frais, ouvre en une bouteille. Je m’exécutais et elle remplie un pot d’eau pour arroser la plante qui était sur le lavabo. La voyant avec ses talons aiguilles et son vernis à ongles sur ses orteils, je me mis à rebander, je lui ouvris la fermeture éclair de sa robe en l’embrassant dans le cou et en lui disant des mots d’amour. Elle me laissa œuvrer, son odeur me faisait accroitre mon érection, je bandais à la vue de sa robe débrayée. Je remontais le pant de sa robe sur ses hanches et la pénétrais sans ménagement. A l’entrée de son vagin elle me fit stopper, avec sa main gauche elle maintenait sa robe relevée et son autre main me guida. Ma main gauche maintenait ma verge, Maryse me dit : enlève ta main et laisse toi faire, occupe toi de mes seins… Plus je pelotais sa poitrine plus Maryse donnait des coups reins, je sortis deux fois de sa chatte, elle soupira et me dit : tu veux aller trop vite, baise moi mieux et elle se mit en levrette sur le carrelage. Je la limais avec précaution, elle commença à jouir doucement, d’un coup de talon elle ferma la porte de la cuisine et enleva sa robe.
« Continu, oh oui, défonce ta voisine… »
Je retourne Maryse et saisie ses fesses et me réintroduis dans ses lèvres pleines de cyprine. Plus je limais, plus elle criait, je mis ma main sur sa bouche pour atténuer son orgasme, Maryse me mordit ma main plus fort, elle me poussa avec ses mains, je ne compris pas et me retirais, Maryse me souffla : bouffe moi la chatte, vite… Au moment où ma bouche fut à son vagin elle me lâcha deux jets de sa mouille et finis par jouir. Nous avons passés un sacré après midi, je vous raconterai plus tard nos autres moments torrides…
Juste avant de décharger je passe un doigt dans son anus. Maryse soulève sa cuisse avec ses mains pour me faciliter l’accès de son cul. Elle me dit : tu es bien là ? Je répondis : je sens tes poils sur mon doigt, je bande comme jamais ! Elle répond : hum je le vois…
Au bout de dix minutes, je jouis dans sa bouche. De toutes mes copines, Maryse, est la seule à avaler tout mon sperme, elle se relève après avoir bien nettoyée ma queue avec sa langue. Elle me dit en me caressant la joue : j’avais peur que tu éjacules dans ton slip et je n’aurais pas eu beaucoup de semence, j’adore le jus d’homme. Je réponds : Robert ne connait pas son bonheur… Maryse me fit : à chaque fois que je lui fais une pipe, il reste indifférent, aucunes réactions, j’ai tout acceptée au début, les vingt premières années de notre mariage on baisait partout : sur un coin de table, dans une écurie ou dans une cage d’escalier, il adorait me passer la main au cul sous ma robe, il me suppliait de ne pas mettre de culotte et avec les années nos rapports ont changés, il a du mal à bander et ne veut pas voir de médecin. Il se retranche dans ses loisirs : sa pêche… Il part souvent avec des amis la nuit ou le week-end.
Une fois arrivé à la propriété, Maryse ouvre la porte avec une télécommande, je rentre la voiture et nous rentrons dans la cuisine. Maryse baissa les stores de la cuisine pour avoir de l’ombre, elle me dit : il y a du champagne au frais, ouvre en une bouteille. Je m’exécutais et elle remplie un pot d’eau pour arroser la plante qui était sur le lavabo. La voyant avec ses talons aiguilles et son vernis à ongles sur ses orteils, je me mis à rebander, je lui ouvris la fermeture éclair de sa robe en l’embrassant dans le cou et en lui disant des mots d’amour. Elle me laissa œuvrer, son odeur me faisait accroitre mon érection, je bandais à la vue de sa robe débrayée. Je remontais le pant de sa robe sur ses hanches et la pénétrais sans ménagement. A l’entrée de son vagin elle me fit stopper, avec sa main gauche elle maintenait sa robe relevée et son autre main me guida. Ma main gauche maintenait ma verge, Maryse me dit : enlève ta main et laisse toi faire, occupe toi de mes seins… Plus je pelotais sa poitrine plus Maryse donnait des coups reins, je sortis deux fois de sa chatte, elle soupira et me dit : tu veux aller trop vite, baise moi mieux et elle se mit en levrette sur le carrelage. Je la limais avec précaution, elle commença à jouir doucement, d’un coup de talon elle ferma la porte de la cuisine et enleva sa robe.
« Continu, oh oui, défonce ta voisine… »
Je retourne Maryse et saisie ses fesses et me réintroduis dans ses lèvres pleines de cyprine. Plus je limais, plus elle criait, je mis ma main sur sa bouche pour atténuer son orgasme, Maryse me mordit ma main plus fort, elle me poussa avec ses mains, je ne compris pas et me retirais, Maryse me souffla : bouffe moi la chatte, vite… Au moment où ma bouche fut à son vagin elle me lâcha deux jets de sa mouille et finis par jouir. Nous avons passés un sacré après midi, je vous raconterai plus tard nos autres moments torrides…
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Les avis des lecteurs
Je voudrais une voisine comme ça ❤️❤️