La tournante 2
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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La tournante 2
La tournante 2 : Initiation.
Je m'appelle Géraldine et j'ai toujours eu un rapport au sexe particulier. J'aime une certaine violence, les mots crus, les pratiques humiliantes. J'aime aussi les lieux sordides : cave, usine désaffectée, maison abandonnée, blockhaus….
J'ai lu « Justine ou les malheurs de la vertu » à seize ans et j'ai lu au moins trois fois « Histoire d'O » en me masturbant avec frénésie .
J'ai vu aussi le film plusieurs fois.
C'est d'ailleurs comme ça que j'ai rencontré un homme qui a beaucoup compté.
La première fois, je m'étais assise au dernier rang. Un homme est venu en cours de séance s'assoir à côté de moi en début de rangée, côté couloir. Il me fallait l'enjamber pour sortir.
Quand il est venu s'assoir, j'avais la main dans la poche trouée de ma jupe, il a dû s'apercevoir que cela faisait une bosse et qu'il y avait du mouvement. Je me masturbais.
Au bout de quelques minutes, je recommençais mon activité pendant que sur l'écran, O se faisait maltraiter.
Mon voisin me prit la main valide pour la poser sur son caleçon. Il avait défait sa ceinture et déboutonné son pantalon. J'entourais de mes doigts une andouillette de bonne dimension et la serrais. En même temps que j'accėlèrais le frottement de mon bouton, j'augmentais l'amplitude de mes mouvements sur sa verge jusqu’à sentir un liquide épais et visqueux couler sur mes doigts ce qui déclencha des spasmes chez moi.
Le monsieur sortit un mouchoir de sa poche, il prit mes doigts, les approcha de mes lèvres puis les prit dans sa bouche avant de m'embrasser et enfin de s'essuyer. Il me remercia et sortit de la salle.
Une semaine plus tard, alors que faisais la queue pour revoir ce film, il se colla à moi et m'offrit la place, il prit ma main d'autorité pour se replacer dans le même coin sombre du cinéma.
Peu de monde dans la salle, c'était une séance d'après midi et le film commençait à avoir moins de succès .
Durant les quinze premières minutes publicitaires sans intérêts, il me glissa des mots doux dans l'oreille. Il me raconta que tous les jours, il me guettait, m'attendait et quand il m'a vu passer, il s'est précipité pour me rejoindre.
Pendant toute la semaine, il s'était maudit de s'être enfuit avant l'allumage des lumières.
Il voulait absolument faire ma connaissance.
A la lumière du jour, il n'était pas si vieux que cela , petite quarantaine, taille moyenne, mince, des lunettes qui cachaient de beaux yeux pâles de myope qui lui donnait un air rêveur, tennis, jeans et sweat shirt.
Il parlait doucement en me tenant la main.
Pour ma part, j'avais le teint clair d'une peau de rousse avec quelques tâches, le cheveux mi longs attachés en queue de cheval, une robe à fleurs cintrée à la taille, des claquettes et un sac à dos en cuir.
Il m'a questionné si j'avais un ami, mes études, si j'étais libre après la séance, ce que je pensais de l'histoire.
J'ai menti en lui disant qu'il m'avait empêché de voir le film et donc, je revenais pour le voir réellement.
Il a souri, pas dupe.
Finalement, je lui ai avoué que la séance m'avait terriblement excitée et que toute la semaine, je m'étais masturbée en imaginant une suite.
Il m'a demandé comment je l'imaginais, je lui ai avoué mes fantasmes, combien j’enviais le sort de l'héroïne.
La suite a été moins sage, comme la dernière fois, dès les lumières éteintes, il a ouvert son pantalon et je me suis couché pour le prendre maladroitement en bouche. De sa main sur ma nuque, il donnait le rythme, je bavais continuellement. De mes mains, j'ai enlevé ma culotte que je lui ai donné. Il l'a longuement humée puis il m'a doigté, glissant un puis plusieurs doigts dans ma vulve, les sensations étaient agréables puis il les a agité de plus en plus vite en écrasant avec son pouce mon clitoris. Il a jouit dans ma bouche en même temps que je poussais malgré moi un cri, étouffé par ma position.
Heureusement, j'étais invisible et il me maintenait couchée sur lui.
Son sperme coulait sur mon menton, son pantalon et le fauteuil, je reprenais ma respiration et lentement je me suis redressée.
Cette fois, j'ai vu la fin du film. Il m'a redonné ma culotte avec laquelle j'ai essuyé mon visage et mes cuisses gluantes.
En sortant, nous avons fait quelques pas et nous avons longuement discuté de nos goûts et attentes puis il m'a donné rendez-vous pour une prochaine séance en matinée.
Cette fois, la salle était vide, nous sous sommes installés à notre habitude, en silence, il a ouvert son pantalon, j'ai enlevé ma culotte. Mes seins lourds sans attache, flottaient sous ma robe, les tétons dressés contre le tissus.
A ce moment là un jeune homme mince, sorti de nulle part, s'est glissé de l'autre côté, il m'a ordonné dans mon oreille de continuer, l'inconnu a sorti son sexe et mon amant a pris ma main pour que j'empoigne cette deuxième verge en demi érection, il m'a chuchoté de le masturber.
L'inconnu a empoigné à son tour mes deux seins qui pendaient, à pleines mains et me les a massés doucement. J'étais toujours à demi couché sur le fauteuil, les jambes écartées et pendantes au sol, la bouche rivée sur le mandrin que je suçais avec délectation, une main accrochée au bras du fauteuil, l’autre autour du sexe de l'inconnu.
Sans lâcher mes seins, il pivote et s'assoit au sol, la tête sous ma jupe, sa bouche se colle à mon entrejambe libre de tout vêtements. Sa langue me lèche et en me déplaçant légèrement, il trouve ma vulve humide, sa langue écarte mes grandes lèvres puis recueille mon jus, je me cambre pour qu'il s'occupe de mon clitoris et c'est moi qui fais des mouvements de bassin pour que mon sexe frotte sur ses lèvres et son menton.
Ma fellation n'est plus aussi appliquée et mon amant me relève pour m'embrasser.
Nous sommes très échauffés mais je fatigue.
La situation devient inconfortable et plus que risquée, nous levons le camp et nous dirigeons vers les toilettes du complexe cinématographique.
A cette époque, il n'y avait pas la surveillance vidéo actuelle…. Du moins, nous le supposions.
A peine, la porte refermée, je m'installe sur le siège et reprend non pas une mais deux fellations en alternance. Les deux sexes sont courts et trapus entourés de poils drus. La mode n'était pas encore à l'épilation...
Je m'active avec force succions et gorges profondes. Leurs sexes touchent ma luette mais sans provoquer de hauts le cœur.
Après quelques minutes de ce traitement, je suis relevée et les mains plaquées contre le mur, la bouche collée sur la verge de l'inconnu, les jambes tendues, le corps plié, la robe par-dessus la tête, mon amant me trousse et me pénètre facilement tant je suis excitée.
Il me laboure profondément, je le sens bien, parfois il ressort pour me pénétrer à nouveau. Ma bouche n'est pas inactive, je m'applique à bien sucer son ami.
Je change de position et je vais m'assoir sur lui, le dos contre son torse. On m'enlève ma robe sous laquelle je suis nue, il me reprends mes seins par-dessous et les malaxe vigoureusement, il sent que cela me plait, les pointes sont turgescentes, il les pince et les fait rouler.
Maintenant c'est mon amant que je prends en bouche, je savoure mon odeur de femelle, il me baise la bouche avec vigueur à la recherche de son plaisir, il accélère et éjacule dans ma bouche et sur mon visage, j’en ai sur le nez, les yeux , le front…
Je me relève et il me tend ma culotte pour que je m'essuie. Je suis étonnée de la quantité car j'ai la bouche pleine et je leur montre avant de tout recracher dans la culotte .
L'inconnu s'est relevé, il a toujours son sexe en érection et se masturbe face à moi. Je me replace en levrette et je n'ai toujours pas jouis. Mon plaisir est ailleurs, cérébral, dans la transgression et l'avilissement.
Ce n'est qu'un début, je le sens, il me demande si il peut me sodomiser. Comme, il est mignon !!
Je sens aussi qu’il pourrait être le jouet de ma perversité.
Il se sert de ma culotte pour se lubrifier et enduire mon anus, je me cambre un maximum, pliée en deux, les jambes écartées. Il appuie fort sur ma rosette et j'écarte mes lobes le plus possible.
Il me tient par les hanches et me perfore. Je pousse comme pour aller à la selle et mon anneau cède.
Il me transperce, la douleur est très vive. Il stoppe et attend.
J'ai une bouffée d'endomorphines, la douleur qui m'irradie, me procure une joie intense.
Je suis O marquée au fer rouge. Je suis la pire des catins, je voudrais être le sac à foutre d'une équipe de rugby…
J'aime être possédé sous les yeux de mon amant. Il le voit, s'approche de mon oreille et me murmure des insanités. Il me traite de tous les noms et m'appelle Messaline. Il me laisse entrevoir d'autres séances plus hards.
Il encourage son ami à continuer de plus en plus fort. Il rentre plusieurs doigts dans mon vagin en conque qu'il agite. La douleur se mêle au plaisir, son ami me claque les fesses, j'halète, je geins, je miaule, le plaisir est là et me submerge tandis qu'il se déverse au plus profond de moi.
Confuse, je me rhabille et fait un brin de toilette dans celles dévolues aux dames, je ressorts au grand jour.
En passant devant les caisses, j'ai l'impression que tout le monde m'a vu dans mes œuvres .
Sur le trottoir j'embrasse mes deux amis et mon amant me tend sa carte pour convenir d'un prochain rendez-vous.
Je m'appelle Géraldine et j'ai toujours eu un rapport au sexe particulier. J'aime une certaine violence, les mots crus, les pratiques humiliantes. J'aime aussi les lieux sordides : cave, usine désaffectée, maison abandonnée, blockhaus….
J'ai lu « Justine ou les malheurs de la vertu » à seize ans et j'ai lu au moins trois fois « Histoire d'O » en me masturbant avec frénésie .
J'ai vu aussi le film plusieurs fois.
C'est d'ailleurs comme ça que j'ai rencontré un homme qui a beaucoup compté.
La première fois, je m'étais assise au dernier rang. Un homme est venu en cours de séance s'assoir à côté de moi en début de rangée, côté couloir. Il me fallait l'enjamber pour sortir.
Quand il est venu s'assoir, j'avais la main dans la poche trouée de ma jupe, il a dû s'apercevoir que cela faisait une bosse et qu'il y avait du mouvement. Je me masturbais.
Au bout de quelques minutes, je recommençais mon activité pendant que sur l'écran, O se faisait maltraiter.
Mon voisin me prit la main valide pour la poser sur son caleçon. Il avait défait sa ceinture et déboutonné son pantalon. J'entourais de mes doigts une andouillette de bonne dimension et la serrais. En même temps que j'accėlèrais le frottement de mon bouton, j'augmentais l'amplitude de mes mouvements sur sa verge jusqu’à sentir un liquide épais et visqueux couler sur mes doigts ce qui déclencha des spasmes chez moi.
Le monsieur sortit un mouchoir de sa poche, il prit mes doigts, les approcha de mes lèvres puis les prit dans sa bouche avant de m'embrasser et enfin de s'essuyer. Il me remercia et sortit de la salle.
Une semaine plus tard, alors que faisais la queue pour revoir ce film, il se colla à moi et m'offrit la place, il prit ma main d'autorité pour se replacer dans le même coin sombre du cinéma.
Peu de monde dans la salle, c'était une séance d'après midi et le film commençait à avoir moins de succès .
Durant les quinze premières minutes publicitaires sans intérêts, il me glissa des mots doux dans l'oreille. Il me raconta que tous les jours, il me guettait, m'attendait et quand il m'a vu passer, il s'est précipité pour me rejoindre.
Pendant toute la semaine, il s'était maudit de s'être enfuit avant l'allumage des lumières.
Il voulait absolument faire ma connaissance.
A la lumière du jour, il n'était pas si vieux que cela , petite quarantaine, taille moyenne, mince, des lunettes qui cachaient de beaux yeux pâles de myope qui lui donnait un air rêveur, tennis, jeans et sweat shirt.
Il parlait doucement en me tenant la main.
Pour ma part, j'avais le teint clair d'une peau de rousse avec quelques tâches, le cheveux mi longs attachés en queue de cheval, une robe à fleurs cintrée à la taille, des claquettes et un sac à dos en cuir.
Il m'a questionné si j'avais un ami, mes études, si j'étais libre après la séance, ce que je pensais de l'histoire.
J'ai menti en lui disant qu'il m'avait empêché de voir le film et donc, je revenais pour le voir réellement.
Il a souri, pas dupe.
Finalement, je lui ai avoué que la séance m'avait terriblement excitée et que toute la semaine, je m'étais masturbée en imaginant une suite.
Il m'a demandé comment je l'imaginais, je lui ai avoué mes fantasmes, combien j’enviais le sort de l'héroïne.
La suite a été moins sage, comme la dernière fois, dès les lumières éteintes, il a ouvert son pantalon et je me suis couché pour le prendre maladroitement en bouche. De sa main sur ma nuque, il donnait le rythme, je bavais continuellement. De mes mains, j'ai enlevé ma culotte que je lui ai donné. Il l'a longuement humée puis il m'a doigté, glissant un puis plusieurs doigts dans ma vulve, les sensations étaient agréables puis il les a agité de plus en plus vite en écrasant avec son pouce mon clitoris. Il a jouit dans ma bouche en même temps que je poussais malgré moi un cri, étouffé par ma position.
Heureusement, j'étais invisible et il me maintenait couchée sur lui.
Son sperme coulait sur mon menton, son pantalon et le fauteuil, je reprenais ma respiration et lentement je me suis redressée.
Cette fois, j'ai vu la fin du film. Il m'a redonné ma culotte avec laquelle j'ai essuyé mon visage et mes cuisses gluantes.
En sortant, nous avons fait quelques pas et nous avons longuement discuté de nos goûts et attentes puis il m'a donné rendez-vous pour une prochaine séance en matinée.
Cette fois, la salle était vide, nous sous sommes installés à notre habitude, en silence, il a ouvert son pantalon, j'ai enlevé ma culotte. Mes seins lourds sans attache, flottaient sous ma robe, les tétons dressés contre le tissus.
A ce moment là un jeune homme mince, sorti de nulle part, s'est glissé de l'autre côté, il m'a ordonné dans mon oreille de continuer, l'inconnu a sorti son sexe et mon amant a pris ma main pour que j'empoigne cette deuxième verge en demi érection, il m'a chuchoté de le masturber.
L'inconnu a empoigné à son tour mes deux seins qui pendaient, à pleines mains et me les a massés doucement. J'étais toujours à demi couché sur le fauteuil, les jambes écartées et pendantes au sol, la bouche rivée sur le mandrin que je suçais avec délectation, une main accrochée au bras du fauteuil, l’autre autour du sexe de l'inconnu.
Sans lâcher mes seins, il pivote et s'assoit au sol, la tête sous ma jupe, sa bouche se colle à mon entrejambe libre de tout vêtements. Sa langue me lèche et en me déplaçant légèrement, il trouve ma vulve humide, sa langue écarte mes grandes lèvres puis recueille mon jus, je me cambre pour qu'il s'occupe de mon clitoris et c'est moi qui fais des mouvements de bassin pour que mon sexe frotte sur ses lèvres et son menton.
Ma fellation n'est plus aussi appliquée et mon amant me relève pour m'embrasser.
Nous sommes très échauffés mais je fatigue.
La situation devient inconfortable et plus que risquée, nous levons le camp et nous dirigeons vers les toilettes du complexe cinématographique.
A cette époque, il n'y avait pas la surveillance vidéo actuelle…. Du moins, nous le supposions.
A peine, la porte refermée, je m'installe sur le siège et reprend non pas une mais deux fellations en alternance. Les deux sexes sont courts et trapus entourés de poils drus. La mode n'était pas encore à l'épilation...
Je m'active avec force succions et gorges profondes. Leurs sexes touchent ma luette mais sans provoquer de hauts le cœur.
Après quelques minutes de ce traitement, je suis relevée et les mains plaquées contre le mur, la bouche collée sur la verge de l'inconnu, les jambes tendues, le corps plié, la robe par-dessus la tête, mon amant me trousse et me pénètre facilement tant je suis excitée.
Il me laboure profondément, je le sens bien, parfois il ressort pour me pénétrer à nouveau. Ma bouche n'est pas inactive, je m'applique à bien sucer son ami.
Je change de position et je vais m'assoir sur lui, le dos contre son torse. On m'enlève ma robe sous laquelle je suis nue, il me reprends mes seins par-dessous et les malaxe vigoureusement, il sent que cela me plait, les pointes sont turgescentes, il les pince et les fait rouler.
Maintenant c'est mon amant que je prends en bouche, je savoure mon odeur de femelle, il me baise la bouche avec vigueur à la recherche de son plaisir, il accélère et éjacule dans ma bouche et sur mon visage, j’en ai sur le nez, les yeux , le front…
Je me relève et il me tend ma culotte pour que je m'essuie. Je suis étonnée de la quantité car j'ai la bouche pleine et je leur montre avant de tout recracher dans la culotte .
L'inconnu s'est relevé, il a toujours son sexe en érection et se masturbe face à moi. Je me replace en levrette et je n'ai toujours pas jouis. Mon plaisir est ailleurs, cérébral, dans la transgression et l'avilissement.
Ce n'est qu'un début, je le sens, il me demande si il peut me sodomiser. Comme, il est mignon !!
Je sens aussi qu’il pourrait être le jouet de ma perversité.
Il se sert de ma culotte pour se lubrifier et enduire mon anus, je me cambre un maximum, pliée en deux, les jambes écartées. Il appuie fort sur ma rosette et j'écarte mes lobes le plus possible.
Il me tient par les hanches et me perfore. Je pousse comme pour aller à la selle et mon anneau cède.
Il me transperce, la douleur est très vive. Il stoppe et attend.
J'ai une bouffée d'endomorphines, la douleur qui m'irradie, me procure une joie intense.
Je suis O marquée au fer rouge. Je suis la pire des catins, je voudrais être le sac à foutre d'une équipe de rugby…
J'aime être possédé sous les yeux de mon amant. Il le voit, s'approche de mon oreille et me murmure des insanités. Il me traite de tous les noms et m'appelle Messaline. Il me laisse entrevoir d'autres séances plus hards.
Il encourage son ami à continuer de plus en plus fort. Il rentre plusieurs doigts dans mon vagin en conque qu'il agite. La douleur se mêle au plaisir, son ami me claque les fesses, j'halète, je geins, je miaule, le plaisir est là et me submerge tandis qu'il se déverse au plus profond de moi.
Confuse, je me rhabille et fait un brin de toilette dans celles dévolues aux dames, je ressorts au grand jour.
En passant devant les caisses, j'ai l'impression que tout le monde m'a vu dans mes œuvres .
Sur le trottoir j'embrasse mes deux amis et mon amant me tend sa carte pour convenir d'un prochain rendez-vous.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore...des souvenirs reviennent
Je découvre la suite
Merci
Rudy
Je découvre la suite
Merci
Rudy
Très bonne histoire et bien écrite par une femme qui fait la différence entre le vagin et la bulbe
Bravo et merci
Mathieu du 73
Bravo et merci
Mathieu du 73