La tournante 3

- Par l'auteur HDS Sucette -
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Récit libertin : La tournante 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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La tournante 3
La tournante 3

C'est Géraldine, vous avez lu mes débuts au cinéma…. Je reviens vers vous pour vous raconter la suite de mon initiation à la déchéance.
Suite à cet épisode où j'avais une vingtaine d'années ( Peut être moins…) Mon amant et maître me donne un nouveau rendez-vous en voiture cette fois ci.

Il me salue, démarre et aussitôt il se gare dans une impasse en travaux défait sa ceinture et baisse son pantalon : « Suce ! » .

Sans rien dire non plus, je baisse son caleçon et m'empare de sa demi molle, je commence à la caresser. Il me claque la joue. : « Sans les mains. »

Je le prends en bouche et le pompe vigoureusement. Il sent fort l'urine et le sperme. On dirait qu'il a baisė toute la nuit sans se laver.
Il appuie sur ma tête pour aller au fond de ma gorge et m'y maintient. Je pleure et j'étouffe puis il relâche la pression pour recommencer. Je bave un mélange de salive et de glaire.
Il m'insulte, il me sort de la voiture par les cheveux et me couche dans la malle arrière.

Il m'avait simplement demandé d'être nue sous ma robe d'été.
Il me trousse, je suis à plat ventre sur une couverture grossière, il me claque la fesse, cherche sans ménagement l'entrée de mon vagin qu'il investit brutalement.

Je suis très excitée par ce traitement, mon sexe est gonflé et humide. Il me laboure de façon soutenue puis il se vide en moi.
Il me relève pour qu’accroupie je le nettoie avec ma bouche. Je sens son sperme couler entre mes cuisses.


Nous remontons en voiture et me fait câline contre lui.
« Tu as aimé petite pute, tu veux continuer, je vais te présenter à des copains. »
J'opine de la tête, je sais que je n'ai rien à dire. Nous roulons dans la campagne et arrivons dans une vieille ferme.
Il klaxonne. Nous sortons, il prend la couverture et nous rentrons dans la grange.
Il m'enlève ma robe et remonte ses mains sur mes cuisses maculées et porte ses doigts à ma bouche que je lèche soigneusement.

Il y a un poteau en bois qui soutient l'étage auquel pend des cordes et autres outils, il m'y attache les bras croisés au dessus de la tête.
Il sort un foulard de sa poche et me bande les yeux.

J'entends la porte de la remise gémir, des pas se rapprocher de moi. Je sens le souffle d'une respiration près de mon oreille puis une langue qui me la lèche.
En même temps, une main me saisit un sein, le caresse, saisit le ttontéton et le pince. Je pousse un cri de douleur et de surprise mais je sens mon sexe s'humidifier.
La main rappeuse descend et vient sur mon pubis, un doigt épais me pénètre, ressort et recommence une dizaine de fois pour venir sur mes lèvres. J'ouvre la bouche et les doigts me pénètrent pour se faire sucer.
Il y a mon odeur et celle du sperme de mon amant.

Maintenant ce sont plusieurs mains qui me caressent et me pétrissent.

Les sensations sont multiples. Je suis un jouet, impuissante, livrée à des inconnus, je ne sais pas ce qui va se passer ni combien de temps cela va durer.

Certaines mains sont douces et m'effleurent, d'autres me brutalisent. On me claque les seins après m'avoir pincé les tétons d'abord doucement puis de plus en plus fort.
Je crie et je pleure, les bras me font mal, je voudrais que cela s'arrête.

Mon maître s'approche, me détache et m'enlève mon bandeau.
Cinq hommes sont face à moi, ce sont des travailleurs agricoles de trente à cinquante ans.

Mon maître me tourne, glisse sa main et constate mon excitation. Il m'attache les bras le long du corps et au poteau.

Je ne vois plus ce qui se passe dans mon dos quand je perçois un sifflement et une violente morsure.
Je crie de surprise et de douleur quand un second coup arrive sur mes fesses. « Tu n'avais pas le droit de te plaindre, je ne veux rien entendre, Catin ! »
Je reçois ainsi une dizaine de coups des épaules aux cuisses. Il varie les coups plus ou moins fort et espacés.
Il me détache et je suis mise à genoux sur la paille au milieu des spectateurs.
Ils ont ouvert leur froc et se masturbent

Devant mes yeux, une queue se présente que je suce tandis que moi aussi je me masturbe.

Elle sent fort, le gland est énorme : Un gros champignon violet sur un pied veineux. Il me baise la bouche en me tenant la tête et il se répand en moi en quelques minutes.

Il est aussitôt remplacé par celle noueuse d'un maghrébin sans âge. Il est doux, il m'appelle « gazelle » . Je ne peux pas le sucer correctement tant je suis secouée comme un prunier par celui qui m'a prise en levrette. Non seulement, son bassin cogne contre mes fesses mais il me claque et m'insulte : « Grosse salope, je vais t'engrosser, te démolir. » avec son accent slave.
Il finit par jouir bruyamment sur mes fesses et mon dos.

On me retourne sur le dos à même la paille et le maghrébin vient sur moi. Il me baise gentiment à la papa. Les autres se rhabillent ou se masturbent en attendant leur tour. Mon maître prend des photos avec son Nikkon, il mitraille pellicule sur pellicule. Le maghrébin n'arrive pas à jouir et laisse la place. Les deux suivants jouissent vite, le premier se retire et se répand sur mon visage. L'autre sur mes seins.
Mon maître s'approche du maghrébin et lui parle à l'oreille. Celui-ci s'approche de mon visage et m'urine dessus. Il est imité par les autres. Je ferme les yeux, leurs jets est fort et odorant, j'entends crépiter l'appareil photo.

Je suis toujours allongée nue sur le sol quand je reçois un grand seau d'eau sur la tête.

Mon amant me relève et m'enveloppe dans une grande serviette de bain et me ramène chez lui.

Il me lave dans la baignoire avec beaucoup de soin puis il m'étend sur son lit et me masse. Il a passé une crème apaisante sur tout mon corps. Il m'a dit qu'il avait pris beaucoup de plaisir à organiser ce que je lui avais demandé.
Je lui demande avec quoi , il m'a frappé et pourquoi. Il m'a répondu que c'était une branche de coudrier longue et fine pour te mettre en condition, pour leur montrer qu'ils pouvaient tout te faire, que tu étais mon esclave.
Je lui ai dit que c'était un fantasme mais c'était vrai, je voulais faire cette expérience même si je ne m'étais pas préparée aujourd'hui de cette manière.
J'y ai pris beaucoup de plaisir à être sa chose, son objet. Une fois de plus, il m'a surpris et amené à mes limites.

Je lui ai parlé des photos, il a rit et m'a présenté un formulaire. J'ai signé.
Il m'a dit que j'avais gagné en une après midi, le salaire de tous les ouvriers agricoles pour un mois.
Il allait les envoyer au Danemark et elles seront très appréciés Outre Rhin.

Ça, ce n'était pas prévu non plus mais pourquoi ne pas joindre l'utile à l'agréable.

Si tu es d'accord, la prochaine fois, je t'organise un jeu de piste un peu particulier. On en reparlera.

Laver, coiffer, restaurer, j'ai pris un bus pour rentrer chez moi.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
tres bien



Texte coquin : La tournante 3
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