La tournante 4
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La tournante 4
La tournante 4
C'est Géraldine, je vous raconte ma jeunesse. Mon amant a satisfait beaucoup de mes désirs les plus inavouables, il a su progressivement me pousser dans mes limites.
J'ai aimé cette dépravation, il a su m'humilier, moi qui n'était pas à l'aise avec mon corps et pas claire du tout avec ma sexualité.
J'avais besoin d'un guide exigeant et rigoureux pour m'affranchir d'une éducation puritaine et autoritaire.
Très tôt, j'ai ressenti le besoin de m'infliger toutes sortes de punitions et m'imaginais des scénarios où j'étais une esclave sexuelle.
Mon amant m'avait promis une nouvelle séance de soumission et d'exhibition. Nous en avons discuté et me voilà arrivée sur un parking en forêt près d’une grande ville .
Plusieurs voitures sont garées. Je suis complètement nue sous un manteau. A ma descente, il me bande les yeux, me met un collier et me tiens en laisse. Je l'entends qu'il prend plusieurs photos.
Il m'enlève mon seul vêtement et nous empruntons une large allée.
Il me tient par les épaules et me rassure sur l'état du chemin.
Nous marchons ainsi une dizaine de minutes. Je ne sais pas si nous avons croisé du monde.
Il m'enlève mon bandeau car maintenant nous progressons entre les arbres sur un tapis de feuilles mortes, je frissonne un peu car l'air est frais. Nous arrivons dans une clairière ensoleillée.
Il sort de son sac des cordes parmi d'autres objets que ne vois pas. Il me remet le bandeau et m'attache les quatre membres a deux arbres très proches.
Je suis nue, aveugle et écartelée. Son appareil crėpite à nouveau.
Il me semble entendre des bruits de pas, de feuilles, des murmures mais c'est peut-être mon imagination. Et si il me laissait là au milieu de nulle part pour m'éprouver. Et si j'étais attaquée par des chiens enragés ou d'autres bêtes féroces ?
Il me laisse comme ça pendant de longues minutes puis il s'approche et se colle à moi. Je sens son souffle chaud sur mon cou, près de mon oreille.
« Tu as aimé Histoire d'O, tu vas le vivre dans ta chair. »
Quelques secondes plus tard, je reçois un coup de fouet en travers du corps puis un autre immédiatement après.
Mes cris et les claquements doivent s'entendre à des centaines de mètres. Les coups se succèdent sur mon dos à intervalles irréguliers. La lanière s'enroule sur ma poitrine, mon ventre et il s'ingénie à viser mes seins.
La morsure sur mes tétons est terrible. Je crie et je pleure. Je comprends que si je ne suis pas bâillonnée, c'est parce que cela l'excite et il pense sans doute attirer des voyeurs.
Les coups cessent il s'approche, lèche mes larmes, caresse mes chairs endolories. Sa main glisse sur ma vulve gorgée de sang, et ses doigts me pénètrent.
Il constate combien je suis excitée, prélève de ma mouille qu'il porte à ma bouche et que je lèche vicieusement.
Il me fait lécher le manche tressé en cuir du fouet et me l'enfonce dans le vagin. Il me lime de plus en plus fort et vite et je jouis très vite en inondant sa main.
Il me détache les bras pour me menotter et je suis allongée sur le dos à même le sol. Il sort alors une badine terminée par une large partie plate en cuir et commence par des petits coups sur les seins, puis le vagin puis de plus en plus fort. C'est douloureux et terriblement excitant, je voudrais me caresser, je voudrais qu'on me lèche et je voudrais que l'on me pénètre et jouir.
Il vise particulièrement mon clitoris, mes chairs sont boursoufflėes, je coule.
Maintenant je suis à quatre pattes , les jambes écartées toujours attachées mais il m'a enlevé les menottes , il caresse mon anus quand je sens d'autres mains qui me caressent les seins.
Un sexe que je ne connais pas, frotte sur mes lèvres. Il insiste, se fraye un chemin et je finis par le sucer.
Je sens un liquide froid sur ma rosette et le manche s'appuie maintenant dessus. Il donne des petits à coups pour entrer. Par reflexe, mes sphincters se resserre. Il force et me demande de me relâcher et de pousser, l'anneau cède mais il me fait mal. Il le sait, stoppe son mouvement, ressort et j'entends son appareil photo se déclencher en rafale.
Il me demande de m'appliquer dans ma fellation, il me dit que c’est un ami qu'il a invité pour l'occasion. Sur ces paroles, son ami s'enfonce jusqu'à la garde, ses poils du pubis sont sur mon nez, il me lime, me défonce, il se déchaîne pour jouir très vite au fond de ma gorge. Il se retire et me biffle.
« Elle a bien pris ta petite salope, on devrait la faire tourner en cité ! » dit il en me prenant le visage.
« C'est prévu p’titgars, faut la former avant. »
Il a remis du gel dans mon conduit et sur le manche du fouet. Ses doigts me pénètrent profondément, il les tournent dans tous les sens puis remet le manche, il pousse et mon anneau cède. Il effectue des va et viens. Les rugosités écartent ma rondelle, je finis par ressentir du plaisir .
Il s'est placé de telle façon qu'avec sa main, il me pénètre vaginalement tandis que l' olisbos me perfore analement.
Les mouvements sont alternatifs et je sens que ma jouissance va être terrible. Soudain, ma bouche reçois plusieurs éjaculations, mon corps lâche et j'inonde la main qui me fouille , je ne suis que douleur et jouissance. Mes spasmes durent plusieurs minutes et je peine à retrouver ma respiration.
Je suis allongée à même le sol, couverte de sueur. Il me détache et m'enveloppe dans mon manteau.
Il me porte littéralement à la voiture.
Arrivée chez moi, il me lave, me soigne et me couche après avoir bu une décoction de sa composition.
Le lendemain, je trouve une robe ras le cou avec des boutons sur le devant pour rendre invisible les services que j'ai subies accompagné d'un petit mot d'amour et d'un carnet noir où je dois raconté ce que j'ai vécu.
C'est Géraldine, je vous raconte ma jeunesse. Mon amant a satisfait beaucoup de mes désirs les plus inavouables, il a su progressivement me pousser dans mes limites.
J'ai aimé cette dépravation, il a su m'humilier, moi qui n'était pas à l'aise avec mon corps et pas claire du tout avec ma sexualité.
J'avais besoin d'un guide exigeant et rigoureux pour m'affranchir d'une éducation puritaine et autoritaire.
Très tôt, j'ai ressenti le besoin de m'infliger toutes sortes de punitions et m'imaginais des scénarios où j'étais une esclave sexuelle.
Mon amant m'avait promis une nouvelle séance de soumission et d'exhibition. Nous en avons discuté et me voilà arrivée sur un parking en forêt près d’une grande ville .
Plusieurs voitures sont garées. Je suis complètement nue sous un manteau. A ma descente, il me bande les yeux, me met un collier et me tiens en laisse. Je l'entends qu'il prend plusieurs photos.
Il m'enlève mon seul vêtement et nous empruntons une large allée.
Il me tient par les épaules et me rassure sur l'état du chemin.
Nous marchons ainsi une dizaine de minutes. Je ne sais pas si nous avons croisé du monde.
Il m'enlève mon bandeau car maintenant nous progressons entre les arbres sur un tapis de feuilles mortes, je frissonne un peu car l'air est frais. Nous arrivons dans une clairière ensoleillée.
Il sort de son sac des cordes parmi d'autres objets que ne vois pas. Il me remet le bandeau et m'attache les quatre membres a deux arbres très proches.
Je suis nue, aveugle et écartelée. Son appareil crėpite à nouveau.
Il me semble entendre des bruits de pas, de feuilles, des murmures mais c'est peut-être mon imagination. Et si il me laissait là au milieu de nulle part pour m'éprouver. Et si j'étais attaquée par des chiens enragés ou d'autres bêtes féroces ?
Il me laisse comme ça pendant de longues minutes puis il s'approche et se colle à moi. Je sens son souffle chaud sur mon cou, près de mon oreille.
« Tu as aimé Histoire d'O, tu vas le vivre dans ta chair. »
Quelques secondes plus tard, je reçois un coup de fouet en travers du corps puis un autre immédiatement après.
Mes cris et les claquements doivent s'entendre à des centaines de mètres. Les coups se succèdent sur mon dos à intervalles irréguliers. La lanière s'enroule sur ma poitrine, mon ventre et il s'ingénie à viser mes seins.
La morsure sur mes tétons est terrible. Je crie et je pleure. Je comprends que si je ne suis pas bâillonnée, c'est parce que cela l'excite et il pense sans doute attirer des voyeurs.
Les coups cessent il s'approche, lèche mes larmes, caresse mes chairs endolories. Sa main glisse sur ma vulve gorgée de sang, et ses doigts me pénètrent.
Il constate combien je suis excitée, prélève de ma mouille qu'il porte à ma bouche et que je lèche vicieusement.
Il me fait lécher le manche tressé en cuir du fouet et me l'enfonce dans le vagin. Il me lime de plus en plus fort et vite et je jouis très vite en inondant sa main.
Il me détache les bras pour me menotter et je suis allongée sur le dos à même le sol. Il sort alors une badine terminée par une large partie plate en cuir et commence par des petits coups sur les seins, puis le vagin puis de plus en plus fort. C'est douloureux et terriblement excitant, je voudrais me caresser, je voudrais qu'on me lèche et je voudrais que l'on me pénètre et jouir.
Il vise particulièrement mon clitoris, mes chairs sont boursoufflėes, je coule.
Maintenant je suis à quatre pattes , les jambes écartées toujours attachées mais il m'a enlevé les menottes , il caresse mon anus quand je sens d'autres mains qui me caressent les seins.
Un sexe que je ne connais pas, frotte sur mes lèvres. Il insiste, se fraye un chemin et je finis par le sucer.
Je sens un liquide froid sur ma rosette et le manche s'appuie maintenant dessus. Il donne des petits à coups pour entrer. Par reflexe, mes sphincters se resserre. Il force et me demande de me relâcher et de pousser, l'anneau cède mais il me fait mal. Il le sait, stoppe son mouvement, ressort et j'entends son appareil photo se déclencher en rafale.
Il me demande de m'appliquer dans ma fellation, il me dit que c’est un ami qu'il a invité pour l'occasion. Sur ces paroles, son ami s'enfonce jusqu'à la garde, ses poils du pubis sont sur mon nez, il me lime, me défonce, il se déchaîne pour jouir très vite au fond de ma gorge. Il se retire et me biffle.
« Elle a bien pris ta petite salope, on devrait la faire tourner en cité ! » dit il en me prenant le visage.
« C'est prévu p’titgars, faut la former avant. »
Il a remis du gel dans mon conduit et sur le manche du fouet. Ses doigts me pénètrent profondément, il les tournent dans tous les sens puis remet le manche, il pousse et mon anneau cède. Il effectue des va et viens. Les rugosités écartent ma rondelle, je finis par ressentir du plaisir .
Il s'est placé de telle façon qu'avec sa main, il me pénètre vaginalement tandis que l' olisbos me perfore analement.
Les mouvements sont alternatifs et je sens que ma jouissance va être terrible. Soudain, ma bouche reçois plusieurs éjaculations, mon corps lâche et j'inonde la main qui me fouille , je ne suis que douleur et jouissance. Mes spasmes durent plusieurs minutes et je peine à retrouver ma respiration.
Je suis allongée à même le sol, couverte de sueur. Il me détache et m'enveloppe dans mon manteau.
Il me porte littéralement à la voiture.
Arrivée chez moi, il me lave, me soigne et me couche après avoir bu une décoction de sa composition.
Le lendemain, je trouve une robe ras le cou avec des boutons sur le devant pour rendre invisible les services que j'ai subies accompagné d'un petit mot d'amour et d'un carnet noir où je dois raconté ce que j'ai vécu.
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