La trahison de mon épouse, son abattage mérité (1)
Récit érotique écrit par Yabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La trahison de mon épouse, son abattage mérité (1)
Je me souviens encore de ce moment, nous étions en juin et je l'attendis du second étage de mon appartement sordide dans lequel je vivais déjà depuis plusieurs mois.
J’étais derrière la fenêtre. Je l'attendais avec impatience. Je l'attendais avec envie. Il pleuvait légèrement ce jour-là, je me souviens de tout, quelques gouttes tombaient seulement et c'est à cet instant qu'elle apparut.
Je me souviens la voir courir, elle avait mis son sac à main au-dessus de sa tête, elle portait des chaussures à petits talons, elle été si élégante. Elle tenait à Ítre la plus jolie et ne voulait surtout pas que l’humidité fasse onduler ses cheveux.
Je le regardai alors se dépêcher pour me retrouver et c'est à ce moment précis que je devins amoureux. Elle était magnifique, tellement féminine et si désirable.
Je l'aime encore tellement aujourd'hui, malgré moi, malgré toute cette merde, malgré ce que j'ai pu faire et surtout, malgré ce que cette salope m'a fait.
Le début de relation fut un rêve, j'avais trouvé enfin celle à qui je pouvais tout dire, celle qui étaot comme moi, celle qui ne me jugerait jamais. Je pensais alors que S. allait me permettre de reprendre pied, de repartir de l'avant et surtout d'oublier ces derniers mois.
Je me souviens encore de nos retrouvailles cet été là. Durant une semaine, je m’étais totalement lâché, nous ne nous connaissions que depuis quelques semaines en réalité et j'allais chaque jour, chaque heure un peu plus loin, juste pour voir ce qu'elle pouvait encore accepter.
Elle m’avait déjà donné beaucoup et prouvé que je pouvais tout lui demander.
Je passai 15 jours de vacances avec mes filles et je sortais d'une immense déception sentimentale. Elle était au courant de tout, cela ne lui posait aucun problème en réalité et elle me soutenait, m’aidait à aller mieux.
Chaque midi, chaque après-midi, chaque soir, je buvais et buvais encore pour oublier.
Une fois totalement ivre, je me lâchais, j’espérais la choquer et j'allais toujours un peu plus loin, elle ne disait jamais rien, elle acceptait tout.
Je pensais alors trouver mon alter ego. Je me suis alors trompé jusqu’au bout.
Je me rappelle nos retrouvailles. Je l'avais invitée chez moi et lui avais ordonné de porter ce dont j’avais envie.
Elle arriva alors ce soir-là alors que je tournai déjà en rond depuis plusieurs heures. Je devenais totalement dingue, cela faisait des jours que je rêvais d'elle et que j'imaginais tout ce qu'elle m'autoriserait à lui faire.
Je la pris alors dans mes bras alors que la porte était à peine fermée. Je la jetai sur mon lit et enfonçai ma langue dans sa bouche.
Elle était en jupe comme je l'avais demandé et je pus vérifier qu'elle m'avait obéi, elle ne portait rien en dessous, juste des bas qu'elle avait teints en rose pour me faire plaisir.
Que j'aimerais revivre cette période ...
Je la jetai sur mon lit, je sortis ma bite et lui enfonçai alors directement, sans aucun ménagement, sans rien lui dire, elle l’accepta tant elle était déjà mouillée.
Elle était prête elle aussi depuis longtemps, elle était chaude, bouillante et je me sentais si bien en elle.
J’avais lutté pour ne pas vider mes couilles depuis plusieurs jours, je gardai tout pour elle, elles étaient dures et me faisaient mal. Il fallait que je me libère.
Je la pénétrai alors, je la pénétrai et pénétrai encore et toujours plus fort. Elle n'était qu'un objet sexuel, le mien et uniquement le mien.
Je devais avoir bu je pense auparavant car malgré mon abstinence et mon excitation, la jouissance ne venait pas.
Il fallait qu’elle me donne encore plus et je décidai alors de lui prendre le cul. Il devait être serré, trop peut-être, je voulais l’enculer pour qu’enfin ma bite puisse cracher son jus et me libérer enfin.
Je me retirai alors de son vagin, basculai ses jambes vers le haut, visai son petit anus et m’introduisis alors en elle.
Malgré son âge, ma bite était enfermée comme dans un étau, je l’avais sodomisé pour la première fois quelques semaines auparavant mais elle gardait un anus de pucelle.
Ma bite était au chaud, j'étais si bien et je la défonçai comme elle me méritait et comme je le voulais.
J’étais comme dans un rêve et je sentis alors son corps se raidir.
Elle allait jouir, je le sentis et je continuai alors et encore plus fort. Le bruit de mes couilles contre son cul me rendait dingue, j’étais dans un état second.
Je continuai encore et encore, je ne comprenais pas pourquoi le jus ne montait pas alors que j'en avais tellement envie.
Elle jouit alors sans prévenir, elle avait attendu cela plusieurs jours, son orgasme fut total. Elle ne bougea alors plus durant plusieurs secondes.
Cette sensation de domination et la chaleur de son rectum allaient enfin permettre ma libération.
Je sentis que ma sève commençait à monter, c'était bon, c'était incroyablement bon.
Mais je ne voulais pas me libérer dans son cul, je voulais sa bouche, je voulais passer au-delà de sa luette et me déverser au fond de sa gorge.
Je sortis alors de son rectum aussi brutalement que j’y étais entré. Je lui mis directement, profondément, je lui enfonçai ma bite à fond, je la traitai comme une pute. Je butai alors dans sa gorge, je forçai le passage et j'allai tellement loin.
Elle était soumise, elle était passive, elle était dans l'attente de ma semence. Je continuai pendant quelques secondes encore et lui déversai alors plusieurs jets de sperme.
Le sperme coula directement dans son estomac et sans qu'elle n’ait besoin de déglutir.
C'est à cet instant que j'imaginai alors qu'elle accepterait toujours ce traitement.
Je m’étais trompé malheureusement. Le temps fera son œuvre, malgré moi, malgré tout.
A suivre
J’étais derrière la fenêtre. Je l'attendais avec impatience. Je l'attendais avec envie. Il pleuvait légèrement ce jour-là, je me souviens de tout, quelques gouttes tombaient seulement et c'est à cet instant qu'elle apparut.
Je me souviens la voir courir, elle avait mis son sac à main au-dessus de sa tête, elle portait des chaussures à petits talons, elle été si élégante. Elle tenait à Ítre la plus jolie et ne voulait surtout pas que l’humidité fasse onduler ses cheveux.
Je le regardai alors se dépêcher pour me retrouver et c'est à ce moment précis que je devins amoureux. Elle était magnifique, tellement féminine et si désirable.
Je l'aime encore tellement aujourd'hui, malgré moi, malgré toute cette merde, malgré ce que j'ai pu faire et surtout, malgré ce que cette salope m'a fait.
Le début de relation fut un rêve, j'avais trouvé enfin celle à qui je pouvais tout dire, celle qui étaot comme moi, celle qui ne me jugerait jamais. Je pensais alors que S. allait me permettre de reprendre pied, de repartir de l'avant et surtout d'oublier ces derniers mois.
Je me souviens encore de nos retrouvailles cet été là. Durant une semaine, je m’étais totalement lâché, nous ne nous connaissions que depuis quelques semaines en réalité et j'allais chaque jour, chaque heure un peu plus loin, juste pour voir ce qu'elle pouvait encore accepter.
Elle m’avait déjà donné beaucoup et prouvé que je pouvais tout lui demander.
Je passai 15 jours de vacances avec mes filles et je sortais d'une immense déception sentimentale. Elle était au courant de tout, cela ne lui posait aucun problème en réalité et elle me soutenait, m’aidait à aller mieux.
Chaque midi, chaque après-midi, chaque soir, je buvais et buvais encore pour oublier.
Une fois totalement ivre, je me lâchais, j’espérais la choquer et j'allais toujours un peu plus loin, elle ne disait jamais rien, elle acceptait tout.
Je pensais alors trouver mon alter ego. Je me suis alors trompé jusqu’au bout.
Je me rappelle nos retrouvailles. Je l'avais invitée chez moi et lui avais ordonné de porter ce dont j’avais envie.
Elle arriva alors ce soir-là alors que je tournai déjà en rond depuis plusieurs heures. Je devenais totalement dingue, cela faisait des jours que je rêvais d'elle et que j'imaginais tout ce qu'elle m'autoriserait à lui faire.
Je la pris alors dans mes bras alors que la porte était à peine fermée. Je la jetai sur mon lit et enfonçai ma langue dans sa bouche.
Elle était en jupe comme je l'avais demandé et je pus vérifier qu'elle m'avait obéi, elle ne portait rien en dessous, juste des bas qu'elle avait teints en rose pour me faire plaisir.
Que j'aimerais revivre cette période ...
Je la jetai sur mon lit, je sortis ma bite et lui enfonçai alors directement, sans aucun ménagement, sans rien lui dire, elle l’accepta tant elle était déjà mouillée.
Elle était prête elle aussi depuis longtemps, elle était chaude, bouillante et je me sentais si bien en elle.
J’avais lutté pour ne pas vider mes couilles depuis plusieurs jours, je gardai tout pour elle, elles étaient dures et me faisaient mal. Il fallait que je me libère.
Je la pénétrai alors, je la pénétrai et pénétrai encore et toujours plus fort. Elle n'était qu'un objet sexuel, le mien et uniquement le mien.
Je devais avoir bu je pense auparavant car malgré mon abstinence et mon excitation, la jouissance ne venait pas.
Il fallait qu’elle me donne encore plus et je décidai alors de lui prendre le cul. Il devait être serré, trop peut-être, je voulais l’enculer pour qu’enfin ma bite puisse cracher son jus et me libérer enfin.
Je me retirai alors de son vagin, basculai ses jambes vers le haut, visai son petit anus et m’introduisis alors en elle.
Malgré son âge, ma bite était enfermée comme dans un étau, je l’avais sodomisé pour la première fois quelques semaines auparavant mais elle gardait un anus de pucelle.
Ma bite était au chaud, j'étais si bien et je la défonçai comme elle me méritait et comme je le voulais.
J’étais comme dans un rêve et je sentis alors son corps se raidir.
Elle allait jouir, je le sentis et je continuai alors et encore plus fort. Le bruit de mes couilles contre son cul me rendait dingue, j’étais dans un état second.
Je continuai encore et encore, je ne comprenais pas pourquoi le jus ne montait pas alors que j'en avais tellement envie.
Elle jouit alors sans prévenir, elle avait attendu cela plusieurs jours, son orgasme fut total. Elle ne bougea alors plus durant plusieurs secondes.
Cette sensation de domination et la chaleur de son rectum allaient enfin permettre ma libération.
Je sentis que ma sève commençait à monter, c'était bon, c'était incroyablement bon.
Mais je ne voulais pas me libérer dans son cul, je voulais sa bouche, je voulais passer au-delà de sa luette et me déverser au fond de sa gorge.
Je sortis alors de son rectum aussi brutalement que j’y étais entré. Je lui mis directement, profondément, je lui enfonçai ma bite à fond, je la traitai comme une pute. Je butai alors dans sa gorge, je forçai le passage et j'allai tellement loin.
Elle était soumise, elle était passive, elle était dans l'attente de ma semence. Je continuai pendant quelques secondes encore et lui déversai alors plusieurs jets de sperme.
Le sperme coula directement dans son estomac et sans qu'elle n’ait besoin de déglutir.
C'est à cet instant que j'imaginai alors qu'elle accepterait toujours ce traitement.
Je m’étais trompé malheureusement. Le temps fera son œuvre, malgré moi, malgré tout.
A suivre
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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C'est gentil tout plein, mais l'abattage il est où ???