La trahison de mon épouse, son abattage mérité (3)

- Par l'auteur HDS Yabe -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La trahison de mon épouse, son abattage mérité (3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2021 dans la catégorie Fétichisme
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La trahison de mon épouse, son abattage mérité (3)
Cette soirée marqua le début d’autre chose. Je ne sais pas pourquoi en fait, je tombai amoureux à ce moment-là, pour ce qu’elle avait vécu, pour ce qu’elle était, je serai incapable encore aujourd’hui d’expliquer tout cela.

Lorsqu’elle arriva fatiguée, laminée, défoncée, je sus alors que je ferais tout pour la garder près de moi et pour toujours. Elle prit une douche et se coucha à mes côtés, elle n’en pouvait plus et cette fragilité me fit fondre tout simplement.

Malgré l’excitation de la soirée, je décidai de la laisser dormir, elle devait se reposer, elle avait pris beaucoup et à cause de moi. Je me réveillai au lever du jour. J’avais mal dormi car j’avais repensé à tout cela, à sa soumission, à sa jouissance et à ce mec qui avait baisé sa bouche avec une violence incroyable.

Je pense encore que ce qui me fit le plus mal fut de savoir au fond de moi qu’elle avait aimait cela, être traitée comme une salope, une pute qui avale simplement pour un mojito à la con. Je me tournai vers elle, elle dormait encore paisiblement, elle n’avait d’ailleurs pas beaucoup bougé durant la nuit.

J’avais envie d’elle et je voulais enfin en profiter, à mon tour. Il faisait bon ce matin-là, les premiers rayons du soleil berçaient la chambre et je retirai alors le drap pour la regarder nue.

Je descendis alors plus bas dans le lit, vers ses pieds, ils étaient chauds encore de la nuit, ils sentaient bons. Je les caressai doucement, je les sentis contre moi et les posai sur mes couilles.

Quelques minutes plus tard, j’écartai ses jambes, je dégageai sa chatte et son cul, je collai ma bouche alors pour humer l’odeur de son corps.

Je commençai à lécher son clitoris puis je remontai jusqu’à son anus en passant par son vagin toujours humide. Je rentrai alors ma langue bien à fond dans sa vulve. C’était bon, elle commença à gémir tout doucement et gémit davatange lorsque j’atteignis son trou du cul.

Je le suçai longtemps et elle mouilla chaque minute un peu plus que la précédente. Je réussis alors à entrer 2, 3 puis 4 doigts bien au plus profond de son vagin. Sa mouille facilita tellement la chose que je n’eus même pas à forcer le passage. Tout fut si facile.

Je sentis ses muscles se contracter autour de mes doigts quand elle jouit quelques secondes plus tard. Mes couilles me faisaient de plus en plus mal et je devais les vider. Je me lubrifiai quelques secondes dans son vagin mouillé et chaud et pointai mon gland à l’entrée de sa rondelle. Elle poussa vers l’extérieur, instinctivement sûrement, pour me faciliter l’entrée et je m’enfonçai directement mais sans violence à l’intérieur de son rectum.

Que c’était bon, que c’était chaud, que c’était serré. Dès mon entrée, j’eus immédiatement envie de jouir, j’avais trop attendu ce moment et trop rêvé de cet instant. Il suffit alors de quelques mouvements pour que je me vide en elle sans qu’elle ait le temps de jouir. Cela n’avait aucune importance pour moi, c’était mon tour, elle avait pu jouir la veille et moi non.

Je restai dans son cul avant que son sphincter m’expulse avec un bruit obscène. Je me collai à son cou, elle respirait fort, elle transpirait légèrement et ne prononça aucun mot.

Je crois que je me rendormis à ce moment, fatigué de ces dernières heures et épuisé sûrement d’avoir libéré trop de tension. A mon réveil, elle n’avait pas encore bougé. Je me dis qu’elle ne voulait pas me réveiller. Je ne pouvais pas penser surtout qu’elle voulait ne rien faire qui pourrait m’agacer.

Je me rappelai alors et inutilement la soirée d’hier et de ce qu’elle avait fait. J’étais responsable de tout sauf de l’instant où elle jouit en recevant le sperme d’un autre. Elle devait payer pour cela, je ne l’acceptai pas en réalité, je n’aurais jamais pensé qu’une femme puisse jouir ainsi en recevant le jus d’un homme au fond de sa gorge.

Ces pensées me firent rebander et mon gland se positionna de nouveau à l’entrée de son anus encore ouvert de l’assaut précédent. Je descendis coller de nouveau ma bouche sur sa rondelle. Elle était encore humide de mon jus. Je lui demandai de s’assoir sur moi pour qu’elle me donne tout ce qu’il restait de moi au fond d’elle. Elle s’exécuta sans discuter et posa sa rondelle juste au-dessus de ma bouche.

Je reçu un jet encore chaud et j’avalai tout. Elle se remit sur le ventre, ma bite était tellement raide et son anus encore lubrifié que je m’enfonçai en elle d’un coup. Ayant joui quelques minutes auparavant, je pus la besogner sans aucune retenue, comme je l'aurais fait avec une pute, je lui baisai le cul comme jamais, j’entrai, je ressortis, je la défonçai et défonçai encore. Je crois qu’elle jouit du cul au moins deux fois avant que je me vide de nouveau en elle.

Durant des semaines, je pensais avoir trouvé la femme que je recherchais depuis si longtemps. Je n’avais aucune crainte avec elle, je pouvais tout lui dire, tout lui demander et je savais qu’elle n’allait jamais me juger. Plusieurs fois, je m’étais interrogé sur ce qui aurait pu la choquer.

Quelques années plus tard, je me dis encore que j’aurais dû évidemment m’interroger, cela m’aurait permis de comprendre ce qu’elle voulait de moi en réalité.

Je pus assouvir de très nombreux fantasmes en lui disant tout et sans ménagement. Je lui racontais alors quand, adolescent, j’appréciais déjà m’introduire des objets dans l’anus. Je me revois encore lui raconter cela, un samedi après-midi, devant la télévision, sans aucune gêne, comme si cela était si naturel, je rougirais de honte aujourd’hui à lui dire cela alors que je n’ose même plus lui avouer vouloir caresser ses pieds.

Je lui achetais des sex-toys et nous nous amusions de cela. Je les plaçais dans l’appartement que nous avions loué, je les cachais, sur les étagères, dans nos affaires. C’était puéril sûrement mais tellement mignon. C’était un jeu entre nous , c’était bon et tellement simple, c’est si loin aujourd’hui.

J’avais sûrement trop bu encore une fois ce samedi et j’étais rempli de viagra. Je ne sais même pas combien de cachets j’avais pu prendre. Je lui avais demandé de monter dans notre chambre car j’avais une surprise pour elle. J’avais acheté un jolie gode-ceinture juste pour qu’elle m’encule.

Lorsque je la rejoignis, elle était équipée déjà de cette ceinture en latex noir, obscène et misérable. Je ne ressentis rien à part le sentiment de n’être rien, j’allais me faire enculer comme une merde. Elle me burina le fion comme jamais on ne me le fit auparavant.

J’acceptai cette soumission en repensant en boucle à la jouissance qu’elle avait eu la veille et cela me rendait tout simplement dingue. Elle m’encula pendant de longues minutes et je savais qu’elle ne ressentait aucun plaisir à le faire. Mais je lui avais demandé alors elle s’exécuta sans aucune opposition.

Je sonnai alors la fin de la récréation. Elle allait prendre chère car elle le méritait, cette salope, cette pute. Je la basculai sur le dos et ouvrai son anus directement avec mon gland, sans forcer particulièrement, il était travaillé et prêt déjà à tout accepter.

L’alcool fit son œuvre et me permit de lui défoncer le rectum sans risque d’une éjaculation trop rapide. Comme presque toujours, je la sentis jouir quelques minutes plus tard. Il aurait fallu attendre presque 50 ans pour qu’elle jouisse par le cul à chaque rapport, son ancien mari ne l’ayant curieusement jamais sodomisée en plus de 25 ans de vie commune !

Sa jouissance fut si brutale qu’elle mit du temps à recouvrir ses esprits et je profitai de cet instant pour accélérer et accélérer encore. Je me vidai alors au fond d’elle sans éprouver d’ailleurs de réel plaisir. J’aurai du alors me retirer pour que nous puissions enfin dormir mais l’alcool et le viagra changèrent complétement la donne. Ma bite resta raide et je décidai alors de recommencer mes va-et-vient, comme une machine et sans m’arrêter.

Je pense encore aujourd’hui que ce fut la seule fois que je parvins à rebander après avoir éjaculé quelques secondes auparavant. De son côté, son anus était trop ouvert pour me procurer les sensations indispensables à cette deuxième fois. Je passai alors ma main sous elle et commençai à glisser 1 puis 2 doigts sans ressentir le moindre obstacle. Tout glissait facilement, aidé par le sperme encore présent.

L’alcool que j’avais ingurgité comme un ivrogne cassa alors toutes mes limites et je passai 3, 4 puis 5 doigts. J’étais en train de lui asséner une double pénétration anale et elle aima ce moment, cet instant durant lequel elle fut rempli en totalité.

Je pense l'avoir enculée pendant au moins 20 minutes, son cul devait être tellement ouvert mais cela m’importait peu. Je ne pensai qu’à moi, j’aimai ce que je faisais, je voulais jouir une autre fois et la remplir du sperme qui restait en moi. Enfin, je sentis que le jus montait et sans me soucier si elle allait jouir ou non, je me vidai enfin elle.

Nous dormîmes au moins 12 heures et au réveil, je voulus inspecter par curiosite ou par jeu l’état de son anus. Je tins à vérifier si je l’avais défoncé la veille comme il le fallait.

Il était tuméfié, violacé et encore humide. Alors qu’elle dormait encore, j’enfonçai alors 4 doigts sans précaution particulière. Elle dormait encore et son anus était si distendu qu’elle subit cette intromission sans aucune réaction. Je passai alors le pouce et poussai vers l’intérieur, je lui burinai le cul, je ressortis puis rentrai de nouveau, j’utilisai ma main comme une énorme bite qui souhaitait entrer encore plus loin.

Je n’arrivai malheureusement pas à entrer ma main en totalité car elle n’était pas encore prête et je ne voulus évidemment pas lui faire mal. Je pensai alors bêtement que d’autres occasions se produiraient. Je me trompai, tout allait être différent quelques mois plus tard.

J’adorais jouir dans son cul le matin puis lui enfoncer un joli plug anal bijou. Au début, je lui avais choisi le plus petit modèle, quelques semaines plus tard, le plus gros était parfait pour elle. Durant la journée, j’aimais savoir qu’elle garde en elle le jus que je lui avais donné au réveil et rêvais du moment où nous allions nous retrouver. Le soir lorsqu’elle rentrait, je lui demandais alors de se mettre à quatre pattes, je dégageais son string, lui retirais alors le plug et collais ma bouche contre sa rondelle.

J’adorais recevoir mon jus mêlé à ses sécrétions et après avoir tout récupérer, je la sodomisais de nouveau en regardant sa rondelle de plus en plus ouverte.

Je n'ai jamais su pourquoi j'aime à ce point les pieds des femmes. Je pense que cela remonte à mon enfance lorsque sous la table de la salle-à-manger, âgé de quelques années, je posais déjà les pieds de ma mère sur mon visage pour les sentir. Je ne comprendrais jamais pourquoi cette partie du corps humain attire à ce point.

J’aimais jouir dans ses chaussures et savoir qu’elle se promènerait durant la journée avec mon sperme sur ses orteils. Elle mettait ses chaussures et rentrait en contact avec mon sperme. Il était chaud … il était épais … il n'était que pour elle.

Et comme pour son plug, le soir venu, je lui retirais ses escarpins, ses bottines, ses bottes ou ses baskets. Je voyais alors les tâches blanches laissées par mon jus sur ses collants ou ses bas. Je posais alors ma bouche sur la plante de ses pieds ou les prennais directement à pleine bouche. Ils sentaient toujours bons et me faisaient bander immédiatement. Je l'enculais alors sans ménagement et en les respirant.

Je pourrais continuer et continuer encore à vous raconter tous les fantasmes que j'ai pu assouvir pendant cette période.

Et puis je me dis que tout cela continuerait longtemps, j'ai pensé qu'elle acceptait tout pour moi uniquement et pour rien d'autre, j'ai lâché prise un jour et j'ai surtout perdu ce qui avait fait qu'elle se rapproche de moi.

En quelques jours, je ne suis devenu plus rien pour elle et j'ai décidé alors de me venger.

A suivre …

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