La tueuse.
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La tueuse.
C'est une nana comme il y en a tant, la trentaine, jolie comme un cœur et surtout très sexe. Sa journée commence toujours de la même façon : un gode dans le con avant une masturbation du clito sous la douche. Elle travaille dans une grande entreprise de transports et son patron la considère comme sa seconde. Elle a pas mal de responsabilité et surtout le bien pour elle c'est qu'elle "commande" à plusieurs dizaines de chauffeurs. Elle les mène à la baguette : gare à celui qui ne fait pas son job sérieusement.
La présence d'hommes autour d'elle l'excite toujours : certains lui plaisent : elle aimerait s'en payer quelques uns. Travail avant tout. Elle est souvent excitée et va se soulager dans les toilettes. Elle ne veut à aucun prix se farcir quelqu'un de l'entreprise.
Elle fini son travail très tôt et va s'encanailler en ville même. Elle connait les endroits chauds de la ville et va chercher fortune. Elle trouve toujours une victime. Victime est bien le mot. Sous ses airs enjôleurs c'est un vampire. Tout se passe chez elle. Les hommes quelle choisit, ce n'est jamais l'inverse, doivent correspondre à son type : grands, bien bâtis, bruns aux yeux verts. Elle les drague sans pudeur en leur montrant qu'elle ne porte pas de dessous, sinon un tout petit string qui tient plus du cache sexe que d'un slip. Elle les attire en leur promettant des heures de pur bonheur. Dans un sens c'est vrai…
A peine arrivés chez elles, la séance commence : c'est toujours elle qui l'embrasse sur la bouche. Sa langue fouille littéralement celle de son complice. Elle l'excite en lui mettant une main sur la queue déjà grossie et la masse avant de la sortir et de la caresser, sans la branler, rien que pour savoir à quelle sorte de bite elle va avoir à faire. Ensuite elle déshabille son futur amant, toujours. Quand il est nu, il est à sa merci. Elle peut en faire ce qu'elle veut. Elle ne se met pas nue rapidement : c'est l'homme qui doit le faire pas trop vite en embrassant chaque pouce de peaux découverte. Un arrêt très long sur ses seins est fortement recommandé. Elle n'aime pas qu'il lui torde les mamelons, comme beaucoup de femme. Elle fait descendre la tête jusqu'au nombril : elle aime qu'une langue lui caresse cet endroit. C'est là qu'elle commence sa méthode : elle se penche, se met à genoux devant l'amant et lui prend la bite dans la bouche. Elle ne veut pas le sucer à fond, sinon il jouirait trop vite. Avec les lèvres elle fait descendre le prépuce, lèche le gland avant de prendre la pine en totalité dans sa bouche. Cette caresse ne dure que quelques minutes. Elle abandonne la queue seule et va rentrer deux doigts, toujours deux doigts dans le cul de cet homme.
Elle s'assoit jambes bien ouvertes sur le bord du lit, invite son amant à venir poser sa bouche sur sa fente. Elle exige toujours qu'il commence par lui rentrer un peu la langue dans le cul, puis dans la vulve avant de lui demander de lui brouter entièrement le minou. Elle se laisse jouir plusieurs fois en lâchant à chaque fois un flot de cyprine.
Souvent l'homme veut la baiser dès qu'elle l'autorise à se relever. Elle refuse toujours. Finalement il n'est là que pour la faire jouir. Il doit maintenant lui rentrer presque la main dans le cul. Habituellement elle se sert d'un très gros et très long gode qu'elle arrive à faire rentrer complètement dans son cul : un bel engin de 6 cm sur 40 de long. Aucun homme ne peut lui en faire autant, sinon en rentrant la totalité de la main. Là encore elle jouit plusieurs fois.
Enfin, après plus d'une heure d'attente, l'homme a enfin la possibilité de la baiser. Toujours à la manœuvre elle guide la queue vers son antre et c'est elle qui se fait mettre et non pas l'inverse. La seule chose qui compte est son propre plaisir. Normalement l'amant jouit rapidement. Elle l'oblige à ne pas sortir d'elle. Elle sait comment réveiller les ardeurs d'un homme : deux doigts dans le cul, des contractions de son con et revoilà notre homme en condition, prêt pour un nouvel usage. Cette fois elle le laisse agir : c'est lui seul qui assure les vas-et-viens. Elle jouit plusieurs fois encore. Elle n'en a pas terminé…
Elle désire encore avoir la bouche de son amant sur son con. Elle veut goûter au sperme et pour faire tout ça, elle impose un 69. Si l'homme, dessous, s'active bien sur son sexe, elle le prend en bouche et suce très lentement la bite offerte. Sa langue revient prendre le gland et le lèche longuement sans forcer. Si elle avale un peu de queue ce n'est qu'un petit bout. Quand elle estime avoir bien jouit elle se consacre au plaisir de son amant : A ce moment là elle fait une gorge profonde et avale en le dégustant le sperme qui s'échappe de la queue. Elle en suce jusqu'à la dernière goutte. Elle garde la bite dans la bouche et toujours en mettant deux doigts dans le cul, elle la fait grossir jusqu'à ce qu'il lui demande de continuer à le sucer. Elle le laisse faire s'il la suce et la fait jouir, au contraire, elle aime çà. Elle recommence ses fellations plusieurs fois. Elle est capable de faire jouir cet amant de passage plus de dix fois. Ce n'est que quand elle s'aperçoit qu'elle ne peut plus rien tirer de cet homme qu'elle le laisse partir plutôt crevé et satisfait, même s'il sait qu'il ne veut plus revenir vers cette fille.
La présence d'hommes autour d'elle l'excite toujours : certains lui plaisent : elle aimerait s'en payer quelques uns. Travail avant tout. Elle est souvent excitée et va se soulager dans les toilettes. Elle ne veut à aucun prix se farcir quelqu'un de l'entreprise.
Elle fini son travail très tôt et va s'encanailler en ville même. Elle connait les endroits chauds de la ville et va chercher fortune. Elle trouve toujours une victime. Victime est bien le mot. Sous ses airs enjôleurs c'est un vampire. Tout se passe chez elle. Les hommes quelle choisit, ce n'est jamais l'inverse, doivent correspondre à son type : grands, bien bâtis, bruns aux yeux verts. Elle les drague sans pudeur en leur montrant qu'elle ne porte pas de dessous, sinon un tout petit string qui tient plus du cache sexe que d'un slip. Elle les attire en leur promettant des heures de pur bonheur. Dans un sens c'est vrai…
A peine arrivés chez elles, la séance commence : c'est toujours elle qui l'embrasse sur la bouche. Sa langue fouille littéralement celle de son complice. Elle l'excite en lui mettant une main sur la queue déjà grossie et la masse avant de la sortir et de la caresser, sans la branler, rien que pour savoir à quelle sorte de bite elle va avoir à faire. Ensuite elle déshabille son futur amant, toujours. Quand il est nu, il est à sa merci. Elle peut en faire ce qu'elle veut. Elle ne se met pas nue rapidement : c'est l'homme qui doit le faire pas trop vite en embrassant chaque pouce de peaux découverte. Un arrêt très long sur ses seins est fortement recommandé. Elle n'aime pas qu'il lui torde les mamelons, comme beaucoup de femme. Elle fait descendre la tête jusqu'au nombril : elle aime qu'une langue lui caresse cet endroit. C'est là qu'elle commence sa méthode : elle se penche, se met à genoux devant l'amant et lui prend la bite dans la bouche. Elle ne veut pas le sucer à fond, sinon il jouirait trop vite. Avec les lèvres elle fait descendre le prépuce, lèche le gland avant de prendre la pine en totalité dans sa bouche. Cette caresse ne dure que quelques minutes. Elle abandonne la queue seule et va rentrer deux doigts, toujours deux doigts dans le cul de cet homme.
Elle s'assoit jambes bien ouvertes sur le bord du lit, invite son amant à venir poser sa bouche sur sa fente. Elle exige toujours qu'il commence par lui rentrer un peu la langue dans le cul, puis dans la vulve avant de lui demander de lui brouter entièrement le minou. Elle se laisse jouir plusieurs fois en lâchant à chaque fois un flot de cyprine.
Souvent l'homme veut la baiser dès qu'elle l'autorise à se relever. Elle refuse toujours. Finalement il n'est là que pour la faire jouir. Il doit maintenant lui rentrer presque la main dans le cul. Habituellement elle se sert d'un très gros et très long gode qu'elle arrive à faire rentrer complètement dans son cul : un bel engin de 6 cm sur 40 de long. Aucun homme ne peut lui en faire autant, sinon en rentrant la totalité de la main. Là encore elle jouit plusieurs fois.
Enfin, après plus d'une heure d'attente, l'homme a enfin la possibilité de la baiser. Toujours à la manœuvre elle guide la queue vers son antre et c'est elle qui se fait mettre et non pas l'inverse. La seule chose qui compte est son propre plaisir. Normalement l'amant jouit rapidement. Elle l'oblige à ne pas sortir d'elle. Elle sait comment réveiller les ardeurs d'un homme : deux doigts dans le cul, des contractions de son con et revoilà notre homme en condition, prêt pour un nouvel usage. Cette fois elle le laisse agir : c'est lui seul qui assure les vas-et-viens. Elle jouit plusieurs fois encore. Elle n'en a pas terminé…
Elle désire encore avoir la bouche de son amant sur son con. Elle veut goûter au sperme et pour faire tout ça, elle impose un 69. Si l'homme, dessous, s'active bien sur son sexe, elle le prend en bouche et suce très lentement la bite offerte. Sa langue revient prendre le gland et le lèche longuement sans forcer. Si elle avale un peu de queue ce n'est qu'un petit bout. Quand elle estime avoir bien jouit elle se consacre au plaisir de son amant : A ce moment là elle fait une gorge profonde et avale en le dégustant le sperme qui s'échappe de la queue. Elle en suce jusqu'à la dernière goutte. Elle garde la bite dans la bouche et toujours en mettant deux doigts dans le cul, elle la fait grossir jusqu'à ce qu'il lui demande de continuer à le sucer. Elle le laisse faire s'il la suce et la fait jouir, au contraire, elle aime çà. Elle recommence ses fellations plusieurs fois. Elle est capable de faire jouir cet amant de passage plus de dix fois. Ce n'est que quand elle s'aperçoit qu'elle ne peut plus rien tirer de cet homme qu'elle le laisse partir plutôt crevé et satisfait, même s'il sait qu'il ne veut plus revenir vers cette fille.
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