La vengeance de l'enculée 4

- Par l'auteur HDS Bi-Tonio -
Récit érotique écrit par Bi-Tonio [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La vengeance de l'enculée 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2009 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La vengeance de l'enculée 4
<p>Enfilade
De ma position, je domine le corps musclé du brésilien dont le large dos aux muscles saillants est perlé de sueur comme ses fesses un peu velues qu’il serre et relâche au rythme ralenti de ses mouvements de va et viens. La vision de ce beau cul mouvant redonne déjà de la vigueur à mon dard qui se reprend une belle érection. Après avoir défoncé le cul moelleux d’Emma dans les dunes, je me verrais bien enculer à fond ce derche musculeux et en mesurer la différence. Je contourne les deux corps imbriqués et agrippe à deux mains les fesses fermes et duveteuses qui ondulent devant moi. Je les pétris et les écarte pour dégager le trou de balle dont je ne résiste pas à lécher et ensaliver copieusement la rosace. Le mec m’encourage en relâchant les muscles de son fessier largement ouvert dont j’ai idée qu’il a déjà été forcé plus d’une fois. De la main, je guide mon engin encore lubrifié de sperme jusqu’à l’orée de cet orifice accueillant et j’en force l’entrée d’une poussée résolue du gland visqueux. Mon membre comprimé coulisse avec peine dans cet espace confiné, pour venir butter contre la prostate souple. Comme Raphaël a recommencé à besogner Emma avec plus d’ardeur, nos mouvement se coordonnent et j‘ai l’impression que mes coup de hanche sont démultipliés. Je sens mes couilles bien pendues battre contre son gros sac quand nos balloches dilatées s’entrechoquent à la même cadence. Je caresse des doigts ce double paquet de couilles gluant des sécrétions qui ont coulé du vagin engorgé. Je saisi nos bijoux de famille et les masse ensemble d’une main ferme, pendant que de l’autre, je lui malaxe une de ses fesses dure et poilue. A chacune de mes poussées, le jeune éphèbe bande tous ses muscles fessiers et compresse mon polar écrasé dans l’étau de son anus contracté.
Comparé au cul douillet et velouté d’Emma, même lorsqu’elle tentait de m’en éjecter, ce derche nerveux qui pourtant m’accueille volontiers n’est que convulsions violentes et m’impose un rodéo sauvage qui tuméfie mon braquemart qui pistonne et affole le frein de mon gland irrité. Je ne sais pas lequel des deux culs je préfère, et je n’en ai rien à branler. Je sens le foutre bouillonner dans mes burnes et s’engouffrer dans ma bite emprisonnée entre ses fesses qui ne demandent qu’à cracher. Mais voilà maintenant tout le corps de mon enculé qui se raidit dans un violent spasme, essorant mon braquemart en train de vomir une salve incontrôlée d’épaisse purée au fond de son fion. Il éjacule aussi dans la foulée, et j’ai l’impression que c’est mon foutre qui gicle de sa grosse queue, prolongement de la mienne. La vengeance d’Emma s’est transformée en une nouvelle expérience plutôt jouissive pour moi.
Une fois relâchée toute la tension de cette séance, nous retirons nos dagues souillées de leurs fourreaux, que nous essuyons au drap, et nous nous laissons aller sur le lit, vautrés l’un sur l’autre à côté d’Emma le visage toujours enfoncé dans le matelas. Je crois bien que nous faisons un somme pour récupérer. En tous cas, le soir est tombé quand je reprends mes esprits sous les caresses d’une main douce qui remonte le long de ma cuisse. J’entrouvre les paupières et espionne à travers le rideau de mes cils Emma, qui me fourrage les poils du pubis, son autre main baladeuse faisant de même à Raphaël, agenouillée à cheval au dessus de nos deux corps. Nous avons son beau cul et son vagin maculé de foutre séché entrouvert devant les yeux. Raphaël y a déjà introduit ses doigts. J’avance une main fébrile et vient le rejoindre dans cet antre moite ou nos doigts de mêlent. A sentir comme Emma me manipule la gaule, il semble que je sois rentré en grâce. Du coin de l’œil, je peux vérifier qu’elle applique le même traitement au brésilien, et qu’il y est aussi sensible que moi. Nos deux verges jumelles sont en train de se déployer et de se redresser côte à côte en durcissant entre les mains expertes de ma femelle préférée qui les caressent en stéréo. Puis elle les presse ensemble, et le souffle de son haleine chaude vient caresser mon gland hypersensible avant qu’elle le gobe tout entier avec son jumeau et nous traie les bites avec application. Je sens pulser contre ma pine gonflée la grosse veine saillante qui longe la teub de Raphaël. Nos deux corps tendus sont accolés cuisses contre cuisses, poitrine contre poitrine, nos lèvres se cherchent et nos langues se trouvent. Nos doigts mêlés s’alternent à agacer le clitoris d’Emma qui bande grave. Mais sa bouche abandonne bientôt nos phallus et elle se dégage de nos caresses. Elle traîne son pubis sur nos ventres, et guidant nos deux manches tumescents qu’elle enserre ensemble entre ses doigts, elle vient empaler sa moule béante et détrempée sur nos deux pieux de chair qui l’emmanchent avec peine. Elle monte et descend sur nous, faisant lentement coulisser nos poutres dures comme de l’acier pressé l’une contre l’autre. Toujours à nous sucer les langues, nous nous paluchons nos poitrines et nos fesses de mecs pendant que nous laissons notre femelle coulisser langoureusement son vagin qui enrobe nos queues palpitantes et caresser ensemble nos sacs de couilles. Nous savourons religieusement cette communion voluptueuse et lascive, jusqu’à ce qu’Emma accélère le rythme de ses va et viens au gré de son excitation grandissante. Mes mains crispées sur les muscles contractés du jeune latino, je sens nos deux corps mâles se raidir à l’extrême. Je savoure la montée en puissance de mon excitation, peinant à retenir le flux de sève qui gonfle mes couilles dures comme du bois et qui ne demande qu’à gicler. Je saisis Emma par le bras et la force à figer ses mouvements pour nous laisser un peu de répit. Tous les sens en alerte, nous restons quelques instants sans bouger, au bord de la syncope. Puis Emma reprends son ouvrage avec encore plus de vigueur, nous amenant tous au delà du point de non retour. Dans un grand désordre de soubresauts hystériques, nous jouissons les trois en un cataclysme spastique de foutre et de jus qui débordent du con engorgé pour dégouliner sur nos balloches et se mêler à nos poils de queue. L’odeur enivrante de stupre m’enchante les narines.
Après avoir un peu récupéré, Emma se dégage et s’éclipse en direction de la salle de bain. Je me lève aussi, essuyant de la main mon phallus glaireux. Raphaël est resté allongé, sa belle biroute à peine débandée encore suppurant sur une de ses cuisses, les poils pubiens englués de foutre.
Levant un pouce, il me jette un regard entendu, que je lui rends avec un sourire ironique, puis je rejoins Emma sous la douche. «Je suis pardonné?», je lui glisse à l’oreille ruisselante d’eau. Elle sourit sous le jet puissant de la douche. «Je crois, mais seulement si tu me promets de …revenir me fourrer le cul de temps en temps. En fait, j’aime assez». J’en suis un peu estomaqué. La salope m’a joué les vengeresses alors qu’elle avait autant pris son pied que moi! Après un temps d’arrêt, elle ajoute: «d’ailleurs tu devrais profiter de la bite de Raph pour te faire mettre toi aussi». A vrai dire, je m’étais déjà dis que ça ne me déplairait pas de me faire déflorer et ramoner le trou du cul par la grosse pièce d’artillerie du latino, mais avec la bénédiction d’Emma, et sous ses yeux, ça en devient parfaitement alléchant, et je me reprends une trique monumentale.
Sortis de la douche, nous traversons le bungalow en ruisselants sur le carrelage et retrouvons notre beau jouet qui s’est assoupi en travers du lit. Nous le poussons de côté sans qu’il ne se réveille, et nous couchons lovés ensemble contre lui. Ca ne fait rien, je peux attendre jusqu'à demain matin. Je me vois déjà réveillé par une bonne odeur de café, prendre le petit déj au lit. Je vais tartiner mon pain de beurre, en graisser la gaule de Raphaël encore mal réveillé, et le faire bander prêt à me trouer le cul. J’aurai aussi beurré ma queue en érection et Il se pourrait bien qu’Emma vienne m’offrir la fleur de son cul à défoncer pendant que je me ferai enculer dans la moiteur du petit matin.

Fin de mon récit


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Texte coquin : La vengeance de l'enculée 4
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