la victoire entraine un gage (partie 2/2)
Récit érotique écrit par Pilpoil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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la victoire entraine un gage (partie 2/2)
Après de longues heures à dormir enlacés dans ce lit à barreaux, je m'extirpe de sous les draps pour aller voir Esteban qui commence à pousser la chansonnette, je regarde mon téléphone, il est 7h43. J'enfile un caleçon et un t-shirt, je passe par la salle d'eau pour faire disparaître les traces de nos ébats de la nuit passée. Je prends Esteban, et nous descendons au RDC afin de lui préparer le biberon qu'il commence à espérer impatiemment. Nous te laissons dormir seule dans cette grande chambre.
Tandis que je donne le bib, je prépare quelques tartines de brioche, de quoi tartiner tes tranches de brioche, un verre de jus de fruit et un petit chocolat que je ferai chauffer avant de te l'apporter.
Après quelques coulures de lait dans le cou d'Esteban, et quelques rots distingués, je pose Esteban dans son parc en compagnie de son pirate et de son mobile. Il est en pleine discussion avec sa cour, il semble faire preuve d'autorité à leur égard et certains en prennent pour leur grade.
Après un petit passage par le micro-onde je t'apporte ton plateau petit déjeuner dans la chambre. Je tente de te sortir de ton sommeil doucement, et arrive tant bien que mal à te faire revenir à moi. Le regard est plutôt vaseux, les plis des draps et oreillers ont laissé des traces sur ton visage. Ta bouche semble pâteuse et tes premiers mots quelque peu difficiles à sortir. Tu me demandes l'heure qu'il est, où est Esteban et s'il a pris son biberon. Je te présente ton petit déjeuner au lit, tu es surprise car tu sais que je n'aime pas trop, mais tu comprends rapidement que si j'ai fait une entorse à mes principes c'est qu'il n'y a pas de viennoiseries mais de la brioche, et par conséquent pas de miettes à prévoir dans les draps.
Je t'invite à te restaurer et te reposer pendant que je m'occupe d'Esteban, tu t'exécutes sans rechigner pendant que je redescends pour retrouver Esteban.
...
Il est maintenant 14h, Esteban en est à son 3me biberon, tu t'es rendormie aussitôt ton petit déjeuner englouti. Esteban a pris son bain, j'ai chassé les poils du chien avec le balai magique, nettoyé les biberons, rangé quelques bricoles, mis une tournée de linge à laver, et une autre à sécher. Esteban commence à fatiguer, je le mets dans son lit et en profite pour aller me laver. Je fais tomber mon caleçon et mon t-shirt et me glisse sous la douche. L'eau est chaude, elle n'est pas très affluente sous le pommeau mais elle est très relaxante. L'eau ruisselle sur ma tête et dégouline sur mes épaules, mon dos... elle descend le long de ma colonne, passe entre mes fesses puis descend le long de mes fessiers, parcourt mes quadriceps puis mes mollets et termine son chemin sur mes pieds avant d'arriver sur le bac en céramique.
Je prends le flacon de gel douche et en verse dans le creux de ma main. Je fais mousser en frottant mes 2 mains et j'enduis mes épaules, mon torse, et mon dos tant bien que mal. c'est relativement simple pour le creux des reins et les omoplates mais pas très aisé en plein centre... à 2 ce serait beaucoup plus simple ! je continue en faisant le haut de mes cuisses puis en descendant jusqu'à mes pieds. Je prends ensuite du saforel dans mes mains et le fais généreusement mousser avant de nettoyer mon sexe, je caresse mon pénis jusqu'à ce que mon gland sorte afin de le laver de tout le foutre que j'ai laissé en toi cette nuit. Je le nettoie machinalement mais rien ne vaut ce précieux lavage que tu maîtrises à la perfection. Cette façon que tu as de frotter le produit de toute part de mon gland avec tes longs doigts, de bien nettoyer jusqu'à la base de mon pénis, ainsi que pour mes petites bourses que tu secoues agilement jusqu'à passer ta main savonneuse entre mes jambes et de la glisser entre mes fesses en frollant mon anus.
Un bruit me sort de ma rêverie, je termine ma douche en me rinçant, mon sexe présente une érection généreuse après ces quelques pensées. Je saisie une serviette et commence à me sécher, ce bruit m'intrigue je vais voir dans la chambre d'Esteban mais rien ne semble dérangé. Je vais dans notre chambre et m'aperçois que tu n'y es plus. Le plateau est à terre, bizarrement d'ailleurs, il y a d'autres choses qui attirent mon attention. En effet tout cela relève de la mise en scène, le plateau bien qu'étant au sol n'est pas du tout renversé mais posé, quelques sous vêtements sont au sol jusqu'à l'escalier, comme un jeu de piste organisé. Je suis les strings, pièces aux dentelles affriolantes qui mènent dans le couloir de l'entrée puis dans la cuisine. D'autres sont posées sur une chaise de la salle, sur le canapé ; la porte fenêtre du salon est grande ouverte, et j'aperçois d'autres culottes, j'avance et t'aperçois sur un transat. J'approche et plus je viens vers toi plus ma surprise est grande, là où je te croyais sur ton transat en maillot de bain, je t'aperçois top less et même un peu plus. J'approche et te vois nue comme un ver sur le transat, j'approche ma bouche pour coller mes lèvres aux tiennes.
Un doute m'habite, je descends mes lèvres dans ton cou et sens ta peau, ça se concrétise... je descends un peu plus bas sur ta poitrine... elle aussi sent le patchouli... "tu t'es lavé quand ?" "je t'ai entendu aller sous la douche, je me suis dépêchée d'aller me doucher en bas, comme tu étais long j'ai préparé cette mise en scène..."
Tout en m'expliquant ce que tu as organisé tes mains passent sous ma serviette et remontent sur mes cuisses jusqu'à la faire tomber à terre. Tu interromps tes propos pour m'embrasser sur la cuisse droite, tes mains viennent se positionner sur mes fesses. Ta main droite sur ma fesse gauche et inversement pour le coté gauche. Tes lèvres remontent jusqu'à mon sexe que tu ne fais qu'embrasser du bout de tes lèvres avant de redescendre sur l'autre côté. Tes mains s'activent sur mes fesses, tu fais aller tes ongles sur mes fesses... on peut dire que tu sais t'y prendre pour me faire bander !
Tu te lèves et m'invite à m'allonger sur le transat, là tu m'enfourches et reprends tes baisers de feu sur mon corps. Tu prends l'un des strings qui gis au pied du transat pour m'attacher mes mains ensemble. Tandis que mes bras sont tendus dans le prolongement de ma tête, tu fais aller tes ongles sur mes avant-bras puis sur l'intérieur de mes biceps jusqu'à mes aisselles, puis tu les fais descendre sur mes cotes jusqu'à ma taille et tu reprends le chemin inverse. Je frissonne, chaque passage me fait frémir et me fait trembler. En remontant tes mains sur mes avant bras, tu te penches en avant et frotte tes seins à mon visage... Je ne maitrise rien... je tente d'embrasser ta poitrine mais trop tard ta poitrine est déjà repartie au fur et à mesure que tu descends tes griffes. Au prochain passage je ne raterai pas cette opportunité de te lécher les seins.
Chaque fois que tu descends tes serres sur mes cotes je frémis ; mon sexe est dressé au plus haut point et il n'est pas prêt de se ramollir car à chaque fois que tu descends, tu fais aller ton bassin en arrière et ton pubis frôle le bout de mon gland. J'ai comme l'impression que cette bascule de ton bassin n'est pas accidentelle, je crois que tu t'amuses à me chauffer. A chaque aller retour tu appuies un peu plus ton vagin sur mon pénis sans jamais permettre que je ne te pénètre. Mon sexe glisse sur cette petite touffe brune, je ne sais si c'est mon excitation qui fait sortir un peu de sperme permettant cette fluidité, ou si c'est ton excitation et ton fluide qui nous fait glisser l'un sur l'autre.
Tu descends un peu plus bas ton bassin et saisie mon sexe à pleine main, tu le cales entre tes seins et en resserrant tes seins avec tes mains dessus. Tu commences à faire coulisser mon sexe, il semble énorme et tes seins aussi. Mon petit pénis est parfaitement proportionné face à cette petite poitrine... j'aime me sentir prisonnier de ces mamelons, ma bite coulisse en toi, elle disparait et réapparait toute excitée à chacun des va et vients que tu exécutes. Tu sais très bien ce que tu fais, tu maitrises cette gestuelle, ton regard devient de plus en plus torride. Tu te mordilles la lèvre en me regardant, bien que cette position ne te procure pas énormément de plaisir tu jubiles à l'idée de me sentir bander, et tu te régales en voyant que je ne parviens pas à maitriser mes émotions.
Tu relâches la pression de tes nichons sur ce petit zizi excité et vient y poser tes lèvres et l'introduit dans ta bouche pour un court et suave baiser. Tu te relèves, le soleil fait briller les quelques gouttes de sperme étalées entre tes seins qui pointent. Ton corps dénudé au soleil me permet de me régaler de ce petit spectacle que tu m'offres, ces courbes sont magnifiques, c'est un régal de voir ce petit ventre et ces hanches sous les UV. Je ne me lasse pas de voir ta petite crête brune et ce petit espace entre tes cuisses.
Tout en te penchant vers moi, tu saisis mon sexe et m'ordonne de me lever. Sous la pression, je m'exécute, je me lève et t'obéis, les mains toujours ligotées par ce petit string noir passionata. Je pourrais aisément le retirer mais l'idée de te laisser décider de tout, et de devoir t'obéir est loin de me déplaire. Tu m'emmènes dans la cuisine et me plaque contre l'un des éléments. La fraicheur du meuble me saisie, mais l'érotisme ambiant prend vite le dessus.
Ton regard change, je le sens frondeur et taquin, tu vas vers le placard d'angle, et en sort un pot de nutella. Tu prends un couteau rond dans le tiroir, l'enfonce dans la pâte à tartiner et en ressort la lame enduite. Tu approches le couvert de moi, et le présente au niveau de ma poitrine, tu étales du nutella sur mes tétons, et enchaine en léchant goulument jusqu'à disparition de toute trace de cacao. Ensuite tu vas dans le frigo et en sors un yaourt bonne maman aux framboises, tu prends une petite cuillère. Tu me regardes, ouvre le yaourt, y glisse la cuillère que tu mets à ta bouche. Tu t'approches de moi et continue de manger ton yaourt. Nos corps se frôlent quand "accidentellement" ta cuillère se renverse sur mon nombril, le froid de ce produit laitier me fait sursauter, tu poses ta cuillère dans l'évier près du couteau et approche ta bouche de mon nombril pour venir récupérer ta manœuvre maladroite. Je ne suis pas indifférent à cette façon de corriger tes erreurs, t'en rendant compte tu prends le pot de yaourt et le renverse doucement sur mon sexe en ouvrant en grand ta bouche dessous pour ne pas en perdre une goutte. Cette situation m'excite terriblement mon sexe est toujours bien dressé, tu viens avec ta langue retirer tout le yaourt qui le recouvre. Je ne sais si c'est par maniaquerie que ta bouche s’attarde sur mon sexe, mais tu en profites pour faire aller ta langue sur le bout de mon pénis. Avec ta main tu le masturbes à sa base pendant que ta bouche le pompe en faisant une dizaine d'aller-retours. Ton autre main se glisse entre mes fesses, me caresse et me griffe. Je ne boude pas mon plaisir en cet instant. Tu me regardes et semble contente du travail accompli jusqu'à maintenant. Tu retire mon sexe de ta bouche et te relève, tu retournes au frigo que tu ouvres, là tu t'amuses à disparaitre derrière la porte, tu recules un peu et laisse dépasser tes fesses. Tu te penches en avant et te mets volontairement dans une position suggestive. Je ne vois que ce petit cul et ces fines jambes dépasser, je ne sais s'il s'agit d'une invitation a te rejoindre, je n'ose bouger et me contente de mater, je me décale pour profiter un peu plus de ce spectacle. Ta peau est bien lisse, le dessin de tes fesses me donne des idées, tu te dandines pour que ton popotin se balance de droite à gauche. Tu es bien consciente de m'allumer et y trouve un malin plaisir...
à chaque fois que tes fesses balancent, l'écartement entre te cuisses laisse entre-apercevoir ta petite chatte brune. Mes yeux ne ratent pas une seconde de ce show digne des meilleures cabines de peep show de pigale. Tu mets fin à cette invitation à la luxure en refermant le frigo et en t'approchant de moi. Tu viens très très près de moi, avec un petit sourire, je m'attends à continuer nos ébats quand tes mains se posent sur ma poitrine... Je me retrouve figé par le froid qui vient de tes mains, il me faut quelques secondes pour comprendre le piège que tu m'as tendu. Tu continues de faire aller tes mains sur mon corps, elles sont littéralement gelées, je pousse un petit cri d'effroi. l'humidité qui en ressort me fait comprendre que pendant que tu m'offrais ce petit show, tu étais tout simplement en train de préparer les glaçons que tu fais maintenant fondre sur moi. Je prends sur moi, pour ne pas hurler car je sais qu'Esteban dort paisiblement dans sa chambre. Tu es rayonnante, fière de ta revanche... Tu me prends par les mains ligotées et m'amène près de la table de la salle, là tu envoies d'un revers de bras tout ce qui est dessus au sol, tu me plaques sur la table. Alors que je suis allongé sur le dos tu me grimpes dessus et commences à frotter ton sexe sur le mien. A genoux au dessus de moi, tu viens doucement t'empaler sur mon sexe et envoies ton bassin d'avant en arrière pour sentir ma petite bite au plus profond de toi. A ta manière de basculer ton bassin je comprends que tu as envie de te faire jouir, je cherche alors à approcher mes mains que tu repousses immédiatement en ajoutant de ta voix ferme "c'est moi qui décide qui jouit et comment ! alors range tes mains et obéis moi !"
Tu te désengages de moi et m'intime l'ordre de me relever et de te suivre. Après ton avertissement précédent je m'exécute, et t'obéis sans rechigner... En même temps tu sais me prendre par les sentiments, comment refuser de tels ordre en si jolie tenue ?! tu vas en direction de l'escalier et commences à monter une à une les marches. Je te suis discrètement, tu nous orientes vers notre chambre où tu libères mes mains. Nous nous installons sur le lit, toi à 4 pattes, tu m'orientes derrière toi et exige que je te tambourine les fesses avec mon bassin. Mais tu ne souhaites pas de stupides va et vient, tu veux aussi que je te caresses ton clitoris car tu as assez joué et tu souhaites maintenant jouir. Je m'exécute en introduisant mon gland dans ce petit trou chaud. l'une de mes mains vient sur ton pubis, elle frotte cette partie poilue puis vient jusqu'à ton petit bourgeon en le caressant. Mon gland va chercher un peu plus profond en toi. Mon autre main vient au niveau de ta nuque, je malaxe le haut de ton dos, ma bite sort de ton anatomie et y retourne. Pour le moment mes mouvements sont amples et délicats. Ton clitoris est très accessible pour mes doigts, je continue ainsi jusqu'à sentir ton bassin onduler. De mon autre main, je fais pénétrer mes doigts dans tes cheveux et commence à agripper cette chevelure. Mon pénis commence à accélérer en toi, d'une main tu attrapes un barreau, de l'autre tu rejoins mon autre main sur ta chatte et commences à imprimer ton rythme. Ma verge s'active en toi, les mouvements sont plus rapprochés, je me tiens à ta coiffure, ça m'excite mais mon sexe est trop fin en toi, je ne sens pas de résistance. Tu refermes un peu tes jambes pour que mon sexe frotte d'avantage et tu me demandes de venir en toi. J'accélère le rythme, les barreaux tapent contre le mur, ta mains chasse la mienne pour t'emmener à l'orgasme. De mes deux mains je tiens tes hanches et tente de te pénétrer jusqu'au plus profond, tu commences à entamer de petits cris, j'aperçois ta main de plus en plus rapide au niveau de ton bas ventre. Je fais glisser mes mains sur tes seins qui se balancent au rythme de ma queue dans ta chatte, je les saisie et les tiens fermement, je commence à être à bout de souffle mais je maintiens ce rythme. Tu continues de caresser ton clitoris dans des "oh oui, vas y encore, core, oui! ui! uiiii" je relève ton buste en plaquant mes mains sur tes seins, je viens une dernière fois en toi et me bloque. Mon sperme se déverse au fond de toi tu relâches ton clito essoufflée, puis nous tombons sur le côté.
Je n'en peux plus de cette intensité. Ce moment bestial nous a achevé l'un et l'autre. Mes mains continuent à glisser sur ton corps dont je suis follement amoureux. Nous clôturons ce moment par un long french kiss où nos langues se caressent comme aux débuts de notre relation.
Tandis que je donne le bib, je prépare quelques tartines de brioche, de quoi tartiner tes tranches de brioche, un verre de jus de fruit et un petit chocolat que je ferai chauffer avant de te l'apporter.
Après quelques coulures de lait dans le cou d'Esteban, et quelques rots distingués, je pose Esteban dans son parc en compagnie de son pirate et de son mobile. Il est en pleine discussion avec sa cour, il semble faire preuve d'autorité à leur égard et certains en prennent pour leur grade.
Après un petit passage par le micro-onde je t'apporte ton plateau petit déjeuner dans la chambre. Je tente de te sortir de ton sommeil doucement, et arrive tant bien que mal à te faire revenir à moi. Le regard est plutôt vaseux, les plis des draps et oreillers ont laissé des traces sur ton visage. Ta bouche semble pâteuse et tes premiers mots quelque peu difficiles à sortir. Tu me demandes l'heure qu'il est, où est Esteban et s'il a pris son biberon. Je te présente ton petit déjeuner au lit, tu es surprise car tu sais que je n'aime pas trop, mais tu comprends rapidement que si j'ai fait une entorse à mes principes c'est qu'il n'y a pas de viennoiseries mais de la brioche, et par conséquent pas de miettes à prévoir dans les draps.
Je t'invite à te restaurer et te reposer pendant que je m'occupe d'Esteban, tu t'exécutes sans rechigner pendant que je redescends pour retrouver Esteban.
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Il est maintenant 14h, Esteban en est à son 3me biberon, tu t'es rendormie aussitôt ton petit déjeuner englouti. Esteban a pris son bain, j'ai chassé les poils du chien avec le balai magique, nettoyé les biberons, rangé quelques bricoles, mis une tournée de linge à laver, et une autre à sécher. Esteban commence à fatiguer, je le mets dans son lit et en profite pour aller me laver. Je fais tomber mon caleçon et mon t-shirt et me glisse sous la douche. L'eau est chaude, elle n'est pas très affluente sous le pommeau mais elle est très relaxante. L'eau ruisselle sur ma tête et dégouline sur mes épaules, mon dos... elle descend le long de ma colonne, passe entre mes fesses puis descend le long de mes fessiers, parcourt mes quadriceps puis mes mollets et termine son chemin sur mes pieds avant d'arriver sur le bac en céramique.
Je prends le flacon de gel douche et en verse dans le creux de ma main. Je fais mousser en frottant mes 2 mains et j'enduis mes épaules, mon torse, et mon dos tant bien que mal. c'est relativement simple pour le creux des reins et les omoplates mais pas très aisé en plein centre... à 2 ce serait beaucoup plus simple ! je continue en faisant le haut de mes cuisses puis en descendant jusqu'à mes pieds. Je prends ensuite du saforel dans mes mains et le fais généreusement mousser avant de nettoyer mon sexe, je caresse mon pénis jusqu'à ce que mon gland sorte afin de le laver de tout le foutre que j'ai laissé en toi cette nuit. Je le nettoie machinalement mais rien ne vaut ce précieux lavage que tu maîtrises à la perfection. Cette façon que tu as de frotter le produit de toute part de mon gland avec tes longs doigts, de bien nettoyer jusqu'à la base de mon pénis, ainsi que pour mes petites bourses que tu secoues agilement jusqu'à passer ta main savonneuse entre mes jambes et de la glisser entre mes fesses en frollant mon anus.
Un bruit me sort de ma rêverie, je termine ma douche en me rinçant, mon sexe présente une érection généreuse après ces quelques pensées. Je saisie une serviette et commence à me sécher, ce bruit m'intrigue je vais voir dans la chambre d'Esteban mais rien ne semble dérangé. Je vais dans notre chambre et m'aperçois que tu n'y es plus. Le plateau est à terre, bizarrement d'ailleurs, il y a d'autres choses qui attirent mon attention. En effet tout cela relève de la mise en scène, le plateau bien qu'étant au sol n'est pas du tout renversé mais posé, quelques sous vêtements sont au sol jusqu'à l'escalier, comme un jeu de piste organisé. Je suis les strings, pièces aux dentelles affriolantes qui mènent dans le couloir de l'entrée puis dans la cuisine. D'autres sont posées sur une chaise de la salle, sur le canapé ; la porte fenêtre du salon est grande ouverte, et j'aperçois d'autres culottes, j'avance et t'aperçois sur un transat. J'approche et plus je viens vers toi plus ma surprise est grande, là où je te croyais sur ton transat en maillot de bain, je t'aperçois top less et même un peu plus. J'approche et te vois nue comme un ver sur le transat, j'approche ma bouche pour coller mes lèvres aux tiennes.
Un doute m'habite, je descends mes lèvres dans ton cou et sens ta peau, ça se concrétise... je descends un peu plus bas sur ta poitrine... elle aussi sent le patchouli... "tu t'es lavé quand ?" "je t'ai entendu aller sous la douche, je me suis dépêchée d'aller me doucher en bas, comme tu étais long j'ai préparé cette mise en scène..."
Tout en m'expliquant ce que tu as organisé tes mains passent sous ma serviette et remontent sur mes cuisses jusqu'à la faire tomber à terre. Tu interromps tes propos pour m'embrasser sur la cuisse droite, tes mains viennent se positionner sur mes fesses. Ta main droite sur ma fesse gauche et inversement pour le coté gauche. Tes lèvres remontent jusqu'à mon sexe que tu ne fais qu'embrasser du bout de tes lèvres avant de redescendre sur l'autre côté. Tes mains s'activent sur mes fesses, tu fais aller tes ongles sur mes fesses... on peut dire que tu sais t'y prendre pour me faire bander !
Tu te lèves et m'invite à m'allonger sur le transat, là tu m'enfourches et reprends tes baisers de feu sur mon corps. Tu prends l'un des strings qui gis au pied du transat pour m'attacher mes mains ensemble. Tandis que mes bras sont tendus dans le prolongement de ma tête, tu fais aller tes ongles sur mes avant-bras puis sur l'intérieur de mes biceps jusqu'à mes aisselles, puis tu les fais descendre sur mes cotes jusqu'à ma taille et tu reprends le chemin inverse. Je frissonne, chaque passage me fait frémir et me fait trembler. En remontant tes mains sur mes avant bras, tu te penches en avant et frotte tes seins à mon visage... Je ne maitrise rien... je tente d'embrasser ta poitrine mais trop tard ta poitrine est déjà repartie au fur et à mesure que tu descends tes griffes. Au prochain passage je ne raterai pas cette opportunité de te lécher les seins.
Chaque fois que tu descends tes serres sur mes cotes je frémis ; mon sexe est dressé au plus haut point et il n'est pas prêt de se ramollir car à chaque fois que tu descends, tu fais aller ton bassin en arrière et ton pubis frôle le bout de mon gland. J'ai comme l'impression que cette bascule de ton bassin n'est pas accidentelle, je crois que tu t'amuses à me chauffer. A chaque aller retour tu appuies un peu plus ton vagin sur mon pénis sans jamais permettre que je ne te pénètre. Mon sexe glisse sur cette petite touffe brune, je ne sais si c'est mon excitation qui fait sortir un peu de sperme permettant cette fluidité, ou si c'est ton excitation et ton fluide qui nous fait glisser l'un sur l'autre.
Tu descends un peu plus bas ton bassin et saisie mon sexe à pleine main, tu le cales entre tes seins et en resserrant tes seins avec tes mains dessus. Tu commences à faire coulisser mon sexe, il semble énorme et tes seins aussi. Mon petit pénis est parfaitement proportionné face à cette petite poitrine... j'aime me sentir prisonnier de ces mamelons, ma bite coulisse en toi, elle disparait et réapparait toute excitée à chacun des va et vients que tu exécutes. Tu sais très bien ce que tu fais, tu maitrises cette gestuelle, ton regard devient de plus en plus torride. Tu te mordilles la lèvre en me regardant, bien que cette position ne te procure pas énormément de plaisir tu jubiles à l'idée de me sentir bander, et tu te régales en voyant que je ne parviens pas à maitriser mes émotions.
Tu relâches la pression de tes nichons sur ce petit zizi excité et vient y poser tes lèvres et l'introduit dans ta bouche pour un court et suave baiser. Tu te relèves, le soleil fait briller les quelques gouttes de sperme étalées entre tes seins qui pointent. Ton corps dénudé au soleil me permet de me régaler de ce petit spectacle que tu m'offres, ces courbes sont magnifiques, c'est un régal de voir ce petit ventre et ces hanches sous les UV. Je ne me lasse pas de voir ta petite crête brune et ce petit espace entre tes cuisses.
Tout en te penchant vers moi, tu saisis mon sexe et m'ordonne de me lever. Sous la pression, je m'exécute, je me lève et t'obéis, les mains toujours ligotées par ce petit string noir passionata. Je pourrais aisément le retirer mais l'idée de te laisser décider de tout, et de devoir t'obéir est loin de me déplaire. Tu m'emmènes dans la cuisine et me plaque contre l'un des éléments. La fraicheur du meuble me saisie, mais l'érotisme ambiant prend vite le dessus.
Ton regard change, je le sens frondeur et taquin, tu vas vers le placard d'angle, et en sort un pot de nutella. Tu prends un couteau rond dans le tiroir, l'enfonce dans la pâte à tartiner et en ressort la lame enduite. Tu approches le couvert de moi, et le présente au niveau de ma poitrine, tu étales du nutella sur mes tétons, et enchaine en léchant goulument jusqu'à disparition de toute trace de cacao. Ensuite tu vas dans le frigo et en sors un yaourt bonne maman aux framboises, tu prends une petite cuillère. Tu me regardes, ouvre le yaourt, y glisse la cuillère que tu mets à ta bouche. Tu t'approches de moi et continue de manger ton yaourt. Nos corps se frôlent quand "accidentellement" ta cuillère se renverse sur mon nombril, le froid de ce produit laitier me fait sursauter, tu poses ta cuillère dans l'évier près du couteau et approche ta bouche de mon nombril pour venir récupérer ta manœuvre maladroite. Je ne suis pas indifférent à cette façon de corriger tes erreurs, t'en rendant compte tu prends le pot de yaourt et le renverse doucement sur mon sexe en ouvrant en grand ta bouche dessous pour ne pas en perdre une goutte. Cette situation m'excite terriblement mon sexe est toujours bien dressé, tu viens avec ta langue retirer tout le yaourt qui le recouvre. Je ne sais si c'est par maniaquerie que ta bouche s’attarde sur mon sexe, mais tu en profites pour faire aller ta langue sur le bout de mon pénis. Avec ta main tu le masturbes à sa base pendant que ta bouche le pompe en faisant une dizaine d'aller-retours. Ton autre main se glisse entre mes fesses, me caresse et me griffe. Je ne boude pas mon plaisir en cet instant. Tu me regardes et semble contente du travail accompli jusqu'à maintenant. Tu retire mon sexe de ta bouche et te relève, tu retournes au frigo que tu ouvres, là tu t'amuses à disparaitre derrière la porte, tu recules un peu et laisse dépasser tes fesses. Tu te penches en avant et te mets volontairement dans une position suggestive. Je ne vois que ce petit cul et ces fines jambes dépasser, je ne sais s'il s'agit d'une invitation a te rejoindre, je n'ose bouger et me contente de mater, je me décale pour profiter un peu plus de ce spectacle. Ta peau est bien lisse, le dessin de tes fesses me donne des idées, tu te dandines pour que ton popotin se balance de droite à gauche. Tu es bien consciente de m'allumer et y trouve un malin plaisir...
à chaque fois que tes fesses balancent, l'écartement entre te cuisses laisse entre-apercevoir ta petite chatte brune. Mes yeux ne ratent pas une seconde de ce show digne des meilleures cabines de peep show de pigale. Tu mets fin à cette invitation à la luxure en refermant le frigo et en t'approchant de moi. Tu viens très très près de moi, avec un petit sourire, je m'attends à continuer nos ébats quand tes mains se posent sur ma poitrine... Je me retrouve figé par le froid qui vient de tes mains, il me faut quelques secondes pour comprendre le piège que tu m'as tendu. Tu continues de faire aller tes mains sur mon corps, elles sont littéralement gelées, je pousse un petit cri d'effroi. l'humidité qui en ressort me fait comprendre que pendant que tu m'offrais ce petit show, tu étais tout simplement en train de préparer les glaçons que tu fais maintenant fondre sur moi. Je prends sur moi, pour ne pas hurler car je sais qu'Esteban dort paisiblement dans sa chambre. Tu es rayonnante, fière de ta revanche... Tu me prends par les mains ligotées et m'amène près de la table de la salle, là tu envoies d'un revers de bras tout ce qui est dessus au sol, tu me plaques sur la table. Alors que je suis allongé sur le dos tu me grimpes dessus et commences à frotter ton sexe sur le mien. A genoux au dessus de moi, tu viens doucement t'empaler sur mon sexe et envoies ton bassin d'avant en arrière pour sentir ma petite bite au plus profond de toi. A ta manière de basculer ton bassin je comprends que tu as envie de te faire jouir, je cherche alors à approcher mes mains que tu repousses immédiatement en ajoutant de ta voix ferme "c'est moi qui décide qui jouit et comment ! alors range tes mains et obéis moi !"
Tu te désengages de moi et m'intime l'ordre de me relever et de te suivre. Après ton avertissement précédent je m'exécute, et t'obéis sans rechigner... En même temps tu sais me prendre par les sentiments, comment refuser de tels ordre en si jolie tenue ?! tu vas en direction de l'escalier et commences à monter une à une les marches. Je te suis discrètement, tu nous orientes vers notre chambre où tu libères mes mains. Nous nous installons sur le lit, toi à 4 pattes, tu m'orientes derrière toi et exige que je te tambourine les fesses avec mon bassin. Mais tu ne souhaites pas de stupides va et vient, tu veux aussi que je te caresses ton clitoris car tu as assez joué et tu souhaites maintenant jouir. Je m'exécute en introduisant mon gland dans ce petit trou chaud. l'une de mes mains vient sur ton pubis, elle frotte cette partie poilue puis vient jusqu'à ton petit bourgeon en le caressant. Mon gland va chercher un peu plus profond en toi. Mon autre main vient au niveau de ta nuque, je malaxe le haut de ton dos, ma bite sort de ton anatomie et y retourne. Pour le moment mes mouvements sont amples et délicats. Ton clitoris est très accessible pour mes doigts, je continue ainsi jusqu'à sentir ton bassin onduler. De mon autre main, je fais pénétrer mes doigts dans tes cheveux et commence à agripper cette chevelure. Mon pénis commence à accélérer en toi, d'une main tu attrapes un barreau, de l'autre tu rejoins mon autre main sur ta chatte et commences à imprimer ton rythme. Ma verge s'active en toi, les mouvements sont plus rapprochés, je me tiens à ta coiffure, ça m'excite mais mon sexe est trop fin en toi, je ne sens pas de résistance. Tu refermes un peu tes jambes pour que mon sexe frotte d'avantage et tu me demandes de venir en toi. J'accélère le rythme, les barreaux tapent contre le mur, ta mains chasse la mienne pour t'emmener à l'orgasme. De mes deux mains je tiens tes hanches et tente de te pénétrer jusqu'au plus profond, tu commences à entamer de petits cris, j'aperçois ta main de plus en plus rapide au niveau de ton bas ventre. Je fais glisser mes mains sur tes seins qui se balancent au rythme de ma queue dans ta chatte, je les saisie et les tiens fermement, je commence à être à bout de souffle mais je maintiens ce rythme. Tu continues de caresser ton clitoris dans des "oh oui, vas y encore, core, oui! ui! uiiii" je relève ton buste en plaquant mes mains sur tes seins, je viens une dernière fois en toi et me bloque. Mon sperme se déverse au fond de toi tu relâches ton clito essoufflée, puis nous tombons sur le côté.
Je n'en peux plus de cette intensité. Ce moment bestial nous a achevé l'un et l'autre. Mes mains continuent à glisser sur ton corps dont je suis follement amoureux. Nous clôturons ce moment par un long french kiss où nos langues se caressent comme aux débuts de notre relation.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle suite. J'adore ton style. On ressent à chaque mots vos émotions. Merci.