La vie à la ville !
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2022 dans la catégorie Pour la première fois
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La vie à la ville !
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Depuis toujours Marie Ange était surnommée Maya. C'était une grande fille longiligne d'une vingtaine d'années ayant grandi dans un village, puis éduquée dans une école privée religieuse, un bac philo puis un diplôme de comptabilité, elle était totalement naïve et pucelle.
Elle venait de répondre à une annonce d'offre d'emploi et avait reçu une réponse favorable, et elle se retrouvait à la ville voisine avec sa valise pour visiter des chambres meublées pour se loger pendant la période d'essai.
Le premier propriétaire lui avait directement caressé les fesses par dessus son jean's, elle avait réussit à s'éclipser rapidement.
Le deuxième propriétaire avait été plus rusé, il l'avait laissée passer devant lui et lui avait saisit les deux seins en lui collant son bassin contre les fesses. Elle demanda "lâchez moi" et il lui proposa "je vous lâche si vous m'embrassez!" Elle accepta et se retrouva adossée à un mur, une langue tournant dans sa bouche, c'était la première fois que cela lui arrivait.
L'homme avait défait le jean's de la jeune femme et l'avait descendu sur ses hanches, et tout en l'embrassant lui caressait le pubis en glissant une main sous sa culotte. Elle ne savait pas comment on mettait fin à un baiser profond, alors elle le laissait faire. Des doigts s'immiscèrent entre ses grandes lèvres, puis entre ses petites lèvres, le pouce lui caressait le clitoris, puis les doigts s'immiscèrent dans le vestibule; elle avait honte parce que son sexe était trempé. D'un coup elle eut un frisson, elle ne le savait pas mais elle jouissait pour la première fois de sa vie, debout dans une chambre.
L'homme profita de son orgasme pour la lâcher, reculer d'un pas, et sortir son phallus en érection. Elle profita de ce bref instant pour s'échapper.
Le troisième propriétaire commença par lui prendre la bouche. Pensant que c'était un passage obligé, somme toute agréable, elle se laissa faire, il en profita pour passer ses deux mains sous son sweet-shirt, dans son dos pour dégrafer son soutien gorge, puis revenant sur sa poitrine il lui malaxa les deux seins en lui pinçant les mamelons. C'était agréable, mais elle s'attendait (ou elle attendait?) l'orgasme au niveau du vagin. Alors c'est elle-même qui défit son jean's. L'homme lui dit "mais tu es une salope toi!" et il se mit à genoux pour lui prodiguer un cunnilingus. Et elle eut un orgasme superbe (il faut dire qu'elle n'avait pas une expérience pour pouvoir comparer) et elle eut une jouissance avec des gémissements sonores tout en tenant la tête de l'individu à deux mains.
Elle se dit que c'était plus agréable que le précédent et qu'elle allait prendre cette chambre. L'homme se mit debout, sortit son sexe et lui appuya sur les épaules; c'était le deuxième phallus qu'elle voyait, d'ailleurs comme les deux phallus qu'elle avait vu étaient en érection, elle croyait que c'était l'état normal d'un sexe masculin adulte. Elle se mit à genoux et prit le sexe du mâle en bouche, comme elle ne savait pas ce qu'il fallait faire, c'est lui, en lui tenant la tête à deux mains qui se mit à lui baiser la bouche.
Elle fut surprise par l'éjaculation, et ne sachant que faire elle avala le sperme. Il la fit se relever et en se redressant elle lui dit "je la prends!", il eut un sourire en lui disant "tu prends tout toi, mais tu n'as même pas vu la salle de douche!" et il la conduisit dans une pièce adjacente où elle pu voir une douche à l'italienne sur la droite, une cuvette WC sur la gauche et un lavabo avec un grand miroir en face d'elle.
Il était derrière elle, et passant les mains sous le sweet-shirt il s'empara des deux seins dont le soutien gorge était toujours défait. Elle trouvait ces caresses très agréables, et les habitudes de la ville surprenantes mais savoureuses. Elle ne fut même pas surprise lorsqu'il lui défit son jean's et qu'il lui descendit le pantalon et la culotte à mi-cuisse. Elle s'attendait à recevoir un ou deux doigts dans son vagin, et lorsque c'est le gland qui s'inséra dans son vestibule elle se demanda si comme ça, se serait aussi agréable.
Il la fit s'appuyer contre le lavabo et la prit ainsi en lui demandant "je suis le premier?", pensant aux doigts du précédent elle fit signe "non" de la tête, alors il y alla presqu'avec violence. Elle se mit à jouir en regardant son visage dans le miroir, il la tenait par les hanches et s'activait avec ardeur, elle jouit en gémissant et il éjacula dans son vagin tout en enfonçant un doigt dans son anus.
Il lui dit "je te laisse t'installer, je reviendrai ce soir t'en filer un coup". Il la laissa seule, sautant sur son téléphone portable elle informa ses parents qu'elle avait trouvé une chambre qui lui convenait.
Sur ce, elle alla se présenter au cabinet de comptabilité où elle devait commencer sa période d'essai le lundi suivant.
On lui présenta madame Bouton, une vieille fille qui faisait office de chef du personnel. Celle ci la détailla des pieds à la tête et lui dit fermement "ici mademoiselle, les femmes s'habillent en femme et les hommes s'habillent en homme, vous me ferez le plaisir de venir en jupe et chemisier, vous pourrez porter un collier en guise de fantaisie".
Sur le chemin du retour elle fit donc l'emplette de deux jupes, une jupe droite courte (mi-cuisse) et une jupe moulante lui arrivant aux genoux.
La vendeuse l'informa qu'au niveau de la taille elle faisait une taille 36, mais qu'au niveau des fesses elle faisait un bon 38; qu'il allait falloir faire une petite pince à la taille, leur couturière pourrait faire cela le jour même et que tout serait prêt pour le lendemain. Elle commanda également deux chemisiers blancs, la vendeuse lui prit les mesures aux épaules et à la poitrine et lui dit "vous êtes une fausse maigre, vous avez une belle petite poitrine qui remplit tout ça", et tout en prenant ses mesures elle lui caressait la pointe des seins qui s'érigèrent immédiatement. "et réactive avec ça!" lui dit elle en lui caressant les mamelons, Maya était gênée car son sexe s'humidifiait à nouveau.
La vendeuse appela la couturière pour les retouches des jupes et lui fit remarquer le caractère érectile des seins de la jeune fille.
La couturière caressa les seins, les soupesa, pinça les mamelons, en s'exclamant que c'était magnifique. Et pour confirmer son opinion elle se débarrassa de son chemisier et de son soutien gorge pour mettre les deux poitrines côte à côte, plus exactement pour les mettre face à face, tétons contre tétons. La vendeuse confirma "c'est vrai, on en mangerai" et se penchant en avant prit un des seins de Maya à pleine bouche. La jeune fille allait dire "mais", mais à peine eut elle entrouvert la bouche que la couturière l'embrassait à pleine bouche. C'était très agréable, les gens de la ville sympathisent rapidement se dit elle. Dix minutes plus tard elles étaient entièrement nues dans l'arrière boutique, une femme qui lui prodiguait un cunnilingus, l'autre qui lui embrassait alternativement la bouche et les seins.
Elle eut un orgasme magnifique, supérieur en qualité à celui que son propriétaire lui avait procuré. Les deux femmes échangèrent leurs places, le nouvel orgasme fut encore plus intense que le précédent. Maya criait son plaisir et son sexe dégoulinait de cyprine.
Les deux femmes l'invitèrent à partager leur repas. N'ayant rien prévu et ne sachant où se restaurer, Maya accepta, et malgré son immense naïveté elle se dit qu'elle allait de nouveau éprouver du plaisir.
Les trois femmes passèrent plus de temps à faire l'amour qu'à manger et lorsqu'elle sortit pour regagner sa chambre Maya avait éprouvé sept orgasmes, tous plus intenses les uns que les autres.
Arrivée devant son immeuble elle retrouva son propriétaire qui l'attendait. Il était exact qu'il avait promis de "passer lui en filer un coup". Il lui dit "ça fait un moment que j'attends!" en la faisant passer devant lui.
Leur entrevue fut très classique, il l'embrassa, la déshabilla, la baisa à deux reprises (mais elle n'éprouva qu'un seul orgasme).
Lorsqu'il la quitta elle s'endormit, toute nue, bras et jambes écartées, sans songer à comptabiliser ses orgasmes (il y en avait eu huit dans la journée) mais en se disant que la vie à la ville était trépidante.
Depuis toujours Marie Ange était surnommée Maya. C'était une grande fille longiligne d'une vingtaine d'années ayant grandi dans un village, puis éduquée dans une école privée religieuse, un bac philo puis un diplôme de comptabilité, elle était totalement naïve et pucelle.
Elle venait de répondre à une annonce d'offre d'emploi et avait reçu une réponse favorable, et elle se retrouvait à la ville voisine avec sa valise pour visiter des chambres meublées pour se loger pendant la période d'essai.
Le premier propriétaire lui avait directement caressé les fesses par dessus son jean's, elle avait réussit à s'éclipser rapidement.
Le deuxième propriétaire avait été plus rusé, il l'avait laissée passer devant lui et lui avait saisit les deux seins en lui collant son bassin contre les fesses. Elle demanda "lâchez moi" et il lui proposa "je vous lâche si vous m'embrassez!" Elle accepta et se retrouva adossée à un mur, une langue tournant dans sa bouche, c'était la première fois que cela lui arrivait.
L'homme avait défait le jean's de la jeune femme et l'avait descendu sur ses hanches, et tout en l'embrassant lui caressait le pubis en glissant une main sous sa culotte. Elle ne savait pas comment on mettait fin à un baiser profond, alors elle le laissait faire. Des doigts s'immiscèrent entre ses grandes lèvres, puis entre ses petites lèvres, le pouce lui caressait le clitoris, puis les doigts s'immiscèrent dans le vestibule; elle avait honte parce que son sexe était trempé. D'un coup elle eut un frisson, elle ne le savait pas mais elle jouissait pour la première fois de sa vie, debout dans une chambre.
L'homme profita de son orgasme pour la lâcher, reculer d'un pas, et sortir son phallus en érection. Elle profita de ce bref instant pour s'échapper.
Le troisième propriétaire commença par lui prendre la bouche. Pensant que c'était un passage obligé, somme toute agréable, elle se laissa faire, il en profita pour passer ses deux mains sous son sweet-shirt, dans son dos pour dégrafer son soutien gorge, puis revenant sur sa poitrine il lui malaxa les deux seins en lui pinçant les mamelons. C'était agréable, mais elle s'attendait (ou elle attendait?) l'orgasme au niveau du vagin. Alors c'est elle-même qui défit son jean's. L'homme lui dit "mais tu es une salope toi!" et il se mit à genoux pour lui prodiguer un cunnilingus. Et elle eut un orgasme superbe (il faut dire qu'elle n'avait pas une expérience pour pouvoir comparer) et elle eut une jouissance avec des gémissements sonores tout en tenant la tête de l'individu à deux mains.
Elle se dit que c'était plus agréable que le précédent et qu'elle allait prendre cette chambre. L'homme se mit debout, sortit son sexe et lui appuya sur les épaules; c'était le deuxième phallus qu'elle voyait, d'ailleurs comme les deux phallus qu'elle avait vu étaient en érection, elle croyait que c'était l'état normal d'un sexe masculin adulte. Elle se mit à genoux et prit le sexe du mâle en bouche, comme elle ne savait pas ce qu'il fallait faire, c'est lui, en lui tenant la tête à deux mains qui se mit à lui baiser la bouche.
Elle fut surprise par l'éjaculation, et ne sachant que faire elle avala le sperme. Il la fit se relever et en se redressant elle lui dit "je la prends!", il eut un sourire en lui disant "tu prends tout toi, mais tu n'as même pas vu la salle de douche!" et il la conduisit dans une pièce adjacente où elle pu voir une douche à l'italienne sur la droite, une cuvette WC sur la gauche et un lavabo avec un grand miroir en face d'elle.
Il était derrière elle, et passant les mains sous le sweet-shirt il s'empara des deux seins dont le soutien gorge était toujours défait. Elle trouvait ces caresses très agréables, et les habitudes de la ville surprenantes mais savoureuses. Elle ne fut même pas surprise lorsqu'il lui défit son jean's et qu'il lui descendit le pantalon et la culotte à mi-cuisse. Elle s'attendait à recevoir un ou deux doigts dans son vagin, et lorsque c'est le gland qui s'inséra dans son vestibule elle se demanda si comme ça, se serait aussi agréable.
Il la fit s'appuyer contre le lavabo et la prit ainsi en lui demandant "je suis le premier?", pensant aux doigts du précédent elle fit signe "non" de la tête, alors il y alla presqu'avec violence. Elle se mit à jouir en regardant son visage dans le miroir, il la tenait par les hanches et s'activait avec ardeur, elle jouit en gémissant et il éjacula dans son vagin tout en enfonçant un doigt dans son anus.
Il lui dit "je te laisse t'installer, je reviendrai ce soir t'en filer un coup". Il la laissa seule, sautant sur son téléphone portable elle informa ses parents qu'elle avait trouvé une chambre qui lui convenait.
Sur ce, elle alla se présenter au cabinet de comptabilité où elle devait commencer sa période d'essai le lundi suivant.
On lui présenta madame Bouton, une vieille fille qui faisait office de chef du personnel. Celle ci la détailla des pieds à la tête et lui dit fermement "ici mademoiselle, les femmes s'habillent en femme et les hommes s'habillent en homme, vous me ferez le plaisir de venir en jupe et chemisier, vous pourrez porter un collier en guise de fantaisie".
Sur le chemin du retour elle fit donc l'emplette de deux jupes, une jupe droite courte (mi-cuisse) et une jupe moulante lui arrivant aux genoux.
La vendeuse l'informa qu'au niveau de la taille elle faisait une taille 36, mais qu'au niveau des fesses elle faisait un bon 38; qu'il allait falloir faire une petite pince à la taille, leur couturière pourrait faire cela le jour même et que tout serait prêt pour le lendemain. Elle commanda également deux chemisiers blancs, la vendeuse lui prit les mesures aux épaules et à la poitrine et lui dit "vous êtes une fausse maigre, vous avez une belle petite poitrine qui remplit tout ça", et tout en prenant ses mesures elle lui caressait la pointe des seins qui s'érigèrent immédiatement. "et réactive avec ça!" lui dit elle en lui caressant les mamelons, Maya était gênée car son sexe s'humidifiait à nouveau.
La vendeuse appela la couturière pour les retouches des jupes et lui fit remarquer le caractère érectile des seins de la jeune fille.
La couturière caressa les seins, les soupesa, pinça les mamelons, en s'exclamant que c'était magnifique. Et pour confirmer son opinion elle se débarrassa de son chemisier et de son soutien gorge pour mettre les deux poitrines côte à côte, plus exactement pour les mettre face à face, tétons contre tétons. La vendeuse confirma "c'est vrai, on en mangerai" et se penchant en avant prit un des seins de Maya à pleine bouche. La jeune fille allait dire "mais", mais à peine eut elle entrouvert la bouche que la couturière l'embrassait à pleine bouche. C'était très agréable, les gens de la ville sympathisent rapidement se dit elle. Dix minutes plus tard elles étaient entièrement nues dans l'arrière boutique, une femme qui lui prodiguait un cunnilingus, l'autre qui lui embrassait alternativement la bouche et les seins.
Elle eut un orgasme magnifique, supérieur en qualité à celui que son propriétaire lui avait procuré. Les deux femmes échangèrent leurs places, le nouvel orgasme fut encore plus intense que le précédent. Maya criait son plaisir et son sexe dégoulinait de cyprine.
Les deux femmes l'invitèrent à partager leur repas. N'ayant rien prévu et ne sachant où se restaurer, Maya accepta, et malgré son immense naïveté elle se dit qu'elle allait de nouveau éprouver du plaisir.
Les trois femmes passèrent plus de temps à faire l'amour qu'à manger et lorsqu'elle sortit pour regagner sa chambre Maya avait éprouvé sept orgasmes, tous plus intenses les uns que les autres.
Arrivée devant son immeuble elle retrouva son propriétaire qui l'attendait. Il était exact qu'il avait promis de "passer lui en filer un coup". Il lui dit "ça fait un moment que j'attends!" en la faisant passer devant lui.
Leur entrevue fut très classique, il l'embrassa, la déshabilla, la baisa à deux reprises (mais elle n'éprouva qu'un seul orgasme).
Lorsqu'il la quitta elle s'endormit, toute nue, bras et jambes écartées, sans songer à comptabiliser ses orgasmes (il y en avait eu huit dans la journée) mais en se disant que la vie à la ville était trépidante.
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