La vie cachée au Monastère

- Par l'auteur HDS Eudes -
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Récit libertin : La vie cachée au Monastère Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La vie cachée au Monastère
La vie cachée au Monastère
Pour un reportage, je fus autorisé (exceptionnellement) à être en clôture pour partager la vie de moines cloîtrés pendant une quinzaine de jours.Dans ce joli monastère y vivent les moines, mais aussi les novices en formation pour trois ans de probation avant de prononcer leurs vœux.
J'ai envisagé d'effectuer ce reportage pour comprendre cette règle de vie bénédictine qui oblige ces hommes se consacrant à la prière et à la méditation d'être pauvre, obéissant et chaste.
Pour les Pères et Frères déjà consacrés les robes sont en noir et pour les novices elles sont en blanc. Et comme pour la plupart des ordres en monastère ces hommes sont nus dessous cette robe appelée également bure, et son étoffe est assez agréable au toucher et doux sur le corps.
Comme dans toute structure il y a des échelons, des gradesChaque novice est obligé d'effectuer des tâches manuelles et des tâches intellectuelles. Les tâches manuelles sont celles de la vie du quotidien comme des tâches ménagères de base, les repas. A l'approche des grandes fêtes de Pâques, le Supérieur avait décidé que le Père Antoine qui est pour ainsi dire le chef cuisinier, forme pendant quelque temps la dizaine de jeunes novices à cette activité de la cuisine.
Le Père Antoine en cette période proposa de commencer par la pâtisserie. Et la première chose à apprendre en pâtisserie est de savoir monter les blancs d'œufs en neige.
Tous les novices sont autour de la table de travail où Père Antoine commence ses explications et démonstrations pour la base de cette discipline. Il rappelle aux novices son expérience dans un des pays Nordiques. Après avoir mis quelques blancs d'œufs dans un grand saladier, il commence à les battre avec un grand fouet.
Puis il s'arrête et s'adresse aux jeunes novices en leur expliquant qu'au monastère d'Hangesund le frère cuisiner n'avait pas de nos produits pour améliorer la tenue des blancs. La seule chose qu'il a trouvée est de mettre deux doses de sperme dans sa préparation.
Tous les visages se figent à cette explication. D'un seul coup, un silence angoissant s'installe. D'un geste précis le Père Antoine désigne deux des jeunes novices pour être les fournisseurs-donateurs de ce précieux additif.
Frères Rémy et Basile deviennent tout rouge et presque tremblants.
Il les fait s'approcher et demande qu'ils relèvent leur bure pour faciliter la montée et la réception du produit. Les deux novices timidement s'exécutent en tenant leur bure avec les dents ce qui leurs permet de nous dévoiler leur appareil génital.
L'un comme l'autre a un outillage légèrement au dessus de la normale. Nous constatons le développement progressif de leur queue. Elles deviennent bien droites, raides et turgescentes. L'un avec dix-huit et l'autre avec dix neuf centimètres et de bonne circonférence. Les deux avec un pubis et des couilles bien remontées lisses sans aucune trace et ombre de poils Lorsqu'ils commencent leur astiquage, je peux constater que la robe de certains novices est bien déformée par probablement une érection.
Pour mon reportage, il m'est difficile de prendre quelques clichés de cette ambiance un peu surprenante. Le Père Antoine d'une voix sévère exige qu'ils accélèrent la cadence des va et vient masturbatoires. Pendant cette action obligatoire certains novices discrètement de touchent le devant de la robe, probablement pour caresser leur membre émoustillé par cette scène.
Beaucoup de personnes comme moi seraient également étonnées de cet acte de discipline avec les préceptes de base demandés. Dans nos esprits les moines en clôture sont irréprochables sur le plan sexuel et satisfaction personnelle, mais apparemment dans ce silence monacal leurs désirs et aussi leurs fantasmes ont l'air satisfaits.
Le Frère Antoine tend à ces deux novices une petite fiole pour récupérer leur liqueur suprême. Les deux mains s'agitent fortement enserrant davantage leur beau membre. Rémy et Basile sont cramoisis et nous pouvons observer leurs jambes qui se mettent trembler probablement à l'approche de l'éjaculation et du plaisir.
Frère Rémy pousse un petit gémissement en mettant sa tête en arrière en déversant son jus qui coule par saccades dans le récipient. Quant au Frère Basile, lui pousse un cri de satisfaction au moment de son éjaculation, mais son sperme tombe au sol et lâche le récipient qui se casse.
Le Père Antoine se met en colère en s'adressant à ce jeune novice malhabile. Volontairement ou pas vous allez le payer cher, Basile. Alors que le reste de l'ensemble des novices avait poussé un ouf de soulagement pour ne pas avoir été désigné, puis après un brouhaha au moment des fortes éjaculations de leurs confrères, un silence de nouveau plane dans la pièce.
Père Antoine, des yeux, fait le tour du groupe et désigne le jeune Augustin. Tout penaud celui-ci s'approche et se positionne à coté de Rémy. Il effectue le même cérémonial. Il saisi sa bure, la fait tenir relevée avec ses dents. Celui-ci a un sexe des plus normaux. Il est sans érection, car en le désignant l'angoisse a du l'envahir mais les minutes précédentes ont du l'exciter car son gland est tout luisant avec un filament qui pend du bout de son méat, probablement du à son liquide pré séminal. Le Père Antoine fronce les sourcils et lui lance cette phrase, Quelle négligence Augustin, avant de commencer notre appro-visionnement venez vers moi. Je me doute un peu, car ce novice est un jeune à la peau légèrement basanée et de ce fait un beau corps poilu. Le Père Antoine lui fait des reproches sur l'entretien de sa zone génitale.
-Vous ne respectez pas notre règle Augustin ! Le Père Prieur vous avait bien tous informés sur ce paragraphe de notre règle. Vous savez donc ce qui vous attend, dans l'urgence de la situation.
Le jeune Augustin baisse honteusement la tête en étant ainsi réprimandé devant tous ses collègues novices. Le Père Antoine appelle son bras droit le Frère Alphonse un bon sexagénaire. Un petit homme qui travaillait dans le fond de la cuisine. Il est un peu trapu, chauve et malgré tout avec un petit sourire. Sourire apaisant ou un sourire sarcastique ? C'est bizarre. J'essaie discrètement d'ajuster mon objectif après avoir pris quelques notes. Ce vieux moine s'avance du jeune Augustin dont le visage a complètement blanchi comme atterré!!
Sur la grande table de travail le Frère Alphonse prend un objet que je discerne mal et il le prend et se met à genoux devant le novice. A ce moment je comprends. En moi-même, je me dis, il ne va pas faire çà ? Et si, il déclenche un clic et une longue flamme sort du mini chalumeau de pâtisserie. De sa main gauche il tient la jambe d'Augustin pour lui brûler les poils de sa touffe pubienne très fournie. Le pauvre novice, fait des grimaces au passage de cet engin. Le Frère Alphonse sans scrupule soulève les testicules pour passer rapidement le bec du chalumeau. Le novice pousse (sans bouger) des Ah ! ah ! aîe ! aîe !. Il semble que cette opération est terminée mais le Père Antoine fait tourner le novice Augustin. Alphonse le fait se pencher en avant et lui remonte la robe sur son dos. Il ranime la flamme et le voilà en train de brûler les poils sur les jolies fesses rebondies, mais incroyable, lui écarte un lobe fessier pour faire disparaître la longue ligne noire de la raie pour nous faire découvrir et admirer une jolie petite rosette plissée qui semble s'ouvrir et se fermer seule. C'est très beau à voir.
Le travail terminé, le Frère Alphonse toujours à genoux, lui embrasse la petite rondelle et lui donne de petits coups de langue rapide pour calmer probablement cette zone attirante sensibilisée par la chaleur ou la flamme du mini chalumeau. Le frère Alphonse se relève difficilement en remettant Augustin dans le bon sens.
Alors le Père Antoine imperturbable lui ordonne de commencer sa masturbation.
Augustin se caresse pour faire raidir sa verge un peu mal menée après cette terrible épreuve de honte et de supplice. Sa petite queue rabougrie se développe lentement mais ne fait que quinze centimètres mais très très large et épaisse. Il fait coulisser son long prépuce sous les exigences du Père Antoine. Alors qu'attendez-vous ?
Vite, j'ai besoin de votre jute pour continuer ma recette. La main d'Augustin s'agite vigoureusement sur ce membre bien raide maintenant, mais apparemment sa substance a du mal à monter. Le novice se crispe, s'énerve, devient tout rouge, son souffle est intermittent. Il se mord les lèvres Il fait basculer sa tête plusieurs fois d'avant en arrière Il empoigne et serre de plus en plus sa queue en s'acharnant frénétiquement dessus. Puis elle semble s'engorger de sang un Ah! Ah ! rauque sort de sa bouche qui s'est ouverte d'un seul coup et le flacon se rempli de sa jute composée de nombreux grumeaux épais, puis de semence plus liquide. (Il y a pas moins de cinq grosses giclées). Je suis assez stupéfait par la quantité impressionnante éjaculée Il est félicité par le Père Antoine pour cette volumineuse quantité de qualité qui lui a donnée. Mes œufs en neige vont bien tenir avec votre additif. Le Père Antoine verse le contenu des deux flacons dans sa préparation au fond du saladier et se remet à battre les œufs en neige. En seulement quelques secondes voilà les œufs et le précieux additif monter en neige bien ferme.
Les Frères novices, élèves cuisiniers éphémères sont étonnés de cette nouvelle technique de recette. Le Père Antoine signale la fin de cette première séance. Il avertit le groupe que demain en application un des leurs réalisera cette recette et désignera lui-même les producteurs.
Mais maintenant il fallait allez rejoindre la bibliothèque avant d'assister à l'office des Vêpres dans deux heures. Comme l'exige la règle les novices se rangent méthodiquement en deux colonnes et se dirigent vers la bibliothèque dans un silence angoissant. De nouveau je donne mes impressions sur mon dictaphone pour mon article. J'en profite également pour prendre quelques clichés du cloître avec cette petite procession ainsi que les magnifiques couloirs aux parquets superbement encaustiqués pour arriver dans cette spacieuse et splendide bibliothèque aux plafonds voûtés.
Sous l'œil du Père Prieur et de Père Antoine les novices de rangent toujours en silence autour de la bibliothèque, pendant que le prieur et Antoine s'entretiennent avec quelques gestes. Le Père Prieur prend la parole, tous les jeunes sont très attentifs. Il prend la parole avec une très jolie voix de ténor en faisant remarquer sa déception sur le comportement de certains des novices qui lui fut rapporté par le Père Antoine leur formateur.
Le Père Prieur est un homme très grand, bien bâti avec une coiffure poivre et sel, je dirais même que c'est un bel homme très distingué d'une petite cinquantaine d'année. Il fait venir près de lui le Frère novice Basile en lui reprochant d'avoir cassé un magnifique flacon historique du monastère mais aussi gâcher de sa noble marchandise et comme l'a averti le Père Antoine il va être puni avant d'aller aux Vêpres.
Il lui demande de se mettre à genoux les mains dans le dos. Ensuite le Père Prieur s'adresse au groupe de novices de se mettre en ligne l'un derrière l'autre et de se dépêcher pour la suite car il 'y a pas beaucoup de temps. Les jeunes toujours dans le silence obéissent au Prieur et se retrouvent à la queue leu-leu espacés chacun de cinquante centimètres. Il fait avancer le premier novice et les autres avancent également.
A tous, il s'adresse qu'ils vont passer devant le Frère Basile, qu'ils vont devoir relever leur bure pour ne pas la tâcher et de se palucher et se vider au plus vite de ce qui les chatouille intérieurement.
Il rajoute, le Frère novice Basile aura la bouche ouverte pour récolter votre jus, ce qui vous évitera d'être tentés et impurs ce soir dans votre lit. Le premier novice s'exécute sous les yeux du Prieur et d'Antoine qui le surveillent et l'obligent de décharger au plus vite. Le frère Basile à la bouche ouverte et la langue sortie pour récupérer au mieux ce liquide visqueux et gluant. Le Père Antoine de sa voix sévère l'oblige d'aller plus vite. Dans tout ce cérémonial je peux admirer toutes les formes et de grosseur des jeunes membres vigoureux et parfois les gros champignons de gland et parfois un peu baveux.
C'est très beau à voir et cela m'excite tout de même pas mal, jusqu'au moment où le quatrième se présente et s'astique comme les précédents mais avec une érection assez faible, le Prieur le stimule en lui caressant un peu ses jolies petites couilles toutes lisses et l'encourage; mais malgré tous ses efforts de ce jeune que quelques gouttes sortent de son méat. Le Père Antoine se fâche et de sa main gauche donne une violente claque sur le sexe qui vient à peine de juter et lui lance droit dans les yeux, alors? ? plus rien à donner ?
De la tête le jeune fait signe que non. Le Prieur en rage lui annonce que pendant les huit prochains jours, il aura les mains attachées lorsqu'il se couchera pour éviter de gâcher sa belle liqueur.
Les novices suivants n'ont pas l'air rassurés, car j'ai appris après, qu'avec ce jeune deux autres s'étaient amusés ensemble dans la sacristie. Mais pour les suivants pas de problèmes de production séminale plus ou moins liquide, visqueuse et opaque.
Avec cette séance de punition, que de quantité de sperme perdue. Le pauvre Basile, a du mal pour certaines éjaculations à tout avaler. Sans compter que certains novices dans l'excitation n'ont pas très bien visé et le puni a des éclaboussures de jute sur ses joues et dans ses yeux après le passage des neuf novices. Tous les novices ont rebaissé leur robe et se sont de nouveau mis en place le long de la bibliothèque, les mains rangées dans les manches de leur bure. (sûrement pour ne pas avoir de tentation) Le vieux Père Alphonse ce vieux cochon était dans l'embrasure de la porte et rinçait son œil malicieux et vicieux de cette sentence.
Le Père Prieur lui fait un signe de la main et voilà aussitôt le Père Alphonse devant Basile toujours à genoux la bouche ouverte. Difficilement le vieux moines se met à genoux et de sa langue agile, lèche délicatement et lentement les joues du pauvre Basile, puis lape les sécrétions sur les yeux clos du novice, pour terminer à lui plaquer ses lèvres sur la bouche pour avaler les dernières gouttes du liquide blanchâtre.
Et dans le foulée l'embrasse avec un plaisir évident à pleine bouche les langues bien emmêlées. Avant de se relever, lui caresse d'une main la joue. Basile l'aide à se relever et pour le remercier le Père Alphonse lui roule carrément une magistrale pelle. D'après le décompte il reste encore trois-quarts d'heure avant l'office. Le silence est devenu très pesant après cette humiliation donnée au Frère novice Basile. Le père Alphonse est sorti de la bibliothèque d'un air assez satisfait.
De sa jolie voix bien posée le Père Prieur fait part qu'un autre novice malgré une belle production enviable de sperme consistant ce qui a bien plu et arranger le Père instructeur, il avait été constaté d'un manquement de son entretien et de son laisser aller. Il lui demande de s'avancer près de lui. Sans qu'il le nomme le novice Augustin tout hagard s'avance la tête baissée et presque tremblant. Le deux mains jointes il s'incline devant le grand homme.
Il lui réitère ses manquements à la règle monacale du corps? Et pendant les différentes phrases de reproche, le petit vieux d'Alphonse réapparaît avec une boîte style coffre en mains qu'il dépose sur la large table.
Le Père Antoine fait avance les novice el leurs demandant de se mettre autour de la table. Le Père Alphonse dépose un petit tabouret en bout de table. Après ces déplacement le Père prieur demande au novice Augustin de s'avant près du mini tabouret d'enlever sa bure.
Le frère obéit et se trouve nu devant tous. Oh ! je ne pensais pas que ce frère était si bien dessiné malgré les poils sur son torse et deux de la région génitale qui n'avaient pas été brûlés. Le Prieur lui ordonne de monter sur la table et de se coucher sur le dos.
En rage malgré sa jolie vois le Prieur se met en colère car ce jeune a été pourvu par Dame nature d'un système pileux assez remarquable. J'ai juste le temps de prendre quelques clichés pour mon reportage. Le vieux vicieux remet à quelques Frères novices une petite boîte à chacun d'eux. Le ténor lance un "je ne veux plus voir cela Frère Augustin, que vous est-il arrivé ? Nous allons y remédier. Le Père Antoine tape dans ses mains et quatre novice ouvre leur boîte remise tout à l'heure et c'est de la cire liquide chaude qu'ils vont déposer sur le corps d'Augustin qui couine sous l'effet de nouveau de chaleur de cette pâte.
Les autres quatre novices s'avancent et déposent des bandelettes sur la pâte. Et ce sont le Père prieur et Père Antoine qui viennent arracher chacun leu tour ces bandelettes. Je dis bien arracher, nous entendons presque les bulbes de poils s'extraire de l'épiderme du pauvre Augustin.
Pour certaines bandes, il pousse des hurlements de douleur. Sa toison est tellement épaisse. Je pense que ce n'est pas du cinéma ses nombreuses supplications il doit vraiment déguster de cette extraction violente avec cette densité de toison. L'extraction des poils du torse, ventre bras et leurs aisselles a bien duré plus de trente minutes, et ils ont effectué que la moitié supérieure de la face.
Les jeunes novices déposent vraiment délicatement la cire et es bandelettes mais les deux Pères appuient fortement leurs doigts sur les bandelettes avant de tirer d'un coup toutes les bandes. Dépourvue de ses poils la peau est écarlate. Elle doit être très sensible et en feu avec tous les épais bulbes qui tirent sur la peau lorsqu'ils sortent.
Maintenant les Frères novices s'occupent de la partie inférieure de ce jeune corps. Ils commencent par les pieds et les jambes et pour ces endroits inférieurs le système est identique? Il faut dire que ce corps gagne en beauté en étant libéré de cette toison noire.
Maintenant le Père Antoine fait écarter au maximum les jambes épilées. Et horreur, c'est le Père Prieur qui verse cette cire sur toute la surface du pubis. Et Antoine du même geste précis et acharné tire d'un coup sec sur les bandes. Le Frère Augustin hurle à en perdre le souffle et des larmes coulent de ses beaux yeux verts.
Il supplie le Supérieur d'arrêter. En sanglotant se justifie en lui disant qu'il est le seul novice à être aussi noir de poils. Le prieur fait la sourde oreille et continue l'effeuillage de ce jeune corps. Et c'est au tour des grosses boules des testicules à être engluées de cette cire. De sa main ferme et les pressant Antoine tire et s'y reprend à plusieurs fois, ce qui doit être encore plus douloureux pour extraire violement les dernières bandes. Les couilles énormes et sûrement remplies sont magnifiques et presque luisantes tellement la peau est lisse sans aucun petit point noir.
Le Prieur fait retourner ce corps fragilisé et rougit pour que le pénitent se mette sur le ventre. Il est demandé aux novices d'inverser les rôles pour reprendre la cire et mettre les bandes. De ce côté nettement moins de poils, seulement très peu sur la surface du dos, et plus épais sur l'arrière des cuisses et les mollets. Les supplications sont maintenant étouffées car la tête face au plateau de la table.
Maintenant ce que probablement tous attendaient, le Prieur fait mettre le Frère novice à genoux sur la table et se faire pencher en avant. Le Prieur lui écarte les jambes et nous avons tous une vue imprenable sur la rosette qui fut débroussailler tout à l'heure.
J'en profite rapidement pour faire des clichés de cette position peu commune pour un futur moine. Le Père Antoine désigne deux jeunes pour écarter les lobes des fesses d'Augustin. Et le Père Antoine avec le bas du manche d'une cuillère étale la cire tout autour ce cette rosette qui n'arrête pas de se plisser et de se déplisser. C'est très beau de voir tous ces petits plis successifs. Un véritable œillet en fleur.
Puis le prieur dépose des bandes et après avoir appuyé les arrache pour obtenir un travail merveilleux sans aucune trace. Tout est parfaitement net, la raie a droit également à ce traitement de beauté Pour calmer cet endroit très délicat, le Prieur crache un peu de salive et masse doucement, délicatement et consciencieusement le petit trou extérieur, ce qui doit calmer ce travail d'épilation particulière.
Les novices lâchent les lobes, mais le doigt est toujours entrain de masser le petit trou devenu intégralement glabre. Après ce petit massage, le Père Antoine demande à ce corps de gravure complètement devenu un corps d'éphèbe de descendre de cette table qui avait presque le rôle d'estrade de spectacle.
Toujours entièrement nu le Frère novice Augustin exécute la nouvelle consigne de son Prieur, de se mettre face à la table, de déposer ses bras, ses coudes et sa tête sur le plateau et de bien lui présenter son fessier en arrière. Le Père Prieur, ce bel homme au sourire de mannequin très recherché enlève sa robe noire et nous fait découvrir un corps hyper bien entretenu, mais parfaitement dessiné avec de jolies et harmonieuses courbes des ses légers muscles, car comme je vous l'ai dit, il mesure un mètre quatre-vingts seize pour seulement quatre-vingts kilos.
Ce corps sculptural est remarquable. Vite, vite, je m'empresse de prendre des photos de cet être qui ferait bander un mort. ET d'un coup comme un diable sortant de sa boîte, le chibre de ce supérieur monte d'un seul coup en grandissant et se gonflant. Quel spectacle Oui, c'est un spectacle.
Un membre tout lisse évidemment de vingt-quatre centimètres et d'un diamètre approximatif de presque cinq centimètres. Et revoilà le vieux vicieux d'Alphonse qui dépose sur ce vrai rouleau à pâtisserie une goutte de gel et masse le gland.
Le vieux s'éloigne pour laisser le Prieur s'approcher du Frère Augustin. De sa main droite il tient son membre pour qu'il soit parfaitement dans l'axe de la cible à atteindre. Il positionne bien son mandrin. Un fois coincé dans la raie du novice. Il saisit de ses deux mains la taille du Frère Novice Augustin et donne un coup de reins. En voyant cela certains du groupe des novices poussent des : aïe, aïe ! Oh aïe, Aîe ! hummmm ! Allez-y allez-y!!. Puis encore un second coup de reins, tous les centimètres s'enfoncent lentement dans ce tunnel qui lui est offert.

Voilà maintenant le Père Prieur qui commence un lent va et vient sa belle bite sur toute sa longueur sans la sortir. Ce mouvement durent plus de quinze minutes le Père prieur par moments ferme les yeux tellement le plaisir l'envahit, sa bouche même s'ouvre en laissant sortir des ouiiii ouiii. Malgré les précautions prises, le novice doit bien sentir cet organe sexuel en pleine forme et surtout de mensurations assez rares? D'où je suis placé je peux encore prendre quelques photos de ce fessier assailli de cette belle bite mais aussi la longueur de l'engin. A côté de moi un du groupe me glisse à l'oreille, j'ai déjà pu apprécier ce ramonage et je peux vous rire qu'il est très endurant le Prieur.
Et pendant cet échange, le pilonnage continue, mais le rythme est de venu plus rapide avec des longueurs plus courtes à chaque coup de reins. Le prieur ne se retient pas et lance un Oh que c'est bon ! !.Après ces quelques mots d'un seul coup de le prieur se déchaîne et les coups un peu plus brutaux. Le corps du novice est bien secoué et bute contre le plateau de la table, malgré ce traitement Augustin d'uen voix étouffée, je la sens je la sens !! . oui,!! c'est bon !! ce qui donne encore plus de courage au Prieur qui devient cramoisi par son plaisir qui monte et hurle des Je jouis je jouis, et sort d'un coup sexe sa belle queue brillante pour éjaculer son jus très liquide pendant de longues secondes sur le dos du jeune Augustin qui a l'air fatigué par cette séance de coups de reins.
Le Père Antoine tend la bure noire de Prieur afin qu'il puisse la remettre. Et d'un geste de la tête et de la main le Prieur demande que les novice se mette en deux colonne pour se rendre à la chapelle pour l'office.
Après ces quelques jours partagés au sein de cette communauté, j'ai pu constater la vie de ces moines et novices, qui est parfois difficile et rude, mais peuvent avoir parfois des instants en commun d'un plaisir partagé pour éteindre leurs ardeurs seuls dans les dortoirs.
Je garde un bon souvenir car le dernier soir je me suis fait un jeune novice qui attendait que cela. Je vous le raconterai……

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