La vie change pour ISABELLE
Récit érotique écrit par SAM BOTTE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 34 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.8
- • L'ensemble des récits érotiques de SAM BOTTE ont reçu un total de 119 395 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 139 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La vie change pour ISABELLE
Le lendemain Moussa entre dans l'appartement, Isabelle lui prépare un café.
Il lui déclare :
- Isabelle, tu es très belle et très sexy, je ne demande qu'à m'occuper de toi. Cela fait longtemps que je t'observe. Je comprends que tu aimes vivre d'une soumission sexuelle. Cela vient de commencer et je suis convaincu que tu ne peux désormais plus t'en passer tant tu y as pris du plaisir.
- Il faut que tu saches que je vais te transformer en une pute docile et disponible, car tel est mon désir. Es tu vraiment prête à te soumettre ?
- Oh ? Oui, fais de moi ce que tu veux, j’ai bien le sentiment de vivre beaucoup plus intensément depuis que tu me partages avec tes copains, je t'aime.
- Pour te remercier, je te réserverais à des blacks bien montés.
Puis, il continue.
- Voici les règles : J’exige une tenue appropriée, sans culotte en permanence, en robe ou jupe en toutes circonstances, sexe et anus épilés, escarpins à hauts talons sauf pour le travail ou les talons peuvent être plus petits. Tu seras une femelle destinée à donner du plaisir. Cela implique que tu accepte les rapports sexuels que je t'imposerai. Acceptes tu ta nouvelle condition Isabelle ?
- J’accepte ! Dit Isabelle d'une voix rauque, mais résolue.
Moussa sort alors de son sac un godemiché à ventouse, de bonne taille et de couleur noire. D'un diamètre normal à l'extrémité, l'engin s'élargit régulièrement pour atteindre une section très conséquente à la base. Il le fixe sur la table basse du salon, ensuite il dépose à côté une canule lubrifiante avec son lubrifiant personnel.
- Tu t'entraînes, régulièrement à t'empaler sur cet engin, cependant tu te prépares avant. Je veux t'élargir le rectum, pas te déchirer, ce seras ainsi plus facile pour la suite. Recommande Moussa, tout en pensant : Ainsi elle sera sous l'influence de l'aphrodisiaque contenu dans le lubrifiant, elle deviendra addictive à la sodomie, si ce n'est pas encore fait.
- Maintenant je m'en vais, je reviendrai demain soir, quand tu seras rentrée du boulot, si tu m'ouvres, alors tu m'appartiendras jusqu'au bout.
Au milieu de la nuit, Isabelle sort du lit. Elle pénètre dans la salle de bain, après s'être rafraîchi le visage un instant, elle va dans le salon. Elle reste un moment figée en regardant avec envie le sexe artificiel dressé sur la table basse. Elle s'empare de la canule qu'elle remplit de lubrifiant, comme elle l'a vu faire par Moussa.
Elle s'accroupit, enduit son anus d'une noix de lubrifiant, le pénètre d'un doigt puis d'un deuxième, se jugeant suffisamment préparé, elle y enfile la canule avec précaution avant d'enfoncer le poussoir, tapissant ainsi son intestin de lubrifiant. Elle libère son rectum à présent lubrifié en profondeur pour le positionner sur la pointe du godemiché.
Elle s'y empale, d'abord aisément, ensuite de plus en plus difficilement au fur et à mesure qu'elle s'enfonce. La pénétration devient douloureuse, elle arrête sa progression, elle commence à effectuer des va et vient sur l'engin, à la recherche du plaisir intense qu'elle a déjà éprouvé. Elle s'imagine esclave vendue sur un marché. Elle arrête sa chevauchée de tant en tant pour essayer de s'enfoncer plus avant.
Elle approche de l'orgasme comme l'atteste ses gémissements. Puis, elle soulève ses deux jambes, s'obligeant ainsi à progresser sur son pal noir. La douleur ressentit par l'élargissement forcé de son anus déclenchent chez elle un violent orgasme qui la fait vibrer de tout son corps. Elle bascule de la petite table du salon, la voilà affalé sur le tapis. Après un bon moment, elle refait surface, elle se libère du pal encore figé dans son rectum, puis retourne se coucher dans la chambre ou il n'a aucun mal à se rendormir.
Isabelle est maintenant sous l'influence totale de Moussa qui mène la danse. Il a de l'expérience et un charisme certain.
Isabelle le fait bander comme jamais, il la voit comme un objet sexuel. Comme une proie qu'il peut dominer, asservir aussi.
A son levé, elle prépare son petit déjeuner. Le godemiché dressé dans le salon lui parait particulièrement obscène et pourtant très attirant. Passant un doigt dans sa fente, elle constate qu'elle mouille, elle se dit : Si je suis une salope, il faut que ma chatte soit aussi élargie.
Bonne excuse pour s'enfiler sur le gode qu'elle chevauche en essayant de se l'enfoncer le plus possible, avec succès. Elle ressent du plaisir à être ainsi dilatée, au bout de quelques minutes, elle est terrassée par un orgasme.
Quand vient le moment de s'habiller, elle hésite sur le choix d'un sous-vêtement ? Nue sous la robe, ses seins ballotteront de trop et elle risque des taches de sécrétions si elle mouille. Elle trouve une petite combinaison de soie, cadeau de son EX, dont la découpe au niveau de la poitrine lui assure un certain maintien. Elle choisit une robe sage, bien que légèrement moulante, ainsi que des sandales à talon de cinq centimètres, pour se donner une apparence de femme sexy, elle ne peut s'empêcher d'insister sur le maquillage.
Dans les transports, elle ressent une certaine gène à se savoir presque nue sous sa robe, elle constate que seuls quelques hommes la regardent, mais pas plus que d'habitude. Elle constate que maintenant ces regards l'excite.
Au restaurant, le service se passe normalement, après elle déjeune à midi avec deux autres serveuses, qui lui trouvent un air épanoui.
Durant la coupure de l'après midi, elle a une impérieuse envie de jouir. Le soir, elle quitte donc son service dès qu'elle le peut et rejoint son domicile après avoir envoyé un SMS à Moussa qui lui répond :
- Je te veux exactement comme hier soir.
Une fois dans l'appartement, elle fait comme Moussa lui a préconisé la veille. Elle se met nue avec uniquement ses escarpins à talons haut, le cul préparé, sans gel lubrifiant au cas où il voudrait la prendre à sec. Elle se refait un maquillage, d'une pute afin de montrer sa disponibilité à son amoureux.
C'est ainsi qu'il la trouve à son arrivée. Il lui demande d'abord de tourner sur elle même, puis de déambuler de long en large dans le salon.
- Tu parais vraiment ce que tu vas être, pas une pute de luxe, mais une pute qui racole le client sur le trottoir ou dans une maison, comme l'atteste ton choix de maquillage et ta manière de rouler du cul. Je vais t'éduquer dans ce sens.
Brusquement, Moussa saisit Isabelle, il la positionne face au mur, penchée en avant et bras tendus, mains appuyées sur le mur, les jambes écartées et les fesses cambrées. Dans cette position, perchée sur ses talons, elle exhibe de façon obscène sa chatte et son anus, tandis que ses seins ballottent sous elle.
- Je vais exiger de toi une obéissance aveugle. Je vais donc te donner un aperçu de ce qui va t'arriver si je ne suis pas satisfait de toi.
Il retire sa ceinture en cuir afin de s'en servir comme d'un fouet. Il lui cingle rapidement les fesses, cinq coups chacune, elle serre les dents. Il se déplace sur le côté pour lui frapper les seins, elle ne peut s'empêcher de crier. Puis, il revient derrière elle, il lui fouette la vulve d'un coup violent qui la fait hurler.
Isabelle est en larmes, son maquillage a coulé. Il jette sa ceinture au sol, il met deux doigts dans le sexe de sa victime.
- Ta chatte est trempée, ce serait dommage que tu n'en profites pas. Il la mène devant le gode toujours dressé. - Enfile ta chatte sur cet engin, ça te soulagera !
Vaincue, elle obéit immédiatement, elle s'enfonce sur le gode. Elle entame des va et viens, s'appliquant à descendre le plus bas possible à chaque fois car elle sait que son maquereau d'amant veut ainsi lui élargir le sexe et qu'elle ne désire pas le décevoir par crainte de sa réaction. Bientôt le plaisir efface les douleurs, elle se met à gémir.
Pendant ce temps, Moussa s'est mis nu, il a ensuite enduit son sexe de son lubrifiant. Il pousse Isabelle afin de la faire se courber, il dépose une grosse noix de lubrifiant sur son anus et le pénètre lentement tandis qu'elle, totalement docile, écarte ses fesses avec ses mains. La pénétration est douloureuse du fait de la présence du gode dans son vagin, ainsi que de la taille de la verge de Moussa. Il y a eu peu de préparation, cependant elle n'ose pas émettre le moindre signe de protestation. Lorsque la queue de Moussa est totalement au fond du rectum d'isabelle, il fait une pause, il la prend par les hanches, il la bourre avec force tandis qu'elle lâche ses fesses pour mieux se tenir à la table basse.
Peu à peu, la douleur s'efface, maintenant habituée à la sodomie, elle gémit de bonheur et part dans un orgasme violent dont elle devient coutumière. Elle tremble de tout son corps, elle inonde la base du gode d'un liquide blanchâtre.
Moussa n'a pas joui. Il fait relever Isabelle, il lui demande de s'enculer elle même sur le gode enduit à la fois de lubrifiant et de cyprine. Elle le fait sans attendre, dans un état second, elle se l'enfonce au plus profond. Elle doit avaler le sexe de Moussa qui lui viole la bouche, tout en lui étirant douloureusement les tétons. Il jouit rapidement et comme une bonne soumise, elle montre à son homme, son sperme avant de le déglutir.
Isabelle est totalement sous l'influence du pouvoir hypnotique de Moussa, rendue addictive par la puissance des jouissances que ce dernier lui procure, avec l'aide de l'aphrodisiaque administré à son insu par voie annale. Soumise aussi par ses propres fantasmes et maintenant par la crainte que son mentor lui inspire.
- Tu apprends vite et en plus tu aime cela. Encore deux où trois séances, ainsi je ferais de toi une petite pute bien docile. Maintenant, repose toi dix minutes, démaquille toi, prend une douche. Tu as besoin de nouveaux sous-vêtements. Je vais t'amener dans une boutique que je connais.
Moussa et Isabelle passent plus d'une heure dans la boutique de lingerie. Elle doit être équipée tant pour sa vie publique, en tenant compte de l'absence de culotte et de soutien gorge, que pour sa nouvelle vie de petite pute. Dans le premier cas, elle choisit trois combinaisons soyeuses, une rose et noire, une blanche et une rouge, courtes en maintenant légèrement ses seins. Dans le deuxième cas, il l'oriente vers deux serre-tailles qui accentuent sa cambrure et descend bas sur le ventre, mettant en valeur le pubis glabre de la femme. L'un est transparent brodé de dentelle blanche, l'autre noir. Ils y ajoutent quelques paires de bas noirs avec et sans couture.
Ils finissent la journée dans un bon restaurant. Moussa règle la note, tout comme il a réglé les achats de lingerie. Il se remboursera avec les extra d'Isabelle ?
Par crainte, elle n'a rien dit, mais le passage du fantasme à la réalité commence à lui faire peur.
Arrivés à domicile l'appartement, Moussa ordonne :
- Je veux que tu sois examinée par un médecin que je connais afin de savoir si tu peux supporter les séances sans crainte pour ta santé. Demain, tu te présenteras à quinze heures à l'adresse que je vais te donner. Je prendrais rendez vous pour toi. Tu dois pouvoir te libérer.
- Je mettrais donc des sous-vêtements ?
- Ah, Non ! Il sera prévenu que je m'occupe de toi, donc ta nudité ne le surprendra pas. Tu seras docile avec lui, sinon ? En attendant, nous allons dormir ensemble et au matin je te baiserais comme tu aimes.
Au réveil, Moussa se lève pour récupérer la canule et le lubrifiant au salon. De retour dans la chambre, il se fit sucer la queue par Isabelle, puis en position du soixante neuf, lui dessus, il la contraint à une gorge profonde tandis qu'il lui branle le cul avec la canule après l'avoir utilisée pour appliquer son produit. Quand elle approche de la jouissance, il la positionne sur le dos, genoux relevés aux épaules, il l'encule sans précaution, elle reçoit cette pénétration avec l'agréable sensation d'être bien remplie. Par moment, il lui malaxe les seins, il observe surtout son visage.
Quand il détecte l'imminence de L'orgasme de sa soumise, il lui dit avec toute la persuasion dont il est capable :
- C'est la dernière fois que tu prends ma queue dans ton cul sans que tu l'aies vraiment méritée. Dorénavant tu ne l'auras plus que lorsque tu auras été une bonne gagneuse.
Cette phrase, correspondant exactement à son fantasme, précipite Isabelle dans une jouissance intense. Elle a le temps de répondre :
- Oui, je ferais le tapin pour toi, je serais une de tes putes.
Puis, elle part dans les spasmes de l'orgasme, provocant ainsi la jouissance de l'homme, elle perd connaissance un court moment.
Le couple reste effondré sur le lit plusieurs minutes avant que chacun reprenne tous ses esprits.
Ils se préparent ensuite pour leurs activités de la journée. Avant de se quitter, il lui rappelle son rendez vous médical et la prévient qu'il viendra la chercher à la sortie de son travail.
Isabelle a réussi par avoir un autre poste dans le restaurant, elle a dû faire une fellation en gorge profonde au patron. A présent ses horaires sont modulables, en contre partie elle doit faire des pipes au patron, quand il en a envie. Elle se dit que c'est ça l'apprentissage.
Toute la matinée, elle est préoccupée par ce rendez-vous, elle a du mal à se concentrer sur son travail, d'autant plus qu'elle ne s'habitue pas vraiment à l'absence de sous vêtements conventionnels.
Lorsqu'elle se présente à la consultation, elle est accueillie par un homme, la quarantaine, bedonnant avec le cheveu rare, mais avec un regard dominateur.
- J'ai été averti de votre visite par notre ami Moussa, déshabillez vous entièrement.
Baissant les yeux, elle s'exécute sous le regard du médecin qui lui demande de rester debout devant lui, il la bombarde d'une série de questions sur sa santé puis ses pratiques sexuelles. Quand il a fini ses questions, il s’approche d'elle pour lui saisir les seins à pleines mains. Il les palpe longuement, les soupèse. Ensuite, saisit les tétons déjà érigés entre ses doigts, il les malaxe avant de les étirer en les pinçant jusqu’à ce qu'elle pousse un petit cri de douleur.
Après quoi il l'invite à s'installer dans le fauteuil gynécologique. Il met une paire de gants médicaux, saisit le capuchon du clitoris pour dégager celui-ci, il le triture puis il fait de même avec petites lèvres, les ouvrant, les étirant. Délaissant les lèvres, il enfonce deux doigts dans le vagin trempé d'Isabelle, ainsi que deux doigts de son autre main dans l’anus. Elle pousse un râle, surprise par la brusquerie de cette pénétration. Par une succession de pressions et de va et vient dans les deux orifices, le médecin procède à l’examen du vagin et du rectum de sa patiente.
Satisfait de cet examen, l'homme prend un dictaphone sur son bureau et enregistre :
- Les seins sont légèrement tombants, ils peuvent faire l'objet d'un traitement hormonal local qui accroîtra leur volume, leur sensibilité et les raffermiront. Les tétons sont d’une taille parfaite pour un éventuel perçage. Les petites lèvres dépassent les grandes, des anneaux peuvent y être posés facilement. Idem pour le capuchon du clitoris. Les parois du vagin et du rectum sont saines et suffisamment souples pour supporter des pénétrations volumineuses et répétées. Cependant, le rectum devra préalablement faire l'objet d'un élargissement et toujours être préparé par une lubrification. »
Notre Isabelle se sent humiliée, elle désire se rebeller, cependant elle ne dit rien, se souvenant des propos de Moussa sur sa docilité exigée ainsi que de la punition risquée. Dans un second temps, la pensée d'être marquée par le port d'anneaux aux parties génitales et d'être considérée comme un animal sexuel la trouble.
Avant de quitter le cabinet, le médecin lui impose une prise de sang, il vérifie son rythme cardiaque et sa tension. Elle se rhabille et regagne son travail.
L'après-midi est encore plus difficile que la matinée avec, à la fois, une angoisse sur son avenir sous le joug de Moussa ainsi que des pensées lubriques tournoient dans sa tête. Elle garde un gilet afin que ses collègues ne remarquent pas ses tétons bandés pointant sous sa robe. Par deux fois, elle se rend aux toilettes afin d'essuyer sa chatte trop humide. Comme la veille, en fin de journée, elle est prise d'une forte envie de baise. C'est donc avec impatience qu'elle attend le SMS de son maquereau d'amant l'informant de sa présence.
Quand elle le reçoit, elle rejoint son maître à son véhicule. Il lui demande de remonter sa robe pour s'asseoir à la place du passager, dénudant ses cuisses, qu'il écarte d'un geste autoritaire afin de lui glisser un doigt dans la fente qu'il constate trempée.
- Tu as besoin que l'on te soulage, je vais te présenter Malik. C'est un black très bien équipé qui saura le faire très bien.
Il démarre sa voiture et roule vers les quartiers chauds de la ville tandis que sa passagère reste robe relevée et cuisses écartées. Elle se persuade que c'est par amour et non par envie qu'elle fait tout ça pour Moussa. Bien sûr qu'elle l'aime, il lui a fait connaître des jouissances incroyables avec plusieurs partenaires en même temps. Elle n'avait jamais atteint autant de félicités à se faire baiser aux pluriels dans ses trous d'amour.
Toute gamine, en voyant sur le chemin de l'école, ses dames qui attendaient le client, elle se branlait le bouton en s'imaginant à leur place. Ado, elle s'est elle même dépucelée avec un bout de manche à balai, qu'elle avait scié et recouvert d'un préservatif volé a son cousin.
Il lui déclare :
- Isabelle, tu es très belle et très sexy, je ne demande qu'à m'occuper de toi. Cela fait longtemps que je t'observe. Je comprends que tu aimes vivre d'une soumission sexuelle. Cela vient de commencer et je suis convaincu que tu ne peux désormais plus t'en passer tant tu y as pris du plaisir.
- Il faut que tu saches que je vais te transformer en une pute docile et disponible, car tel est mon désir. Es tu vraiment prête à te soumettre ?
- Oh ? Oui, fais de moi ce que tu veux, j’ai bien le sentiment de vivre beaucoup plus intensément depuis que tu me partages avec tes copains, je t'aime.
- Pour te remercier, je te réserverais à des blacks bien montés.
Puis, il continue.
- Voici les règles : J’exige une tenue appropriée, sans culotte en permanence, en robe ou jupe en toutes circonstances, sexe et anus épilés, escarpins à hauts talons sauf pour le travail ou les talons peuvent être plus petits. Tu seras une femelle destinée à donner du plaisir. Cela implique que tu accepte les rapports sexuels que je t'imposerai. Acceptes tu ta nouvelle condition Isabelle ?
- J’accepte ! Dit Isabelle d'une voix rauque, mais résolue.
Moussa sort alors de son sac un godemiché à ventouse, de bonne taille et de couleur noire. D'un diamètre normal à l'extrémité, l'engin s'élargit régulièrement pour atteindre une section très conséquente à la base. Il le fixe sur la table basse du salon, ensuite il dépose à côté une canule lubrifiante avec son lubrifiant personnel.
- Tu t'entraînes, régulièrement à t'empaler sur cet engin, cependant tu te prépares avant. Je veux t'élargir le rectum, pas te déchirer, ce seras ainsi plus facile pour la suite. Recommande Moussa, tout en pensant : Ainsi elle sera sous l'influence de l'aphrodisiaque contenu dans le lubrifiant, elle deviendra addictive à la sodomie, si ce n'est pas encore fait.
- Maintenant je m'en vais, je reviendrai demain soir, quand tu seras rentrée du boulot, si tu m'ouvres, alors tu m'appartiendras jusqu'au bout.
Au milieu de la nuit, Isabelle sort du lit. Elle pénètre dans la salle de bain, après s'être rafraîchi le visage un instant, elle va dans le salon. Elle reste un moment figée en regardant avec envie le sexe artificiel dressé sur la table basse. Elle s'empare de la canule qu'elle remplit de lubrifiant, comme elle l'a vu faire par Moussa.
Elle s'accroupit, enduit son anus d'une noix de lubrifiant, le pénètre d'un doigt puis d'un deuxième, se jugeant suffisamment préparé, elle y enfile la canule avec précaution avant d'enfoncer le poussoir, tapissant ainsi son intestin de lubrifiant. Elle libère son rectum à présent lubrifié en profondeur pour le positionner sur la pointe du godemiché.
Elle s'y empale, d'abord aisément, ensuite de plus en plus difficilement au fur et à mesure qu'elle s'enfonce. La pénétration devient douloureuse, elle arrête sa progression, elle commence à effectuer des va et vient sur l'engin, à la recherche du plaisir intense qu'elle a déjà éprouvé. Elle s'imagine esclave vendue sur un marché. Elle arrête sa chevauchée de tant en tant pour essayer de s'enfoncer plus avant.
Elle approche de l'orgasme comme l'atteste ses gémissements. Puis, elle soulève ses deux jambes, s'obligeant ainsi à progresser sur son pal noir. La douleur ressentit par l'élargissement forcé de son anus déclenchent chez elle un violent orgasme qui la fait vibrer de tout son corps. Elle bascule de la petite table du salon, la voilà affalé sur le tapis. Après un bon moment, elle refait surface, elle se libère du pal encore figé dans son rectum, puis retourne se coucher dans la chambre ou il n'a aucun mal à se rendormir.
Isabelle est maintenant sous l'influence totale de Moussa qui mène la danse. Il a de l'expérience et un charisme certain.
Isabelle le fait bander comme jamais, il la voit comme un objet sexuel. Comme une proie qu'il peut dominer, asservir aussi.
A son levé, elle prépare son petit déjeuner. Le godemiché dressé dans le salon lui parait particulièrement obscène et pourtant très attirant. Passant un doigt dans sa fente, elle constate qu'elle mouille, elle se dit : Si je suis une salope, il faut que ma chatte soit aussi élargie.
Bonne excuse pour s'enfiler sur le gode qu'elle chevauche en essayant de se l'enfoncer le plus possible, avec succès. Elle ressent du plaisir à être ainsi dilatée, au bout de quelques minutes, elle est terrassée par un orgasme.
Quand vient le moment de s'habiller, elle hésite sur le choix d'un sous-vêtement ? Nue sous la robe, ses seins ballotteront de trop et elle risque des taches de sécrétions si elle mouille. Elle trouve une petite combinaison de soie, cadeau de son EX, dont la découpe au niveau de la poitrine lui assure un certain maintien. Elle choisit une robe sage, bien que légèrement moulante, ainsi que des sandales à talon de cinq centimètres, pour se donner une apparence de femme sexy, elle ne peut s'empêcher d'insister sur le maquillage.
Dans les transports, elle ressent une certaine gène à se savoir presque nue sous sa robe, elle constate que seuls quelques hommes la regardent, mais pas plus que d'habitude. Elle constate que maintenant ces regards l'excite.
Au restaurant, le service se passe normalement, après elle déjeune à midi avec deux autres serveuses, qui lui trouvent un air épanoui.
Durant la coupure de l'après midi, elle a une impérieuse envie de jouir. Le soir, elle quitte donc son service dès qu'elle le peut et rejoint son domicile après avoir envoyé un SMS à Moussa qui lui répond :
- Je te veux exactement comme hier soir.
Une fois dans l'appartement, elle fait comme Moussa lui a préconisé la veille. Elle se met nue avec uniquement ses escarpins à talons haut, le cul préparé, sans gel lubrifiant au cas où il voudrait la prendre à sec. Elle se refait un maquillage, d'une pute afin de montrer sa disponibilité à son amoureux.
C'est ainsi qu'il la trouve à son arrivée. Il lui demande d'abord de tourner sur elle même, puis de déambuler de long en large dans le salon.
- Tu parais vraiment ce que tu vas être, pas une pute de luxe, mais une pute qui racole le client sur le trottoir ou dans une maison, comme l'atteste ton choix de maquillage et ta manière de rouler du cul. Je vais t'éduquer dans ce sens.
Brusquement, Moussa saisit Isabelle, il la positionne face au mur, penchée en avant et bras tendus, mains appuyées sur le mur, les jambes écartées et les fesses cambrées. Dans cette position, perchée sur ses talons, elle exhibe de façon obscène sa chatte et son anus, tandis que ses seins ballottent sous elle.
- Je vais exiger de toi une obéissance aveugle. Je vais donc te donner un aperçu de ce qui va t'arriver si je ne suis pas satisfait de toi.
Il retire sa ceinture en cuir afin de s'en servir comme d'un fouet. Il lui cingle rapidement les fesses, cinq coups chacune, elle serre les dents. Il se déplace sur le côté pour lui frapper les seins, elle ne peut s'empêcher de crier. Puis, il revient derrière elle, il lui fouette la vulve d'un coup violent qui la fait hurler.
Isabelle est en larmes, son maquillage a coulé. Il jette sa ceinture au sol, il met deux doigts dans le sexe de sa victime.
- Ta chatte est trempée, ce serait dommage que tu n'en profites pas. Il la mène devant le gode toujours dressé. - Enfile ta chatte sur cet engin, ça te soulagera !
Vaincue, elle obéit immédiatement, elle s'enfonce sur le gode. Elle entame des va et viens, s'appliquant à descendre le plus bas possible à chaque fois car elle sait que son maquereau d'amant veut ainsi lui élargir le sexe et qu'elle ne désire pas le décevoir par crainte de sa réaction. Bientôt le plaisir efface les douleurs, elle se met à gémir.
Pendant ce temps, Moussa s'est mis nu, il a ensuite enduit son sexe de son lubrifiant. Il pousse Isabelle afin de la faire se courber, il dépose une grosse noix de lubrifiant sur son anus et le pénètre lentement tandis qu'elle, totalement docile, écarte ses fesses avec ses mains. La pénétration est douloureuse du fait de la présence du gode dans son vagin, ainsi que de la taille de la verge de Moussa. Il y a eu peu de préparation, cependant elle n'ose pas émettre le moindre signe de protestation. Lorsque la queue de Moussa est totalement au fond du rectum d'isabelle, il fait une pause, il la prend par les hanches, il la bourre avec force tandis qu'elle lâche ses fesses pour mieux se tenir à la table basse.
Peu à peu, la douleur s'efface, maintenant habituée à la sodomie, elle gémit de bonheur et part dans un orgasme violent dont elle devient coutumière. Elle tremble de tout son corps, elle inonde la base du gode d'un liquide blanchâtre.
Moussa n'a pas joui. Il fait relever Isabelle, il lui demande de s'enculer elle même sur le gode enduit à la fois de lubrifiant et de cyprine. Elle le fait sans attendre, dans un état second, elle se l'enfonce au plus profond. Elle doit avaler le sexe de Moussa qui lui viole la bouche, tout en lui étirant douloureusement les tétons. Il jouit rapidement et comme une bonne soumise, elle montre à son homme, son sperme avant de le déglutir.
Isabelle est totalement sous l'influence du pouvoir hypnotique de Moussa, rendue addictive par la puissance des jouissances que ce dernier lui procure, avec l'aide de l'aphrodisiaque administré à son insu par voie annale. Soumise aussi par ses propres fantasmes et maintenant par la crainte que son mentor lui inspire.
- Tu apprends vite et en plus tu aime cela. Encore deux où trois séances, ainsi je ferais de toi une petite pute bien docile. Maintenant, repose toi dix minutes, démaquille toi, prend une douche. Tu as besoin de nouveaux sous-vêtements. Je vais t'amener dans une boutique que je connais.
Moussa et Isabelle passent plus d'une heure dans la boutique de lingerie. Elle doit être équipée tant pour sa vie publique, en tenant compte de l'absence de culotte et de soutien gorge, que pour sa nouvelle vie de petite pute. Dans le premier cas, elle choisit trois combinaisons soyeuses, une rose et noire, une blanche et une rouge, courtes en maintenant légèrement ses seins. Dans le deuxième cas, il l'oriente vers deux serre-tailles qui accentuent sa cambrure et descend bas sur le ventre, mettant en valeur le pubis glabre de la femme. L'un est transparent brodé de dentelle blanche, l'autre noir. Ils y ajoutent quelques paires de bas noirs avec et sans couture.
Ils finissent la journée dans un bon restaurant. Moussa règle la note, tout comme il a réglé les achats de lingerie. Il se remboursera avec les extra d'Isabelle ?
Par crainte, elle n'a rien dit, mais le passage du fantasme à la réalité commence à lui faire peur.
Arrivés à domicile l'appartement, Moussa ordonne :
- Je veux que tu sois examinée par un médecin que je connais afin de savoir si tu peux supporter les séances sans crainte pour ta santé. Demain, tu te présenteras à quinze heures à l'adresse que je vais te donner. Je prendrais rendez vous pour toi. Tu dois pouvoir te libérer.
- Je mettrais donc des sous-vêtements ?
- Ah, Non ! Il sera prévenu que je m'occupe de toi, donc ta nudité ne le surprendra pas. Tu seras docile avec lui, sinon ? En attendant, nous allons dormir ensemble et au matin je te baiserais comme tu aimes.
Au réveil, Moussa se lève pour récupérer la canule et le lubrifiant au salon. De retour dans la chambre, il se fit sucer la queue par Isabelle, puis en position du soixante neuf, lui dessus, il la contraint à une gorge profonde tandis qu'il lui branle le cul avec la canule après l'avoir utilisée pour appliquer son produit. Quand elle approche de la jouissance, il la positionne sur le dos, genoux relevés aux épaules, il l'encule sans précaution, elle reçoit cette pénétration avec l'agréable sensation d'être bien remplie. Par moment, il lui malaxe les seins, il observe surtout son visage.
Quand il détecte l'imminence de L'orgasme de sa soumise, il lui dit avec toute la persuasion dont il est capable :
- C'est la dernière fois que tu prends ma queue dans ton cul sans que tu l'aies vraiment méritée. Dorénavant tu ne l'auras plus que lorsque tu auras été une bonne gagneuse.
Cette phrase, correspondant exactement à son fantasme, précipite Isabelle dans une jouissance intense. Elle a le temps de répondre :
- Oui, je ferais le tapin pour toi, je serais une de tes putes.
Puis, elle part dans les spasmes de l'orgasme, provocant ainsi la jouissance de l'homme, elle perd connaissance un court moment.
Le couple reste effondré sur le lit plusieurs minutes avant que chacun reprenne tous ses esprits.
Ils se préparent ensuite pour leurs activités de la journée. Avant de se quitter, il lui rappelle son rendez vous médical et la prévient qu'il viendra la chercher à la sortie de son travail.
Isabelle a réussi par avoir un autre poste dans le restaurant, elle a dû faire une fellation en gorge profonde au patron. A présent ses horaires sont modulables, en contre partie elle doit faire des pipes au patron, quand il en a envie. Elle se dit que c'est ça l'apprentissage.
Toute la matinée, elle est préoccupée par ce rendez-vous, elle a du mal à se concentrer sur son travail, d'autant plus qu'elle ne s'habitue pas vraiment à l'absence de sous vêtements conventionnels.
Lorsqu'elle se présente à la consultation, elle est accueillie par un homme, la quarantaine, bedonnant avec le cheveu rare, mais avec un regard dominateur.
- J'ai été averti de votre visite par notre ami Moussa, déshabillez vous entièrement.
Baissant les yeux, elle s'exécute sous le regard du médecin qui lui demande de rester debout devant lui, il la bombarde d'une série de questions sur sa santé puis ses pratiques sexuelles. Quand il a fini ses questions, il s’approche d'elle pour lui saisir les seins à pleines mains. Il les palpe longuement, les soupèse. Ensuite, saisit les tétons déjà érigés entre ses doigts, il les malaxe avant de les étirer en les pinçant jusqu’à ce qu'elle pousse un petit cri de douleur.
Après quoi il l'invite à s'installer dans le fauteuil gynécologique. Il met une paire de gants médicaux, saisit le capuchon du clitoris pour dégager celui-ci, il le triture puis il fait de même avec petites lèvres, les ouvrant, les étirant. Délaissant les lèvres, il enfonce deux doigts dans le vagin trempé d'Isabelle, ainsi que deux doigts de son autre main dans l’anus. Elle pousse un râle, surprise par la brusquerie de cette pénétration. Par une succession de pressions et de va et vient dans les deux orifices, le médecin procède à l’examen du vagin et du rectum de sa patiente.
Satisfait de cet examen, l'homme prend un dictaphone sur son bureau et enregistre :
- Les seins sont légèrement tombants, ils peuvent faire l'objet d'un traitement hormonal local qui accroîtra leur volume, leur sensibilité et les raffermiront. Les tétons sont d’une taille parfaite pour un éventuel perçage. Les petites lèvres dépassent les grandes, des anneaux peuvent y être posés facilement. Idem pour le capuchon du clitoris. Les parois du vagin et du rectum sont saines et suffisamment souples pour supporter des pénétrations volumineuses et répétées. Cependant, le rectum devra préalablement faire l'objet d'un élargissement et toujours être préparé par une lubrification. »
Notre Isabelle se sent humiliée, elle désire se rebeller, cependant elle ne dit rien, se souvenant des propos de Moussa sur sa docilité exigée ainsi que de la punition risquée. Dans un second temps, la pensée d'être marquée par le port d'anneaux aux parties génitales et d'être considérée comme un animal sexuel la trouble.
Avant de quitter le cabinet, le médecin lui impose une prise de sang, il vérifie son rythme cardiaque et sa tension. Elle se rhabille et regagne son travail.
L'après-midi est encore plus difficile que la matinée avec, à la fois, une angoisse sur son avenir sous le joug de Moussa ainsi que des pensées lubriques tournoient dans sa tête. Elle garde un gilet afin que ses collègues ne remarquent pas ses tétons bandés pointant sous sa robe. Par deux fois, elle se rend aux toilettes afin d'essuyer sa chatte trop humide. Comme la veille, en fin de journée, elle est prise d'une forte envie de baise. C'est donc avec impatience qu'elle attend le SMS de son maquereau d'amant l'informant de sa présence.
Quand elle le reçoit, elle rejoint son maître à son véhicule. Il lui demande de remonter sa robe pour s'asseoir à la place du passager, dénudant ses cuisses, qu'il écarte d'un geste autoritaire afin de lui glisser un doigt dans la fente qu'il constate trempée.
- Tu as besoin que l'on te soulage, je vais te présenter Malik. C'est un black très bien équipé qui saura le faire très bien.
Il démarre sa voiture et roule vers les quartiers chauds de la ville tandis que sa passagère reste robe relevée et cuisses écartées. Elle se persuade que c'est par amour et non par envie qu'elle fait tout ça pour Moussa. Bien sûr qu'elle l'aime, il lui a fait connaître des jouissances incroyables avec plusieurs partenaires en même temps. Elle n'avait jamais atteint autant de félicités à se faire baiser aux pluriels dans ses trous d'amour.
Toute gamine, en voyant sur le chemin de l'école, ses dames qui attendaient le client, elle se branlait le bouton en s'imaginant à leur place. Ado, elle s'est elle même dépucelée avec un bout de manche à balai, qu'elle avait scié et recouvert d'un préservatif volé a son cousin.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par SAM BOTTE
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bravo une histoire d’une fille naïve tombée dans les mains d’un maquereau sans scrupules qui la drogue à son insu pour la soumet complètement et la rende accro à la penetration va-t-elle réussir à s’en sortir car elle commence à àvoir peur et a entendu les propos du médecin au sujet de ses seins et de son intimité