La vie de Besson bascule
Récit érotique écrit par Tayyip [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La vie de Besson bascule
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Avant-propos« La vie de Besson bascule » est la suite et la fin de « Besson femme cavale » qui était est la continuité de « Madame Besson ».
C'est l’histoire du cheminement d’une gentille institutrice, qui, après s’être fait piéger, il est vrai, sans réelle volonté de résister, se laissera entraîner vers toutes les transgressions. Elle donnera ainsi libre cours à tous ses fantasmes et sombrera peu à peu dans des ébats voluptueux, que certains trouveront sombres, mais que son sexe lui impose. Jouisseuse, jusqu’à devenir une indécente addicte, elle est objet de plaisir, heureuse de celui que l'on prend d'elle, elle se sent totalement femme...
Soumise à ce dominantLéa, la première maitresse de Besson, l'a vendue à son frère Lucas, un beau mac autoritaire qui est devenu son patron, mais aussi, son nouveau maitre... Pour Besson, la façon de le servir est d’être à ses pieds, de réaliser ses souhaits, d'obéir à ses ordres, lui offrir sa servitude, car la jouissance ultime de Besson est de lui appartenir.
Elle est soumise à ce dominant… Elle aime son exigence, sa sévérité... mais surtout son sexe... Elle a trouvé sa place... être la putain de Lucas, fouettée, humiliée, nue... Elle est sereine dans cet esclavage volontaire et sait qu'elle ne refusera rien à Lucas.
Après cet achat, Lucas, sans attendre pour récupérer sa mise, la met 18 à 20 heures par jour sur le trottoir. Comme elle ne rêvait qu'à se faire tringler, Besson tributaire de ses désirs, chienne en rut, la moule toujours chaude comme la braise, le cul en feu, passe du statut de soumise, à celui de garage à bites, de trou arpentant le bitume... pour le plus grand bonheur de Lucas.
Après une année de macadam, baisée et enculée en permanence, ne refusant jamais les extras, toujours de bonne volonté, se laissant toujours tripoter dans les coins, avide d’être désirée, convoitée, pilonnée, elle n’a jamais refusé une avance, elle est toujours de bonne volonté, mais Lucas juge le rapport de Besson insuffisant. Malgré les raclées et le fouet, rien n'y fait, le chiffre d'affaires stagne.
À la recherche d'un meilleur rendement, Lucas décide de contacter son vieil ami Hubert de Sablé, un sévère dresseur de femmes cavale... fort réputé pour son haras et ses courses de pony-girl… et lui proposer Besson en, complément de son cheptel. Hubert de Sablé voit vite l'intérêt de prendre Besson en élevage. L'accord scellé est simple, totale liberté pour dresser Besson et en faire une bonne jument, en retour, partage des gains que Sablé promet fort lucratifs sur la trentaine de courses attelées dans l'année.
Depuis plus de deux ans, bonne pouliche débourrée qui a subi tous les outrages, toutes les souillures, fouet, fessée, exhibée, Besson durement dressée est devenue une cavale de qualité. Réduite au rôle d'animal utile, c'est une femelle de course reconnue... d'un très bon rapport financier.
Comblée par cette servitude, quotidiennement pistonnée, elle est flamboyante sur le champ de courses du haras, ardente lorsqu'elle est offerte au bout d'une longue laisse aux amis et aux notables lors de soirées données par Sablé, fringante dans son box, rayonnante avec Vincent, le lad chargé de son entretien et de son entrainement. Lorsque la bite du lad lui fourrage la chatte ou le cul de coups dévastateurs, elle écarte largement les cuisses, comme avec Antoine, le Maître d'écurie, qui veut toujours lui caresser les seins gonflés d’excitation avant de la ramoner brutalement de son gourdin ravageur ; il lui déchire les fesses en la chevauchant comme un fou furieux... chatoyante avec les amis, son avaloir de pipeuse est un gouffre. Besson gobe tous les paquets et lorsque les parieurs chanceux lui caressent le cul, fougueuse, elle offre le contact.
La vie de Besson basculeSi Hubert de Sablé et Lucas sont satisfaits du bon rapport de Besson, ils sont conscients qu'il y a maintenant plus de deux ans qu'elle tire un sulky, championne, pur-sang qui gagne les courses, deux ans qu'elle est une bonne pouliche, mais à l'approche de la quarantaine, ils savent aussi que l'âge d’or « Besson » va progressivement se dégrader.
Voulant anticiper le manque de revenus qui se dessine, Hubert de Sablé confie à Lucas, - Comme maintenant dans la mondialisation tout se vend, vendons Besson, il y a un marché international pour notre marchandise. Autant en profiter...
Hubert de Sablé, riche d'un exceptionnel carnet d'adresses, propose à Lucas de rencontrer Zúñiga di Miranda, un fidèle parmi les fidèles des soirées du haras. Il est ici, un riche propriétaire mais aussi un très influent dignitaire mexicain toujours à l'affut de nouveau bétail pour son hacienda dans son pays.
- Le Mexique révèle un fort potentiel de croissance, une tendance pour notre secteur qui doit progresser dans les prochaines années...
dit Hubert de Sablé,Zúñiga di MirandaZúñiga di Miranda qui est soucieux de productivité, de rentabilité sur ce marché en pleine expansion, entretien, dans une zone résidentielle de la péninsule du Yucatán, un gigantesque domaine ceint de hauts murs, lieu de rencontre où il reçoit jour et nuit, de richissimes et puissants hommes d'affaires de la capitale qui naviguent dans le commerce des armes, des investisseurs étrangers, des seigneurs du narco, des banquiers, des dinosaures de la politique… et plus globalement des aficionados ploutocrates désoeuvrés, féodaux, toujours prêts à dépenser sans compter lorsqu'il s'agit d'assouvir leurs caprices... et se repaître avec les jouets délicats mis à leur disposition.
En bon Hôte et bon homme d'affaires Zúñiga di Miranda, qui a l'art de transformer les amusements en pesos, fait en sorte que Grands crus, alcools forts et champagne coulent toujours à flots et dans son imposante hacienda. Des appartements discrets constamment disponibles, consacrés aux plaisirs charnels et au commerce de femelles blanches toujours dans une forme physique éblouissante...
Objets utilisables à discrétion elles sont toujours disponibles.
C'est ce que les clients attendent et ce à quoi ils ont droit et pour le prix qu'ils paient, ils en ont pour leur argent...
L'haciendaA l'écart de la somptueuse demeure, des pavillons blancs regroupant palefreniers, serviteurs et les cellules de séjour pour les filles avec les box pour leur dressage. Dans les couloirs entre les cellules des pénitentes nues, geignantes, suspendues comme des jambons, pour l'exemple, par les mains à un anneau solidement fixé aux poutres, balancent lentement, touchant le plancher de la pointe des pieds… battues ou en attente de l'être... les pénitences sont infligées pour éprouver l'obéissance.
Certaines attendent d'être utilisées, le cul rougi par les coups de cravache, d'autres destinées aux plaisir pervers sont harnachées en animal de ferme, truies à quatre pattes avec des fers au bout des mains, une cagoule pour transformer le visage en groin, vaches avec des pis énormes, une suceuse fixée sur les mamelons gonflés sont à la traite pour la production de lait pour la nurserie. Dans les couloirs, aveuglées par un bandeau sur les yeux, des garces sont attachées par les bras retournés dans le dos, levés haut, les cuisses écartées de façon à bien présenter leur croupe, un gode de taille imposante fiché dans le cul, souvent un autre est enfoncé dans le vagin, attendent les bons vouloir de Doña Aimara ou Pedro.
Dans ces pavillons aussi, le casernement pour la garde chargée de la sécurité et de l'entretien du domaine, sous les ordres d’une implacable mère maquerelle, à la voix terrifiante, Doña Aimara, l'âme damnée de Zúñiga di Miranda. Elle porte en permanence un très court fouet et est toujours accompagnée d'un magnifique dogue allemand que toutes les filles redoutent...
Le rôle de Doña Aimara,est de diriger d'une main de fer la garde, composée d'impressionnants surveillants noirs, de magnifiques hommes, grands, musclés, sans une gramme de graisse, embauchés en Afrique, la peau luisante, vêtus d'une sorte d’uniforme composé d’un pagne sous lequel ils sont nus, d'une trique à la ceinture, le privilège de pouvoir fouetter n’importe quelle femelle et d’un turban, leur simple vue fait frisonner...
Doña Aimara avec Pedro, son homme à tout faire, est aussi là pour éduquer les femelles, habituer les culs et les moules à d'énormes bites mais aussi préparer les corps pour qu'ils plaisent à leurs futurs propriétaires et surtout à leurs innombrables futurs clients. Elle est aussi là pour les entrainer, les faire travailler, car la vie à l'hacienda n'est pas de tout repos, les discipliner, contrôler leur rentabilité, les faire féconder, surveiller les gestations et... leur en faire baver...
À l’écart, au fond de la propriété, une estrade pour les mises à prix et des enclos pour parquer des femelles trop âgées et mises au rebut avant leur commercialisation. Les filles sont présentées nues, un collier leur rejetant la tête en arrière pour les forcer à dévoiler, seins et sexe, pendues par les cheveux pour les faire tournoyer constamment sur elles-mêmes, cambrées sur des hauts talons elles essayent d'échapper aux douleurs de la position, la délicatesse pour le domaine consiste à offrir les meilleures vues des croupes et des vagins aux acheteurs. Le spectacle de ces femelles, un collier fixé au cou, enchainées, exposées toute une journée excite les amateurs et les ventes rapportent de belles sommes... à la satisfaction de Zúñiga di Miranda et de Doña Aimara qui est aussi responsable des ventes.
Des camions à bétail sont garés en attente de leur transport vers des bordels du continent et de là, elles sont régulièrement revendues aux spécialistes de films pornos et hard...
Isolé de tout, clôt par une haute palissade en treillage pour limité l'accès, un grand bâtiment qui abrite la clinique et une maternité ultra moderne. Vu les enjeux économiques pour Zúñiga di Miranda, tout a été conçu pour apporter le maximum de sécurité aux femelles et leurs petits, l’expertise de l’équipe d'encadrement, gynécologues obstétriciens, anesthésistes-réanimateurs, sages-femmes, infirmières... ferait rougir les meilleurs hôpitaux de Mexico.
Le rendez-vousBien entendu, Zúñiga di Miranda, qui connaît bien Besson, pour l'avoir utilisée à maintes occasions, se réjouit et est impatient d'entendre la proposition d'Hubert de Sablé et de Lucas.
Bien installés sous une agréable tente dressée sur la pelouse verdoyante du haras, des tables et des fauteuils près de la piste d'entrainement... En cette période qui précède les courses de printemps, les trois hommes, un vieil alcool en main, goûtent la douceur de cet instant de calme voluptueux.
Lucas appelle Vincent le lad qui se tient en retait, - Vincent, tu vas me chercher Besson !
-Oui monsieur Lucas, - mais avant, tu lui rougis généreusement le cul, je veux l'entendre beugler d'ici !
- Bien monsieur Lucas, De retour dans l'écurie, très calme, il fit un signe à Besson, - viens ici… approche, - Monsieur Lucas veut te montrer et il est pressé, allons, Besson, dépêche-toi… nous allons être en retard… Vincent saisit Besson par son anneau nasal, ne perdons pas de temps… Il lui entrave les poignets et la suspend à la poutre principale de l’écurie.
Lorsqu'elle aperçoit le fouet à la ceinture de Vincent, elle sait ce qu'elle va endurer, elle sait qu'elle va hurler, souffrir, Il déroule le fouet, -Montre tes fesses ! tu as compris ?
- Oh Non monsieur Vincent… je vous en prie… pas de fouet… je vous en supplie… - tu peux brailler tout ton saoul… j'adore te voir te tortiller et gueuler...
Elle halète, comme si l’air lui manquait et dans le silence, elle appréhende la douleur du long serpent en cuir tressé sur sa peau, elle connaît le sifflement et la foudre de la morsure. Besson sait que le coup va ouvrir ses chairs dans le sang, la faire hurler et la zébrer... Elle étouffe une plainte lorsque la main de Vincent lui claque les fesses.
Elle se retrouve vite avec le cul rouge et boursouflé sous les coups violents. Elle a beau demander pitié, les coups pleuvent ! Elle pleure et souffre...
Alors, pour Lucas, son maitre, elle se livre, consentante, à la correction.
En vrai professionnel Vincent délimite sa « zone de travail »... des hanches aux fesses et se polarise sur ce corps offert qui ondule déjà... Puis les coups crépitent, les diagonales de sang se superposent, se croisent, les fesses sont incandescentes.
Vincent ne joue pas, les coups acharnés reprennent, s'enchaînent et pleuvent, la lanière du fouet frappe les globes fessiers avec un bruit très sec. Besson pousse un feulement et relève sa tête en arrière, elle s'époumone et ne ravale plus ses sanglots. Son corps secoué de spasmes frissonnants... Agitée de tremblement nerveux, elle murmure des mots étouffés par les pleurs incontrôlés, prostrée, elle ne crie plus, elle ne fait que souffrir.
Vincent fait une pause et glisse une main experte vers son bas-ventre... il veut vérifier l'humidité, la caresse accentue l’érection de son bouton. Il la sent défaillir, Vincent s'amuse, il sait que pour Besson seule compte la pression des doigts qui plongent en elle, qui se balade entre ses lèvres palpitantes, elle soupir de volupté.
Alors il lui demande pour la prendre à contre-pied, car il sait qu'elle n'a pas compté, - Combien ma cavale ?
Abattue anéantie, elle bredouille incohérente, - Je vous en supplie… arrêtez… je … je ne sais pas...
- Alors reprenons, c'est la règle, tu la connais parfaitement, tu ne comptes pas, on recommence !
Le fouet claque et de nouveau le cul de Besson sillonné de rouge sanglant, roule, se balance, elle se déhanche, ondule, se tord, valse...
- Combien femelle ?
- dix monsieur Vincent, lui murmure-t-elle entre deux spasmes, - Bien !
répondit-il en lui palpant le sein, sa paume pressant le mamelon qu'il sent durcir. Tout en lui caressant la croupe, il lui écarte les fesses pour suivre le contour froncé du petit œillet brun pour lui pénétrer le cul.
Besson frémit, hoquette, elle sent l'homme pousser... écarter son muscle... déchirer son intérieur et son éducation fait qu'elle se cambre davantage s'offrant sans retenue à la caresse et puis, vibrante, s'ouvre à Vincent pour laisser la place aux bons vingt centimètres du gourdin dur comme de l’acier, qu'elle prend et accepte. Elle aime ça... Elle oublie tout le reste, elle perd la tête... en larmes, elle jouit.
Une fois fini, Vincent regarde son cul et le haut de ses cuisses d’un air satisfait lui prend la tête et dit, - À genoux, ici ma salope, nettoyage ! Mains dans le dos ! pompe !
Elle ouvre sa bouche chaude et humide, enfourne hâtivement le pieu horizontal qui venait de la percer, les lèvres et la langue suce avec gourmandise, ses caresses l'excite... elle bave et la salive s’écoule par les commissures de ses lèvres distendues. l’insertion est brutale, le sexe lui cogne la gorge avec force et régularité et pour la seconde fois, il gicle... la tête de Besson fermement prise dans l'étau des mains du palefrenier.
- Avale, ma chienne !
Elle déglutit et s'écarte un peu, lèche le gland, puis se redresse, les yeux toujours baissés.
Tout dans la gueule ouverte, elle avale...
- Qu'est-ce qu'on dit ?
- Merci monsieur Vincent, c'est un honneur de vous avoir sucé, - C'est bien, ma fille.
La présentationSans un mot, elle avance la tête baissée, se laisse mener par la laisse crochetée à son anneau de nez, le corps toujours frissonnant des coups de fouet, suivant Vincent qui lui avait entravé les bras dans le dos entre les coudes et les omoplates pour mieux présenter ses mamelles.
Ses tétines sont agressives, - La voilà monsieur Lucas, Il la fait avancer, la met en position de soumise, à genoux et attache la laisse à l'un des pieds de la table basse, comme une chienne à l'entrée d'une boutique. Lucas, presque par réflexe, tire l'anneau du sein et lui pince un téton, elle geint... Il se penche alors, regarde à ses pieds, avec le sourire, la croupe ensanglantée de son animal...
- Beau travail, merci Vincent, - Besson, nous avons décidé avec monsieur Sablé que ton séjour au haras était terminé, tu as été une bonne jument, tu as bien fait la chienne, tu restes une bonne pute, mais maintenant il est temps de passer à autre chose. Nous n'allons pas t'envoyer travailler dans un bordel africain, où je ne sais où, mais nous te confions, c'est une façon de parler, à notre ami monsieur Zúñiga di Miranda que tu connais. Il va t'envoyer au Mexique dans sa somptueuse hacienda au soleil du Sud. Là bas, le personnel va s'occuper de toi... que du bonheur... tu vivras nue au domaine, mais cela ne te changera pas !
Besson qui avait toujours rêvé dans une vie lointaine, de faire un voyage au Mexique, de visiter les cités Maya, de nager dans de l'eau douce des mangroves, de voyager entre Océan et jungle tropicale, de découvrir les plages caribéennes paradisiaques... avait l'esprit en déroute. Elle écoute et un flot de larmes inonde son visage. Elle sait qu'elle n'est qu'un objet qui doit obéir au ordre d'un maitre...elle pleure d'humiliation... Elle comprend aussi qu'elle vient d'être revendue.
Hubert de Sablé ne peut se retenir de vanter Besson, - C'est un bon millésime, une belle marchandise, de jolies petites lèvres intimes, un article étonnant, bien pour son âge et ce qui fait la différence, c'est son imagination débridée qu'elle met en application des techniques sexuelles. C'est une femelle qui a du cœur à l'ouvrage. Un beau produit pour votre crédit. Elle est mignonne et provocante, elle a de splendides seins fermes et hauts, ses yeux et son halètement excité ne sont que du plaisir...
Elle a les aptitudes que vous connaissez... sa vocation est de satisfaire son maître.
- n'est-ce pas ma salope ?
- oui monsieur Sablé, dit-elle dans un sanglot étouffé, -Besson présente à monsieur di Miranda ta chatte fendue bien haut, observez le relief de sa vulve et son trou, soyez certain qu'il est parfaitement rodé... et surtout, elle est patiente, endurante... en plus d'être une talentueuse suceuse, Retourne-toi, montre ton cul, ouvre tes orifices, Besson obéissante, ouvre largement ses fesses de deux mains, - Viens, montre-moi comment tu t'offres ma fille, approche que je puisse te tâter, ordonne Zúñiga di Miranda, - Ouvre tes cuisses maintenant !
Lucas souriant détache la laisse de Besson et d'une claque sur son cul ensanglanté, la pousse vers di Miranda.
- Comme vous le voyez, elle est percée et annelée, aux seins et au nez, c'est très pratique pour la conduire, elle est vaccinée et marquée au fer avec notre blason, mais vous pouvez envisager de la marquer au fer de votre sceau, sur l'autre fesse... et aussi lui appareiller le sexe...
- Elle m'intéresse depuis longtemps, je vous la prends, dit Zúñiga di Miranda, Besson sait qu'il va prendre possession d'elle, car c'est bien de cela qu'il s'agit, utilisée comme un vulgaire objet... dans ses yeux brille une flamme fiévreuse...
- Je lui ferai implanter une puce et tatouer un code-barres, le domaine est grand, je veux pouvoir la tracer... Je le ferai faire, nous sommes bien équipés, nous avons de bons médecins à la clinique du domaine.
Maintenant, il faut que je réfléchisse à l'utilisation la plus rentable... tout en continuant sa discussion, avec désinvolture, Zúñiga di Miranda, flatte l’arrondi de la croupe offerte, comme il le ferait d'un objet qu'on manipule, sans vraiment y prêter attention, glisse le doigt en frôlant le sillon des fesses à la recherche de son petit trou... Il le laisse traîner entre les deux lobes fessiers.
Se parlant à haute voix, Zúñiga di Miranda, énumère les possibilités offertes pour l'utilisation de Besson, en faire une laitière, lui piquer les pis avec du sérum et l'engraisser aux hormones pour lui faire des outres pleines de lait... nous pouvons en avoir besoin à la clinique, double fonction, nourrir les petits mâles et les petites femelles à la naissance avec son lait et la nourrir du jus de mes invités...
en faire une reproductrice à engrosser, c'est possible pendant qu'il est encore temps, elle a encore l'âge, c'est d'un excellent rapport, vous n'imaginez pas le nombre de demandes sur le marché de l'adoption pour de petits mâles blancs... ils sont vendus dès la naissance, j'ai déjà quelques reproductrices fécondées en élevage. Il m'en faut d’autres à fertiliser, l'autre possibilité et de la mettre immédiatement à l'abattage, la faire tourner à la disposition de mes invités... avant une revente aux enchères... mais la solution d'en faire une reproductrice est très tentante... elle peut m'en faire à la chaine les trois à quatre ans à venir, un excellent rapport avec les à côtés...
Miranda glisse une main entre ses cuisses et l’inspecte jusqu'à l’anus, Besson sent le doigt qui cherche à lui pénétrer le cul, son corps se tend, elle ne peut réprimer un irrépressible tremblement, …Zúñiga di Miranda la gifle d'un aller et retour brutal, son oreille bourdonne...
- Docile ! je vais te dompter !
Il lui frappe plusieurs fois le cul déjà martyrisé d'une badine en bambou qui à l’avantage de bien marquer. Elle pleure, submergée par la douleur, elle a terriblement mal.
- Écarte mieux les cuisses, ouvre ton cul et serre ta chatte !
Les doigts inquisiteurs la fouillent toujours, - Ouvre ta bouche, il faut que je vérifie ta façon de sucer, Zúñiga di Miranda enfourne ses doigts dans la bouche de Besson, elle suffoque, - oui, comme cela, grande, ouvre bien, encore et suce, serre tes lèvres, lèche... hum, oui, fait-la bien tourner, aspire, oui... Continue ma fille… S'adressant à Lucas et Sablé, il confit, - J'aime bien ses tatouages au-dessus des fesses et des seins, « Salope à enculer » et « suceuse »... c'est une délicieuse idée !
Besson sait parfaitement que ses tatouages ont depuis longtemps scellé son destin, son état à vie... Elle pleure abondement, elle voudrait refuser d'être vendue à ce seigneur des temps modernes... elle voudrait rester aux pieds de Lucas... près de Sablé... elle est au fond du puits et comprend qu'il est trop tard, que son sexe la conduit sur cette route infernale... elle n'a, depuis bien longtemps, plus le choix, elle le sait, elle va devoir s'offrir et obéir sans réserve aux ordres de di Miranda.
- Il faudra la tondre, crête, sourcils, je la veux parfaitement lisse comme une poupée ! Avec la puce, elle sera totalement identifiable, aussi peut-on lui retirer tous ses pendentifs aux oreilles ?
Lucas appèle Vincent, - Va chercher une pince et fais-moi disparaître ces breloques !
Dit-il en montrant Besson.
- Je te rappellerai pour une tonte complète, sourcils, crête et vérification cul et chatte lorsque monsieur di Miranda en aura fini avec elle, - Bien monsieur Lucas, - Son cul et sa chatte sont adorables, murmure di Miranda...
et tout aussi négligemment que lorsqu'il lui flattait la croupe, la prend par le bras et d'une poussée autoritaire sur la nuque l'oblige à se courber, le ventre sur la table basse et bien se plier pour offrir l'accès à ses trous. Il va prendre possession de son achat, Le pantalon de di Miranda s'affale, il dégage une longue tige déjà bandée qu'il approche des lèvres intimes, chatoyantes de désir de Besson. Elle propulse son bassin vers l’avant en présentant son ouverture, comme on lui a appris à le faire, di Miranda frotte sa tige sur la fente et violemment s'arrime à la chatte et la pilonne. La verge dure écartèle son intérieur... encore... encore... ! Elle a l’impression que le pieux de di Miranda qui la perfore, la déchire...
Elle s'écarte plus encore pour laisser l'ouverture libre à la main de son nouveau maitre qui lui branle le cul. Elle est une chienne docile, toujours prête à contenter les moindres désirs, - Allez ma belle, laisse-toi aller, Il amplifie ses mouvements de va-et-vient, sortant presque de Besson avant de s'y enfourner plus en avant à chaque coup de reins, elle est investie, pleine du sexe de di Miranda, le souffle court, elle subit sans broncher la délicieuse progression de la verge de l'homme qui la distend démesurément. Il lui semble qu'elle va se fissurer.
- Divinement étroite et avenante. Vous avez raison mon cher, une chatte de rêve... et toi écarte les cuisses, contracte tes muscles que je te fourre le cul !
Et d'une poussée, il la retourne, elle se cambre pour mieux offrir… il vise les fesses... Le souffle de Besson se précipite, ses fesses lui font mal, la douleur de la correction donnée par Vincent est encore présente, mais sans opposer la moindre résistance, Besson plaque son ventre contre la table, elle s'écarte au mieux pour bien présenter l'objet du désir de di Miranda... Elle encaisse les coups de bites puissants dans le fion... elle braille... mais elle se laisse faire, son parti est pris, monsieur di Miranda est son nouveau maître, elle lui appartient désormais. Elle se donne tout à lui pour être utilisée...
Ce n'est pas la première fois qu'elle se retrouve dans cette situation, mais elle ressent une étrange sensation à être ainsi manipulée devant ces hommes, ses cuisses luisantes laissent deviner l'humidité qui abonde...
di Miranda la martèle sur un rythme déchaîné, la bite profondément enfouie en elle, à chaque pénétration les couilles viennent frapper les fesses... Besson l'entendit soudain grogner, alors jouisseuse, elle aussi, elle pousse et se cambre pour accompagner la pénétration et le régal de l'homme. Il éjacule et elle sent le sperme chaud se répandre dans son trou. Elle, elle gémit de plaisir... Le sperme s'écoule d'entre les fesses sur ses cuisses...
Lucas et Sablé le sourire aux lèvres, contemplent le spectacle de Besson le cul rouge du fouet qui se fait violemment sodomiser.., elle est baisée, enculée deux fois à la suite dans la matinée... Elle a joui. Ils savent que pour Besson, la contrainte, la punition, la douleur et le plaisir sont indissociables.
Remplie, elle est domptée. di Miranda est bien le nouveau maître.
- Vincent, emmène là à la tonte, crête, sourcils et vérifie le reste, je ne veux plus voir un poil !
- Bien monsieur, - Ah ! aussi, dit Hubert de Sablé, pour le départ de Besson, monsieur Zúñiga di Miranda a la gentillesse d'organiser une grande soirée pour le personnel du haras, tu demandes à tous de se réunir dans le grand salon... et elle, tu la prépares, tu lui nettoies profondément le cul et tu lui graisses généreusement les trous... n'oublie pas, tu lui mets ses talons...
d'un air joyeux Vincent répond, - Oh ! oui monsieur Sablé, La tonteBesson, haletante, la chatte et le cul béant, est affalée sur la table basse. Sans douceur Vincent l'attrape par la crête, lui relève la tête, accroche la laisse à son anneau de nez, attache ses bras dans le dos, les coudes serrés l'un contre l’autre afin de lui tirer les épaules en arrière et faire ainsi ressortir le buste généreux. Elle baisse la tête, il la présente di Miranda heureux de sa prestation.
Il l'emmène à l'écurie, lui entrave dans un carcan, saisie la tondeuse et rase sourcils et crâne. Elle voudrait refuser cette ultime déchéance, cet ultime avilissement, mais le flot de pleurs, de sanglots étouffe toute velléité de rébellion, de révolte... elle sait que désormais elle est la propriété de monsieur di Miranda et qu'il a tous les droits... elle doit être docile se laisser utiliser comme une poupée gonflable… elle est avertie, elle a capitulé depuis longtemps... et accepté son statut... ne plus avoir de droit, elle comprend qu'elle sera traitée en conséquence... un meuble... à utiliser pour la production et le plaisir.
La fêteLa soirée débute avec Vincent qui remorque Besson par sa laisse nasale, les mains entravées dans le dos, perchée sur ses talons, les formes généreuses de sa croupe, de ses seins, ondulent, son cul, ses fesses, roulent, balancent,... leur arrivée est fort remarquée, tous les hommes sans exception n'arrêtent pas de la regarder. Certains commencent à se caresser la bite... chacun attend impatiemment pour satisfaire ses petites manies...
En soumise, comme il se doit, elle est mise à genoux par Vincent devant di Miranda, Hubert et Lucas.
Vincent un écarteur dentaire en main s'approche, lui ouvre la gueule et fixe l'engin. La tête basse, la voilà livrée bavante, la salive qui dégouline le long de son menton, tous les orifices ouverts aux pieds... de ses Maîtres, En riant, di Miranda lui dit, - Que la fête commence ! Avec tes mamelles annelées, tu vas donner du bonheur, mais tu dois mettre du coeur à l’ouvrage !
Antoine, le maître d'écurie, l'interpelle, - Viens par ici, lui ordonna-t-il ! On va te baiser ma pouliche, tu seras le spectacle, mes amis vont te regarder te faire utiliser comme un jouet !
Fais saillir ton cul pour nous faire bander ma salope ! Déhanche-toi ! Mieux que ça !
Elle s'exécute...
Antoine, le maître d'écurie... privilège du statut... l’embarque sur son épaule, elle me met à s'agiter et frétiller. Il s'assoit, de son épaule la prend sur les genoux et lui donne une violente fessée.
- Si tu recommences, tu vas en recevoir une correction d'une autre force !
Elle a mal... il la transporte comme un ballot de patates et pour la tenir, sa main sur ses fesses encore endolories... la caresse.
Mélange de menace et de douceur, elle prend plaisir à sentir cette main qui lui flatte le cul...
D'un mouvement souple, Antoine se décharge de son fardeau sur la table, elle gémit, ses yeux se crispent sous la douleur. Puis, son visage se relâche... elle sait où il veut en venir, et présente ses fesses bien écartées, bougeant discrètement ses hanches aux mouvements de l’assaillant, elle sait qu'elle va apprécier...
- Lève tes genoux… jusqu'aux épaules, et il s’enfonce jusqu’à la garde, il y va rondement, sans ménagement... elle se laisse aller... Sa tête glisse sur la table en allant et venant...
Alors qu'elle supporte le claquement des cuisses contre ses fesses, ses gémissements indisposent Antoine qui lui enfourne dans le suçoir par-dessus l'écarteur, un bâillon boule en caoutchouc, pour ne plus l'entendre.
Antoine garde son sexe à l'intérieur du sien, Besson le sens de plus en plus excité. Ses mouvements de va-et-vient deviennent de plus en plus forts, il est profondément en elle maintenant, il va jouir, mais se lève et la retourne sans façon.
Il met son doigt dans sa bouche retire la balle et elle le suce, ensuite, il le passe sur son petit orifice, l'introduit, lui branle le trou, puis le retire, plusieurs fois. Ses tétons sont hérissés, d'une main il les lui câline...
Il se laisse envahir par son plaisir et par la vue de cette femme transformée en objet. Il bande et d’un coup de rein il jouit en elle.
Besson n’a pu se retenir, l'orgasme est foudroyant.
- Salope tu es incapable de te retenir.
À quatre pattes entre les jambes d'Antoine elle le nettoie par de petits coups de langue, puis le lèche comme elle le ferait d’une gourmandise. Le spectacle est complet.
Laissant la place, Antoine pousse Besson ainsi offerte vers le personnel du haras et dans cette position, étendue sur la table, les seins et les tétons arrogamment érigés en espoir d'être gobés par des lèvres convoiteuses, la vulve parfaitement fendue en attente d'une pénétration et de sperme, pas un ne résiste à la tentation, chacun vient consommer ce corps offert à leur convoitise, un amas d'hommes la prennent, la contraignent, elle est victime consentante, elle suce des sexes charnus, fins, enjôleurs, violents et sauvages. Elle se fait sodomiser, fister à la suite...
Combien de sexes se sont déversés au fond de sa gorge, se sont branlés entre ses seins l'aspergeant de foutre ? Son corps est submergé par les hommes qui se repaissent, insatiables. Elle se redresse un peu pour prendre un pénis en érection dans la main. Elle lèche le gland, l'introduit dans sa bouche, le suce goulûment, vorace, elle le pince du bout des lèvres, elle sent qu'il aime cela le bougre, elle l'entend gémir.
- avale la sauce salope… dit-ilElle ne faillie pas à sa réputation de bonne pipeuse douée pour les fellations... elle exulte et s'offre, pleure toutes les larmes de son corps éclaboussé de sperme, ses cuisses ruissellent. Jamais elle n'a ressenti à ce point la sensation d'être ouverte. Elle voudrait que cela ne s'arrête jamais.
Le départ Après plusieurs heures débridées, les trois hommes sonnent l'heure du départ. di Miranda appelle sa garde rapprochée, deux Albanais, Alkan, Fadil et Grete, une femme estonienne.
- Elle est prête... Allez y, occupez-vous d'elle. Vous la chargez et en route pour le pays, dit Zúñiga di Miranda, je vais prévenir Doña Aimara, - Bien monsieur, Fadil saisissant l'un des anneaux de sein de Besson lui glisse à l'oreille, - t'as encore 2 bites à sucer et une belle moule à satisfaire, t'as intérêt à te goinfrer si tu ne veux pas morfler, vu ?
- oui… et vlan, elle se reçoit une belle baffe… - Oui monsieur ! Salope !
- Oui monsieur…- Bon… à nous… partons, en route, on va lui gaver la gueule à cette putain de chienne… Nue, Besson ne dit rien, comme vidée. Fadil, l'homme qui s'empare d'elle, est massif, puissant lui couvre la tête d'un sac et la pousse sans ménagement dans une camionnette. Tout en sachant l'inutilité de la rébellion, Besson tempête, elle se débat, elle ne veut pas partir, ne veut pas quitter Lucas et Sablé, l'homme rit, simplement et rapidement, il la colle face sur le matelas à l'arrière et lui menotte les poignets.
Couchée elle est soumise.
Mouille bien, avant que je t’enfonce mon harpon dans ton petit cul de salope.
Le TransportIls roulent longtemps et sur une aire de repos, pour Besson la soirée se prolonge... Alkan et Fadil lui intime de caresser Grete, la femme lituanienne... Besson pose sa main sur les seins de la femme et les effleure, glissant sur la robe, elle sent les tétons se durcirent, Grete ne porte pas de soutien-gorge. Ses mains brûlent lorsqu'elle frôle les tétons. Grete gémit.
Besson qui venait de passer une main entre ses cuisses, remontant sa robe au rythme de ses caresses naissantes, enlace tendrement la jeune femme, sans aucune pudeur pour Alkan et Fadil dans le rôle de voyeur...
- Embrasse Grete !
Besson ouvre la bouche et accepte avec enthousiasme l'ordre de Fadil. La langue fouille et son corps vient s'ajuster, s'arrimer au corps de Grete, elle est une bête en rut !
- Grete tu vas bien branler cette pute, je veux la voir jouir, - Oui monsieur Fadil, Les doigts de Grete se déchainent, Besson sous les caresses qui lui donnent des ondes de plaisir, frissonne, roule, se balancer, ondoie, frémit... elle n'est plus que délice...
- à toi Besson ! amène ta gueule et viens à la suce, embrasse Grete !
Elle tend sa bouche et pose ses lèvres sur celle de Grete, elle sent la langue de Grete chercher sa bouche.
- Salive davantage ! Active la langue ! Mieux que ça ! Je veux vous voir baver les salopes, Et Besson fait courir sa langue sur le visage de la fille, qui répond à son baiser, leurs langues se croisent de manière bien visible. Besson sent sa chatte se mouiller. Les lèvres de Grete sont chaudes et douces comme sa langue, elle dégouline.
- Joue avec ses seins pendant que tu l’embrasses.
et leur baiser devient plus ardent. Leurs langues mènent maintenant une vraie bataille, Besson est de plus en plus excitée, Grete ouvre sa robe pour donner sa poitrine, ses tétons sont gonflés et raides, généreux, Le souffle de Besson se fait court, elle se penche et prend le mamelon de Grete dans sa bouche, le suce le grignote... elle ne peut s’en empêcher, sa chatte est débordante, mais elle a tellement besoin de jouir.
- Besson déshabille Grete !
Grete se lève et enlève sa robe, puis caresse Besson. Grete peut sentir le jus qui s’échappe du sexe cajolé, Besson se tortille et s'offre, elle n'est plus que plaisir... et Grete câline les cuisses nues et le sexe parfaitement épilé, clairement trempé de mouille. Ses sécrétions sont visibles. Grete glisse ses doigts dans la fente offerte, jouant avec le clitoris de Besson, puis le lèche tout en lui élargissant le cul avec les doigts.
La langue s’insinue en haut de la chatte, elle sait faire, vicieuse elle frictionne le bouton, Besson va défaillir... Un bel orgasme monte du ventre dans son corps, elle se cambre, elle ne se contrôle plus...
Les deux femmes s’embrassent et se cajolent, leurs corps s'enlacent, se dissolvent dans un ensemble jouisseur. Besson atteint presque l’orgasme. elle n’en peut plus... mais elle continue à se donner aux délices du jeu. Grete rompt le baiser et se met à califourchon sur le visage de Besson qui ne voit plus que les lèvres du sexe offert. Alkan ordonne à Besson de lécher. Comme elle ne va pas assez vite, Ta langue dans cette chatte ou c'est le fouet, allez, sniffe bien avant de lécher !
Dit-il... L'évocation du fouet rappelle à Besson sa situation... des lèvres, elle effleure la vulve, mais Grete tient la tête de Besson et colle son vagin contre sa bouche, ouvre sa chatte et lui enfonce le visage dans son sexe rayonnant.
Alors Besson se lâche et lui lape la fente, le clitoris, la mignarde, lui envoie ondes de plaisir, elle ne peut se retenir, elle fignole l'offrande avec gourmandise, elle est parcourue de spasmes de jouissance. Son corps se tend, se cabre sous la délectation, un courant électrique s’empare de la moindre de ses terminaisons nerveuses, suscite en elle une vague ininterrompue de réactions incontrôlées. Les orgasmes se succédèrent, tous plus vifs... des orgasmes les plus intenses de sa vie.
Grete fait glisser sa chatte sur le visage de Besson, qui lèche et boit le jus de Grete. Bientôt les deux femmes n’en peuvent plus et épuisées s’écroulent l'une sur l'autre. Grete s’écarte enfin, les femmes sont là, comblée, le visage couvert de mouille, les cuisses grandes ouvertes, leur jus bien visible… la mouille dégouline sur les cuisses agitées de soubresauts… Le cul de besson est un appel, Alkan et Fadil dans un synchronisme parfait inondent de longs jets de sperme chaud les corps des deux femelles, elles aussi comblées par un orgasme ravageur...
- Oh ! Besson, ta chatte humide est bien mignonne, je suis certain qu'elle est savoureuse, dit-il ! s'agenouillant et de la langue lèche à pleine bouche la vulve... la main libre s’occupe de la poitrine opulente et tire sur les anneaux des seins, de nouveau, le souffle rauque de Besson est entrecoupé de soupirs, elle pousse en avant sa vulve trempée vers la bouche qui assure le plaisir. Elle a la tête collée à la braguette, elle sent le sexe gonflé à travers le caleçon et savoir que Fadil, rebande pour elle, aggrave son désir...
Maintenant Alkan lui tient les jambes écartées en V, la tenant par les chevilles, alors que Fadil utilise la bouche de Besson comme un sexe, en la tenant par les deux côtés de la tête. À la vue des seins qui ballotent, d'Alkan qui la besogne de violents coups de butoir, il lui jouit dans la bouche, elle hoquète, s'étouffe, elle déglutit pour en avaler une partie. Sans répis, Fadil lui met sa matraque dans la bouche... elle suce...
Puis l'ordre claque, arrive ici que je te bâillonne, - Mais pourquoi ?
- Silence ! Je ne veux pas t'entendre ! Nous sommes en retard, et il prend un bâillon boule qu'il lui enfourne et le boucle derrière son crâne chauve.
Dans le même temps, Alkan attrape dans un sac, une camisole, sorte de chemise molletonnée qui arrive à la ceinture, avec deux longues manches qui n’ont pas de trous et qu'il attache dans le dos… Chatte et cul sont en accès libres...
Besson se tait et pleure...
- Debout, vite fait ! petite salope, Besson les bras dans la camisole se relève difficilement, Alkan lui écarte les cuisses et les doigts qui remontent pincent le sexe... il palpe... elle est humide... elle geint à travers son bâillon... Tu vas être sage, n’est-ce pas ! Sinon ton joli cul risque bien de morfler...
Ils repartirent au milieu de la nuit après que Besson eut fait jouir les trois compères à de multiples reprises. Grete est au volant et à l'arrière, Alkan et Fadil ouvre une grosse valise à roulettes, - Rentre là-dedans, dit Alkan en tirant Besson sans délicatesse, pour eux, elle est une pouffe anonyme de plus à accompagner, une chatte de seconde zone, future objet sexuel à convoyer... Quant à Besson, elle n’aurait jamais imaginé pouvoir rentrer dans un espace si petit, elle peine, ses bras entravés par la camisole gênent, elle se case, replie les jambes, la tête contre ses genoux… Fermeture...
Ses oreilles filtrent des sons, mais elle n'entend rien de précis, seulement des bruits étouffés... et le cahotement du véhicule sur la route en destination de Brest… Le voyage Dans la gare maritime, Alkan aidé par Fadil dépose la valise sur le chariot à bagages… puis une autre sur le dessus… Après de nombreuses manœuvres, ils embarquent tous les trois avec les valises dans des cabines contiguës… Dix jours en mer, le voyage par cargot va être long pour Besson. Elle va déguster.
L'arrivée au domaine fut rapide.
On allonge la valise sur le sol... une clef dans le cadenas et ouverture. Besson voit debout, encadrant la valise, Alkan et Pedro qui lui est encore inconnu. Elle apprendra vite qu'il est l'homme à tout faire de Doña Aimara elle-même au service dévoué de Zúñiga di Miranda. Ils parlent entre eux de la procédure à suivre et la regardent comme un nouvel ustensile qu'il faut ranger.
Elle est impatiente de sortir de la valise, Alkan la saisie, la relève alors que Pedro lui retire le bâillon boule et la déshabille de la camisole. Besson bouge les bras, elle a des fourmis...
- Du calme la salope !
Alkan la tient par son anneau nasal pendant que Pedro lui attache une ceinture qui permet d'entraver les poignets sur les hanches.
- En route, nous avons encore du travail !
Remise entre les mains de Pedro, elle le suit, hagarde, soumise. Alkan, souriant, regarde cette croupe qui ondule et qui s’éloigne, pour lui, la mission est accomplie. Zúñiga di Miranda sera content.
Selon les instructions de Doña Aimara, Pedro présente Besson à l'office de la clinique. Arrivée là, elle est enregistrée, mesurée, pesée, emmenée dans un atelier. Pedro prend un collier fin en inox numéroté 193 et lui passe au coup. Il lui fait poser la tête sur un établi et la tient fermement, les fesses accéssibles. Elle voit des éclats de lumière... le collier est soudé… Des larmes coulent, elle sait que rien ne lui sera épargné... Elle était impuissante à offrir toute résistance.
Les mains de Pedro sont sur ses hanches, elle sent sur son corps nu, se presser contre la chair de ses fesses. Les doigts fouillent entre les demi-lunes, ils sondent, ils sont à la conquête de l'entrée... l'épais pénis se présente, accentue la pression, elle serre les fesses, - Ouvre ton cul ma salope !
il pousse vigoureusement, elle est incapable de résister, il est en elle. Les larmes mouillent son visage. Le pénis glisse dans les profondeurs de son cul, elle est pleine à éclater. Il règle sa position et la tenant fermement, il se caresse doucement le sexe avec son petit trou, puis accroît le rythme et le pénis évacue le sperme dans ses entrailles... du jus s'écoule sur ses cuisses.
Bienvenue ma belle, lui souffle Pedro à l'oreille.
Il la prend par la laisse de nez, la ramène à la réception et là demande que l'on tatoue en code-barres sur le cou les informations de son dossier ainsi que le numéro de son collier.
- Pas duvets superflus, vous vérifiez son épilation cul et moule, prévoyez une épilation définitive du crâne, je la veux lisse et n'oubliez pas, de lui implanter sa puce.
- Ne vous inquiétez pas Pedro, elle sera prête dans une heure et sera en attente à la réception.
Doña AimaraPedro l'entraine dans une immense salle joliment tapissée.
- Tu vas rester la nuit ici, Doña Aimara va venir t'examiner, tu as encore un grand nombre d'examens à passer, dit-il en l'attachant au pied d'un fauteuil.
Au matin, Besson voit arriver Doña Aimara accompagnée de Pedro, - Lorsque Doña Aimara apparaît tu te mets à genoux et tu baisses la tête, chienne !
Immédiatement Besson s'exécute, Doña Aimara lui relève la tête, voilà donc le dernier achat de Zúñiga di Miranda, bien, dit-elle, une belle nouveauté, un peu de travail en perspective, - Pedro,tu vas te charger de son éducation au domaine, - Oui Doña Aimara, - Avant tout, je veux qu'elle me reconnaisse à l'odeur, comme toutes les chiennes d'ici, et Doña Aimara soulève sa longue robe, dévoile la nudité d'un sexe velu, - Approche la chienne, viens flairer ta maitresse, viens respirer ce qu'il te faut flatter et savourer en permanence, Pedro tire la laisse nasale pour coller le visage de Besson sur le bas-ventre de Doña Aimara, l'odeur est forte, Les cuisses de Doña Aimara s’écartent, elle soupire.
- Hume bien, prends ton temps, imprègne-toi de cette odeur, renifle ! Et lorsque tu auras fait pénétrer complètement mon odeur à l'intérieur de ta mémoire, je veux sentir ta langue au plus profond de ma chatte, tu as compris ma chienne ?
Besson inhaler la senteur si fortement que les poils du pubis de Doña Aimara, frisonnent... La langue de Besson franchit le passage odorant, elle se déchaine, elle aimerait que son visage pénètre dans cette antre... cette grotte bénéfique à son embrassement...
Sans un mot, Doña Aimara la repousse, - Pedro tu conduis cette salope à la clinique, je veux connaître la taille des verges qu'elle peut recevoir, dans la bouche, dans la moule et dans le cul. Je veux que l'on compte le nombre d'orgasmes qu'elle peut supporter, le nombre d'hommes elle peut satisfaire et combien de coups de cravache on peut lui administrer avant qu'elle ne soit inutilisable. Tu fais poser des anneaux plus gros sur ses mamelons c'est plus pratique pour l'entraver.
Tu lui apprends aussi les règles, les réflexes à oublier et ceux à acquérir. Sont obéissance doit être absolue !
- Sans problème Doña Aimara, Saisissant Besson par l'oreille, son code-barres tatoué sur son crâne tondu, une puce implantée dans le cou, Pedro la traine vers à l'accueil, - C’est la nouvelle ? Je vais m’en occuper,dit le jeune mâle, l'un des quatre reproducteurs de service...
- Oui, tiens les papiers, c’est la 193, Doña Aimara a demandé qu'on la traite aussi aux aphrodisiaques il faut qu'elle soit rapidement en demande, il y a du travail qui l'attend...
- Ne t'inquiètes pas Pedro, nous allons faire ce qu'il faut, je sais qu'elle est là pour se faire saillir... pourrais-tu me donner la laisse, - Arrive ici la salope ! si tu bouges d’un poil, tu seras fouettée, les mains attachées au-dessus de la tête et les pieds frôlant le sol !
À la chaîne...
Doña Aimara a décidé de mettre Besson à la reproduction, elle a encore quelques années avant la ménopause, il va falloir qu'elle produise. Pedro se charge de la surveillance de la période la plus propice pour féconder la femelle. Elle est alors sanglée sur une table gynécologique, les cuisses largement écartées sur des jambières et chaque matin de jeunes mâles blancs en stage dans le domaine viennent la féconder.
En 5 ans elle mit au monde cinq mâles qui sont allaités quelques semaines par les laitières à la clinique et rapidement revendus avec un beau bénéfice. Zúñiga di Miranda est enchanté de Besson, ce fut un bon achat.
Entre les périodes de fécondation, les grossesses, les trous de Besson ne se referment jamais, elle est gavée en permanence, c'est fou le nombre de clients qui veulent la baiser, l'enculer ou jouir sur elle, même lorsqu'elle est grosse.
Les années passent, les périodes de fécondation sont loin, Pedro se charge de poursuivre l'éducation de Besson et la présente aux clients, tenue en laisse, les bras entravés, qui se détendent dans le Lounge, - Je vous présente 193, une bonne salope messieurs, avec de l'expérience... approchez-vous, - Toi, ouvre ta bouche !
dit-il d'un ton sec.
Elle est examinée comme une jument au marché de bétail. Elle a honte, le rouge lui monte au visage mais elle s'exécute. D'un pouce ferme, Pedro lui écarte sa mâchoire.
- Regardez ! Approchez-vous ! Sort ta langue baveuse, c'est une excellente suceuse et elle peut avaler des quantités de jus. Côté mamelles, elle est pas mal, elles sont affriolantes, un bonheur à maltraiter, - Passons à son petit cul ferme, cette femelle est très étroite... à vous de l'élargir !
Dit-il en souriant, Coté con, c'est une aubaine, elle mouille bien et accepte tous les calibres,..
- Regardez bien cette salope comme elle pointe ses tétons. Elle est prête à être emboutie, mais avant la saillie, faites-la juter, c'est plaisant de la voir bouger le cul... s’agiter, se tordre, se cambrer...
Une main qui vient de lui caresser les cuisses luisantes lui plante sauvagement deux doigts dans le sexe, une autre pétrit sa poitrine, elle ne peut se retenir de geindre, elle se pâme sous cette longue et lente caresse et machinalement s'ouvre davantage afin de faciliter la tâche. L'intrus passe lentement ses doigts entre les lèvres humides et caresse le clitoris qui n'attendait que cela... elle se laisse aller sur le torse de Pedro qui l’embrasse à pleine bouche, un autre larron s’agenouille et commence à lui sucer le lieu magique.
Les clients s'approchent et la regardent se faire doigter... Pedro la retourne, présente son cul à l'assemblée et un client en rut approche pour la besogner... il la boute, Besson a le corps en feu, elle râle...
Puis c'est le défilé, l'un sort, un autre prend sa place. Au bout de quelques heures, elle n’est plus capable de les comptabiliser, une queue la quitte, une autre entre instantanément pour reprendre la chevauchée...
Pedro lui souffle - Ce n'est pas fini, tu en as pour toute la nuit à te faire défoncer les trous ma fille...
ÉpiloguePersonne ne sait ce qu'il advint de Besson, Doña Aimara a quitté le domaine depuis quelques années, aujourd'hui, seul Pedro pourrait parler de la vente de Besson, mais il reste silencieux... Elle est sans doute dans un bouge africain, néons de couleur grésillants, sono tonitruante, odeurs de cuisine… et la clientèle qui va avec… ***
Avant-propos« La vie de Besson bascule » est la suite et la fin de « Besson femme cavale » qui était est la continuité de « Madame Besson ».
C'est l’histoire du cheminement d’une gentille institutrice, qui, après s’être fait piéger, il est vrai, sans réelle volonté de résister, se laissera entraîner vers toutes les transgressions. Elle donnera ainsi libre cours à tous ses fantasmes et sombrera peu à peu dans des ébats voluptueux, que certains trouveront sombres, mais que son sexe lui impose. Jouisseuse, jusqu’à devenir une indécente addicte, elle est objet de plaisir, heureuse de celui que l'on prend d'elle, elle se sent totalement femme...
Soumise à ce dominantLéa, la première maitresse de Besson, l'a vendue à son frère Lucas, un beau mac autoritaire qui est devenu son patron, mais aussi, son nouveau maitre... Pour Besson, la façon de le servir est d’être à ses pieds, de réaliser ses souhaits, d'obéir à ses ordres, lui offrir sa servitude, car la jouissance ultime de Besson est de lui appartenir.
Elle est soumise à ce dominant… Elle aime son exigence, sa sévérité... mais surtout son sexe... Elle a trouvé sa place... être la putain de Lucas, fouettée, humiliée, nue... Elle est sereine dans cet esclavage volontaire et sait qu'elle ne refusera rien à Lucas.
Après cet achat, Lucas, sans attendre pour récupérer sa mise, la met 18 à 20 heures par jour sur le trottoir. Comme elle ne rêvait qu'à se faire tringler, Besson tributaire de ses désirs, chienne en rut, la moule toujours chaude comme la braise, le cul en feu, passe du statut de soumise, à celui de garage à bites, de trou arpentant le bitume... pour le plus grand bonheur de Lucas.
Après une année de macadam, baisée et enculée en permanence, ne refusant jamais les extras, toujours de bonne volonté, se laissant toujours tripoter dans les coins, avide d’être désirée, convoitée, pilonnée, elle n’a jamais refusé une avance, elle est toujours de bonne volonté, mais Lucas juge le rapport de Besson insuffisant. Malgré les raclées et le fouet, rien n'y fait, le chiffre d'affaires stagne.
À la recherche d'un meilleur rendement, Lucas décide de contacter son vieil ami Hubert de Sablé, un sévère dresseur de femmes cavale... fort réputé pour son haras et ses courses de pony-girl… et lui proposer Besson en, complément de son cheptel. Hubert de Sablé voit vite l'intérêt de prendre Besson en élevage. L'accord scellé est simple, totale liberté pour dresser Besson et en faire une bonne jument, en retour, partage des gains que Sablé promet fort lucratifs sur la trentaine de courses attelées dans l'année.
Depuis plus de deux ans, bonne pouliche débourrée qui a subi tous les outrages, toutes les souillures, fouet, fessée, exhibée, Besson durement dressée est devenue une cavale de qualité. Réduite au rôle d'animal utile, c'est une femelle de course reconnue... d'un très bon rapport financier.
Comblée par cette servitude, quotidiennement pistonnée, elle est flamboyante sur le champ de courses du haras, ardente lorsqu'elle est offerte au bout d'une longue laisse aux amis et aux notables lors de soirées données par Sablé, fringante dans son box, rayonnante avec Vincent, le lad chargé de son entretien et de son entrainement. Lorsque la bite du lad lui fourrage la chatte ou le cul de coups dévastateurs, elle écarte largement les cuisses, comme avec Antoine, le Maître d'écurie, qui veut toujours lui caresser les seins gonflés d’excitation avant de la ramoner brutalement de son gourdin ravageur ; il lui déchire les fesses en la chevauchant comme un fou furieux... chatoyante avec les amis, son avaloir de pipeuse est un gouffre. Besson gobe tous les paquets et lorsque les parieurs chanceux lui caressent le cul, fougueuse, elle offre le contact.
La vie de Besson basculeSi Hubert de Sablé et Lucas sont satisfaits du bon rapport de Besson, ils sont conscients qu'il y a maintenant plus de deux ans qu'elle tire un sulky, championne, pur-sang qui gagne les courses, deux ans qu'elle est une bonne pouliche, mais à l'approche de la quarantaine, ils savent aussi que l'âge d’or « Besson » va progressivement se dégrader.
Voulant anticiper le manque de revenus qui se dessine, Hubert de Sablé confie à Lucas, - Comme maintenant dans la mondialisation tout se vend, vendons Besson, il y a un marché international pour notre marchandise. Autant en profiter...
Hubert de Sablé, riche d'un exceptionnel carnet d'adresses, propose à Lucas de rencontrer Zúñiga di Miranda, un fidèle parmi les fidèles des soirées du haras. Il est ici, un riche propriétaire mais aussi un très influent dignitaire mexicain toujours à l'affut de nouveau bétail pour son hacienda dans son pays.
- Le Mexique révèle un fort potentiel de croissance, une tendance pour notre secteur qui doit progresser dans les prochaines années...
dit Hubert de Sablé,Zúñiga di MirandaZúñiga di Miranda qui est soucieux de productivité, de rentabilité sur ce marché en pleine expansion, entretien, dans une zone résidentielle de la péninsule du Yucatán, un gigantesque domaine ceint de hauts murs, lieu de rencontre où il reçoit jour et nuit, de richissimes et puissants hommes d'affaires de la capitale qui naviguent dans le commerce des armes, des investisseurs étrangers, des seigneurs du narco, des banquiers, des dinosaures de la politique… et plus globalement des aficionados ploutocrates désoeuvrés, féodaux, toujours prêts à dépenser sans compter lorsqu'il s'agit d'assouvir leurs caprices... et se repaître avec les jouets délicats mis à leur disposition.
En bon Hôte et bon homme d'affaires Zúñiga di Miranda, qui a l'art de transformer les amusements en pesos, fait en sorte que Grands crus, alcools forts et champagne coulent toujours à flots et dans son imposante hacienda. Des appartements discrets constamment disponibles, consacrés aux plaisirs charnels et au commerce de femelles blanches toujours dans une forme physique éblouissante...
Objets utilisables à discrétion elles sont toujours disponibles.
C'est ce que les clients attendent et ce à quoi ils ont droit et pour le prix qu'ils paient, ils en ont pour leur argent...
L'haciendaA l'écart de la somptueuse demeure, des pavillons blancs regroupant palefreniers, serviteurs et les cellules de séjour pour les filles avec les box pour leur dressage. Dans les couloirs entre les cellules des pénitentes nues, geignantes, suspendues comme des jambons, pour l'exemple, par les mains à un anneau solidement fixé aux poutres, balancent lentement, touchant le plancher de la pointe des pieds… battues ou en attente de l'être... les pénitences sont infligées pour éprouver l'obéissance.
Certaines attendent d'être utilisées, le cul rougi par les coups de cravache, d'autres destinées aux plaisir pervers sont harnachées en animal de ferme, truies à quatre pattes avec des fers au bout des mains, une cagoule pour transformer le visage en groin, vaches avec des pis énormes, une suceuse fixée sur les mamelons gonflés sont à la traite pour la production de lait pour la nurserie. Dans les couloirs, aveuglées par un bandeau sur les yeux, des garces sont attachées par les bras retournés dans le dos, levés haut, les cuisses écartées de façon à bien présenter leur croupe, un gode de taille imposante fiché dans le cul, souvent un autre est enfoncé dans le vagin, attendent les bons vouloir de Doña Aimara ou Pedro.
Dans ces pavillons aussi, le casernement pour la garde chargée de la sécurité et de l'entretien du domaine, sous les ordres d’une implacable mère maquerelle, à la voix terrifiante, Doña Aimara, l'âme damnée de Zúñiga di Miranda. Elle porte en permanence un très court fouet et est toujours accompagnée d'un magnifique dogue allemand que toutes les filles redoutent...
Le rôle de Doña Aimara,est de diriger d'une main de fer la garde, composée d'impressionnants surveillants noirs, de magnifiques hommes, grands, musclés, sans une gramme de graisse, embauchés en Afrique, la peau luisante, vêtus d'une sorte d’uniforme composé d’un pagne sous lequel ils sont nus, d'une trique à la ceinture, le privilège de pouvoir fouetter n’importe quelle femelle et d’un turban, leur simple vue fait frisonner...
Doña Aimara avec Pedro, son homme à tout faire, est aussi là pour éduquer les femelles, habituer les culs et les moules à d'énormes bites mais aussi préparer les corps pour qu'ils plaisent à leurs futurs propriétaires et surtout à leurs innombrables futurs clients. Elle est aussi là pour les entrainer, les faire travailler, car la vie à l'hacienda n'est pas de tout repos, les discipliner, contrôler leur rentabilité, les faire féconder, surveiller les gestations et... leur en faire baver...
À l’écart, au fond de la propriété, une estrade pour les mises à prix et des enclos pour parquer des femelles trop âgées et mises au rebut avant leur commercialisation. Les filles sont présentées nues, un collier leur rejetant la tête en arrière pour les forcer à dévoiler, seins et sexe, pendues par les cheveux pour les faire tournoyer constamment sur elles-mêmes, cambrées sur des hauts talons elles essayent d'échapper aux douleurs de la position, la délicatesse pour le domaine consiste à offrir les meilleures vues des croupes et des vagins aux acheteurs. Le spectacle de ces femelles, un collier fixé au cou, enchainées, exposées toute une journée excite les amateurs et les ventes rapportent de belles sommes... à la satisfaction de Zúñiga di Miranda et de Doña Aimara qui est aussi responsable des ventes.
Des camions à bétail sont garés en attente de leur transport vers des bordels du continent et de là, elles sont régulièrement revendues aux spécialistes de films pornos et hard...
Isolé de tout, clôt par une haute palissade en treillage pour limité l'accès, un grand bâtiment qui abrite la clinique et une maternité ultra moderne. Vu les enjeux économiques pour Zúñiga di Miranda, tout a été conçu pour apporter le maximum de sécurité aux femelles et leurs petits, l’expertise de l’équipe d'encadrement, gynécologues obstétriciens, anesthésistes-réanimateurs, sages-femmes, infirmières... ferait rougir les meilleurs hôpitaux de Mexico.
Le rendez-vousBien entendu, Zúñiga di Miranda, qui connaît bien Besson, pour l'avoir utilisée à maintes occasions, se réjouit et est impatient d'entendre la proposition d'Hubert de Sablé et de Lucas.
Bien installés sous une agréable tente dressée sur la pelouse verdoyante du haras, des tables et des fauteuils près de la piste d'entrainement... En cette période qui précède les courses de printemps, les trois hommes, un vieil alcool en main, goûtent la douceur de cet instant de calme voluptueux.
Lucas appelle Vincent le lad qui se tient en retait, - Vincent, tu vas me chercher Besson !
-Oui monsieur Lucas, - mais avant, tu lui rougis généreusement le cul, je veux l'entendre beugler d'ici !
- Bien monsieur Lucas, De retour dans l'écurie, très calme, il fit un signe à Besson, - viens ici… approche, - Monsieur Lucas veut te montrer et il est pressé, allons, Besson, dépêche-toi… nous allons être en retard… Vincent saisit Besson par son anneau nasal, ne perdons pas de temps… Il lui entrave les poignets et la suspend à la poutre principale de l’écurie.
Lorsqu'elle aperçoit le fouet à la ceinture de Vincent, elle sait ce qu'elle va endurer, elle sait qu'elle va hurler, souffrir, Il déroule le fouet, -Montre tes fesses ! tu as compris ?
- Oh Non monsieur Vincent… je vous en prie… pas de fouet… je vous en supplie… - tu peux brailler tout ton saoul… j'adore te voir te tortiller et gueuler...
Elle halète, comme si l’air lui manquait et dans le silence, elle appréhende la douleur du long serpent en cuir tressé sur sa peau, elle connaît le sifflement et la foudre de la morsure. Besson sait que le coup va ouvrir ses chairs dans le sang, la faire hurler et la zébrer... Elle étouffe une plainte lorsque la main de Vincent lui claque les fesses.
Elle se retrouve vite avec le cul rouge et boursouflé sous les coups violents. Elle a beau demander pitié, les coups pleuvent ! Elle pleure et souffre...
Alors, pour Lucas, son maitre, elle se livre, consentante, à la correction.
En vrai professionnel Vincent délimite sa « zone de travail »... des hanches aux fesses et se polarise sur ce corps offert qui ondule déjà... Puis les coups crépitent, les diagonales de sang se superposent, se croisent, les fesses sont incandescentes.
Vincent ne joue pas, les coups acharnés reprennent, s'enchaînent et pleuvent, la lanière du fouet frappe les globes fessiers avec un bruit très sec. Besson pousse un feulement et relève sa tête en arrière, elle s'époumone et ne ravale plus ses sanglots. Son corps secoué de spasmes frissonnants... Agitée de tremblement nerveux, elle murmure des mots étouffés par les pleurs incontrôlés, prostrée, elle ne crie plus, elle ne fait que souffrir.
Vincent fait une pause et glisse une main experte vers son bas-ventre... il veut vérifier l'humidité, la caresse accentue l’érection de son bouton. Il la sent défaillir, Vincent s'amuse, il sait que pour Besson seule compte la pression des doigts qui plongent en elle, qui se balade entre ses lèvres palpitantes, elle soupir de volupté.
Alors il lui demande pour la prendre à contre-pied, car il sait qu'elle n'a pas compté, - Combien ma cavale ?
Abattue anéantie, elle bredouille incohérente, - Je vous en supplie… arrêtez… je … je ne sais pas...
- Alors reprenons, c'est la règle, tu la connais parfaitement, tu ne comptes pas, on recommence !
Le fouet claque et de nouveau le cul de Besson sillonné de rouge sanglant, roule, se balance, elle se déhanche, ondule, se tord, valse...
- Combien femelle ?
- dix monsieur Vincent, lui murmure-t-elle entre deux spasmes, - Bien !
répondit-il en lui palpant le sein, sa paume pressant le mamelon qu'il sent durcir. Tout en lui caressant la croupe, il lui écarte les fesses pour suivre le contour froncé du petit œillet brun pour lui pénétrer le cul.
Besson frémit, hoquette, elle sent l'homme pousser... écarter son muscle... déchirer son intérieur et son éducation fait qu'elle se cambre davantage s'offrant sans retenue à la caresse et puis, vibrante, s'ouvre à Vincent pour laisser la place aux bons vingt centimètres du gourdin dur comme de l’acier, qu'elle prend et accepte. Elle aime ça... Elle oublie tout le reste, elle perd la tête... en larmes, elle jouit.
Une fois fini, Vincent regarde son cul et le haut de ses cuisses d’un air satisfait lui prend la tête et dit, - À genoux, ici ma salope, nettoyage ! Mains dans le dos ! pompe !
Elle ouvre sa bouche chaude et humide, enfourne hâtivement le pieu horizontal qui venait de la percer, les lèvres et la langue suce avec gourmandise, ses caresses l'excite... elle bave et la salive s’écoule par les commissures de ses lèvres distendues. l’insertion est brutale, le sexe lui cogne la gorge avec force et régularité et pour la seconde fois, il gicle... la tête de Besson fermement prise dans l'étau des mains du palefrenier.
- Avale, ma chienne !
Elle déglutit et s'écarte un peu, lèche le gland, puis se redresse, les yeux toujours baissés.
Tout dans la gueule ouverte, elle avale...
- Qu'est-ce qu'on dit ?
- Merci monsieur Vincent, c'est un honneur de vous avoir sucé, - C'est bien, ma fille.
La présentationSans un mot, elle avance la tête baissée, se laisse mener par la laisse crochetée à son anneau de nez, le corps toujours frissonnant des coups de fouet, suivant Vincent qui lui avait entravé les bras dans le dos entre les coudes et les omoplates pour mieux présenter ses mamelles.
Ses tétines sont agressives, - La voilà monsieur Lucas, Il la fait avancer, la met en position de soumise, à genoux et attache la laisse à l'un des pieds de la table basse, comme une chienne à l'entrée d'une boutique. Lucas, presque par réflexe, tire l'anneau du sein et lui pince un téton, elle geint... Il se penche alors, regarde à ses pieds, avec le sourire, la croupe ensanglantée de son animal...
- Beau travail, merci Vincent, - Besson, nous avons décidé avec monsieur Sablé que ton séjour au haras était terminé, tu as été une bonne jument, tu as bien fait la chienne, tu restes une bonne pute, mais maintenant il est temps de passer à autre chose. Nous n'allons pas t'envoyer travailler dans un bordel africain, où je ne sais où, mais nous te confions, c'est une façon de parler, à notre ami monsieur Zúñiga di Miranda que tu connais. Il va t'envoyer au Mexique dans sa somptueuse hacienda au soleil du Sud. Là bas, le personnel va s'occuper de toi... que du bonheur... tu vivras nue au domaine, mais cela ne te changera pas !
Besson qui avait toujours rêvé dans une vie lointaine, de faire un voyage au Mexique, de visiter les cités Maya, de nager dans de l'eau douce des mangroves, de voyager entre Océan et jungle tropicale, de découvrir les plages caribéennes paradisiaques... avait l'esprit en déroute. Elle écoute et un flot de larmes inonde son visage. Elle sait qu'elle n'est qu'un objet qui doit obéir au ordre d'un maitre...elle pleure d'humiliation... Elle comprend aussi qu'elle vient d'être revendue.
Hubert de Sablé ne peut se retenir de vanter Besson, - C'est un bon millésime, une belle marchandise, de jolies petites lèvres intimes, un article étonnant, bien pour son âge et ce qui fait la différence, c'est son imagination débridée qu'elle met en application des techniques sexuelles. C'est une femelle qui a du cœur à l'ouvrage. Un beau produit pour votre crédit. Elle est mignonne et provocante, elle a de splendides seins fermes et hauts, ses yeux et son halètement excité ne sont que du plaisir...
Elle a les aptitudes que vous connaissez... sa vocation est de satisfaire son maître.
- n'est-ce pas ma salope ?
- oui monsieur Sablé, dit-elle dans un sanglot étouffé, -Besson présente à monsieur di Miranda ta chatte fendue bien haut, observez le relief de sa vulve et son trou, soyez certain qu'il est parfaitement rodé... et surtout, elle est patiente, endurante... en plus d'être une talentueuse suceuse, Retourne-toi, montre ton cul, ouvre tes orifices, Besson obéissante, ouvre largement ses fesses de deux mains, - Viens, montre-moi comment tu t'offres ma fille, approche que je puisse te tâter, ordonne Zúñiga di Miranda, - Ouvre tes cuisses maintenant !
Lucas souriant détache la laisse de Besson et d'une claque sur son cul ensanglanté, la pousse vers di Miranda.
- Comme vous le voyez, elle est percée et annelée, aux seins et au nez, c'est très pratique pour la conduire, elle est vaccinée et marquée au fer avec notre blason, mais vous pouvez envisager de la marquer au fer de votre sceau, sur l'autre fesse... et aussi lui appareiller le sexe...
- Elle m'intéresse depuis longtemps, je vous la prends, dit Zúñiga di Miranda, Besson sait qu'il va prendre possession d'elle, car c'est bien de cela qu'il s'agit, utilisée comme un vulgaire objet... dans ses yeux brille une flamme fiévreuse...
- Je lui ferai implanter une puce et tatouer un code-barres, le domaine est grand, je veux pouvoir la tracer... Je le ferai faire, nous sommes bien équipés, nous avons de bons médecins à la clinique du domaine.
Maintenant, il faut que je réfléchisse à l'utilisation la plus rentable... tout en continuant sa discussion, avec désinvolture, Zúñiga di Miranda, flatte l’arrondi de la croupe offerte, comme il le ferait d'un objet qu'on manipule, sans vraiment y prêter attention, glisse le doigt en frôlant le sillon des fesses à la recherche de son petit trou... Il le laisse traîner entre les deux lobes fessiers.
Se parlant à haute voix, Zúñiga di Miranda, énumère les possibilités offertes pour l'utilisation de Besson, en faire une laitière, lui piquer les pis avec du sérum et l'engraisser aux hormones pour lui faire des outres pleines de lait... nous pouvons en avoir besoin à la clinique, double fonction, nourrir les petits mâles et les petites femelles à la naissance avec son lait et la nourrir du jus de mes invités...
en faire une reproductrice à engrosser, c'est possible pendant qu'il est encore temps, elle a encore l'âge, c'est d'un excellent rapport, vous n'imaginez pas le nombre de demandes sur le marché de l'adoption pour de petits mâles blancs... ils sont vendus dès la naissance, j'ai déjà quelques reproductrices fécondées en élevage. Il m'en faut d’autres à fertiliser, l'autre possibilité et de la mettre immédiatement à l'abattage, la faire tourner à la disposition de mes invités... avant une revente aux enchères... mais la solution d'en faire une reproductrice est très tentante... elle peut m'en faire à la chaine les trois à quatre ans à venir, un excellent rapport avec les à côtés...
Miranda glisse une main entre ses cuisses et l’inspecte jusqu'à l’anus, Besson sent le doigt qui cherche à lui pénétrer le cul, son corps se tend, elle ne peut réprimer un irrépressible tremblement, …Zúñiga di Miranda la gifle d'un aller et retour brutal, son oreille bourdonne...
- Docile ! je vais te dompter !
Il lui frappe plusieurs fois le cul déjà martyrisé d'une badine en bambou qui à l’avantage de bien marquer. Elle pleure, submergée par la douleur, elle a terriblement mal.
- Écarte mieux les cuisses, ouvre ton cul et serre ta chatte !
Les doigts inquisiteurs la fouillent toujours, - Ouvre ta bouche, il faut que je vérifie ta façon de sucer, Zúñiga di Miranda enfourne ses doigts dans la bouche de Besson, elle suffoque, - oui, comme cela, grande, ouvre bien, encore et suce, serre tes lèvres, lèche... hum, oui, fait-la bien tourner, aspire, oui... Continue ma fille… S'adressant à Lucas et Sablé, il confit, - J'aime bien ses tatouages au-dessus des fesses et des seins, « Salope à enculer » et « suceuse »... c'est une délicieuse idée !
Besson sait parfaitement que ses tatouages ont depuis longtemps scellé son destin, son état à vie... Elle pleure abondement, elle voudrait refuser d'être vendue à ce seigneur des temps modernes... elle voudrait rester aux pieds de Lucas... près de Sablé... elle est au fond du puits et comprend qu'il est trop tard, que son sexe la conduit sur cette route infernale... elle n'a, depuis bien longtemps, plus le choix, elle le sait, elle va devoir s'offrir et obéir sans réserve aux ordres de di Miranda.
- Il faudra la tondre, crête, sourcils, je la veux parfaitement lisse comme une poupée ! Avec la puce, elle sera totalement identifiable, aussi peut-on lui retirer tous ses pendentifs aux oreilles ?
Lucas appèle Vincent, - Va chercher une pince et fais-moi disparaître ces breloques !
Dit-il en montrant Besson.
- Je te rappellerai pour une tonte complète, sourcils, crête et vérification cul et chatte lorsque monsieur di Miranda en aura fini avec elle, - Bien monsieur Lucas, - Son cul et sa chatte sont adorables, murmure di Miranda...
et tout aussi négligemment que lorsqu'il lui flattait la croupe, la prend par le bras et d'une poussée autoritaire sur la nuque l'oblige à se courber, le ventre sur la table basse et bien se plier pour offrir l'accès à ses trous. Il va prendre possession de son achat, Le pantalon de di Miranda s'affale, il dégage une longue tige déjà bandée qu'il approche des lèvres intimes, chatoyantes de désir de Besson. Elle propulse son bassin vers l’avant en présentant son ouverture, comme on lui a appris à le faire, di Miranda frotte sa tige sur la fente et violemment s'arrime à la chatte et la pilonne. La verge dure écartèle son intérieur... encore... encore... ! Elle a l’impression que le pieux de di Miranda qui la perfore, la déchire...
Elle s'écarte plus encore pour laisser l'ouverture libre à la main de son nouveau maitre qui lui branle le cul. Elle est une chienne docile, toujours prête à contenter les moindres désirs, - Allez ma belle, laisse-toi aller, Il amplifie ses mouvements de va-et-vient, sortant presque de Besson avant de s'y enfourner plus en avant à chaque coup de reins, elle est investie, pleine du sexe de di Miranda, le souffle court, elle subit sans broncher la délicieuse progression de la verge de l'homme qui la distend démesurément. Il lui semble qu'elle va se fissurer.
- Divinement étroite et avenante. Vous avez raison mon cher, une chatte de rêve... et toi écarte les cuisses, contracte tes muscles que je te fourre le cul !
Et d'une poussée, il la retourne, elle se cambre pour mieux offrir… il vise les fesses... Le souffle de Besson se précipite, ses fesses lui font mal, la douleur de la correction donnée par Vincent est encore présente, mais sans opposer la moindre résistance, Besson plaque son ventre contre la table, elle s'écarte au mieux pour bien présenter l'objet du désir de di Miranda... Elle encaisse les coups de bites puissants dans le fion... elle braille... mais elle se laisse faire, son parti est pris, monsieur di Miranda est son nouveau maître, elle lui appartient désormais. Elle se donne tout à lui pour être utilisée...
Ce n'est pas la première fois qu'elle se retrouve dans cette situation, mais elle ressent une étrange sensation à être ainsi manipulée devant ces hommes, ses cuisses luisantes laissent deviner l'humidité qui abonde...
di Miranda la martèle sur un rythme déchaîné, la bite profondément enfouie en elle, à chaque pénétration les couilles viennent frapper les fesses... Besson l'entendit soudain grogner, alors jouisseuse, elle aussi, elle pousse et se cambre pour accompagner la pénétration et le régal de l'homme. Il éjacule et elle sent le sperme chaud se répandre dans son trou. Elle, elle gémit de plaisir... Le sperme s'écoule d'entre les fesses sur ses cuisses...
Lucas et Sablé le sourire aux lèvres, contemplent le spectacle de Besson le cul rouge du fouet qui se fait violemment sodomiser.., elle est baisée, enculée deux fois à la suite dans la matinée... Elle a joui. Ils savent que pour Besson, la contrainte, la punition, la douleur et le plaisir sont indissociables.
Remplie, elle est domptée. di Miranda est bien le nouveau maître.
- Vincent, emmène là à la tonte, crête, sourcils et vérifie le reste, je ne veux plus voir un poil !
- Bien monsieur, - Ah ! aussi, dit Hubert de Sablé, pour le départ de Besson, monsieur Zúñiga di Miranda a la gentillesse d'organiser une grande soirée pour le personnel du haras, tu demandes à tous de se réunir dans le grand salon... et elle, tu la prépares, tu lui nettoies profondément le cul et tu lui graisses généreusement les trous... n'oublie pas, tu lui mets ses talons...
d'un air joyeux Vincent répond, - Oh ! oui monsieur Sablé, La tonteBesson, haletante, la chatte et le cul béant, est affalée sur la table basse. Sans douceur Vincent l'attrape par la crête, lui relève la tête, accroche la laisse à son anneau de nez, attache ses bras dans le dos, les coudes serrés l'un contre l’autre afin de lui tirer les épaules en arrière et faire ainsi ressortir le buste généreux. Elle baisse la tête, il la présente di Miranda heureux de sa prestation.
Il l'emmène à l'écurie, lui entrave dans un carcan, saisie la tondeuse et rase sourcils et crâne. Elle voudrait refuser cette ultime déchéance, cet ultime avilissement, mais le flot de pleurs, de sanglots étouffe toute velléité de rébellion, de révolte... elle sait que désormais elle est la propriété de monsieur di Miranda et qu'il a tous les droits... elle doit être docile se laisser utiliser comme une poupée gonflable… elle est avertie, elle a capitulé depuis longtemps... et accepté son statut... ne plus avoir de droit, elle comprend qu'elle sera traitée en conséquence... un meuble... à utiliser pour la production et le plaisir.
La fêteLa soirée débute avec Vincent qui remorque Besson par sa laisse nasale, les mains entravées dans le dos, perchée sur ses talons, les formes généreuses de sa croupe, de ses seins, ondulent, son cul, ses fesses, roulent, balancent,... leur arrivée est fort remarquée, tous les hommes sans exception n'arrêtent pas de la regarder. Certains commencent à se caresser la bite... chacun attend impatiemment pour satisfaire ses petites manies...
En soumise, comme il se doit, elle est mise à genoux par Vincent devant di Miranda, Hubert et Lucas.
Vincent un écarteur dentaire en main s'approche, lui ouvre la gueule et fixe l'engin. La tête basse, la voilà livrée bavante, la salive qui dégouline le long de son menton, tous les orifices ouverts aux pieds... de ses Maîtres, En riant, di Miranda lui dit, - Que la fête commence ! Avec tes mamelles annelées, tu vas donner du bonheur, mais tu dois mettre du coeur à l’ouvrage !
Antoine, le maître d'écurie, l'interpelle, - Viens par ici, lui ordonna-t-il ! On va te baiser ma pouliche, tu seras le spectacle, mes amis vont te regarder te faire utiliser comme un jouet !
Fais saillir ton cul pour nous faire bander ma salope ! Déhanche-toi ! Mieux que ça !
Elle s'exécute...
Antoine, le maître d'écurie... privilège du statut... l’embarque sur son épaule, elle me met à s'agiter et frétiller. Il s'assoit, de son épaule la prend sur les genoux et lui donne une violente fessée.
- Si tu recommences, tu vas en recevoir une correction d'une autre force !
Elle a mal... il la transporte comme un ballot de patates et pour la tenir, sa main sur ses fesses encore endolories... la caresse.
Mélange de menace et de douceur, elle prend plaisir à sentir cette main qui lui flatte le cul...
D'un mouvement souple, Antoine se décharge de son fardeau sur la table, elle gémit, ses yeux se crispent sous la douleur. Puis, son visage se relâche... elle sait où il veut en venir, et présente ses fesses bien écartées, bougeant discrètement ses hanches aux mouvements de l’assaillant, elle sait qu'elle va apprécier...
- Lève tes genoux… jusqu'aux épaules, et il s’enfonce jusqu’à la garde, il y va rondement, sans ménagement... elle se laisse aller... Sa tête glisse sur la table en allant et venant...
Alors qu'elle supporte le claquement des cuisses contre ses fesses, ses gémissements indisposent Antoine qui lui enfourne dans le suçoir par-dessus l'écarteur, un bâillon boule en caoutchouc, pour ne plus l'entendre.
Antoine garde son sexe à l'intérieur du sien, Besson le sens de plus en plus excité. Ses mouvements de va-et-vient deviennent de plus en plus forts, il est profondément en elle maintenant, il va jouir, mais se lève et la retourne sans façon.
Il met son doigt dans sa bouche retire la balle et elle le suce, ensuite, il le passe sur son petit orifice, l'introduit, lui branle le trou, puis le retire, plusieurs fois. Ses tétons sont hérissés, d'une main il les lui câline...
Il se laisse envahir par son plaisir et par la vue de cette femme transformée en objet. Il bande et d’un coup de rein il jouit en elle.
Besson n’a pu se retenir, l'orgasme est foudroyant.
- Salope tu es incapable de te retenir.
À quatre pattes entre les jambes d'Antoine elle le nettoie par de petits coups de langue, puis le lèche comme elle le ferait d’une gourmandise. Le spectacle est complet.
Laissant la place, Antoine pousse Besson ainsi offerte vers le personnel du haras et dans cette position, étendue sur la table, les seins et les tétons arrogamment érigés en espoir d'être gobés par des lèvres convoiteuses, la vulve parfaitement fendue en attente d'une pénétration et de sperme, pas un ne résiste à la tentation, chacun vient consommer ce corps offert à leur convoitise, un amas d'hommes la prennent, la contraignent, elle est victime consentante, elle suce des sexes charnus, fins, enjôleurs, violents et sauvages. Elle se fait sodomiser, fister à la suite...
Combien de sexes se sont déversés au fond de sa gorge, se sont branlés entre ses seins l'aspergeant de foutre ? Son corps est submergé par les hommes qui se repaissent, insatiables. Elle se redresse un peu pour prendre un pénis en érection dans la main. Elle lèche le gland, l'introduit dans sa bouche, le suce goulûment, vorace, elle le pince du bout des lèvres, elle sent qu'il aime cela le bougre, elle l'entend gémir.
- avale la sauce salope… dit-ilElle ne faillie pas à sa réputation de bonne pipeuse douée pour les fellations... elle exulte et s'offre, pleure toutes les larmes de son corps éclaboussé de sperme, ses cuisses ruissellent. Jamais elle n'a ressenti à ce point la sensation d'être ouverte. Elle voudrait que cela ne s'arrête jamais.
Le départ Après plusieurs heures débridées, les trois hommes sonnent l'heure du départ. di Miranda appelle sa garde rapprochée, deux Albanais, Alkan, Fadil et Grete, une femme estonienne.
- Elle est prête... Allez y, occupez-vous d'elle. Vous la chargez et en route pour le pays, dit Zúñiga di Miranda, je vais prévenir Doña Aimara, - Bien monsieur, Fadil saisissant l'un des anneaux de sein de Besson lui glisse à l'oreille, - t'as encore 2 bites à sucer et une belle moule à satisfaire, t'as intérêt à te goinfrer si tu ne veux pas morfler, vu ?
- oui… et vlan, elle se reçoit une belle baffe… - Oui monsieur ! Salope !
- Oui monsieur…- Bon… à nous… partons, en route, on va lui gaver la gueule à cette putain de chienne… Nue, Besson ne dit rien, comme vidée. Fadil, l'homme qui s'empare d'elle, est massif, puissant lui couvre la tête d'un sac et la pousse sans ménagement dans une camionnette. Tout en sachant l'inutilité de la rébellion, Besson tempête, elle se débat, elle ne veut pas partir, ne veut pas quitter Lucas et Sablé, l'homme rit, simplement et rapidement, il la colle face sur le matelas à l'arrière et lui menotte les poignets.
Couchée elle est soumise.
Mouille bien, avant que je t’enfonce mon harpon dans ton petit cul de salope.
Le TransportIls roulent longtemps et sur une aire de repos, pour Besson la soirée se prolonge... Alkan et Fadil lui intime de caresser Grete, la femme lituanienne... Besson pose sa main sur les seins de la femme et les effleure, glissant sur la robe, elle sent les tétons se durcirent, Grete ne porte pas de soutien-gorge. Ses mains brûlent lorsqu'elle frôle les tétons. Grete gémit.
Besson qui venait de passer une main entre ses cuisses, remontant sa robe au rythme de ses caresses naissantes, enlace tendrement la jeune femme, sans aucune pudeur pour Alkan et Fadil dans le rôle de voyeur...
- Embrasse Grete !
Besson ouvre la bouche et accepte avec enthousiasme l'ordre de Fadil. La langue fouille et son corps vient s'ajuster, s'arrimer au corps de Grete, elle est une bête en rut !
- Grete tu vas bien branler cette pute, je veux la voir jouir, - Oui monsieur Fadil, Les doigts de Grete se déchainent, Besson sous les caresses qui lui donnent des ondes de plaisir, frissonne, roule, se balancer, ondoie, frémit... elle n'est plus que délice...
- à toi Besson ! amène ta gueule et viens à la suce, embrasse Grete !
Elle tend sa bouche et pose ses lèvres sur celle de Grete, elle sent la langue de Grete chercher sa bouche.
- Salive davantage ! Active la langue ! Mieux que ça ! Je veux vous voir baver les salopes, Et Besson fait courir sa langue sur le visage de la fille, qui répond à son baiser, leurs langues se croisent de manière bien visible. Besson sent sa chatte se mouiller. Les lèvres de Grete sont chaudes et douces comme sa langue, elle dégouline.
- Joue avec ses seins pendant que tu l’embrasses.
et leur baiser devient plus ardent. Leurs langues mènent maintenant une vraie bataille, Besson est de plus en plus excitée, Grete ouvre sa robe pour donner sa poitrine, ses tétons sont gonflés et raides, généreux, Le souffle de Besson se fait court, elle se penche et prend le mamelon de Grete dans sa bouche, le suce le grignote... elle ne peut s’en empêcher, sa chatte est débordante, mais elle a tellement besoin de jouir.
- Besson déshabille Grete !
Grete se lève et enlève sa robe, puis caresse Besson. Grete peut sentir le jus qui s’échappe du sexe cajolé, Besson se tortille et s'offre, elle n'est plus que plaisir... et Grete câline les cuisses nues et le sexe parfaitement épilé, clairement trempé de mouille. Ses sécrétions sont visibles. Grete glisse ses doigts dans la fente offerte, jouant avec le clitoris de Besson, puis le lèche tout en lui élargissant le cul avec les doigts.
La langue s’insinue en haut de la chatte, elle sait faire, vicieuse elle frictionne le bouton, Besson va défaillir... Un bel orgasme monte du ventre dans son corps, elle se cambre, elle ne se contrôle plus...
Les deux femmes s’embrassent et se cajolent, leurs corps s'enlacent, se dissolvent dans un ensemble jouisseur. Besson atteint presque l’orgasme. elle n’en peut plus... mais elle continue à se donner aux délices du jeu. Grete rompt le baiser et se met à califourchon sur le visage de Besson qui ne voit plus que les lèvres du sexe offert. Alkan ordonne à Besson de lécher. Comme elle ne va pas assez vite, Ta langue dans cette chatte ou c'est le fouet, allez, sniffe bien avant de lécher !
Dit-il... L'évocation du fouet rappelle à Besson sa situation... des lèvres, elle effleure la vulve, mais Grete tient la tête de Besson et colle son vagin contre sa bouche, ouvre sa chatte et lui enfonce le visage dans son sexe rayonnant.
Alors Besson se lâche et lui lape la fente, le clitoris, la mignarde, lui envoie ondes de plaisir, elle ne peut se retenir, elle fignole l'offrande avec gourmandise, elle est parcourue de spasmes de jouissance. Son corps se tend, se cabre sous la délectation, un courant électrique s’empare de la moindre de ses terminaisons nerveuses, suscite en elle une vague ininterrompue de réactions incontrôlées. Les orgasmes se succédèrent, tous plus vifs... des orgasmes les plus intenses de sa vie.
Grete fait glisser sa chatte sur le visage de Besson, qui lèche et boit le jus de Grete. Bientôt les deux femmes n’en peuvent plus et épuisées s’écroulent l'une sur l'autre. Grete s’écarte enfin, les femmes sont là, comblée, le visage couvert de mouille, les cuisses grandes ouvertes, leur jus bien visible… la mouille dégouline sur les cuisses agitées de soubresauts… Le cul de besson est un appel, Alkan et Fadil dans un synchronisme parfait inondent de longs jets de sperme chaud les corps des deux femelles, elles aussi comblées par un orgasme ravageur...
- Oh ! Besson, ta chatte humide est bien mignonne, je suis certain qu'elle est savoureuse, dit-il ! s'agenouillant et de la langue lèche à pleine bouche la vulve... la main libre s’occupe de la poitrine opulente et tire sur les anneaux des seins, de nouveau, le souffle rauque de Besson est entrecoupé de soupirs, elle pousse en avant sa vulve trempée vers la bouche qui assure le plaisir. Elle a la tête collée à la braguette, elle sent le sexe gonflé à travers le caleçon et savoir que Fadil, rebande pour elle, aggrave son désir...
Maintenant Alkan lui tient les jambes écartées en V, la tenant par les chevilles, alors que Fadil utilise la bouche de Besson comme un sexe, en la tenant par les deux côtés de la tête. À la vue des seins qui ballotent, d'Alkan qui la besogne de violents coups de butoir, il lui jouit dans la bouche, elle hoquète, s'étouffe, elle déglutit pour en avaler une partie. Sans répis, Fadil lui met sa matraque dans la bouche... elle suce...
Puis l'ordre claque, arrive ici que je te bâillonne, - Mais pourquoi ?
- Silence ! Je ne veux pas t'entendre ! Nous sommes en retard, et il prend un bâillon boule qu'il lui enfourne et le boucle derrière son crâne chauve.
Dans le même temps, Alkan attrape dans un sac, une camisole, sorte de chemise molletonnée qui arrive à la ceinture, avec deux longues manches qui n’ont pas de trous et qu'il attache dans le dos… Chatte et cul sont en accès libres...
Besson se tait et pleure...
- Debout, vite fait ! petite salope, Besson les bras dans la camisole se relève difficilement, Alkan lui écarte les cuisses et les doigts qui remontent pincent le sexe... il palpe... elle est humide... elle geint à travers son bâillon... Tu vas être sage, n’est-ce pas ! Sinon ton joli cul risque bien de morfler...
Ils repartirent au milieu de la nuit après que Besson eut fait jouir les trois compères à de multiples reprises. Grete est au volant et à l'arrière, Alkan et Fadil ouvre une grosse valise à roulettes, - Rentre là-dedans, dit Alkan en tirant Besson sans délicatesse, pour eux, elle est une pouffe anonyme de plus à accompagner, une chatte de seconde zone, future objet sexuel à convoyer... Quant à Besson, elle n’aurait jamais imaginé pouvoir rentrer dans un espace si petit, elle peine, ses bras entravés par la camisole gênent, elle se case, replie les jambes, la tête contre ses genoux… Fermeture...
Ses oreilles filtrent des sons, mais elle n'entend rien de précis, seulement des bruits étouffés... et le cahotement du véhicule sur la route en destination de Brest… Le voyage Dans la gare maritime, Alkan aidé par Fadil dépose la valise sur le chariot à bagages… puis une autre sur le dessus… Après de nombreuses manœuvres, ils embarquent tous les trois avec les valises dans des cabines contiguës… Dix jours en mer, le voyage par cargot va être long pour Besson. Elle va déguster.
L'arrivée au domaine fut rapide.
On allonge la valise sur le sol... une clef dans le cadenas et ouverture. Besson voit debout, encadrant la valise, Alkan et Pedro qui lui est encore inconnu. Elle apprendra vite qu'il est l'homme à tout faire de Doña Aimara elle-même au service dévoué de Zúñiga di Miranda. Ils parlent entre eux de la procédure à suivre et la regardent comme un nouvel ustensile qu'il faut ranger.
Elle est impatiente de sortir de la valise, Alkan la saisie, la relève alors que Pedro lui retire le bâillon boule et la déshabille de la camisole. Besson bouge les bras, elle a des fourmis...
- Du calme la salope !
Alkan la tient par son anneau nasal pendant que Pedro lui attache une ceinture qui permet d'entraver les poignets sur les hanches.
- En route, nous avons encore du travail !
Remise entre les mains de Pedro, elle le suit, hagarde, soumise. Alkan, souriant, regarde cette croupe qui ondule et qui s’éloigne, pour lui, la mission est accomplie. Zúñiga di Miranda sera content.
Selon les instructions de Doña Aimara, Pedro présente Besson à l'office de la clinique. Arrivée là, elle est enregistrée, mesurée, pesée, emmenée dans un atelier. Pedro prend un collier fin en inox numéroté 193 et lui passe au coup. Il lui fait poser la tête sur un établi et la tient fermement, les fesses accéssibles. Elle voit des éclats de lumière... le collier est soudé… Des larmes coulent, elle sait que rien ne lui sera épargné... Elle était impuissante à offrir toute résistance.
Les mains de Pedro sont sur ses hanches, elle sent sur son corps nu, se presser contre la chair de ses fesses. Les doigts fouillent entre les demi-lunes, ils sondent, ils sont à la conquête de l'entrée... l'épais pénis se présente, accentue la pression, elle serre les fesses, - Ouvre ton cul ma salope !
il pousse vigoureusement, elle est incapable de résister, il est en elle. Les larmes mouillent son visage. Le pénis glisse dans les profondeurs de son cul, elle est pleine à éclater. Il règle sa position et la tenant fermement, il se caresse doucement le sexe avec son petit trou, puis accroît le rythme et le pénis évacue le sperme dans ses entrailles... du jus s'écoule sur ses cuisses.
Bienvenue ma belle, lui souffle Pedro à l'oreille.
Il la prend par la laisse de nez, la ramène à la réception et là demande que l'on tatoue en code-barres sur le cou les informations de son dossier ainsi que le numéro de son collier.
- Pas duvets superflus, vous vérifiez son épilation cul et moule, prévoyez une épilation définitive du crâne, je la veux lisse et n'oubliez pas, de lui implanter sa puce.
- Ne vous inquiétez pas Pedro, elle sera prête dans une heure et sera en attente à la réception.
Doña AimaraPedro l'entraine dans une immense salle joliment tapissée.
- Tu vas rester la nuit ici, Doña Aimara va venir t'examiner, tu as encore un grand nombre d'examens à passer, dit-il en l'attachant au pied d'un fauteuil.
Au matin, Besson voit arriver Doña Aimara accompagnée de Pedro, - Lorsque Doña Aimara apparaît tu te mets à genoux et tu baisses la tête, chienne !
Immédiatement Besson s'exécute, Doña Aimara lui relève la tête, voilà donc le dernier achat de Zúñiga di Miranda, bien, dit-elle, une belle nouveauté, un peu de travail en perspective, - Pedro,tu vas te charger de son éducation au domaine, - Oui Doña Aimara, - Avant tout, je veux qu'elle me reconnaisse à l'odeur, comme toutes les chiennes d'ici, et Doña Aimara soulève sa longue robe, dévoile la nudité d'un sexe velu, - Approche la chienne, viens flairer ta maitresse, viens respirer ce qu'il te faut flatter et savourer en permanence, Pedro tire la laisse nasale pour coller le visage de Besson sur le bas-ventre de Doña Aimara, l'odeur est forte, Les cuisses de Doña Aimara s’écartent, elle soupire.
- Hume bien, prends ton temps, imprègne-toi de cette odeur, renifle ! Et lorsque tu auras fait pénétrer complètement mon odeur à l'intérieur de ta mémoire, je veux sentir ta langue au plus profond de ma chatte, tu as compris ma chienne ?
Besson inhaler la senteur si fortement que les poils du pubis de Doña Aimara, frisonnent... La langue de Besson franchit le passage odorant, elle se déchaine, elle aimerait que son visage pénètre dans cette antre... cette grotte bénéfique à son embrassement...
Sans un mot, Doña Aimara la repousse, - Pedro tu conduis cette salope à la clinique, je veux connaître la taille des verges qu'elle peut recevoir, dans la bouche, dans la moule et dans le cul. Je veux que l'on compte le nombre d'orgasmes qu'elle peut supporter, le nombre d'hommes elle peut satisfaire et combien de coups de cravache on peut lui administrer avant qu'elle ne soit inutilisable. Tu fais poser des anneaux plus gros sur ses mamelons c'est plus pratique pour l'entraver.
Tu lui apprends aussi les règles, les réflexes à oublier et ceux à acquérir. Sont obéissance doit être absolue !
- Sans problème Doña Aimara, Saisissant Besson par l'oreille, son code-barres tatoué sur son crâne tondu, une puce implantée dans le cou, Pedro la traine vers à l'accueil, - C’est la nouvelle ? Je vais m’en occuper,dit le jeune mâle, l'un des quatre reproducteurs de service...
- Oui, tiens les papiers, c’est la 193, Doña Aimara a demandé qu'on la traite aussi aux aphrodisiaques il faut qu'elle soit rapidement en demande, il y a du travail qui l'attend...
- Ne t'inquiètes pas Pedro, nous allons faire ce qu'il faut, je sais qu'elle est là pour se faire saillir... pourrais-tu me donner la laisse, - Arrive ici la salope ! si tu bouges d’un poil, tu seras fouettée, les mains attachées au-dessus de la tête et les pieds frôlant le sol !
À la chaîne...
Doña Aimara a décidé de mettre Besson à la reproduction, elle a encore quelques années avant la ménopause, il va falloir qu'elle produise. Pedro se charge de la surveillance de la période la plus propice pour féconder la femelle. Elle est alors sanglée sur une table gynécologique, les cuisses largement écartées sur des jambières et chaque matin de jeunes mâles blancs en stage dans le domaine viennent la féconder.
En 5 ans elle mit au monde cinq mâles qui sont allaités quelques semaines par les laitières à la clinique et rapidement revendus avec un beau bénéfice. Zúñiga di Miranda est enchanté de Besson, ce fut un bon achat.
Entre les périodes de fécondation, les grossesses, les trous de Besson ne se referment jamais, elle est gavée en permanence, c'est fou le nombre de clients qui veulent la baiser, l'enculer ou jouir sur elle, même lorsqu'elle est grosse.
Les années passent, les périodes de fécondation sont loin, Pedro se charge de poursuivre l'éducation de Besson et la présente aux clients, tenue en laisse, les bras entravés, qui se détendent dans le Lounge, - Je vous présente 193, une bonne salope messieurs, avec de l'expérience... approchez-vous, - Toi, ouvre ta bouche !
dit-il d'un ton sec.
Elle est examinée comme une jument au marché de bétail. Elle a honte, le rouge lui monte au visage mais elle s'exécute. D'un pouce ferme, Pedro lui écarte sa mâchoire.
- Regardez ! Approchez-vous ! Sort ta langue baveuse, c'est une excellente suceuse et elle peut avaler des quantités de jus. Côté mamelles, elle est pas mal, elles sont affriolantes, un bonheur à maltraiter, - Passons à son petit cul ferme, cette femelle est très étroite... à vous de l'élargir !
Dit-il en souriant, Coté con, c'est une aubaine, elle mouille bien et accepte tous les calibres,..
- Regardez bien cette salope comme elle pointe ses tétons. Elle est prête à être emboutie, mais avant la saillie, faites-la juter, c'est plaisant de la voir bouger le cul... s’agiter, se tordre, se cambrer...
Une main qui vient de lui caresser les cuisses luisantes lui plante sauvagement deux doigts dans le sexe, une autre pétrit sa poitrine, elle ne peut se retenir de geindre, elle se pâme sous cette longue et lente caresse et machinalement s'ouvre davantage afin de faciliter la tâche. L'intrus passe lentement ses doigts entre les lèvres humides et caresse le clitoris qui n'attendait que cela... elle se laisse aller sur le torse de Pedro qui l’embrasse à pleine bouche, un autre larron s’agenouille et commence à lui sucer le lieu magique.
Les clients s'approchent et la regardent se faire doigter... Pedro la retourne, présente son cul à l'assemblée et un client en rut approche pour la besogner... il la boute, Besson a le corps en feu, elle râle...
Puis c'est le défilé, l'un sort, un autre prend sa place. Au bout de quelques heures, elle n’est plus capable de les comptabiliser, une queue la quitte, une autre entre instantanément pour reprendre la chevauchée...
Pedro lui souffle - Ce n'est pas fini, tu en as pour toute la nuit à te faire défoncer les trous ma fille...
ÉpiloguePersonne ne sait ce qu'il advint de Besson, Doña Aimara a quitté le domaine depuis quelques années, aujourd'hui, seul Pedro pourrait parler de la vente de Besson, mais il reste silencieux... Elle est sans doute dans un bouge africain, néons de couleur grésillants, sono tonitruante, odeurs de cuisine… et la clientèle qui va avec… ***
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Magnifique. Dommage que vous n'ayez pas rédigé une partie ou sa premier fille devenue majeure aurait retrouvé sa petite maman en devenant sa sœur d'esclavage.