La vie de famille 3
Récit érotique écrit par Manonsoumise [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 5 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Manonsoumise ont reçu un total de 99 684 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 14 154 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La vie de famille 3
Sans prendre le temps de m'habiller, je retourne dans la cuisine et je vois qu'Albert m’a laissé 50 euros sur la table. Un papier où je peux lire un nom de médecin et une adresse est posé à côté.
Je prends un instant pour repenser aux événements qui viennent de se produire. Mon regard se pose sur la petite flaque de sperme toujours par terre, ça me fait à nouveau mouiller. Étant nue, pas totalement sèche, et de plus en plus excitée, je m’assois sur une chaise et je commence à me toucher. Ma petite chatte est très sensible, et encore ouverte, je sens le sperme qui continue à s’écouler. Mon pap’s a bien tassé son jus au fond de ma minette.
Je me sens chienne, je viens de me faire prendre comme une chienne, et j’adore ça. D’une main je me met des doigts, de l’autre je caresse mon clitoris. Je pose mes pieds sur le bord de la table, j’écarte les cuisses, et j’accélère mes caresses. Je gémis de plus en plus fort, ma chatte est de plus en plus mouillée, un mélange de cyprine et de sperme. L’orgasme arrive, me faisant crier de plaisir et de soulagement.
Je savoure cet instant quelques secondes, puis je décide de m’activer. Je prends de l’essuie tout et je commence à nettoyer la tache de foutre sur le sol. Le jus a un peu séché, je me met donc à genou pour frotter, toujours nue. A ce moment là j’entends « belle vue ».
Je me tourne, et je vois Julien, nu excepté un boxer rouge mettant en valeur son gros paquet. Je remarque que sa bite est à nouveau vaillante. Il a son téléphone en main, et me montre une photo de moi à genou, ma chatte trempée, bien visible, ainsi que mon petit trou du cul.
Il me colle une grosse fessée, puis m’attrape par les cheveux. Je suis à genou, nue, redressée dans une position inconfortable par Julien qui me tient par les cheveux et me force à le regarder. Il me roule une pelle bien baveuse puis me fait me lever, me fais prendre appui sur le plan de travail et se place derrière moi. Il me pénètre directement en levrette, et s’enfonce dans ma chatte jusqu’aux couilles. Son père avec son énorme queue m’a bien ouvert, je sens néanmoins la bite de son fils m’étirer les parois vaginales pour mon plus grand plaisir. Il se met à faire des allers retours, me faisant gémir.
Je me sens vraiment comme un objet sexuel à la disposition des mâles de cette famille et j’adore ça.
Tandis qu’il le besogne, il se met à me parler_. « mmh j’adore ton corps, j’adore te baiser, t’es vraiment une bonne salope, j’aimerai te bourrer la chatte toute la journée. »Il s’immobilise un instant, puis reprend son pilonnage plus fort. Je me met à crier.
_. « tu sais quoi ? C’est ce que je vais faire, tu vas venir avec moi, je connais un endroit sympa, tu vas prendre ton pied. »_. « ha, ha, non, ha, je peux pas haaaa ! Je peux pas venir avec toi, ha, ha, ton père m’a dit d’aller chez le docthaaaa, chez le docteur. »_ « je m’en fou, mon père s’amuse avec toi, mais met toi bien dans le crâne que t’es ma chienne désormais, je t’ai rempli avant lui, et tu m’appartiens. »Ses coups de bite sont de plus en plus puissants, le bruit de ses grosses couilles claquant contre ma chatte se mêle à mes couinements de petite salope. Il m’emporte dans un orgasme ravageur et je sens mes jambes se dérober sous moi. Je ne tiens debout que grâce au sexe profondément enfoncé en moi.
_ « voilà c’est bien ! T’es faite pour prendre des coups de queue. » il se retire. « maintenant va t’habiller, met un truc sexy et surtout facile à enlever, je garde les 50 balles on prendra de quoi fumer. »Je me tourne vers lui et le fixe du regard, d’un côté je commence à vraiment aimer mon beau frère, sa puissance et son autorité, d’un autre côté, je suis depuis ce matin la propriété de son père, le mâle alpha de cette maison, Julien n’est au final qu’un prétendant. Mais c’est lui qui se tient devant moi à ce moment, ai-je vraiment le choix ? Je suis en plein doute.
Il a du prendre mon regard pour de la provocation, car il m’envoie une gifle dans la gueule. Elle claque fort et je sens le feu se répandre dans ma joue.
Il me tourne à nouveau, me met deux doigts dans la chatte, et un doigt dans le cul. Il se met à me pistonner violemment, me faisant trembler de tout mon corps. Je le regarde dans les yeux, lui faisant voir mon impuissance face à lui, et ma jouissance sous ses doigts.
_ « réfléchis pas sale pute, t’es faite pour obéir, et tu obéiras. J’en ai rien à taper de ce que te fera mon père, ce qui compte c’est mon plaisir, et ce qui me fera vraiment plaisir c’est quand t’auras fini de faire ce que je te dis. Regarde toi tu jouis non stop petite salope, t’attends que ça. Maintenant bouge ton cul. »Il retire ses doigts et me claque le cul avec force. Après un dernier regard de soumise dans sa direction, je me dirige vers ma chambre, j’enfile un petit débardeur, sans soutien gorge, un petit string rose et par-dessus un short en jean noir, mettant parfaitement en valeur mon joli cul. Je me maquille et me coiffe, afin d’être belle pour mon jeune maître, puis j’enfile des tongs et je retourne dans la cuisine.
Julien est là, en short et débardeur, ce qui met en valeur son beau corps bien dessiné, et je vois encore la bosse au niveau de son entrejambe. Il est encore pieds nus. Il s’assoit et me fait signe d’approcher.
_ « je pense que t’as saisi que t’es m’a pute maintenant, et qu’une pute doit servir son maître. À genou à mes pieds tout de suite, et lèche. »Je m’exécute, et me retrouve le visage près de ses pieds. Il doit faire du 45, ses orteils sont bien proportionnés et droits, ses pieds ne sont pas recouverts de cales, et il n’a pas un poil. Je ne sens pas d’odeur désagréable, ce qui suggère qu’il est propre.
Même si je n’ai jamais fait ça, je gobe sans hésiter un de ses gros orteils. Je le suce comme je sucerai une bite, puis j’applique le même traitement à tous ses orteils. Sa respiration bruyante laisse suggérer qu’il aime ça. Il se caresse la bite par-dessus son short. Une fois ses orteils bien sucés, je lèche entre les orteils, puis je lape la plante de ses pieds sur toute la longueur. Pour faire ça je me met à 4 pattes, bien cambrée, la tête au sol pour pouvoir mettre mes coups de langue, et je tords la tête pour le regarder dans les yeux. J’y vois une excitation grandissante, et un vrai plaisir de m’infliger ce traitement.
Soudain il se lève, sort sa bite, me redresse en me tenant par les cheveux, et enfonce sa bite dans ma bouche, avant de cracher une nouvelle fois son sperme sur ma langue. Il ne se retire pas et je dois déglutir pour avaler tout en ayant la bouche écartelée par son gros manche. Je le nettoie bien, puis je lui lèche les couilles tout en le regardant encore dans les yeux.
Une fois que c’est terminé, il met les 50 euros dans sa poche, et me dit de le suivre. On sort de la maison, qu’il ferme à clé, et on se dirige vers l’arrêt de bus, qui ne tarde pas à arriver. Une fois installés à l’intérieur, il met ses écouteurs et m’ignore totalement. J’attends sagement, sans bouger, qu’on soit arrivés à destination.
Le trajet ne dure qu’un quart d’heure, avant qu’on descende près d’un quartier bourgeois, avec de grandes villas avec piscines.
On marche quelques minutes puis on arrive devant une sorte de manoir, et tandis que Julien sonne à la porte, je me demande ce qui m’attend.
La porte s’ouvre et je reconnais Romain, un ami de Julien. Il est en boxer, avec seulement de longues chaussettes blanches aux pieds. Je l’ai sucé une fois quand on avait 15 ans, mais on a jamais vraiment parlé. Romain salue son pote puis me reluque avec un sourire narquois. Il nous laisse entrer, et nous conduit au salon.
Je suis les deux garçons docilement, me demandant ce qui va se passer, même si je commence à avoir une idée. Romain ouvre la porte du salon, et je me retrouve face à une grande pièce richement meublée, et, dans le canapé, en train de jouer à la play, 4 mecs de mon lycée. Ils sont tous du même groupe de potes, et je les ai tous vidés dans ma bouche de chienne. Ils sont tous torses nus, en boxer on en short. Une odeur de weed, de sueur et de pieds flotte dans l’air. Je sens ma chatte mouillé sous ces effluves de mâles.
Ils saluent d’un signe Julien, et me jettent un regard sans rien me dire.
C’est Romain qui s’adresse à moi.
_ « ils sont en plein tournoi, le gagnant aura le droit de te baiser, en attendant, vu que je suis l’hôte pour ce week-end, à genou et suce. »Interloquée je regarde Julien, qui me fait signe d’obéir sans broncher. Les mecs rigolent sur le canapé, je m’approche de Romain, je me met à genou devant lui, et je colle ma bouche contre sa queue, qui palpite à travers le tissu.
Je prends un instant pour repenser aux événements qui viennent de se produire. Mon regard se pose sur la petite flaque de sperme toujours par terre, ça me fait à nouveau mouiller. Étant nue, pas totalement sèche, et de plus en plus excitée, je m’assois sur une chaise et je commence à me toucher. Ma petite chatte est très sensible, et encore ouverte, je sens le sperme qui continue à s’écouler. Mon pap’s a bien tassé son jus au fond de ma minette.
Je me sens chienne, je viens de me faire prendre comme une chienne, et j’adore ça. D’une main je me met des doigts, de l’autre je caresse mon clitoris. Je pose mes pieds sur le bord de la table, j’écarte les cuisses, et j’accélère mes caresses. Je gémis de plus en plus fort, ma chatte est de plus en plus mouillée, un mélange de cyprine et de sperme. L’orgasme arrive, me faisant crier de plaisir et de soulagement.
Je savoure cet instant quelques secondes, puis je décide de m’activer. Je prends de l’essuie tout et je commence à nettoyer la tache de foutre sur le sol. Le jus a un peu séché, je me met donc à genou pour frotter, toujours nue. A ce moment là j’entends « belle vue ».
Je me tourne, et je vois Julien, nu excepté un boxer rouge mettant en valeur son gros paquet. Je remarque que sa bite est à nouveau vaillante. Il a son téléphone en main, et me montre une photo de moi à genou, ma chatte trempée, bien visible, ainsi que mon petit trou du cul.
Il me colle une grosse fessée, puis m’attrape par les cheveux. Je suis à genou, nue, redressée dans une position inconfortable par Julien qui me tient par les cheveux et me force à le regarder. Il me roule une pelle bien baveuse puis me fait me lever, me fais prendre appui sur le plan de travail et se place derrière moi. Il me pénètre directement en levrette, et s’enfonce dans ma chatte jusqu’aux couilles. Son père avec son énorme queue m’a bien ouvert, je sens néanmoins la bite de son fils m’étirer les parois vaginales pour mon plus grand plaisir. Il se met à faire des allers retours, me faisant gémir.
Je me sens vraiment comme un objet sexuel à la disposition des mâles de cette famille et j’adore ça.
Tandis qu’il le besogne, il se met à me parler_. « mmh j’adore ton corps, j’adore te baiser, t’es vraiment une bonne salope, j’aimerai te bourrer la chatte toute la journée. »Il s’immobilise un instant, puis reprend son pilonnage plus fort. Je me met à crier.
_. « tu sais quoi ? C’est ce que je vais faire, tu vas venir avec moi, je connais un endroit sympa, tu vas prendre ton pied. »_. « ha, ha, non, ha, je peux pas haaaa ! Je peux pas venir avec toi, ha, ha, ton père m’a dit d’aller chez le docthaaaa, chez le docteur. »_ « je m’en fou, mon père s’amuse avec toi, mais met toi bien dans le crâne que t’es ma chienne désormais, je t’ai rempli avant lui, et tu m’appartiens. »Ses coups de bite sont de plus en plus puissants, le bruit de ses grosses couilles claquant contre ma chatte se mêle à mes couinements de petite salope. Il m’emporte dans un orgasme ravageur et je sens mes jambes se dérober sous moi. Je ne tiens debout que grâce au sexe profondément enfoncé en moi.
_ « voilà c’est bien ! T’es faite pour prendre des coups de queue. » il se retire. « maintenant va t’habiller, met un truc sexy et surtout facile à enlever, je garde les 50 balles on prendra de quoi fumer. »Je me tourne vers lui et le fixe du regard, d’un côté je commence à vraiment aimer mon beau frère, sa puissance et son autorité, d’un autre côté, je suis depuis ce matin la propriété de son père, le mâle alpha de cette maison, Julien n’est au final qu’un prétendant. Mais c’est lui qui se tient devant moi à ce moment, ai-je vraiment le choix ? Je suis en plein doute.
Il a du prendre mon regard pour de la provocation, car il m’envoie une gifle dans la gueule. Elle claque fort et je sens le feu se répandre dans ma joue.
Il me tourne à nouveau, me met deux doigts dans la chatte, et un doigt dans le cul. Il se met à me pistonner violemment, me faisant trembler de tout mon corps. Je le regarde dans les yeux, lui faisant voir mon impuissance face à lui, et ma jouissance sous ses doigts.
_ « réfléchis pas sale pute, t’es faite pour obéir, et tu obéiras. J’en ai rien à taper de ce que te fera mon père, ce qui compte c’est mon plaisir, et ce qui me fera vraiment plaisir c’est quand t’auras fini de faire ce que je te dis. Regarde toi tu jouis non stop petite salope, t’attends que ça. Maintenant bouge ton cul. »Il retire ses doigts et me claque le cul avec force. Après un dernier regard de soumise dans sa direction, je me dirige vers ma chambre, j’enfile un petit débardeur, sans soutien gorge, un petit string rose et par-dessus un short en jean noir, mettant parfaitement en valeur mon joli cul. Je me maquille et me coiffe, afin d’être belle pour mon jeune maître, puis j’enfile des tongs et je retourne dans la cuisine.
Julien est là, en short et débardeur, ce qui met en valeur son beau corps bien dessiné, et je vois encore la bosse au niveau de son entrejambe. Il est encore pieds nus. Il s’assoit et me fait signe d’approcher.
_ « je pense que t’as saisi que t’es m’a pute maintenant, et qu’une pute doit servir son maître. À genou à mes pieds tout de suite, et lèche. »Je m’exécute, et me retrouve le visage près de ses pieds. Il doit faire du 45, ses orteils sont bien proportionnés et droits, ses pieds ne sont pas recouverts de cales, et il n’a pas un poil. Je ne sens pas d’odeur désagréable, ce qui suggère qu’il est propre.
Même si je n’ai jamais fait ça, je gobe sans hésiter un de ses gros orteils. Je le suce comme je sucerai une bite, puis j’applique le même traitement à tous ses orteils. Sa respiration bruyante laisse suggérer qu’il aime ça. Il se caresse la bite par-dessus son short. Une fois ses orteils bien sucés, je lèche entre les orteils, puis je lape la plante de ses pieds sur toute la longueur. Pour faire ça je me met à 4 pattes, bien cambrée, la tête au sol pour pouvoir mettre mes coups de langue, et je tords la tête pour le regarder dans les yeux. J’y vois une excitation grandissante, et un vrai plaisir de m’infliger ce traitement.
Soudain il se lève, sort sa bite, me redresse en me tenant par les cheveux, et enfonce sa bite dans ma bouche, avant de cracher une nouvelle fois son sperme sur ma langue. Il ne se retire pas et je dois déglutir pour avaler tout en ayant la bouche écartelée par son gros manche. Je le nettoie bien, puis je lui lèche les couilles tout en le regardant encore dans les yeux.
Une fois que c’est terminé, il met les 50 euros dans sa poche, et me dit de le suivre. On sort de la maison, qu’il ferme à clé, et on se dirige vers l’arrêt de bus, qui ne tarde pas à arriver. Une fois installés à l’intérieur, il met ses écouteurs et m’ignore totalement. J’attends sagement, sans bouger, qu’on soit arrivés à destination.
Le trajet ne dure qu’un quart d’heure, avant qu’on descende près d’un quartier bourgeois, avec de grandes villas avec piscines.
On marche quelques minutes puis on arrive devant une sorte de manoir, et tandis que Julien sonne à la porte, je me demande ce qui m’attend.
La porte s’ouvre et je reconnais Romain, un ami de Julien. Il est en boxer, avec seulement de longues chaussettes blanches aux pieds. Je l’ai sucé une fois quand on avait 15 ans, mais on a jamais vraiment parlé. Romain salue son pote puis me reluque avec un sourire narquois. Il nous laisse entrer, et nous conduit au salon.
Je suis les deux garçons docilement, me demandant ce qui va se passer, même si je commence à avoir une idée. Romain ouvre la porte du salon, et je me retrouve face à une grande pièce richement meublée, et, dans le canapé, en train de jouer à la play, 4 mecs de mon lycée. Ils sont tous du même groupe de potes, et je les ai tous vidés dans ma bouche de chienne. Ils sont tous torses nus, en boxer on en short. Une odeur de weed, de sueur et de pieds flotte dans l’air. Je sens ma chatte mouillé sous ces effluves de mâles.
Ils saluent d’un signe Julien, et me jettent un regard sans rien me dire.
C’est Romain qui s’adresse à moi.
_ « ils sont en plein tournoi, le gagnant aura le droit de te baiser, en attendant, vu que je suis l’hôte pour ce week-end, à genou et suce. »Interloquée je regarde Julien, qui me fait signe d’obéir sans broncher. Les mecs rigolent sur le canapé, je m’approche de Romain, je me met à genou devant lui, et je colle ma bouche contre sa queue, qui palpite à travers le tissu.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Manonsoumise
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...