La vie dissolue d'une bigote 15 : Préjugés racistes
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La vie dissolue d'une bigote 15 : Préjugés racistes
Malgré tout, ma belle-mère avait un blocage. Consciemment ou pas, elle évitait les contacts avec Moktar. Elle n’avait jamais baisé avec lui, ne l’avais jamais sucé, juste un coup de langue sur le gland lorsqu’elle avait guidé sa pine sur mon cul la première fois. Cela m’est apparu un soir où nous étions tous les quatre avec Mélanie et son amant. Alors que je prenais Mélanie en levrette, Moktar s’est approché de Geneviève pour la caresser. Elle a eu un réflexe de recul que le maghrébin a remarqué tout comme moi. En homme bien élevé il n’a pas insisté.
Moktar était bel homme. J’aurais compris que ma belle-mère ait peur des dimensions hors normes de son sexe, mais c’était autre chose. Certes il était assez typé mais tout de même. L’éducation catholique de Geneviève lui faisait redouter le contact avec les musulmans ?
J’en ai parlé avec Mélanie un soir chez elle après avoir fait l’amour. Je lui demandais si cela lui avait posé un problème au début avec Moktar.
• « Pas du tout ! Au contraire ! Ça m’excitait de baiser avec un maghrébin, je l’avais fantasmé depuis longtemps en entendant parler de leur « dimensions » comme pour les noirs. D’ailleurs, si tu te rappelles, c’est moi qui l’avais choisi dans la liste des participants à inviter.
• De ce côté-là tu n’as pas été déçue !
• Toi non plus mon salaud ! Tu aimes bien quand il t’encule !
• C’est vrai ! Même si j’ai un peu de mal à récupérer ensuite.
• Pauvre chou ! Je vais te plaindre ! Il n’y a qu’à voir le pied que tu prends.
• Bon… d’accord !
• Mais pourquoi tu me demandes ça ?
• C’est à propos de ma belle-mère. Elle refuse les contacts avec lui. Elle ne l’a jamais sucé ni baisé avec lui.
• Elle a peut être peur de des dimensions justement.
• Je te rappelle qu’elle ne crache pas sur les gros calibres et se fait même fister. Non, je l’ai vue l’autre soir quand nous étions les quatre et que je te prenais en levrette. Moktar a voulu la caresser et l’embrasser, elle l’a repoussé.
• Il ne m’a rien dit.
• C’est un homme bien élevé. Il a bien compris comme moi. Je voudrais faire passer à Geneviève ce relent de racisme, sûrement inconscient.
• Tu aimerais surtout la voir être baisée par mon bel étalon !
• Oui, aussi.
• Elle aime l’humiliation ? On pourrait se servir de ça la prochaine fois. J’ai très envie, pour une fois, de la dominer.
• Pourtant vous êtes copines vous vous aimez et vous vous gouinez souvent !
• Ça n’empêche pas. J’ai envie qu’elle connaisse elle aussi, le plaisir de baiser avec Moktar. Tu es d’accord ?
• Bien sûr ! »
Mélanie a parlé à son amant, qui avait bien remarqué les réticences de Geneviève. Il n’a pas voulu polémiquer, habitué qu’il est à ce genre de réaction, d’autant qu’il est très bien avec Mélanie et dans le groupe. Sa maîtresse décide de donner une leçon à Geneviève et de lui rendre service en lui faisant apprécier les qualités de son « étalon ». Elle a d’autant envie d’y convertir ma belle-mère qu’elle adore se gouiner avec elle et qu’elle l’a connue grâce à ce club. Elle aussi avait un a priori par rapport à cette dame « orgueilleuse » de la haute société.
Au cours de la soirée suivante, elle met son plan en œuvre. Auparavant elle a averti tous les membres du club des « VSG » de son intention. Tous sont d’accord. Non pas pour se « venger » de Geneviève mais au contraire, pour qu’elle découvre les attraits de cette verge fantastique à laquelle elles ont toutes goûté pour leur plus grand plaisir.
Toutes s’arrangent pour être « en main ». Irène, qui en est devenue friande, après que je l’aie sodomisée devant son mari, me rend la pareille en m’obligeant bien sûr à rendre hommage au petit sifflet de son homme. Au début, je n’aimais pas sucer et cajoler ce petit sexe mou, puis, je l’ai considéré comme un gros clitoris avec des petites boules et comme Gérard, malgré son manque d’érection ne manquait pas d’éjaculer un peu de sperme en jouissant, J’avalais son jus et le partageais ensuite avec sa femme.
Nous étions donc tous occupés et ma belle-mère, qui au début s’était occupée à servir tout le monde, s’est retrouvée seule. C’est alors que Moktar laisse Mélanie avec son cavalier du moment qui se régale dans la fourrure blanche de la femme. Il s’approche de Geneviève qui dès qu’il l’entreprend, se recule brutalement.
Mélanie n’attendait que Ça. Elle repousse son lécheur, se précipite vers le bar où se trouvent son amant et Geneviève, attrape cette dernière par le bras et d’un ton menaçant suffisamment fort pour que tout le monde l’entende
• « Mais dis donc ! Espèce de vieille salope ! Il ne te plaît pas mon homme ? Il n’est pas assez bien pour la grosse bourgeoise bigote que tu es ? Mais qu’est-ce que c’est que ces manières ! Tu mérites une correction ! Qu’est-ce que vous en pensez vous autres ?
• Ah oui ! Il faut lui apprendre les bonnes manières à cette salope ! S’écrie Irène. »
Tout le monde se fige. Geneviève est surprise de la sortie de son amie-amante.
• « C’est vrai belle-maman, dis-je en me dégageant. Il me semble que tu as un problème avec notre ami Moktar. C’est très vexant pour lui. Que lui reproches-tu ?
• ….
• Oui, je vois ! C’est le fait qu’il soit maghrébin et musulman ? Ne serait-ce pas du racisme ?
• Mais non, voyons !
• Elle mérite une leçon ! Ajoute alors Mélanie.
• Tu as raison. Puisque c’est ton amie et que c’est ton amant qui est concerné. C’est à toi de choisir.
• Mais... Vous n’allez-pas… Tente de résister ma belle-mère.
• Tais-toi, salope ! Reprend Mélanie qui prend son rôle au sérieux. Allez à genoux !»
Croyant devoir simplement s’excuser, Geneviève s’agenouille et implore pardon de l’offense.
• « Tu ne crois pas t’en tirer à si bon compte j’espère ? Dites mes amis, ajoute Mélanie en s’adressant à tout le monde. Vous ne pensez pas qu’elle mérite une bonne correction cette vieille salope ?
• Oui ! Oui ! s’exclament les participants au grand effroi de Geneviève.
Mélanie, qui avait préparé son coup, attrape le collier et le pose au cou de Geneviève. Saisissant la courte laisse elle entraîne son amie dans un coin de la salle. La surprise de Geneviève est totale. En effet la veille, Gérard et Yves avaient construit un pilori sans qu’elle s’en rende compte nous l’avions amené et dissimulé à ses yeux. Mélanie la force à poser sa tête et ses bras dans les encoches prévues et referme l’engin.
Geneviève se trouve prise au piège. Le buste penché prisonnier du carcan et les jambes droites ce qui fait ressortir sa croupe et l’expose aux regards de l’assemblée dans l’attente d’une fessée qu’elle va sûrement recevoir. Incapable de se dégager, humiliée devant tout le monde dans sa propre maison.
- « Regardez cette salope ! Elle fait moins la fière maintenant. Et pourtant, la situation l’excite. Ses tétons pointent et elle mouille ! » Déclare Mélanie, complètement prise dans son jeu, elle a passé sa main dans la fente de ma belle-mère qui effectivement ruisselle déjà. Elle en profite pour introduire 2 doigts dans la chatte et branler sa soumise et la faire couler abondamment.
Je m’approche alors et remets à Mélanie des pinces à seins. Elle les fixes aux tétons durcis sous ses lourdes mamelles qui pendent du fait de la position. Geneviève grimace mais ne se plaint pas. C’est pourtant une première pour elle, mais elle n’est pas au bout de ses surprises. Mélanie accroche maintenant des poids aux pinces étirant. Elle saisi un martinet que lui donne Pauline, bien en évidence devant Geneviève dont les yeux ahuris sont exorbités. Elle comprend enfin que tout le monde est contre elle et qu’elle va subir de sérieux tourments.
Les premiers coups tombent sur les fesses de ma belle-mère. Elle crie, tortille son cul, se révolte mais ne peut échapper au châtiment. Elle a beau implorer grâce, personne ne lui vient en aide. Les participants invités, d’abord surpris sont maintenant excités. Quelques uns se font sucer en regardant le spectacle de la femelle châtiée.
- « Mon chéri, demande Mélanie empêche cette pute de gueuler ! Viens lui mettre ta bite dans la bouche et qu’on ne l’entende plus ! »
Avec horreur Geneviève voit l’énorme braquemard qu’elle n’a jamais voulu cajoler, s’approcher de ses lèvres. Mélanie frappe plus fort ce qui l’oblige à ouvrir la bouche pour crier et Moktar en profite pour y enfoncer son gland. Évidemment, il ne cherche pas à aller trop loin pour ne pas la blesser, mais s’enfonce suffisamment pour provoquer un haut le cœur à la suppliciée, qui comble de l’humiliation bave. Ses glaires coulent sur son menton puis par terre sans qu’elle puisse s’essuyer. Ses yeux se remplissent de larmes et son rimmel fout le camp.
La correction s’arrête, mais Moktar continue sa pénétration. Ma belle-mère doit écarter la bouche en grand pour absorber le monstrueux barreau. Peu à peu, elle semble moins réticente, s’habituant aux dimensions du vit qui lui « baise la gueule »
Mélanie n’en a pas fini. Le châtiment et l’humiliation doivent être complets. Les fesses rouges de Geneviève sont maintenant badigeonnées de vaseline. La vieille vicieuse prépare son amie pour son amant. Pour l’instant la punie, trop occupée à avaler le chibre de Moktar et la douleur de ses fesses l’empêchent de se rendre compte.
Totalement subjuguée par ce qu’elle fait subir à Geneviève, Mélanie n’a plus de limite. Elle rajoute des poids aux pinces qui martyrisent les tétons de son amie. Quelques larmes, quelques grognements étouffés par la queue qui encombre sa bouche, trahissent la douleur de Geneviève.
• « Moktar ! Elle est à toi maintenant ! Tu vas baiser cette chienne avec ta grosse queue. Ne t’en fais pas tu peux tout lui mettre. Quand à vous messieurs, si vous voulez vous faire pomper par cette pute pendant qu’elle se fait grimper et défoncer, ne vous gênez pas ! »
• Noon ! S’écrit Geneviève lorsque sa bouche est libérée
• Fermez-lui sa gueule à cette vieille salope ! » s’écrie Mélanie déchainée alors qu’elle guide l’engin de Moktar dans la chatte enfiévrée de ma belle-mère.
L’un des hommes qui se trouve à proximité s’approche, pince le nez de Geneviève qui refuse d’ouvrir la bouche, et quand elle est obligée de l’ouvrir pour respirer, lui enfourne sa bite au fond de la gorge.
Je surveille malgré tout que l’affaire ne déborde pas. Geneviève doit subir la correction et sûrement ensuite apprécier la grosse queue de Moktar. Comme toutes les nouvelles expériences que je lui ai fais connaître elle s’y oppose au départ. Je sais qu’être humiliée l’excite mais nous ne connaissons pas tout le monde et Mélanie m’a l’air bien partie dans son délire pour oublier de garder des limites.
Je retiens toutefois Marlène qui voudrait faire arrêter la punition en lui affirmant que Geneviève aime être maltraitée et humiliée.
• « Tant qu’on ne dépasse pas les bornes de la violence on laisse faire. D’ailleurs regarde-là elle commence à apprécier la grosse bite de Moktar. » - En effet, alors que sa bouche est libérée, l’homme qui a craché son sperme s’est retiré, ce ne sont plus des cris de douleurs mais de plaisir que lance Geneviève.
• Regardez-là cette pute, lance Mélanie qui s’est aussi rendue compte du changement, elle va prendre son pied en se faisant défoncer par un arabe !
• Oh oui ! C’est bon ! J’aime votre grosse queue ! Défoncez-moi Moktar ! Si j’avais sû j’aurais accepté avant ! C’est boon ! Ouiii ! » Et Geneviève éjacule sous elle en tremblant de tout son corps ;
• Et bien maintenant, c’est ton cul qui va y goûter !
• Doucement tout de même, dis-je, je sais ce que c’est, il faut bien la préparer !
• Non mon chéri ! Lance ma belle-mère, je dois être punie d’avoir repoussé Moktar aussi longtemps ! D’avoir refusé d’être saillie par un arabe ! Laissez-le faire ! Qu’il m’éclate le cul comme je le mérite ! »
Mélanie se reprend alors. Elle se précipite à genoux devant Geneviève et l’embrasse à pleine bouche.
- « Pardonne-moi ma chérie, de t’avoir fait subir ça ! Mais je suis si heureuse que tu ne repousse plus Moktar. Je te le prêterai quand tu voudras ! Il a assez de ressources pour nous deux et ne s’en plaindra pas. Tu vas voir. Sa bite dans le cul, c’est énorme et c’est trop bon ! Tu comprendras pourquoi ton gendre aime ça lui aussi. »
Certains invités ne comprennent pas tout mais Geneviève se tourne vers moi en souriant et me glisse « Merci ! »
Moktar qui a pointé son engin sur la rosette de Geneviève, entame sa pénétration. Nous conseillons à ma belle-mère de se relâcher complètement, de pousser comme pour aller à la selle, cela facilitera le processus. Mélanie reprend sa bouche et les deux femmes s’embrassent alors que derrière, le chibre monumental du maghrébin perfore les dernières défenses du cul de Geneviève.
Ses gémissements de douleur se perdent dans la gorge de Mélanie. Quand l’homme s’est enfoncé en totalité dans les reins de ma belle-mère, il s’arrête afin qu’elle s’habitue à cette possession extraordinaire.
- « C’est énorme ! J’ai l’impression d’être transpercée ! Ouverte ! Allez-y doucement mon ami ! Faites votre office ! Cassez-moi le cul comme je le mérite. Je me donne à vous comme je me donnerai à tous vos amis arabes si vous le voulez ! Je me donne et je me damne, mais que c’est bon d’être une pute et une vieille salope ! »
Moktar commence alors ses allers et retours dans le cul de ma belle-mère qui très vite commence à jouir, arrosant le parquet sous elle. Sous les secousses, les pinces qui meurtrissent ses tétons, se détachent lui occasionnant une douleur fulgurante au retour de la circulation sanguine. L’homme l’encule méthodiquement. Sûr du pouvoir de son organe gigantesque. Geneviève jouit à n’en plus finir. Elle doit contracter alors ses muscles internes car le maghrébin ne résiste plus. Il sort du boyau étroit et gicle sur le dos de Geneviève une quantité énorme de sperme qui recouvre le dos et les fesses de liqueur gluante et blanchâtre.
Quand le calme revient, alors que Geneviève est toujours prisonnière du carcan. Le silence s’est installé dans la pièce. Tous sont conscients d’avoir assisté à un moment unique.
Pour ne pas que l’ambiance soit trop longtemps plombée, je déclare « champagne pour tout le monde ! Il faut fêter ça ! » Je fais signe aux dames et à Gérard de remplir les verres. Pendant ce temps je libère ma belle-mère et la relève de sa position humiliante. Ses reins la font souffrir et elle grimace en se redressant mais dans ses yeux je vois le plaisir qu’elle a ressenti.
Mélanie s’approche et l’enlace. Geneviève transpire et est couverte de sperme mais les deux femmes communient ensemble après ces moments de débauche totale.
• « Pardon ma chérie de t’avoir fait subir tout ça !
• Non seulement je vous pardonne, mais vous avez eu raison ! Je l’ai mérité. C’était très dûr mais j’ai compris. Je crois que vous m’avez libérée. Vous êtes tous des monstres et je pense que mon salaud de gendre faisait partie du complot. Il m’a tellement débauchée qu’il n’en n’est plus à ça près ! A partir d’aujourd’hui, je n’aurai plus cette méfiance malsaine. Moktar ! Venez ici que je vous embrasse. Que je vous remercie de m’avoir si bien baisée et enculée. »
Tout sourire le maghrébin enlace à son tour Geneviève et ils se roulent une pelle qui n’en fini pas tout en se caressant étroitement serrés.
• « Mais dis-donc, vieille pute ! Tu es en train de me piquer mon mec ! S’exclame Mélanie en rigolant quand ils se retournent les deux !
• Oh ma chérie ! Ne vous inquiétez pas ! J’ai assez de mon gendre. C’est déjà beaucoup ! Mais, vous me le prêterez tout de même de temps en temps !
• Tu vois que quand on a goûté à sa queue, on ne peut plus s’en passer
• Il n’y a qu’à voir mon gendre ! Mais en plus, je découvre qu’il a une peau fabuleusement douce et qui sent bon ! Mon dieu que j’ai été bête pendant tout ce temps !
• J’ai un cousin qui est encore mieux monté que moi déclare Moktar. En revanche il est noir, je ne sais pas si…
• Vous vous moquez de moi cher Moktar ? Vous avez raison ! Pardonnez-moi mon attitude ! Aucun problème pour que votre cousin s’amuse avec moi. En plus il paraît que les noirs sont encore mieux montés que les arabes ! Ajoute-t-elle en riant. Maintenant faisons la fête. J’ai un peu mal au cul mais mon salaud de gendre va me le lécher pour calmer mes irritations !
• A ton service ma vieille salope de belle-mère ! »
A la suite de cet épisode scabreux, le carcan est resté en place et sert quelques fois lors de soirées. Geneviève ne repousse plus Moktar et participe à des trios avec Mélanie. En effet, l’arabe est résistant et nos deux salopes ne sont pas de trop pour éponger leur homme.
Notre club fonctionne toujours. Les personnes qui fréquentent ces dames en dehors les trouvent particulièrement épanouies et même rajeunies. Geneviève fait tout de même attention mais il n’empêche qu’un œil avisé peut noter que malgré son âge, elle s’habille plutôt mieux qu’avant et qu’il lui arrive de se montrer moins distante. Ses enfants s’en réjouissent.
Le souci est qu’aujourd’hui, son mari est malade et dépérit. Il devient une charge et bien sûr c’est Geneviève qui doit s’en occuper. Elle a malgré tout réussit à faire employer une garde à domicile afin de se réserver des plages de liberté. La présence permanente de son mari à la maison ne nous empêche pas de nous retrouver dans sa chambre de temps en temps. J’ai même l’impression que ça excite ma belle-mère encore plus, de savoir qu’il est à côté.
***
Moktar était bel homme. J’aurais compris que ma belle-mère ait peur des dimensions hors normes de son sexe, mais c’était autre chose. Certes il était assez typé mais tout de même. L’éducation catholique de Geneviève lui faisait redouter le contact avec les musulmans ?
J’en ai parlé avec Mélanie un soir chez elle après avoir fait l’amour. Je lui demandais si cela lui avait posé un problème au début avec Moktar.
• « Pas du tout ! Au contraire ! Ça m’excitait de baiser avec un maghrébin, je l’avais fantasmé depuis longtemps en entendant parler de leur « dimensions » comme pour les noirs. D’ailleurs, si tu te rappelles, c’est moi qui l’avais choisi dans la liste des participants à inviter.
• De ce côté-là tu n’as pas été déçue !
• Toi non plus mon salaud ! Tu aimes bien quand il t’encule !
• C’est vrai ! Même si j’ai un peu de mal à récupérer ensuite.
• Pauvre chou ! Je vais te plaindre ! Il n’y a qu’à voir le pied que tu prends.
• Bon… d’accord !
• Mais pourquoi tu me demandes ça ?
• C’est à propos de ma belle-mère. Elle refuse les contacts avec lui. Elle ne l’a jamais sucé ni baisé avec lui.
• Elle a peut être peur de des dimensions justement.
• Je te rappelle qu’elle ne crache pas sur les gros calibres et se fait même fister. Non, je l’ai vue l’autre soir quand nous étions les quatre et que je te prenais en levrette. Moktar a voulu la caresser et l’embrasser, elle l’a repoussé.
• Il ne m’a rien dit.
• C’est un homme bien élevé. Il a bien compris comme moi. Je voudrais faire passer à Geneviève ce relent de racisme, sûrement inconscient.
• Tu aimerais surtout la voir être baisée par mon bel étalon !
• Oui, aussi.
• Elle aime l’humiliation ? On pourrait se servir de ça la prochaine fois. J’ai très envie, pour une fois, de la dominer.
• Pourtant vous êtes copines vous vous aimez et vous vous gouinez souvent !
• Ça n’empêche pas. J’ai envie qu’elle connaisse elle aussi, le plaisir de baiser avec Moktar. Tu es d’accord ?
• Bien sûr ! »
Mélanie a parlé à son amant, qui avait bien remarqué les réticences de Geneviève. Il n’a pas voulu polémiquer, habitué qu’il est à ce genre de réaction, d’autant qu’il est très bien avec Mélanie et dans le groupe. Sa maîtresse décide de donner une leçon à Geneviève et de lui rendre service en lui faisant apprécier les qualités de son « étalon ». Elle a d’autant envie d’y convertir ma belle-mère qu’elle adore se gouiner avec elle et qu’elle l’a connue grâce à ce club. Elle aussi avait un a priori par rapport à cette dame « orgueilleuse » de la haute société.
Au cours de la soirée suivante, elle met son plan en œuvre. Auparavant elle a averti tous les membres du club des « VSG » de son intention. Tous sont d’accord. Non pas pour se « venger » de Geneviève mais au contraire, pour qu’elle découvre les attraits de cette verge fantastique à laquelle elles ont toutes goûté pour leur plus grand plaisir.
Toutes s’arrangent pour être « en main ». Irène, qui en est devenue friande, après que je l’aie sodomisée devant son mari, me rend la pareille en m’obligeant bien sûr à rendre hommage au petit sifflet de son homme. Au début, je n’aimais pas sucer et cajoler ce petit sexe mou, puis, je l’ai considéré comme un gros clitoris avec des petites boules et comme Gérard, malgré son manque d’érection ne manquait pas d’éjaculer un peu de sperme en jouissant, J’avalais son jus et le partageais ensuite avec sa femme.
Nous étions donc tous occupés et ma belle-mère, qui au début s’était occupée à servir tout le monde, s’est retrouvée seule. C’est alors que Moktar laisse Mélanie avec son cavalier du moment qui se régale dans la fourrure blanche de la femme. Il s’approche de Geneviève qui dès qu’il l’entreprend, se recule brutalement.
Mélanie n’attendait que Ça. Elle repousse son lécheur, se précipite vers le bar où se trouvent son amant et Geneviève, attrape cette dernière par le bras et d’un ton menaçant suffisamment fort pour que tout le monde l’entende
• « Mais dis donc ! Espèce de vieille salope ! Il ne te plaît pas mon homme ? Il n’est pas assez bien pour la grosse bourgeoise bigote que tu es ? Mais qu’est-ce que c’est que ces manières ! Tu mérites une correction ! Qu’est-ce que vous en pensez vous autres ?
• Ah oui ! Il faut lui apprendre les bonnes manières à cette salope ! S’écrie Irène. »
Tout le monde se fige. Geneviève est surprise de la sortie de son amie-amante.
• « C’est vrai belle-maman, dis-je en me dégageant. Il me semble que tu as un problème avec notre ami Moktar. C’est très vexant pour lui. Que lui reproches-tu ?
• ….
• Oui, je vois ! C’est le fait qu’il soit maghrébin et musulman ? Ne serait-ce pas du racisme ?
• Mais non, voyons !
• Elle mérite une leçon ! Ajoute alors Mélanie.
• Tu as raison. Puisque c’est ton amie et que c’est ton amant qui est concerné. C’est à toi de choisir.
• Mais... Vous n’allez-pas… Tente de résister ma belle-mère.
• Tais-toi, salope ! Reprend Mélanie qui prend son rôle au sérieux. Allez à genoux !»
Croyant devoir simplement s’excuser, Geneviève s’agenouille et implore pardon de l’offense.
• « Tu ne crois pas t’en tirer à si bon compte j’espère ? Dites mes amis, ajoute Mélanie en s’adressant à tout le monde. Vous ne pensez pas qu’elle mérite une bonne correction cette vieille salope ?
• Oui ! Oui ! s’exclament les participants au grand effroi de Geneviève.
Mélanie, qui avait préparé son coup, attrape le collier et le pose au cou de Geneviève. Saisissant la courte laisse elle entraîne son amie dans un coin de la salle. La surprise de Geneviève est totale. En effet la veille, Gérard et Yves avaient construit un pilori sans qu’elle s’en rende compte nous l’avions amené et dissimulé à ses yeux. Mélanie la force à poser sa tête et ses bras dans les encoches prévues et referme l’engin.
Geneviève se trouve prise au piège. Le buste penché prisonnier du carcan et les jambes droites ce qui fait ressortir sa croupe et l’expose aux regards de l’assemblée dans l’attente d’une fessée qu’elle va sûrement recevoir. Incapable de se dégager, humiliée devant tout le monde dans sa propre maison.
- « Regardez cette salope ! Elle fait moins la fière maintenant. Et pourtant, la situation l’excite. Ses tétons pointent et elle mouille ! » Déclare Mélanie, complètement prise dans son jeu, elle a passé sa main dans la fente de ma belle-mère qui effectivement ruisselle déjà. Elle en profite pour introduire 2 doigts dans la chatte et branler sa soumise et la faire couler abondamment.
Je m’approche alors et remets à Mélanie des pinces à seins. Elle les fixes aux tétons durcis sous ses lourdes mamelles qui pendent du fait de la position. Geneviève grimace mais ne se plaint pas. C’est pourtant une première pour elle, mais elle n’est pas au bout de ses surprises. Mélanie accroche maintenant des poids aux pinces étirant. Elle saisi un martinet que lui donne Pauline, bien en évidence devant Geneviève dont les yeux ahuris sont exorbités. Elle comprend enfin que tout le monde est contre elle et qu’elle va subir de sérieux tourments.
Les premiers coups tombent sur les fesses de ma belle-mère. Elle crie, tortille son cul, se révolte mais ne peut échapper au châtiment. Elle a beau implorer grâce, personne ne lui vient en aide. Les participants invités, d’abord surpris sont maintenant excités. Quelques uns se font sucer en regardant le spectacle de la femelle châtiée.
- « Mon chéri, demande Mélanie empêche cette pute de gueuler ! Viens lui mettre ta bite dans la bouche et qu’on ne l’entende plus ! »
Avec horreur Geneviève voit l’énorme braquemard qu’elle n’a jamais voulu cajoler, s’approcher de ses lèvres. Mélanie frappe plus fort ce qui l’oblige à ouvrir la bouche pour crier et Moktar en profite pour y enfoncer son gland. Évidemment, il ne cherche pas à aller trop loin pour ne pas la blesser, mais s’enfonce suffisamment pour provoquer un haut le cœur à la suppliciée, qui comble de l’humiliation bave. Ses glaires coulent sur son menton puis par terre sans qu’elle puisse s’essuyer. Ses yeux se remplissent de larmes et son rimmel fout le camp.
La correction s’arrête, mais Moktar continue sa pénétration. Ma belle-mère doit écarter la bouche en grand pour absorber le monstrueux barreau. Peu à peu, elle semble moins réticente, s’habituant aux dimensions du vit qui lui « baise la gueule »
Mélanie n’en a pas fini. Le châtiment et l’humiliation doivent être complets. Les fesses rouges de Geneviève sont maintenant badigeonnées de vaseline. La vieille vicieuse prépare son amie pour son amant. Pour l’instant la punie, trop occupée à avaler le chibre de Moktar et la douleur de ses fesses l’empêchent de se rendre compte.
Totalement subjuguée par ce qu’elle fait subir à Geneviève, Mélanie n’a plus de limite. Elle rajoute des poids aux pinces qui martyrisent les tétons de son amie. Quelques larmes, quelques grognements étouffés par la queue qui encombre sa bouche, trahissent la douleur de Geneviève.
• « Moktar ! Elle est à toi maintenant ! Tu vas baiser cette chienne avec ta grosse queue. Ne t’en fais pas tu peux tout lui mettre. Quand à vous messieurs, si vous voulez vous faire pomper par cette pute pendant qu’elle se fait grimper et défoncer, ne vous gênez pas ! »
• Noon ! S’écrit Geneviève lorsque sa bouche est libérée
• Fermez-lui sa gueule à cette vieille salope ! » s’écrie Mélanie déchainée alors qu’elle guide l’engin de Moktar dans la chatte enfiévrée de ma belle-mère.
L’un des hommes qui se trouve à proximité s’approche, pince le nez de Geneviève qui refuse d’ouvrir la bouche, et quand elle est obligée de l’ouvrir pour respirer, lui enfourne sa bite au fond de la gorge.
Je surveille malgré tout que l’affaire ne déborde pas. Geneviève doit subir la correction et sûrement ensuite apprécier la grosse queue de Moktar. Comme toutes les nouvelles expériences que je lui ai fais connaître elle s’y oppose au départ. Je sais qu’être humiliée l’excite mais nous ne connaissons pas tout le monde et Mélanie m’a l’air bien partie dans son délire pour oublier de garder des limites.
Je retiens toutefois Marlène qui voudrait faire arrêter la punition en lui affirmant que Geneviève aime être maltraitée et humiliée.
• « Tant qu’on ne dépasse pas les bornes de la violence on laisse faire. D’ailleurs regarde-là elle commence à apprécier la grosse bite de Moktar. » - En effet, alors que sa bouche est libérée, l’homme qui a craché son sperme s’est retiré, ce ne sont plus des cris de douleurs mais de plaisir que lance Geneviève.
• Regardez-là cette pute, lance Mélanie qui s’est aussi rendue compte du changement, elle va prendre son pied en se faisant défoncer par un arabe !
• Oh oui ! C’est bon ! J’aime votre grosse queue ! Défoncez-moi Moktar ! Si j’avais sû j’aurais accepté avant ! C’est boon ! Ouiii ! » Et Geneviève éjacule sous elle en tremblant de tout son corps ;
• Et bien maintenant, c’est ton cul qui va y goûter !
• Doucement tout de même, dis-je, je sais ce que c’est, il faut bien la préparer !
• Non mon chéri ! Lance ma belle-mère, je dois être punie d’avoir repoussé Moktar aussi longtemps ! D’avoir refusé d’être saillie par un arabe ! Laissez-le faire ! Qu’il m’éclate le cul comme je le mérite ! »
Mélanie se reprend alors. Elle se précipite à genoux devant Geneviève et l’embrasse à pleine bouche.
- « Pardonne-moi ma chérie, de t’avoir fait subir ça ! Mais je suis si heureuse que tu ne repousse plus Moktar. Je te le prêterai quand tu voudras ! Il a assez de ressources pour nous deux et ne s’en plaindra pas. Tu vas voir. Sa bite dans le cul, c’est énorme et c’est trop bon ! Tu comprendras pourquoi ton gendre aime ça lui aussi. »
Certains invités ne comprennent pas tout mais Geneviève se tourne vers moi en souriant et me glisse « Merci ! »
Moktar qui a pointé son engin sur la rosette de Geneviève, entame sa pénétration. Nous conseillons à ma belle-mère de se relâcher complètement, de pousser comme pour aller à la selle, cela facilitera le processus. Mélanie reprend sa bouche et les deux femmes s’embrassent alors que derrière, le chibre monumental du maghrébin perfore les dernières défenses du cul de Geneviève.
Ses gémissements de douleur se perdent dans la gorge de Mélanie. Quand l’homme s’est enfoncé en totalité dans les reins de ma belle-mère, il s’arrête afin qu’elle s’habitue à cette possession extraordinaire.
- « C’est énorme ! J’ai l’impression d’être transpercée ! Ouverte ! Allez-y doucement mon ami ! Faites votre office ! Cassez-moi le cul comme je le mérite. Je me donne à vous comme je me donnerai à tous vos amis arabes si vous le voulez ! Je me donne et je me damne, mais que c’est bon d’être une pute et une vieille salope ! »
Moktar commence alors ses allers et retours dans le cul de ma belle-mère qui très vite commence à jouir, arrosant le parquet sous elle. Sous les secousses, les pinces qui meurtrissent ses tétons, se détachent lui occasionnant une douleur fulgurante au retour de la circulation sanguine. L’homme l’encule méthodiquement. Sûr du pouvoir de son organe gigantesque. Geneviève jouit à n’en plus finir. Elle doit contracter alors ses muscles internes car le maghrébin ne résiste plus. Il sort du boyau étroit et gicle sur le dos de Geneviève une quantité énorme de sperme qui recouvre le dos et les fesses de liqueur gluante et blanchâtre.
Quand le calme revient, alors que Geneviève est toujours prisonnière du carcan. Le silence s’est installé dans la pièce. Tous sont conscients d’avoir assisté à un moment unique.
Pour ne pas que l’ambiance soit trop longtemps plombée, je déclare « champagne pour tout le monde ! Il faut fêter ça ! » Je fais signe aux dames et à Gérard de remplir les verres. Pendant ce temps je libère ma belle-mère et la relève de sa position humiliante. Ses reins la font souffrir et elle grimace en se redressant mais dans ses yeux je vois le plaisir qu’elle a ressenti.
Mélanie s’approche et l’enlace. Geneviève transpire et est couverte de sperme mais les deux femmes communient ensemble après ces moments de débauche totale.
• « Pardon ma chérie de t’avoir fait subir tout ça !
• Non seulement je vous pardonne, mais vous avez eu raison ! Je l’ai mérité. C’était très dûr mais j’ai compris. Je crois que vous m’avez libérée. Vous êtes tous des monstres et je pense que mon salaud de gendre faisait partie du complot. Il m’a tellement débauchée qu’il n’en n’est plus à ça près ! A partir d’aujourd’hui, je n’aurai plus cette méfiance malsaine. Moktar ! Venez ici que je vous embrasse. Que je vous remercie de m’avoir si bien baisée et enculée. »
Tout sourire le maghrébin enlace à son tour Geneviève et ils se roulent une pelle qui n’en fini pas tout en se caressant étroitement serrés.
• « Mais dis-donc, vieille pute ! Tu es en train de me piquer mon mec ! S’exclame Mélanie en rigolant quand ils se retournent les deux !
• Oh ma chérie ! Ne vous inquiétez pas ! J’ai assez de mon gendre. C’est déjà beaucoup ! Mais, vous me le prêterez tout de même de temps en temps !
• Tu vois que quand on a goûté à sa queue, on ne peut plus s’en passer
• Il n’y a qu’à voir mon gendre ! Mais en plus, je découvre qu’il a une peau fabuleusement douce et qui sent bon ! Mon dieu que j’ai été bête pendant tout ce temps !
• J’ai un cousin qui est encore mieux monté que moi déclare Moktar. En revanche il est noir, je ne sais pas si…
• Vous vous moquez de moi cher Moktar ? Vous avez raison ! Pardonnez-moi mon attitude ! Aucun problème pour que votre cousin s’amuse avec moi. En plus il paraît que les noirs sont encore mieux montés que les arabes ! Ajoute-t-elle en riant. Maintenant faisons la fête. J’ai un peu mal au cul mais mon salaud de gendre va me le lécher pour calmer mes irritations !
• A ton service ma vieille salope de belle-mère ! »
A la suite de cet épisode scabreux, le carcan est resté en place et sert quelques fois lors de soirées. Geneviève ne repousse plus Moktar et participe à des trios avec Mélanie. En effet, l’arabe est résistant et nos deux salopes ne sont pas de trop pour éponger leur homme.
Notre club fonctionne toujours. Les personnes qui fréquentent ces dames en dehors les trouvent particulièrement épanouies et même rajeunies. Geneviève fait tout de même attention mais il n’empêche qu’un œil avisé peut noter que malgré son âge, elle s’habille plutôt mieux qu’avant et qu’il lui arrive de se montrer moins distante. Ses enfants s’en réjouissent.
Le souci est qu’aujourd’hui, son mari est malade et dépérit. Il devient une charge et bien sûr c’est Geneviève qui doit s’en occuper. Elle a malgré tout réussit à faire employer une garde à domicile afin de se réserver des plages de liberté. La présence permanente de son mari à la maison ne nous empêche pas de nous retrouver dans sa chambre de temps en temps. J’ai même l’impression que ça excite ma belle-mère encore plus, de savoir qu’il est à côté.
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