La vie dissoue d'une bigote 22 : Epilogue
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La vie dissoue d'une bigote 22 : Epilogue
Sur l’écran de l’ordinateur, une vidéo s’anime. Un titre défile :
« Geneviève : une vieille salope qui s’assume »
Une voix de femme (Mélanie) commente la scène à la façon d’un match de foot :
• « Geneviève de Brassac est une vieille salope ! Une pute comme on n’en voit peu !
On la voit ici chevauchant le sexe énorme d’un étalon arabe, faisant partie de ses nombreux amants. En gros plan, les lèvres distendues de son sexe complètement épilé, montrent l’impressionnante queue qui la transperce. On peut voir également les flots de cyprine s’écoulant du vagin de la femelle. Geneviève de Brassac est entièrement bronzée preuve de son exposition au soleil sans le moindre vêtement.
L’homme couché sur le carrelage tête les gros nichons de Geneviève, agaçant particulièrement les tétons proéminents et d’une extrême sensibilité. Il fait pencher maintenant sa partenaire pour l’embrasser à pleine bouche. Les lèvres soignées et délicates de madame de Brassac sont avalées par la bouche lippue et moustachue du bel arabe. Les langues se mélangent, ainsi que la salive.
Dans cette position, le cul de Geneviève de Brassac que vous voyez maintenant, est bien dégagé. On peut voir son œillet mauve, lui aussi dégagé de toute pilosité. On remarque qu’il est aussi bien ouvert, preuve que cette salope se fait défoncer fréquemment par cet orifice.
Une deuxième bite s’approche de son anus. Le gland se pose et sans effort le deuxième homme envahit le cul de Geneviève de Brassac. Elle est maintenant embrochée des deux côtés et râle fort de bonheur.
La caméra zoome arrière et vous pouvez découvrir que l’homme qui encule Geneviève de Brassac n’est autre que son propre gendre qui prend un plaisir certain à démonter le cul de sa belle-mère.
Cette dernière n’a pas l’air de se plaindre, au contraire, car elle gueule son plaisir. Aussi, pour la faire taire, nous sommes « obligée » de lui donner notre chatte poilue à lécher, ce dont elle s’acquitte parfaitement.
Ses trois orifices sont maintenant occupés et Madame de Brassac prend un pied énorme.
Comme à son habitude, elle inonde son amant couché sous elle de flots ininterrompus de jouissance. La fontaine de Geneviève de Brassac est abondante !
Son gendre jouit au fond de ses entrailles. Et nous même, lâchons notre jus dans la bouche de cette femelle assoiffée de sexe. Sa figure est barbouillée de cyprine et elle récupère tout ce qu’elle peut pour s’en délecter.
Son gendre, repu, lui donne alors sa bite couverte de sperme et de quelques traces brunes sortant de son rectum, à nettoyer.
Enfin, son amant arabe, gicle au fond de sa matrice, un flot important de sperme qui sort de ses couilles, grosses comme des oranges.
Madame de Brassac nous demande alors de nous coucher par terre. Elle nous enjambe et, posant sa chatte sur notre bouche lâche tout ce qu’elle contient : sperme et jus intime. Elle n’oublie pas non plus de se faire lécher le trou du cul de la même manière.
Pour terminer, Geneviève de Brassac se relève. Ses deux amants la soutiennent tout en lui suçant les tétons alors qu’elle nous pisse dessus abondamment ! »
Geneviève arrête le film et retire la clé USB sur lequel il est stocké. Elle s’adresse alors à l’homme assis devant l’écran qui vient de visionner la vidéo pornographique.
Cet homme, c’est son mari !
L’homme est figé, hagard. La maladie l’a frappée. Il ne peut plus réagir. Cloué sur son fauteuil d’invalide il ne peut plus parler depuis quelques temps. Son regard pourtant, montre toute l’horreur dont il est submergé en découvrant les ignominies dont est capable sa femme. Son esprit lui, est resté clair.
La mère de ses enfants. Épouse modèle aux yeux de tous, qui assiste à la messe tous les dimanches et s’occupe de la paroisse. Sa femme baise avec un arabe au sexe monstrueux, elle se fait sodomiser par son propre gendre, se roule dans le stupre et la fornication. Sa femme qu’il croyait incapable de ce genre de chose, qu’il ne regardait et ne touchait plus depuis de nombreuses années. Sa femme qu’il a longtemps trompée impunément. Sa femme dont il découvre qu’elle a encore un corps qui excite les hommes.!
Il est effondré ! Des larmes qui coulent au coin de ses yeux, prouvent qu’il a bien compris les images qui ont défilé pendant quelques minutes. Il vient de découvrir une infortune qu’il ne soupçonnait pas, une femme inconnue capable aussi de faire l’amour à une autre femme ! Toute sa vie et ses certitudes s’effondrent d’un coup. Il se tasse dans son fauteuil d’infirme comme s’il avait été frappé par un poignard. Le pire, est qu’il est encore conscient ! Cette blessure est définitivement ancrée en lui.
• Tu vois, mon « cher mari !». Ta femme, que tu as bafouée et ignorée pendant des années, est en fait une véritable salope ! Elle aime baiser depuis longtemps avec son gendre et de nombreux autres hommes, jeunes ou vieux, ainsi qu’avec des femmes. Maintenant que tu ne peux plus rien faire, ni dire, ni maudire, ni dévoiler, je voulais que tu sois témoin de ton cocufiage, de ton infortune !
Ce petit film, nous l’avons fait spécialement pour toi. Pour que tu saches, avant de disparaître, quelle est la véritable personnalité de celle que tu as épousée et cocufiée sans vergogne pendant des années.
Je suis sûre que ces images sont maintenant gravées dans ta mémoire défaillante et te feront regretter ton attitude jusqu’à la fin de ta vie. Le pire, c’est que tu es obligé de garder cela pour toi, puisque tu ne peux plus t’exprimer. C’est ça aussi ma vengeance !
Pendant tout ce temps, avec tes maîtresses, que tu sautais soi-disant en cachette, tu es passé à côté de tout ça ! Tu n’as jamais sû que ta femme avait un corps, un sexe et des envies.
Depuis trente ans tu es cocu mon cher mari ! Cocu par ton gendre, par le facteur, par la locataire et par bien d’autres maintenant, qui me baisent par tous les bouts. Ce que tu as vu là, est une petite partie de ce que je suis capable de faire.
Si je voulais, tous les soirs après dîner, je pourrais te repasser le film, mais je préfère aller retrouver mes amants et mes maîtresses pour profiter encore des plaisirs de la vie. Ce que tu ne peux plus faire !
Ah au fait, si tu entends du bruit dans ma chambre la nuit, c’est que mon gendre est en train de me baiser ou de m’enculer, car comme moi, il adore ça, d’autant que c’est dans le lit conjugal que tu n’as plus fréquenté depuis trente ans !
• FIN
« Geneviève : une vieille salope qui s’assume »
Une voix de femme (Mélanie) commente la scène à la façon d’un match de foot :
• « Geneviève de Brassac est une vieille salope ! Une pute comme on n’en voit peu !
On la voit ici chevauchant le sexe énorme d’un étalon arabe, faisant partie de ses nombreux amants. En gros plan, les lèvres distendues de son sexe complètement épilé, montrent l’impressionnante queue qui la transperce. On peut voir également les flots de cyprine s’écoulant du vagin de la femelle. Geneviève de Brassac est entièrement bronzée preuve de son exposition au soleil sans le moindre vêtement.
L’homme couché sur le carrelage tête les gros nichons de Geneviève, agaçant particulièrement les tétons proéminents et d’une extrême sensibilité. Il fait pencher maintenant sa partenaire pour l’embrasser à pleine bouche. Les lèvres soignées et délicates de madame de Brassac sont avalées par la bouche lippue et moustachue du bel arabe. Les langues se mélangent, ainsi que la salive.
Dans cette position, le cul de Geneviève de Brassac que vous voyez maintenant, est bien dégagé. On peut voir son œillet mauve, lui aussi dégagé de toute pilosité. On remarque qu’il est aussi bien ouvert, preuve que cette salope se fait défoncer fréquemment par cet orifice.
Une deuxième bite s’approche de son anus. Le gland se pose et sans effort le deuxième homme envahit le cul de Geneviève de Brassac. Elle est maintenant embrochée des deux côtés et râle fort de bonheur.
La caméra zoome arrière et vous pouvez découvrir que l’homme qui encule Geneviève de Brassac n’est autre que son propre gendre qui prend un plaisir certain à démonter le cul de sa belle-mère.
Cette dernière n’a pas l’air de se plaindre, au contraire, car elle gueule son plaisir. Aussi, pour la faire taire, nous sommes « obligée » de lui donner notre chatte poilue à lécher, ce dont elle s’acquitte parfaitement.
Ses trois orifices sont maintenant occupés et Madame de Brassac prend un pied énorme.
Comme à son habitude, elle inonde son amant couché sous elle de flots ininterrompus de jouissance. La fontaine de Geneviève de Brassac est abondante !
Son gendre jouit au fond de ses entrailles. Et nous même, lâchons notre jus dans la bouche de cette femelle assoiffée de sexe. Sa figure est barbouillée de cyprine et elle récupère tout ce qu’elle peut pour s’en délecter.
Son gendre, repu, lui donne alors sa bite couverte de sperme et de quelques traces brunes sortant de son rectum, à nettoyer.
Enfin, son amant arabe, gicle au fond de sa matrice, un flot important de sperme qui sort de ses couilles, grosses comme des oranges.
Madame de Brassac nous demande alors de nous coucher par terre. Elle nous enjambe et, posant sa chatte sur notre bouche lâche tout ce qu’elle contient : sperme et jus intime. Elle n’oublie pas non plus de se faire lécher le trou du cul de la même manière.
Pour terminer, Geneviève de Brassac se relève. Ses deux amants la soutiennent tout en lui suçant les tétons alors qu’elle nous pisse dessus abondamment ! »
Geneviève arrête le film et retire la clé USB sur lequel il est stocké. Elle s’adresse alors à l’homme assis devant l’écran qui vient de visionner la vidéo pornographique.
Cet homme, c’est son mari !
L’homme est figé, hagard. La maladie l’a frappée. Il ne peut plus réagir. Cloué sur son fauteuil d’invalide il ne peut plus parler depuis quelques temps. Son regard pourtant, montre toute l’horreur dont il est submergé en découvrant les ignominies dont est capable sa femme. Son esprit lui, est resté clair.
La mère de ses enfants. Épouse modèle aux yeux de tous, qui assiste à la messe tous les dimanches et s’occupe de la paroisse. Sa femme baise avec un arabe au sexe monstrueux, elle se fait sodomiser par son propre gendre, se roule dans le stupre et la fornication. Sa femme qu’il croyait incapable de ce genre de chose, qu’il ne regardait et ne touchait plus depuis de nombreuses années. Sa femme qu’il a longtemps trompée impunément. Sa femme dont il découvre qu’elle a encore un corps qui excite les hommes.!
Il est effondré ! Des larmes qui coulent au coin de ses yeux, prouvent qu’il a bien compris les images qui ont défilé pendant quelques minutes. Il vient de découvrir une infortune qu’il ne soupçonnait pas, une femme inconnue capable aussi de faire l’amour à une autre femme ! Toute sa vie et ses certitudes s’effondrent d’un coup. Il se tasse dans son fauteuil d’infirme comme s’il avait été frappé par un poignard. Le pire, est qu’il est encore conscient ! Cette blessure est définitivement ancrée en lui.
• Tu vois, mon « cher mari !». Ta femme, que tu as bafouée et ignorée pendant des années, est en fait une véritable salope ! Elle aime baiser depuis longtemps avec son gendre et de nombreux autres hommes, jeunes ou vieux, ainsi qu’avec des femmes. Maintenant que tu ne peux plus rien faire, ni dire, ni maudire, ni dévoiler, je voulais que tu sois témoin de ton cocufiage, de ton infortune !
Ce petit film, nous l’avons fait spécialement pour toi. Pour que tu saches, avant de disparaître, quelle est la véritable personnalité de celle que tu as épousée et cocufiée sans vergogne pendant des années.
Je suis sûre que ces images sont maintenant gravées dans ta mémoire défaillante et te feront regretter ton attitude jusqu’à la fin de ta vie. Le pire, c’est que tu es obligé de garder cela pour toi, puisque tu ne peux plus t’exprimer. C’est ça aussi ma vengeance !
Pendant tout ce temps, avec tes maîtresses, que tu sautais soi-disant en cachette, tu es passé à côté de tout ça ! Tu n’as jamais sû que ta femme avait un corps, un sexe et des envies.
Depuis trente ans tu es cocu mon cher mari ! Cocu par ton gendre, par le facteur, par la locataire et par bien d’autres maintenant, qui me baisent par tous les bouts. Ce que tu as vu là, est une petite partie de ce que je suis capable de faire.
Si je voulais, tous les soirs après dîner, je pourrais te repasser le film, mais je préfère aller retrouver mes amants et mes maîtresses pour profiter encore des plaisirs de la vie. Ce que tu ne peux plus faire !
Ah au fait, si tu entends du bruit dans ma chambre la nuit, c’est que mon gendre est en train de me baiser ou de m’enculer, car comme moi, il adore ça, d’autant que c’est dans le lit conjugal que tu n’as plus fréquenté depuis trente ans !
• FIN
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