LA VIE SEXUELLE DE LOUISE, 53 ANS - histoire érotique

Cette histoire est complètement inventée. Elle met en scène l’archétype de beaucoup de
femmes en manque de sexe qui sont consumées par leur fantasmes et prêtes à franchir le
pas. Voici leurs fantasmes à travers Louise. Louise, une femme qui va découvrir le
sexe sur le tard et qui, de femme réservée va devenir vicieuse comme elle n’aurait
jamais pu se l’imaginer.

Louise a 53 ans. Il y a bien longtemps qu’elle n’a pas fait l’amour. Son ancien mari
n‘était pas un bon amant. Avec les souvenirs, elle pense qu’il ne l’a sans doute
jamais fait jouir. De toute façon, c’est si loin, tout ça. Avant son triste et
pitoyable divorce, il ne la touchait plus depuis longtemps. Louise est comptable dans
une entreprise parisienne. Une femme ordinaire. Pas laide, loin de là. Elle voudrait
que les hommes la regardent, la désirent. Mais elle s’est si longtemps interdit ce
genre de pensées. Elle n’est pas sexy, dans son apparence. Pourtant, il suffirait de
peu. Il lui arrive de plus en plus de regarder, dans les vitrines des magasins les
dessous féminins sexy. Des guêpières, des portes jarretelles, des bas à couture. Peu à
peu, des pensées qui la troublent viennent à elle : elle s’imagine, habillée comme ça.
Les hommes la désireraient sans doute. Son lieu de travail est un grand centre
d’affaire, avec des tours de bureau. Elle regarde les femmes. C’est le printemps et
les tenues commencent à être légères. Certaines de ces femmes sont désirables. Elle
surprend souvent le regard des hommes sur elles. Leurs jupes sont courtes, elles
portent parfois des escarpins vertigineux. Depuis quelque temps, elle imagine leurs
amants les faisant jouir. Mais pour Louise, le temps est proche. Elle va bientôt se
donner à un homme, totalement. Louise va avoir un amant, qui lui donnera du plaisir.

C’est l’arrivée d’Internet qui a permis à Louise de penser au sexe et demain de se
livrer aux bras d’un homme.
Un soir, Louise, qui vit seule, avait regardé à la télévision un film de grande
écoute, mais qui comportait une scène assez torride où un couple faisait l’amour. La
scène, sans être pornographique était excitante. Louise avait ressenti une sensation
bizarre et sans s’en rendre compte avait guidé sa main vers son sexe, ce qu’elle ne
faisait jamais. Son sexe était trempé. C’est alors qu’elle eut une idée. Elle alluma
son ordinateur et pour la première fois, tapa sur le clavier, ces quatre lettres :
SEXE.

Son cœur bat à tout rompre en écrivant ce mot. Elle appuie sur « envoi », a
l’impression de rentrer dans un monde interdit, où elle n’aurait dû jamais pénétrer.
La page d’accueil apparait. Un premier article « Chloé, 18 ans, 55 amants ». Elle
clique de nouveau. C’est une simple interview. Une jeune fille, jupe très courte,
jambes haut croisées parle de sa sexualité. Elle raconte qu’elle a déjà eu de très
nombreux amants, qu’elle n’a pas de tabous. Louise écoute. Et puis soudain, au détour
des propos de la jeune fille, elle entend des mots qu’elle n’a pas l’habitude
d’entendre, auxquels elle n’a jamais pensé : « j’aime me faire bourrer », « j’adore la
sodomie ». Louise est excitée. Elle en a conscience. Elle n’écoute presque plus, ferme
les yeux et se caresse, elle qui ne le faisait jamais. Elle a la gorge sèche. Va à la
cuisine pour boire un verre d’eau. Elle revient et veut en voir plus.

C’est comme une escalade. Le lendemain, elle ne travaille pas. Elle veut se plonger
dans le sexe toute la nuit. Elle clique au hasard. Elle commence à voir des images de
femmes, pénétrées dans tous les orifices et qui ont l’air d’aimer ça. D’aimer ça !
Elle en a le vertige. Alors elle a tapé sur le clavier « télécharger films
pornographiques ». Elle va payer pour ça, mais veut voir les images s’animer, entendre
ces hommes et ces femmes jouir, voir ces sexes raides d’hommes fous de plaisir et ces
femmes se faire prendre, sans honte. Elle qui a eu si souvent honte de l’acte sexuel.
Les premières images l’excitent. Le film est en français. Pour la première fois elle
voit un groupe d’homme à qui une femme va se donner complètement. Les hommes ne sont
pas spécialement beaux. Mais elle voit leurs sexes bien raides. La femme est
vulgaire. Elle se met à sucer leurs sexes. Louise n’a jamais sucée son mari. Ca la
trouble. Soudain, sur l’écran, un des hommes au sexe très gros, commence à se
masturber entre les seins de l’actrice porno. Quelques instant après, il éjacule sur
les seins de sa partenaire qui étale le sperme sur elle. Louise passe sa main sur sa
poitrine. La poitrine de Louise est bien remplie. Un homme qu’elle excitera en fera-t-
il de même un jour. Puis, la fin du film arrive et pour la première fois elle voit une
éjaculation faciale. En se vidant, les hommes traitent la femme de chienne et de
salope. Et Louise aime ça ! Le sperme. Elle se souvient d’une de ses premières
étreintes avec son mari. Ce dernier s’était retiré et avait éjaculé sur son ventre.
C’était la seule fois où Louise avait voulu sentir la texture du sperme. C’était chaud
et gluant. Elle en avait plein les doigts. Cela l’avait dégouttée ; Aujourd’hui, de
voir sur l’écran la semence couler sur le visage de cette femme, cela a donné envie à
Louise.
Puis Louise a presque franchi le pas. Elle s’est inscrite sur un site Internet de
rencontres. Et elle est tombée sur un homme dont elle veut qu’il deviennent son amant,
et la fasse jouir, jouir !
Ils se sont écrits. A la fin de la semaine, elle le rencontrera. Il a 40 ans, assez
bel homme. Elle lui a envoyé sa photo, avec la crainte qu’il n’ait pas envie d’elle.
Quand elle a reçu son mail, elle tremblait de le lire. Il lui a dit : « J’ai envie de
toi » et était jointe une photo de son sexe en érection. Pas d’équivoque, Louise
savait qu’elle avait franchi le pas pour se faire prendre. Enfin, depuis si longtemps…
un homme, un vrai, qui va la pénétrer et lui donner du plaisir. Il faut que je sois
belle se dit-elle. Qu’il me prenne pendant des heures et ait encore envie de me
revoir. Elle ne peut plus reculer, le rendez-vous est dans trois jours. Il lui faut
s’acheter des vêtements qui vont l’exciter. Et Louise, pleine de pudeur il y a encore
quelques temps se met à penser, et n’en rougit pas : « je veux être habillée et
maquillée comme une putain, pour le faire bander ! (à suivre).