La vieille femme surprise à voler

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : La vieille femme surprise à voler Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La vieille femme surprise à voler
Alors que je suis sur le pont d’éclairage perché à dix mètres du sol, en train de câbler des projecteurs, je repère plus bas, une petite mamie s’attardant au coin lingerie que la bourse aux vêtements, le locataire du jour a installé un peu à l’écart. Elle reluque les sous-vêtements. Je trouve ça plus que mignon. Ça me fait sourire. À un moment, je la vois planquer une culotte sous son manteau. J’hallucine. À un tel point que cela me fait mettre pied à terre. Très vite je la repère dans la foule, je m’approche alors d’elle et je lui demande poliment de me suivre.
L’air étonnée, sourire aux lèvres, elle emboite mon pas. Je la conduis jusqu’à mon bureau. Après avoir fermé la porte de ce dernier, je la pris de bien vouloir ouvrir son manteau.
-Et pourquoi je ferais cela ? S’enquit-elle de dire.
-Parce que je sais parfaitement ce que vous cachez en dessous, je vous ai vue.
Elle bafouille un truc du genre.
- C’est pour l’anniversaire de ma petite fille.
Et les larmes lui tombent des yeux.
- Vous n’avez rien d’autre.
- Non…
-C’est sûr ?
-Vous désirez que je me déshabille, pour voir ?
-Je n’en demande pas autant, Madame !
-Mais si…si, j’assiste. Ce n’est pas tous les jours que j’ai la chance d’avoir devant mes yeux un beau jeune homme. Lâche-t-elle, en commençant lentement à ôter ses vêtements l’un après l’autre.
-Mais… mais Madame, arrêtez !
-J’insiste, je veux vous démontrer que je suis peut-être une voleuse mais pas une menteuse.
Elle s’est vite retrouvée devant moi en sous-vêtement. Un string assortit à son soutien-gorge caché son sexe.
- Alors le string s’était pour vous ?
-Là, je reconnais vous avoir menti. Je mérite pénitence.
-Et celui-là, vous l’avez aussi volé.
-Quand même jeune homme, pour qui me prenez-vous.
Et là, elle prend l’initiative de l’ôter. M’apparaît alors sous une poche que fait son ventre, une chatte chauve.
-Vous vous rasez ?
-Oui, c’était le souhait de mon mari, et depuis sa disparition voilà maintenant six ans, j’ai gardé par respect pour lui cette manie.
Là je ne conrôle plus, devant le spectacle qu’elle m’offre malgré son âge. Je dis environ soixante-dix ans. Je me saisis de l’objet de ma convoitise et la porte à mes narines humant son fumet sous ses yeux ébahis.
-Eh bien, si on m’avait dit cela en me levant, je ne l’aurais pas crû !
Je m’approche d’elle à la toucher. Elle mesure 1,60, douce et dodue. Immédiatement, nous nous embrassons sans aucune hésitation. Cette vieille dame m’excite au plus haut point. Surtout après avoir fléré son slip. Elle me fait vibrer. Ses lèvres se déverrouillent et nos langues dansent.
Elle met sa langue dans ma bouche et je la suce. Elle gémit un peu. Je porte ma main vers sa lourde poitrine. Je prends ses seins bien en main. Elle ne rechigne pas à mon initiative. Me faisant même comprendre que je peux faire d’elle ce que je désire.
Puis nous rompons le baiser. Je décroche son soutien-gorge. Il tombe sur le sol et je peux malaxer son sein nu. Roule et presse chacun d’eux. Francette gémit pendant que je joue avec ses tétons. Je penche ma tête et prends un téton en bouche.
Ne tenant plus je la guide jusqu’au divan, et je me place à ses côtés. Nous nous embrassons de nouveau. Je pose mes lèvres sur son nichon et suce le téton. Puis, je glisse ma main entre ses cuisses, jusqu’à atteindre une butte lisse. Elle respire plus fort maintenant. Pendant ce temps-là je caresse son vagin. Du doigt, je suis sa fente jusqu’au bouton, agaçant quelques instants l’excroissance de chair grenue.
Le souffle de Francette est légèrement rauque. Sa bouche s’arrondit de surprise un instant, avant de s’étirer en un large sourire. Je glisse mes doigts le long de sa fente pour enfoncer index et majeur dans son con détrempé. Elle pousse un soupir à peine audible, alors que je sens le bout de ses doigts frôlés ma verge.
-Mais vous bandez mon garçon. C’est moi qui vous faut cet effet ?
-Qui d’autre Madame ?
- Je peux te la prendre ?
- Fais ce que vous désirez.
Elle me jette un coup d’œil, et avec des doigts de fée met ma queue à l’air libre, qu’elle saisit. Elle commence à me branler lentement de haut en bas, tout en faisant rouler ses doigts sur ma verge. Je la branle aussi, à l’aide de deux doigts. Elle respire plus vite, ses joues sont colorées. Elle continue à tendre son bassin vers moi tout en me branlant au même rythme lent.
Toute sa vulve est poisseuse de mouille, rendant luisante ses lèvres déployées de chaque côté de sa chatte. Je déserte ma place pour me placer sur elle, frottant ma queue contre sa chatte. Chatouillant son bouton. Ses lèvres caressent mon gland. Elle me regarde droit dans les yeux avec un sourire narquois. La guidant entre mes doigts, je dirige ma verge vers la chatte détrempée, frottant le bout le long de sa fente. Je pousse légèrement en avant et mon gland la pénètre, écartant les lèvres molles qui cèdent docilement sous ma poussée. Je pousse un peu plus et lentement ma queue se loge tout entière dans sa chatte.
Puis je vais et viens très lentement dans sa chatte. Mon regard passe de ma queue, luisante de bave, qui coulisse entre ses babines étalées, à son visage. Ses yeux brillent.
- Oh, qu’est-ce qu’elle est bonne ! Ooooh !
Je la baise toujours aussi lentement, mais à long coups de riens, enfonçant ma queue entière jusqu’à ce que mon ventre vienne cogner contre son mont chauve, puis je me retire lentement, jusqu’à ce que la base de mon gland apparaisse entre ses lèvres retroussées. Elle a les yeux mi-clos, le souffle court.
Elle attrape la nuque des deux mains, se plaquant contre moi, frottant sa chatte contre mon ventre, les jambes nouées sur mes reins. Je la tiens par la taille, rentrant et sortant ma verge à chaque va-et-vient, me forçant à ne pas aller. Ses doigts se crispent sur ma nuque. Elle s’immobilise son corps collé à moi. Elle jouit comme ça, sans cri ni gémissements.
Son visage est recouvert d’une pellicule de sueur et ses yeux voilés. Elle reprend lentement son souffle. Sa poitrine se gonfle au rythme de sa respiration. Ma verge est gluante de ses sécrétions. Je m’installe et l’installe aussi, dans une position me permettant de glisser ma langue sur son anus au parfum fade.
- Hé ! Qu’est-ce que vous faites ?
Je pose mon index sur l’œil luisant de ma propre salive. Enfonçant sans difficulté une phalange. Elle n’est ni effrayée, ni choquée, peut-être même plus excitée encore. Ses yeux sont comme une fente sous ses longs cils. J’enduis alors toute sa raie de bave, m’attardant sur l’anus étoilé qui s’ouvre docilement sous ma langue. Puis je prends place sur elle, cherchant son trou du cul de l’index pour y guider ma queue.
-Je ne l’ai jamais fait ! Me lance Francette. Ça fait mal ?
-Cela dépend de la manière.
-Je vous fais confiance !
Suite à ses mots, elle me guide. Je sens mon gland lui rentrer dans le cul, s’enfonçant dans le fourreau tiède et doux de son rectum, sans rencontrer la moindre résistance. Elle a le trou du cul tellement assoupli, sans doute son âge, je l’encule sans même donner un coup de reins. Je m’immobilise pour ne pas lui faire mal, goûtant la tiédeur des parois lisses. Et je glisse une main sous son ventre, serrant sa vulve sous mes doigts, glissant mon majeur dans la fente pour m’assurer que c’est bien dans son anus et non dans son vagin qu’elle m’a guidé. J’ai de la peine à croire qu’elle a le cul plus accueillant que bien des chattes.
C’est elle qui commence à bouger. Elle se cambre, poussant ses fesses contre mon ventre. Enfonçant ma queue plus profondément dans son rectum à chaque va-et-vient. Je l’encule sans scrupules, ni appréhension, à longs coups de reins.
Elle souffle bruyamment chaque fois que ma queue s’enfonce dans son anus, expirant par les narines. De plus en plus vite. Tout en offrant son cul à mes coups de queue. Elle roule des hanches, frottant sa chatte contre mes doigts.
Je ne m’attends pas à ce qu’elle prenne du plaisir à se faire enculer. Encore moins à ce qu’elle jouisse. J’ai la surprise d’entendre sa respiration bruyante s’accélérer jusqu’à ne plus être qu’un halètement continu. Elle ferme les yeux et tout son corps se raidit.
Je sors ma queue, et empoigne ses fesses à pleines mains pour les écarter, étalant la raie, ouvrant le trou. C’est devenu un cratère béant, comme s’il ne s’est pas refermé après le passage de ma queue plus large que sa vulve. Il ressemble à un entonnoir, aux parois rouge vif, planté au milieu de la raie brune. Je tire encore plus sur mes pouces, écartelant ses fesses et il me semble s’ouvrir encore. Elle pousse pour le creuser davantage, pour le plus grand plaisir de mes yeux.
Ne pouvant plus me retenir, je me mets à me branler furieusement en regardant ce spectacle qui se déroule à quelques centimètres de mon visage. Constatant mes manœuvres, elle se penche un peu plus en bloquant ma main qui me branle et me dit d’arrêter cela, qu’elle va prendre le relais. Quel spectacle ! C’est encore mieux que dans mes rêves !
Elle me branle doucement et y jette un petit coup de langue de temps à autre. Il m’en faut pas plus pour jouir.
-Oh jeune homme ! Dit-elle soudain ! Je vais revenir, j’ai une de ces envies de faire pipi ! Où sont les toilettes ?
-Mais Francette, savez-vous que j’adore regarder une femme en train d’uriner ! Et que ce spectacle ne m’a été que trop rarement offert ! Serait-ce trop vous demander de m’en faire profiter ?
-Voudriez-vous m’informer par-là que vous n’êtes qu’un gros cochon ?
-Je serais alors vraiment comblé, Madame !
-Bon ! Bon ! Où ça ?
-Eh bien là !
Elle se met à pisser. Quelques éclaboussures viennent atterrir dans ma bouche, puis elle vise carrément mon gosier en riant à gorge déployée !
-Ça va ? Jeune homme !
-Oui, Madame, ça va !
-Vous savez mon garçon, je ne regrette pas d’avoir été prise la main dans le sac. Que d’émotion !
-Cela vous dit une suite ?
- Le plus tôt possible mon garçon. À quoi aurai-je droit cette fois-ci ?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Excellente histoire réaliste, pas vulguère et plaisante à lire.

Histoire Erotique
Une bonne histoire mais remplie de fautes, c'est déplaisant a lire

Histoire Erotique
Excellente histoire et bien écrite. J'adore les femmes âgées très mûres c'est un vrai plaisir de les faire jouir



Texte coquin : La vieille femme surprise à voler
Histoire sexe : Une rose rouge
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