La villageoise
Récit érotique écrit par Koulouba [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La villageoise
Je me suis décidé un jour à me rendre dans la petite ville la plus proche de mon village pour y trouver des installations de lave-linge de grande taille pour y laver des couettes.
N’y connaissant rien j’entre dans le local, où je trouve une femme d’une quarantaine d’année, petite, carrée, gros seins, fesses rondes et petites, mais très sympa qui me voyant hésiter, vient à mon aide, elle est affublée d’un pull et d’un pantalon. Elle m’explique comment faire pour charger le linge, mettre l’argent, choisir le programme, et se propose de me tenir compagnie en attendant que le programme se déroule.
On s’assied, tout se passe bien, elle me dit qu’elle habite juste à côté et vient régulièrement, et qu’elle est veuve depuis cinq ans et sans enfants. Puis de fil en aiguille, elle me dit que son mari, n’était pas très gentil et très brutal et qu’il la battait régulièrement, il est mort dans un accident du travail.
A la fin du programme de ma machine je charge tout dans ma voiture, et je la vois porter un gros sac, je lui propose de la déposer chez elle, ce sac à l’air lourd, elle refuse dans un premier temps, puis accepte, je mets son sac dans ma bagnole, elle monte et nous voici parti. Elle habite à cinq cent mètres de la laverie, dans une petite maison isolée, je l’aide à descendre son sac et à le porter jusqu’à sa porte, elle me remercie et me propose un café, ce que j’accepte. Elle en profite pour se présenter et me dit qu’elle s’appelle Lucia.
La maison est bien tenue, sympa, claire et bien rangée, elle m’invite à m’assoir à la table, et elle se précipite faire le café, elle revient après s’être changée et légèrement maquillée. Elle a mis une robe chasuble de couleur, qui lui donne un air sexy, elle s’est coiffée, et tout ça la change vachement et ça lui donne un petit air sexy et espiègle. Elle me sert le café et des biscuits qu’elle a fait elle-même, et tout ça avec un grand sourire. Au bout de deux heures de discutions, je prends congé, elle a l’air toute triste et me propose de venir dîner avec elle le vendredi.
Je donne mon accord, je lui fais un bisou sur la joue et je prends congé. La femme est très sympa et semble beaucoup manquer de compagnie. Elle cherche visiblement à parler à quelqu’un et à avoir des relations d’amitié avec un autre être humain.
Je patiente jusqu’au vendredi soir, je me prends une super douche, je m’habille correctement, j’achète des fleurs et une bouteille de vin et je saute dans ma voiture.
En arrivant devant chez elle, je vois la porte s’ouvrir avant que j’aie mis pied à terre, Lucia se précipite vers moi et m’embrasse sur la joue, elle semble soulagée que je sois venu et que j’ai tenu ma promesse de venir à son invitation. Je prends dans la voiture les fleurs et le vin, je donne le tout à Lucia, qui les yeux qui brillent et elle me remercie en m’embrassant sur la joue.
On entre dans la maison, elle met les fleurs dans un vase et le vin au frais, elle vérifie le lièvre qui mijote sur le feu d’une cuisinière au bois et me propose de prendre un apéritif. Elle nous fait à tous les deux un apéro corsé style ti punch. On discute encore et encore jusqu’à ce qu’elle annonce que le lièvre est à point et qu’on peut passer à table.
Je fini ma part de lièvre et Lucia m’en propose encore, ce que j’accepte de bon cœur, ça la rend joyeuse de partager sa cuisine. On fini par un fruit du jardin et elle m’annonce que pour quatre heures elle a fait une tarte aux prunes, toujours du jardin. Elle me sert un café et puis elle m’invite à m’assoir dans le fauteuil, elle met une petite table à côté de moi et y pose le café.
Elle vient se mettre à genou à côté de moi tout en posant son bras sur mes cuisses et y pose sa tête.
Elle reste comme ça un moment puis ferme les yeux et commence à parler :
- Elle est née dans ce village il y a quarante ans, elle est allée à l’école du village avec tous les autres enfants, garçons compris, l’école était mixte.
L’école primaire terminée, elle est allée au lycée de la ville voisine un car emmenait tous les enfants là-bas. Vers ses quatorze ans, les petits flirts ont commencé, avec les autres filles et avec les garçons. Le temps passant ces flirts se sont développé et arrivé vers la fin du lycée, à dix huit ans des couples se sont formés. Elle avait jeté son dévolu sur un grand gaillard du village, le plus grand le plus fort et le plus bruyant. Un jour qu’ils se tenaient par la main en se promenant dans le bois, il l’avait entrainée dans des buissons. Il c’était jeté sur elle en l’embrassant fougueusement. Mais ils se sont échauffés mutuellement et le grand gaillard avec sa grosse pine l’avait défloré, après lui avoir arraché sa petite culotte. Il faut dire qu’elle n’avait pas opposé beaucoup de résistance. Mais elle n’en avait pas gardé un bon souvenir, ça avait été brutal et court, elle avait senti un liquide chaud couler dans sa chatte puis c’est tout. Mais comme ils formaient un couple, on avait tout naturellement décidé de les marier. Elle avait dix huit ans et lui vingt et garçon de ferme.
- Ils se sont installés dans une petite maison à l’orée du village, lui travaillait à la ferme et elle donnait un coup de main à l’épicerie du village. Ne connaissant rien du sexe, elle se contentait de subir les assauts de son homme, qui la baisait brutalement tous les jours au début et puis moins avec le temps. Quand il avait bu, il se trompait parfois et la sodomisait, ce qui semblait l’exciter encore plus, son mandrin la faisait saigner du cul tellement il était gros. Elle avait beau lui demander de faire plus doucement, mais rien n’y faisait, il ne pensait qu’à son plaisir à lui, sans tenir compte d’elle. Un jour elle s’est ouverte à une amie, qui lui a proposé de regarder s’il n’y avait pas de dégâts à sa rondelle. Lucia a pris une douche, et a ensuite montré son sexe et ses fesses à sa copine. Cette dernière l’a alors soigneusement examiné tout en jouant au docteur, elle en a profité pour examiner son sexe et son anus. Elle s’est amusée à la caresser et à lui lécher la chatte et sa rondelle, Lucia a aimé, mais savait que ce n’était pas bien. Elle a laissé faire son amie, Sandra, ce qui lui a procuré de la jouissance et lui a fait découvrir le sexe régulièrement. Les années sont passées et un jour son mari s’est tué au travail, elle avait trente-cinq ans, seule et sans avenir.
- Depuis cinq ans elle se demande ce qu’elle va faire, elle n’a pas d’amis, plus de famille. Mais elle a un boulot dans une coopérative du coin.
Je l’écoute en lui caressent la joue, elle me laisse faire, vers seize heures elle relève la tête et me dit :
- On va gouter cette tarte que je t’ai faite.
On se lève avec regret et je m’installe à table et je reçois ma part de tarte que j’englouti. Elle me regarde, ses yeux me demandent ce que j’en pense. Je lui dis tout haut ;
- C’est délicieux
- Tu en veux encore
- Je lui réponds que non
Je me lève et je me dirige vers elle, je la prends dans mes bras, je l’enlace et je l’embrasse, elle répond de suite à ma langue et elle appuie sa chatte contre ma cuisse. Je continue à l’embrasser et ma main se dirige vers ses seins que je plote outrageusement. Elle répond à toute mes caresses, je m’aventure vers son sexe que je caresse à travers ses vêtements. Elle s’excite de plus en plus et elle me glisse à l’oreille ; « comme c’est bon ».
Je glisse ma main sous sa robe et j’arrive à sa culotte, qui est trempée, et je lui caresse sa fente en glissant mes doigts dessus de haut en bas. Lucia gémit et fini par jouir sur mes doigts en gémissant. Je lui enlève sa robe en la passant par-dessus la tête et je lui baisse la culotte sur ses chevilles, à poil elle est vachement mignonne. Elle a un sexe poilu et pas entretenu, des poils hirsutes et de grosses petites lèvres, on voit aussi son clitoris gonflé et gros comme un phalange.
Je la fais monter sur la table, je la couche dessus, je me mets entre ses cuisses et je l’enfile d’un coup, elle grogne et colle son pubis contre le mien sans bouger. Puis on se met à donner des coups de rein frénétiquement et nous explosons tous les deux dans un orgasme de malade.
Après une petite pose, je fais descendre Lucia de la table, et je lui demande de nous guider vers sa chambre et la salle de bain. On se fait une petite beauté, et on se met sur son lit, la chambre est mignonne et elle est très féminine.
On discute, mais je lui demande ; comment, après m’avoir raconté son histoire de souffrances, elle a fait pour avoir un si bel orgasme ?
Elle m’a répondu,
- Qu’avant mon arrivée, elle avait bu un grand verre de rhum.
On fait une gentille sieste, deux heures plus tard on émerge de notre party sexuelle, je regarde le bas de son ventre et je vois cette chatte touffue.
Je lui propose de tailler sa chatte hirsute et de lui donner forme humaine et civilisée.
Elle me trouve un ciseau et une brosse et j’attaque la coiffure de la chatte de Lucia, je passe vingt bonnes minutes sur le problème et je constate que sa vulve laisse échapper de la cyprine. Cette leçon de coiffure n’a pas laissé ma copine insensible.
De son côté, ma queue est de nouveau en pleine forme, je bande bien dur, je me relève, et je frotte ma bite entre les lèvres de son sexe. Lucia suit le mouvement et se frotte à son tour contre mon pénis avec fougue et rapidement nous jouissons en cœur. En relevant la tête je vois une femme appuyée contre le chambranle de la porte fenêtre, une main dans son pantalon, en train de se masturber copieusement.
Elle ne s’arrête pas et jouit sans complexe sous mon regard, voyant que je ne suis plus concentré sur elle, Lucia suit mon regard et découvre la femme, qui est en train de finir de jouir.
On se regarde tous les deux et Lucia me dit tout bas, c’est ma copine Sandra. Cette dernière fini de se masturber avec un grand soupir et ouvre les yeux et nous aperçoit en train de la regarder. Elle nous regarde et nous fait un grand sourire, on se lève et on va la saluer, on s’embrasse, et elle nous dit « j’ai apprécié vos performances », j’aimerais y participer aussi.
Suite une prochaine fois
N’y connaissant rien j’entre dans le local, où je trouve une femme d’une quarantaine d’année, petite, carrée, gros seins, fesses rondes et petites, mais très sympa qui me voyant hésiter, vient à mon aide, elle est affublée d’un pull et d’un pantalon. Elle m’explique comment faire pour charger le linge, mettre l’argent, choisir le programme, et se propose de me tenir compagnie en attendant que le programme se déroule.
On s’assied, tout se passe bien, elle me dit qu’elle habite juste à côté et vient régulièrement, et qu’elle est veuve depuis cinq ans et sans enfants. Puis de fil en aiguille, elle me dit que son mari, n’était pas très gentil et très brutal et qu’il la battait régulièrement, il est mort dans un accident du travail.
A la fin du programme de ma machine je charge tout dans ma voiture, et je la vois porter un gros sac, je lui propose de la déposer chez elle, ce sac à l’air lourd, elle refuse dans un premier temps, puis accepte, je mets son sac dans ma bagnole, elle monte et nous voici parti. Elle habite à cinq cent mètres de la laverie, dans une petite maison isolée, je l’aide à descendre son sac et à le porter jusqu’à sa porte, elle me remercie et me propose un café, ce que j’accepte. Elle en profite pour se présenter et me dit qu’elle s’appelle Lucia.
La maison est bien tenue, sympa, claire et bien rangée, elle m’invite à m’assoir à la table, et elle se précipite faire le café, elle revient après s’être changée et légèrement maquillée. Elle a mis une robe chasuble de couleur, qui lui donne un air sexy, elle s’est coiffée, et tout ça la change vachement et ça lui donne un petit air sexy et espiègle. Elle me sert le café et des biscuits qu’elle a fait elle-même, et tout ça avec un grand sourire. Au bout de deux heures de discutions, je prends congé, elle a l’air toute triste et me propose de venir dîner avec elle le vendredi.
Je donne mon accord, je lui fais un bisou sur la joue et je prends congé. La femme est très sympa et semble beaucoup manquer de compagnie. Elle cherche visiblement à parler à quelqu’un et à avoir des relations d’amitié avec un autre être humain.
Je patiente jusqu’au vendredi soir, je me prends une super douche, je m’habille correctement, j’achète des fleurs et une bouteille de vin et je saute dans ma voiture.
En arrivant devant chez elle, je vois la porte s’ouvrir avant que j’aie mis pied à terre, Lucia se précipite vers moi et m’embrasse sur la joue, elle semble soulagée que je sois venu et que j’ai tenu ma promesse de venir à son invitation. Je prends dans la voiture les fleurs et le vin, je donne le tout à Lucia, qui les yeux qui brillent et elle me remercie en m’embrassant sur la joue.
On entre dans la maison, elle met les fleurs dans un vase et le vin au frais, elle vérifie le lièvre qui mijote sur le feu d’une cuisinière au bois et me propose de prendre un apéritif. Elle nous fait à tous les deux un apéro corsé style ti punch. On discute encore et encore jusqu’à ce qu’elle annonce que le lièvre est à point et qu’on peut passer à table.
Je fini ma part de lièvre et Lucia m’en propose encore, ce que j’accepte de bon cœur, ça la rend joyeuse de partager sa cuisine. On fini par un fruit du jardin et elle m’annonce que pour quatre heures elle a fait une tarte aux prunes, toujours du jardin. Elle me sert un café et puis elle m’invite à m’assoir dans le fauteuil, elle met une petite table à côté de moi et y pose le café.
Elle vient se mettre à genou à côté de moi tout en posant son bras sur mes cuisses et y pose sa tête.
Elle reste comme ça un moment puis ferme les yeux et commence à parler :
- Elle est née dans ce village il y a quarante ans, elle est allée à l’école du village avec tous les autres enfants, garçons compris, l’école était mixte.
L’école primaire terminée, elle est allée au lycée de la ville voisine un car emmenait tous les enfants là-bas. Vers ses quatorze ans, les petits flirts ont commencé, avec les autres filles et avec les garçons. Le temps passant ces flirts se sont développé et arrivé vers la fin du lycée, à dix huit ans des couples se sont formés. Elle avait jeté son dévolu sur un grand gaillard du village, le plus grand le plus fort et le plus bruyant. Un jour qu’ils se tenaient par la main en se promenant dans le bois, il l’avait entrainée dans des buissons. Il c’était jeté sur elle en l’embrassant fougueusement. Mais ils se sont échauffés mutuellement et le grand gaillard avec sa grosse pine l’avait défloré, après lui avoir arraché sa petite culotte. Il faut dire qu’elle n’avait pas opposé beaucoup de résistance. Mais elle n’en avait pas gardé un bon souvenir, ça avait été brutal et court, elle avait senti un liquide chaud couler dans sa chatte puis c’est tout. Mais comme ils formaient un couple, on avait tout naturellement décidé de les marier. Elle avait dix huit ans et lui vingt et garçon de ferme.
- Ils se sont installés dans une petite maison à l’orée du village, lui travaillait à la ferme et elle donnait un coup de main à l’épicerie du village. Ne connaissant rien du sexe, elle se contentait de subir les assauts de son homme, qui la baisait brutalement tous les jours au début et puis moins avec le temps. Quand il avait bu, il se trompait parfois et la sodomisait, ce qui semblait l’exciter encore plus, son mandrin la faisait saigner du cul tellement il était gros. Elle avait beau lui demander de faire plus doucement, mais rien n’y faisait, il ne pensait qu’à son plaisir à lui, sans tenir compte d’elle. Un jour elle s’est ouverte à une amie, qui lui a proposé de regarder s’il n’y avait pas de dégâts à sa rondelle. Lucia a pris une douche, et a ensuite montré son sexe et ses fesses à sa copine. Cette dernière l’a alors soigneusement examiné tout en jouant au docteur, elle en a profité pour examiner son sexe et son anus. Elle s’est amusée à la caresser et à lui lécher la chatte et sa rondelle, Lucia a aimé, mais savait que ce n’était pas bien. Elle a laissé faire son amie, Sandra, ce qui lui a procuré de la jouissance et lui a fait découvrir le sexe régulièrement. Les années sont passées et un jour son mari s’est tué au travail, elle avait trente-cinq ans, seule et sans avenir.
- Depuis cinq ans elle se demande ce qu’elle va faire, elle n’a pas d’amis, plus de famille. Mais elle a un boulot dans une coopérative du coin.
Je l’écoute en lui caressent la joue, elle me laisse faire, vers seize heures elle relève la tête et me dit :
- On va gouter cette tarte que je t’ai faite.
On se lève avec regret et je m’installe à table et je reçois ma part de tarte que j’englouti. Elle me regarde, ses yeux me demandent ce que j’en pense. Je lui dis tout haut ;
- C’est délicieux
- Tu en veux encore
- Je lui réponds que non
Je me lève et je me dirige vers elle, je la prends dans mes bras, je l’enlace et je l’embrasse, elle répond de suite à ma langue et elle appuie sa chatte contre ma cuisse. Je continue à l’embrasser et ma main se dirige vers ses seins que je plote outrageusement. Elle répond à toute mes caresses, je m’aventure vers son sexe que je caresse à travers ses vêtements. Elle s’excite de plus en plus et elle me glisse à l’oreille ; « comme c’est bon ».
Je glisse ma main sous sa robe et j’arrive à sa culotte, qui est trempée, et je lui caresse sa fente en glissant mes doigts dessus de haut en bas. Lucia gémit et fini par jouir sur mes doigts en gémissant. Je lui enlève sa robe en la passant par-dessus la tête et je lui baisse la culotte sur ses chevilles, à poil elle est vachement mignonne. Elle a un sexe poilu et pas entretenu, des poils hirsutes et de grosses petites lèvres, on voit aussi son clitoris gonflé et gros comme un phalange.
Je la fais monter sur la table, je la couche dessus, je me mets entre ses cuisses et je l’enfile d’un coup, elle grogne et colle son pubis contre le mien sans bouger. Puis on se met à donner des coups de rein frénétiquement et nous explosons tous les deux dans un orgasme de malade.
Après une petite pose, je fais descendre Lucia de la table, et je lui demande de nous guider vers sa chambre et la salle de bain. On se fait une petite beauté, et on se met sur son lit, la chambre est mignonne et elle est très féminine.
On discute, mais je lui demande ; comment, après m’avoir raconté son histoire de souffrances, elle a fait pour avoir un si bel orgasme ?
Elle m’a répondu,
- Qu’avant mon arrivée, elle avait bu un grand verre de rhum.
On fait une gentille sieste, deux heures plus tard on émerge de notre party sexuelle, je regarde le bas de son ventre et je vois cette chatte touffue.
Je lui propose de tailler sa chatte hirsute et de lui donner forme humaine et civilisée.
Elle me trouve un ciseau et une brosse et j’attaque la coiffure de la chatte de Lucia, je passe vingt bonnes minutes sur le problème et je constate que sa vulve laisse échapper de la cyprine. Cette leçon de coiffure n’a pas laissé ma copine insensible.
De son côté, ma queue est de nouveau en pleine forme, je bande bien dur, je me relève, et je frotte ma bite entre les lèvres de son sexe. Lucia suit le mouvement et se frotte à son tour contre mon pénis avec fougue et rapidement nous jouissons en cœur. En relevant la tête je vois une femme appuyée contre le chambranle de la porte fenêtre, une main dans son pantalon, en train de se masturber copieusement.
Elle ne s’arrête pas et jouit sans complexe sous mon regard, voyant que je ne suis plus concentré sur elle, Lucia suit mon regard et découvre la femme, qui est en train de finir de jouir.
On se regarde tous les deux et Lucia me dit tout bas, c’est ma copine Sandra. Cette dernière fini de se masturber avec un grand soupir et ouvre les yeux et nous aperçoit en train de la regarder. Elle nous regarde et nous fait un grand sourire, on se lève et on va la saluer, on s’embrasse, et elle nous dit « j’ai apprécié vos performances », j’aimerais y participer aussi.
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tres bonne histoire sensuelle sexy et bandante...si tu veux m ecrire