La ville de feu

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : La ville de feu Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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La ville de feu
La ville de feu


Cette histoire en un seul texte se passe dans le monde de la série ' Le Roy ' mais n'en fait pas partie même si certains personnages de l'autre histoire viennent à s'y retrouver …



J'avais quitté la caravane. On venait de traverser le désert le plus sec du monde connu, mais peut être y en a-t-il d'autres dans des mondes inconnus, c'est vrai qu'on ne connaît pas tout. J'avais payé mon voyage en travaillant mais à la longue j'avais l'impression qu'ils m'exploitaient aussi la nuit dernière je leur avait fait faux bond.

Sur moi je portais un chapeau de paille, un vieux truc qui ne ressemblait plus à rien mais qui faisait encore son office, j'avais la tête à l'hombre. J'espérais bien ne pas m'être trompé dans mon orientation, je n'avais pas de réserve d'eau. Tout ce que j'avais sur moi était mon chapeau, une petite bourse attachée comme un bracelet à mon poignet et des sandales bien maintenues grâce à des lacets très longs qui remontait presque jusqu'au genoux.

J'étais couvert de poussière et je ne devais pas avoir fier allure.

Je marchais depuis des heures sous ce soleil de feu et c'est là que j'ai vu la ville, elle était belle posée sur son tapis de verdures. Cette vision me redonnait du courage. J'avançais mais je n'avais pas l'impression de m'approcher, je grimpais sur la dune immense, tout en haut il y avait la ville, je serais sauvé.

J'arrivais sur le sommet de la dune, il n'y avait rien. Le soleil m'avait joué un tour, il m'avait fait voir des choses qui n'existaient pas, je me voyais mourir sur place, on ne découvrirait pas mon corps, un jour peut être mon squelette !

Je descendais de l'autre côté de la dune, c'était une grosse dune et de nouveau je la voyais, le terrain devenait plat., j'étais face à une plaine, une surface plane et au milieu à quelques kilomètres, la ville. Je ne voulais pas y croire, je n'osais pas y croire, je revoyais ma vie passer devant mes yeux, si c'était encore un mirage, ce serait le dernier que je verrais, je savais que le soir même je serais mort.

Un berger venait vers moi, ce n'était pas non plus une illusion. Voyant que j'étais mal en point il me donnais à boire, il portait un chapeau et une grosse gourde sur son épaule. Je le remerciais et reprenais ma route, j'étais encore loin de la ville, il y avait des buissons qui poussent sans eau, et un grand troupeau de moutons, je n'hésitais pas à toucher tous ceux qui m'approchaient, c'était sans doute pour me convaincre que je ne rêvais pas.

Puis j'arrivais à l'hombre des arbres qui ceinturaient la ville il faisait froid. Enfin c'était mon impression. J'avançais dans la ville sans trop savoir ou j'allais, je trouvais finalement un endroit calme sous des arbres, il y avait un moulin à vent juste au dessus et il en coulait une fontaine. Un joli ruisseau d'eau coulait et chantait juste à côté de moi. Je somnolais un moment et récupérais.

– Alors voyageur, tu viens de loin ?

C'était la voix d'une femme qui me réveillait. Elle était incroyablement belle, son corps brillait de partout. Était habillé de colliers de perles brillantes. Elle n'avait rien de plus sur le dos. Remarquez, moi je n'avais rien du tout sur moi.

– Je t'invite à prendre un bain, prendre un repas et me donner du plaisir autant qu'à en prendre.

Je ne suis pas né de la dernière pluie. J'ouvrais la petite bourse que j'avais au poignet, j'en sortait une petite pièce de bronze et la lui lançais.

– Si ça suffit pour te payer, c'est tout ce qui me reste. Tout le reste que je possède, tu peux le voir. Rajoutais-je en écartant les bras.

Devant la beauté de cette fille, ma queue s'était réveillée. Lentement elle avait pris du volume et pour terminer elle se redressait, là j'avais bien meilleure allure. Elle me regardait, faisait disparaître la pièce et rajoutait.

– Je crois que je vais accepter et me contenter de ton payement.

Elle se retournait, me montrant son dos, ses fesses et une silhouette particulièrement fine et délicate, ma queue protestait et se plaquait à la verticale contre mon ventre. Elle me faisait signe de la suivre.

Elle m'entraînait dans une maison, la porte était large et un rideau de plantes tombantes en préservait l'intimité. J'étais épuisé et je tombais presque sur le banc, on me servait à manger, et la dame qui m'avait invité me caressait le corps en commençant par les épaules.

Je lui donnais un baiser sur la mains mais, j'avais faim et soif, même si j'avais déjà bien commencé à me désaltérer à la fontaine. Ensuite je mangeais, je sais ce n'est pas très polis d'ignorer les caresses de son hôtesse mais que voulez-vous, j'avais vraiment faim.

Ensuite je me disais qu'il fallait faire un effort pour satisfaire ma généreuse hôtesse, elle était assise juste dans mon dos, et ses mains recommençaient à me caresser, ses mains glissaient rapidement vers mon sexe, je ne débandait toujours pas et je sentais que là, j'allais bander pendant longtemps.

Elle m'attirait et me repoussait sur un lit. Un par un elle retirait ses colliers dévoilant son corps un peu plus à chaque collier qui disparaissait. C'est entièrement nue qu'elle venait s'allonger sur moi. J'étais nu moi aussi et c'est tout mon corps qui frémissait à ce contact. Une autre femme plus grosse et plus âgée ouvrait le rideau au fond la salle, elle s'inclinait vers sa patronne, me saluait et disait juste … '' Le bain est prêt !''.

J'y croyais pas, on me traitait comme un prince. Je n'avais pas le sou mais on me traitait comme un hôte de marque. Je m'enfonçais dans le bain, la dame s'installait juste à côté de moi, avec une sorte de mousse qui retenait l'eau et qui était d'une douceur incroyable elle me lavait, tout mon corps y est passé.

– C'est une éponge naturelle. Me disait-elle en me caressant le corps avec cette sorte de mousse. Il paraît que c'est fait avec des poissons, des écailles de poissons sans doute. Mais moi je pense que les marchants nous racontent des blagues.

Elle commençait par mes épaules, puis quand elles étaient propres, m'embrassait avec douceur, comme pour vérifier, pendant qu'un de mes bras y passait, puis c'était l'autre bras. Ma queue était au garde à vous depuis un moment et y restait.

Je penchais ma tête en arrière et fermais les yeux, elle me lavais le visage mais l'éponge naturelle qu'elle utilisait était tellement douce que je la confondais presque avec ses baisers.

Puis elle s'est glissée dans mon bain, pas à côté de moi mais sur moi et moi je glissais en elle. Quelques heures plus tôt j'étais dans le désert sur le point de mourir et là j'étais dans un bain avec dans les bras une de ces sirènes qui sait capturer les voyageurs en leur faisant passer l'envie de repartir.

Ma queue glissait en elle, entrait, ressortait, et les contractions de ses entrailles me la massait avec douceur et force. C'était chaud, doux et humide. Ses cuisses glissaient contre les miennes. Mon sexe était de belle taille mais il trouvait une place généreuse entre les cuisses de cette reine.

On a mis de l'eau partout mais, ici, il faisait toujours chaud et quand nous sortions de la baignoire l'eau que nous avions projetée était déjà en train de sécher.

Elle m'entraînait déjà vers le lit, je bandais toujours. Elle me repoussait sur le lit puis s'allongeait sur moi. Elle glissait contre moi et je sentais ses seins qui me caressaient depuis les épaules jusqu'à mes cuisses puis je sentais ses lèvres se refermer sur ma queue, je la sentais entrer dans sa bouche.

Ce n'était pas seulement une professionnelle, c'était une experte !

Ma queue entrait puis ressortait, sa langue passait sur mon gland, tournait autour puis ma queue s'enfonçait. Elle ne ressortait que pour y retourner.

Elle remontait son visage vers le mien en me couvrant de baisers, arrivée à ma bouche elle me donnait alors un baiser intense en me glissant en elle. Là moi, j'ai rien fait, c'est elle qui avait pris les opérations en mains. Elle s'empalait sur mon membre, et il était de belle taille je vous le certifie.

Elle se relevait me laissant caresser ses seins généreux et fermes. Elle sursautait doucement, ma queue glissait dans son ventre. Je lui caressais les seins et je lui donnais des coups de bassin qui enfonçaient mon sexe bien à fond dans son ventre.

Je ne savais plus tout à fait ou j'étais. Il faisait chaud mais la salle était presque fraîche. On roulait l'un sur l'autre, je continuais à faire glisser ma bite dans son ventre, à bien l'agiter quand je sentais une plaisir monter en monter en moi.

Je l'ai serrée très fort dans mes bras et j'ai senti son ventre se resserrer autour de ma queue. Un instant c'était violent, violent mais doux, violent mais tendre, violent mais ne laissant aucune blessure, au contraire, nous retombions l'un sur l'autre, comblés, heureux, mais encore intimement mélangés.

Un peu plus tard, elle m'a laissé et moi je me suis endormi.

J'avais du lui plaire, elle m'invitais à m'installer dans l'appartement au dessus et me donnait un peu d'argent. Bon, ce n'est pas la première fois que je plaisais à une fille. Ça peut servir d'être bogosse .

Et bogosse, je l'étais. Le lendemain on me regardait, les femmes me regardaient avec envie, les hommes me regardait avec jalousie, d'autres avec envie aussi et il y avait les chastes qui portent un dispositif de chasteté … Ceux là je leur pète le cul s'il m'embêtent.

Ma petite reine m'incitait à m'acheter des vêtements, je me suis acheté une paire de sandale superbe et un chapeau tout beau, pour le reste, bein j'avais besoin de rien, une tunique aurait caché ma beauté naturelle.

En face de notre hôtel il y avait un hôtel officiel, pour les voyageurs de marque. Dans une chambre à côté il y avait un homme dans mes âge qui était beau comme un dieu qui n'était ni envieux de moi ni jaloux. Il avait tout ce qu'il fallait pour plaire aux plus difficiles, autant hommes que femmes … Il était enculateur, et c'est un métier très honorable ici ! ( je précise parce que … des fois … )

J'étais là depuis deux jours, enfin c'était le soir du deuxième jours. Un employé de l'hôtel d'en face arrivait vers nous, nous nous prélassions à poil, pardon la précision est ridicule, nous n'avions même pas de vêtements à part une cape et des sandales et à ce moment sur nous l'un comme l'autre … On était donc décontracter à côté d'une petite fontaine, un homme qui sortait de l'hôtel d'en face et qui portait un dispositif de chasteté arrivait ver mon camarade …

– Il nous faut deux enculateurs pour tout de suite, on à deux clients chastes à satisfaire.
– On arrive ! Répondait-il.

Je regardais sans comprendre.

– Aller je t'enrôle. Me disait-il. Tu me suis.

Je le suivais, il entrait dans mon hôtel voir ma nouvelle femme ( depuis la veille ), il lui demandait quelque chose. En fait c'était elle la patronne. Elle nous faisait boire un verre de je ne sais quoi et nous laissait partir.

On arrivait dans l'hôtel officiel, on nous conduisait dans une grande salle, c'était une salle de massage. Les masseurs venaient de terminer leur travail et deux des six clients présents avaient demandé nos service

– Tu fais comme moi ! Me lançait Totor. C'était mon nouveau copain …

Alors j'ai fait comme lui, je lubrifiait généreusement le cul de mon client. Ils étaient six pour le massage mais deux seulement nous avaient demandé. Je glissais deux doigts dans son cul puis passait à plus sérieux. Je bandais déjà ferme et bien comme il faut, pourtant rien ne m'avais stimulé. Après avoir joué pendant un petit moment avec son cul je mettais ma queue en position et toujours en suivant ce que faisait mon camarade je poussait, ma queue entrait en entier.

Il a gueulé, j'y était peut être allé un peu fort, un peu rapide. Je ne me retirais pas mais je me calmais, je marquais une pose, il reprenait son souffle. Quand il me disait '' C'est bon, vas y'', je reprenais avec la même violence. Il a poussé un cri mais ne m'a pas demandé d'arrêter, j'ai continué !

Avec Totor on a fini par se lâcher, on limait nos clients, on les limait avec force et régularité, rapidement je finissais pas y prendre goût, c'est que ça finissait par me plaire cette histoire.

Les coups que nous portions étaient rapides et fermes, puis lents mais violents, je variais la vitesse et la force. Je sentais le plaisir monter mais je n'avais pas de mal à me retenir. Je n'éjaculerais qu'au moment ou je le déciderais.

Totor m'a expliqué plus tard que c'était la potion que nous avait donné la patronne qui faisait ça. C'était génial, on bandait d'un rien mais il fallait y aller pour éjaculer.

Et on n'y est allé, mais on n'a pas réussi à conclure.

Nos clients râlaient de plaisir, ils gémissaient et se tordaient dans tous les sens, je me suis allongé sur le mien et pendant qu'il jutait je lui faisais un câlin.

Ils étaient ravis de nos services. Les cinq autres qui nous avaient regardé faire et semblaient émus également. On a salué nos clients et on est rentré.

Au retour je ne débandais pas, toujours pas.

– C'est efficace ce truc me faisait remarqué Totor qui lui aussi était toujours en érection.
– Mais ça m'a l'air bien ce boulot !
– Tu as toutes les qualités pour le faire, en plus. Rajoutait-il en regardant ma queue.

Finalement je me suis installé. Ça fait maintenant quelques années que je travaille et que je profite de la vie. Maintenant j'habite la chambre à côté de celle de Totor, la patronne m'a largué, Totor aussi avait été son amant avant moi mais tout le monde est en bon terme.

On économise de l'argent, d'après Totor, le climat ici est idéal pour élever des moutons et produire de la laine. Quand on aura assez d'argent on va s'associer, acheter un troupeau. Je me marierai, je prendrai une femme et peut être aussi un époux, si, si, on peut il suffit qu'il porte un dispositif de chasteté permanent. C'est dans la morale de notre pays.


Fin



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Texte coquin : La ville de feu
Histoire sexe : Une rose rouge
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