La visite médicale - histoire érotique

Bonjour, c'est Yann. Depuis notre première fois dans le vestiaire, il s'est passé beaucoup de choses entre Jennifer et moi. Nous avions décidé de rester professionnels et de nous faire plaisir uniquement dans nos moments de tranquillité et de solitude (comme elle était mon entraîneur, notre relation serait mal vue dans le domaine du sport) Dans le récit que je vais vous raconter, Jennifer sera absente. Cette histoire a commencé le jour où j'ai reçu le formulaire d'inscription pour le tournoi régional. Tout heureux de pouvoir participer à mon premier tournoi, je le remplis tout de suite après l'avoir reçu et l'envoyai le jour même à l'adresse indiquée sur le formulaire. Il ne me restait plus qu'à attendre la confirmation de mon inscription au tournoi. Le précieux sésame arriva dix jours plus tard. J'étais officiellement inscrit au tournoi. Le courrier me rappelait également le jour et l'heure de ma visite médicale d'avant-tournoi ainsi que le programme du tournoi. Ma visite médicale était prévue deux jours avant le début du tournoi. Le temps passa et le jour du tournoi approchait à grands pas. L'avant-veille du tournoi, je dus aller à la visite médicale exigée avant le tournoi. Lorsque j'arrivai à l'adresse indiquée sur le courrier, je m'annonçai à la réceptionniste qui me demanda d'attendre un moment, le temps que l'infirmière finisse sa précédente consultation. Je m'assis donc sur une chaise et prit un magazine se trouvant sur l'étagère de la salle d'attente et commençai à le feuilleter en attendant mon tour. Quinze minutes plus tard, un gars sortit de la salle de consultation et une voix appela: «Yann?»
Je me levai et suivis l'infirmière dans la salle de consultation. Ce qu'elle était belle avec sa blouse blanche qui soulignait à merveille les courbes de ses hanches et sa magnifique poitrine! Mon regard descendit ensuite vers son cul. Et quel cul! Magnifiquement mis en valeur par un pantalon noir moulant, il était tout simplement bandant. Comme tout le reste de son corps, d'ailleurs. Quant à son visage, ses yeux bruns donnaient envie de s'y plonger par leur agréable combinaison de la douceur et de la malice. Sa bouche, fine et pulpeuse, donnait envie de l'embrasser amoureusement. Et sa coiffure, banale mais jolie, la rendait encore plus jolie. Ses longs cheveux bruns lui tombaient jusqu'au bas du dos et je n'avais envie que d'une chose: les caresser. Cette belle infirmière me faisait bander comme un fou et me faisait déjà rêver. Sa voix vint cependant briser ma rêverie.
«Mets-toi en sous-vêtements et va te peser sur la balance. Ensuite, annonce-moi ton poids.»
J'obéis à cette jolie voix teintée d'un léger accent d'Europe de l'est. Lorsque je me déshabillai, ce fut l'horreur. Ma bite, droite et dure, dépassait de mon boxer de trois bons centimètres. Je ressentis immédiatement une gêne vis-à-vis de cette belle infirmière de l'Est qui avait à présent une vue rêvée(trop rêvée) sur mon sexe dressé. Elle eut un petit rire amusé et me dit:
« Tu penses à une jolie fille?»
Je hochai la tête puis la regardai fixement. Elle comprit et me dit, dans un rire encore plus amusé qu'auparavant:
« Ne me dis pas que c'est moi qui te fais bander comme ça!»
Sans réfléchir, je la saisis par les hanches et l'embrassai. Elle me rendit mon baiser. Notre baiser dura deux courtes minutes après lesquelles elle me repoussa gentiment de la main en me disant: « On fera ça pendant ma pause. Juste après toi.»
Je lâchai donc la belle infirmière et allai sur la balance pour me peser. Je lui annonçai ensuite mon poids et elle prit un stéthoscope afin d'évaluer les battements de mon cœur. Elle rangea ensuite son instrument et m'ordonna de m'allonger sur le lit en attendant son retour. J'obtempérai et attendis, la queue droite et dure, qu'elle revienne. J'entamai une masturbation lente mais puissante. Quelques minutes plus tard, la belle infirmière reparut. Elle était totalement nue et je la vis dans toute sa condition de femme. Quelle beauté! Ses seins, dont les tétons pointaient vers moi, étaient beaux et fiers. Son corps fin et bien sculpté était encore plus bandant et sa chatte, avec sa raie noire, me la faisait désirer encore plus fort. L'envie de me branler était forte mais je dus résister de peur de décevoir ma belle infirmière (je vous le dis personnellement: je déteste voir une femme déçue.) La belle infirmière me rejoignit sur le lit et se mit à califourchon sur moi. Elle s'empala sur ma queue et fit d'abord de petits mouvements de va et vient avant d'accélérer le mouvement. Mon sexe s'enfonçait dans sa chatte et en ressortait presque pour s'y enfoncer à nouveau encore plus loin et encore plus fort. Je soupirai de plaisir. Ma belle infirmière de l'Est poursuivit ses va et vient sur ma queue pendant cinq minutes encore avant de faire sortir ma queue de son son antre chaude et humide. Nous changeâmes ensuite de position. L'infirmière se mit à quatre pattes sur le lit, dos à moi. Son cul de rêve était à présent offert à ma vue et à ma queue. Je pris mon membre viril dans ma main et le guidai lentement vers l'orifice anal de la belle infirmière. Je caressai ensuite doucement l'anus de la belle avec mon gland avant de la sodomiser. Mes trois premiers va et vient furent lents et puissants afin de faire désirer la sodomie à cette belle jeune femme. Après qu'elle eût manifesté son plaisir par un soupir, j'accélérai le mouvement de mes va et vient. L'infirmière soupira très fort pour manifester son plaisir. Au bout de dix minutes, je sortis de son cul et la retournai pour pouvoir la coucher sur le dos. Je repris mon membre viril dans ma main et le guidai vers la bouche de ma partenaire qui me tailla une pipe magistrale. Après cinq minutes de fellation, je sortis ma queue de sa bouche et allai me branler dans ses seins. Mes va et vient se firent rapides et puissants entre ses seins de déesse. Je commençais à pousser de râles de plaisir. Puis, après dix minutes de branlette espagnole, j'éjaculai sur les seins de ma superbe infirmière. Puis, finalement, comme j'aimais le faire, je promenai ma bite sur la poitrine de ma partenaire afin d'y étaler ma semence. Tous les deux apaisés, nous nous rhabillâmes. Juste avant que je ne parte, ma belle infirmière me tendit un papier. Je l'ouvris. Son prénom et son numéro de téléphone y étaient écrits. «Ilona..........» (J'ai fait exprès de ne pas citer le numéro de téléphone par souci de confidentialité)
« Je veux te revoir!» me dit-elle.
« Moi aussi!» lui répondis-je en lui donnant un dernier baiser.
Je quittai donc le cabinet avec un sentiment très particulier: l'excitation. Je jouais à présent un double jeu entre ma coach et mon infirmière. Il fallait que je choisisse l'une des deux un jour ou l'autre. Je décidai cependant de continuer à jouer ce petit jeu pendant un quelque temps avant d'avouer la situation à mes deux amours.
La suite dans le prochain épisode.
Yann