La vitrine
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
La vitrine
Je passe rapidement devant un magasin, en coup de vent
j'aperçois une silhouette de jeune femme. Je continue à marcher.
Soudain je suis frappé par ce fugace souvenir. Je
fais demi tour et cette fois je la vois, terriblement sexy, une belle
brune aux yeux azur: une rareté. Je ne sais même pas ce qui se
vend dans cette boutique, peut importe: il faut que je la vois de plus
près et surtout lui parler. J'entre et je reste un moment ébloui
devant une telle beauté. Ce n'est pas possible, sinon dans mes
rêves les plus fous de voir une si belle femme. elle me dit bonjour
d'une voie grave, presque enrouée comme quand une femme est
au sommet de son excitation, juste avant de recevoir sa
récompense sous forme d'orgasme.
Je réponds à son bonjour et lui demande ce qu'elle vend. Elle me
regarde d'un air étonné: c'est bien parqué sur la devanture, je n'ai
même pas fait attention que c'est une papeterie. Encore heureux
que ce ne soit pas un magasin de vêtements féminins. Je demande
une rame de papier tout simple. Elle me sert et comme je ne la
quitte pas de yeux un seul instant, elle se doute bien que je ne suis
pas venu acheter quoique ce soit.
Elle me sourit: elle a compris ce que je désire: elle. Elle me toise et
je doit lui plaire, puisqu'elle me dit qu'elle sort à 19 heures et que si
je veux l'attendre, elle me rejoindra. J'ai séduit une jolie femme sans
dire un mot. Mon regard éloquent évite de sortir des bêtises. Je
ressort en oubliant mon achat: je dois être bien mordu.
A l'heure dite je la retrouve devant la boutique fermée. Sans hésiter
je lui prends un bras qu'elle ne me refuse pas et l'entraîne vers un
café. A dire vrai je ne sais pas où aller simplement pour
l'embrasser.
Nous allons vers le fond et là j'approche mes lèvres des siennes.
J'ai peur qu'elle refuse ma bouche: pourtant dès que le touche ses
lèvres, elle les ouvre pour que nos langues se frôlent. Je reconnais
quelle embrasse admirablement bien. Notre baiser est très long,
trop long pour ma queue qui se trouve en érection. Je ne sais si
pour elle c'est pareil. Je touche à peine sa poitrine. elle me prend la
main et l'appui sur elle. Je pense qu'elle veut aller assez loin dans
ses contacts. Si je garde ma main sur un sein, elle pose une main à
mi cuisse, presque à hauteur de mon sexe. Si elle monte un peu,
elle saura que je bande, et alors ?
Je l'embrasse dans le cou et murmure que j'ai envie d'elle. Elle ne
ne répond pas et me donne encore ses lèvres. A mon tour je pose ma
main sur sa cuisse, juste là où s'arrête sa jupe assez courte. Elle
me laisse faire. Elle garde sa main sur ma cuisse. Je remonte
lentement le long de ses jambes qu'elle écarte légèrement. Je
caresse la peau douce entre les cuisses. Enfin je touche son slip
qui me semble bien humide. J'écarte légèrement le bord et rentre
ma main jusqu'à son sexe. D'un doigt j'arrive vers son petit bouton
qui durcit un peu. Je commence à le caresser: elle se laisse aller
sur mon épaule et murmure un oui à peine audible. Je continue
jusqu'au moment où elle serre ses cuisses sur ma main en
murmurant: je jouis.
Sa main n'est plus immobile elle l'a posé sur ma bite bien dure. Elle
me branle à travers le pantalon. Elle ne fait que me donner encore
plus envie d'elle. Je lui dis que je veux la baiser, elle me répond
qu'elle aussi veut que je la baise. Je l'embrasse encore. Je me
demande où aller. Je ne lui pose même pas la question: elle a déjà
la réponse: chez elle nous pouvons faire ce que nous voudrons:
elle habite seul un studio pas loin.
Entrés chez elle, c'est elle qui se jette dans mas bras, elle
m'embrasse. Nous n'avons plus aucune pudeur: nous sommes
simplement un couple avec une seule envie: baiser.
Je lui remonte la jupe, passe mes mains par derrière et descends
son slip jusqu'au début de fesses. Je passe ma main sur toute la
largeur de son postérieur. Gênée par ses vêtement elle entame un
Strip-tease qui a le don de m'exciter à fond. Je fais comme elle. nous
voilà entièrement nus. J'admire ses seins durs en pointe, sa touffe
de poils sur son bas ventre, sa taille. Elle de son coté s'intéresse à
ma queue. Quoi de plus normal que de regarder l'organe qui va
vous faire du bien. Elle la prend en main et commence à me branler
avec beaucoup de talent.
Moi, je me contente de passer ma main dans sa fente depuis le cul
jusqu'au clitoris où je m'attarde pour la faire encore jouir. Encore
une fois d'une petite voix elle dit qu'elle jouit. Au lieu de continuer à
jouer à touche pipi, elle m'entraîne sur le lit. Je suis presque sur
elle: je lui embrasse les seins, ma main descend vers son nombril
pour aller cette fois ci non pas sur son clitoris, mais vers son vagin
dans lequel je rentre deux doigts à la recherche de son point G. Là
je ne me presse pas: je frôle simplement l'endroit. Elle ne résiste
pas du tout: elle attends tout simplement un autre orgasme qui sera
plus violent que les deux premiers. Elle est secoué par cette
jouissance et ne dit plus qu'elle jouit, elle hurle presque son plaisir.
En guise de récompense elle ouvre ses jambes en disant
simplement: baises moi. je ne peux que la satisfaire, je meurs
d'envie de jouir en elle. Elle me guide à peine: son vagin est très
mouillé après tout ce que je lui ai fais. Je rentre lentement en
faisant durer le plaisir. Elle sait que je veux faire durer mon plaisir.
Aussi elle se laisse faire sans trop bouger, sauf qu'elle jouit encore
et encore avant que je décharge mon sperme dans son con.
Je me retire d'elle: je lui caresse encore l'entre jambe en allant
cette fois p'attarder sur son anus. J'en caresse les bords sans
jamais toucher à son cul. Je n'appuies pas beaucoup. Je lui
murmure des mots tels que: tu est une salope, un putain, une fille
des rues. je dois l'exciter puisque je l'emmène encore vers un
orgasme. Elle me prend encore la queue qui sous sa main durcit
assez pour que je entre encore en elle. Elle se met d'elle même en
levrette. Elle me donne son cul. J'y rentre très lentement. Elle en
veut plus et d'un seul coup de rein elle fait rentrer ma queue dans
son cul à fond. Je la lime longtemps (il ne faut pas oublier que j'ai
jouis il y a peu). Je sens ses jouissances autour de ma bite. Enfin
je lâche dans ses intestins le reste de sperme qui me reste dans le
couille, au moins pour le moment.
Que fait une fille satisfaite après une bonne baise: elle ne réclame
que quelques caresses supplémentaires pour être totalement
assouvie. Je m'y emploies et elle m'en remercie par de nombreux
baisers.
Nous bavardons un instant: elle n'est arrivée en ville que depuis
peu et je suis le seul à lui avoir fait comprendre que je voulais la
baiser. Elle n'avait pas eu un seul contact avec une autre personne
depuis de longues semaines et elle ne regrette pas nos
délassements. La seule chose qui lui importe est que nous baisions
encore ensemble.
Cette confession me donne encore envie d'elle. Elle me voit
bander. Comme un petit enfant qui veut un bonbon, elle me
demande de faire un 69. Comment refuser, puisque nos bouches
n'avaient pas encore connus le sexe de l'autre. Je me couche et
elle commence déjà à me prendre en bouche bien avant que je lui
mette mes lèvres sur son con.
Nous avons vécu ensemble un moment de pure folie. Sa langue
enveloppe mon bout de la pine et l'avale presque en entier. Je lui
prends également son clitoris que je ne lâche plus même pendant
ses jouissances nombreuses. Je me demande comment elle peut
jouir autant.
Elle se confie à moi: depuis sa plus tendre jeunesse elle se branle
souvent et depuis aime jouir plusieurs fois de suite. Elle le montre
aussitôt: elle écarte bien les lèvres de son con en fait ressortir le
clitoris et le caresse jusqu'à une autre jouissance. Elle murmure je
jouis et ferme les cuisses comme à chaque fois.
Voir cette branlette me mets encore en appétit. Je suis près à
baiser à nouveau. Pourtant ce qu'elle désire parce qu'elle aime le
voir, je dois me branler là maintenant. Je bande surtout à cause de
son regard braqué sur ma main qui tient la queue. J'amorce les vas-
et viens. Elle regarde de plus près. Je jouis: elle s'approche et
aspire mon sperme au moment de ma jouissance. Je n'ai jamais
autant eu d'orgasme à la file qu'aujourd'hui.
Finalement je suis rompu et m'endors près d'elle. je me réveille au
petit matin: elle dors comme un bébé. Je n'ose la réveiller. Je
m'habille, laisse un mot bien en vue et m'en vais.
Je ne lui dit rien d'autre que je la veux encore pour continuer nos
exploits.
j'aperçois une silhouette de jeune femme. Je continue à marcher.
Soudain je suis frappé par ce fugace souvenir. Je
fais demi tour et cette fois je la vois, terriblement sexy, une belle
brune aux yeux azur: une rareté. Je ne sais même pas ce qui se
vend dans cette boutique, peut importe: il faut que je la vois de plus
près et surtout lui parler. J'entre et je reste un moment ébloui
devant une telle beauté. Ce n'est pas possible, sinon dans mes
rêves les plus fous de voir une si belle femme. elle me dit bonjour
d'une voie grave, presque enrouée comme quand une femme est
au sommet de son excitation, juste avant de recevoir sa
récompense sous forme d'orgasme.
Je réponds à son bonjour et lui demande ce qu'elle vend. Elle me
regarde d'un air étonné: c'est bien parqué sur la devanture, je n'ai
même pas fait attention que c'est une papeterie. Encore heureux
que ce ne soit pas un magasin de vêtements féminins. Je demande
une rame de papier tout simple. Elle me sert et comme je ne la
quitte pas de yeux un seul instant, elle se doute bien que je ne suis
pas venu acheter quoique ce soit.
Elle me sourit: elle a compris ce que je désire: elle. Elle me toise et
je doit lui plaire, puisqu'elle me dit qu'elle sort à 19 heures et que si
je veux l'attendre, elle me rejoindra. J'ai séduit une jolie femme sans
dire un mot. Mon regard éloquent évite de sortir des bêtises. Je
ressort en oubliant mon achat: je dois être bien mordu.
A l'heure dite je la retrouve devant la boutique fermée. Sans hésiter
je lui prends un bras qu'elle ne me refuse pas et l'entraîne vers un
café. A dire vrai je ne sais pas où aller simplement pour
l'embrasser.
Nous allons vers le fond et là j'approche mes lèvres des siennes.
J'ai peur qu'elle refuse ma bouche: pourtant dès que le touche ses
lèvres, elle les ouvre pour que nos langues se frôlent. Je reconnais
quelle embrasse admirablement bien. Notre baiser est très long,
trop long pour ma queue qui se trouve en érection. Je ne sais si
pour elle c'est pareil. Je touche à peine sa poitrine. elle me prend la
main et l'appui sur elle. Je pense qu'elle veut aller assez loin dans
ses contacts. Si je garde ma main sur un sein, elle pose une main à
mi cuisse, presque à hauteur de mon sexe. Si elle monte un peu,
elle saura que je bande, et alors ?
Je l'embrasse dans le cou et murmure que j'ai envie d'elle. Elle ne
ne répond pas et me donne encore ses lèvres. A mon tour je pose ma
main sur sa cuisse, juste là où s'arrête sa jupe assez courte. Elle
me laisse faire. Elle garde sa main sur ma cuisse. Je remonte
lentement le long de ses jambes qu'elle écarte légèrement. Je
caresse la peau douce entre les cuisses. Enfin je touche son slip
qui me semble bien humide. J'écarte légèrement le bord et rentre
ma main jusqu'à son sexe. D'un doigt j'arrive vers son petit bouton
qui durcit un peu. Je commence à le caresser: elle se laisse aller
sur mon épaule et murmure un oui à peine audible. Je continue
jusqu'au moment où elle serre ses cuisses sur ma main en
murmurant: je jouis.
Sa main n'est plus immobile elle l'a posé sur ma bite bien dure. Elle
me branle à travers le pantalon. Elle ne fait que me donner encore
plus envie d'elle. Je lui dis que je veux la baiser, elle me répond
qu'elle aussi veut que je la baise. Je l'embrasse encore. Je me
demande où aller. Je ne lui pose même pas la question: elle a déjà
la réponse: chez elle nous pouvons faire ce que nous voudrons:
elle habite seul un studio pas loin.
Entrés chez elle, c'est elle qui se jette dans mas bras, elle
m'embrasse. Nous n'avons plus aucune pudeur: nous sommes
simplement un couple avec une seule envie: baiser.
Je lui remonte la jupe, passe mes mains par derrière et descends
son slip jusqu'au début de fesses. Je passe ma main sur toute la
largeur de son postérieur. Gênée par ses vêtement elle entame un
Strip-tease qui a le don de m'exciter à fond. Je fais comme elle. nous
voilà entièrement nus. J'admire ses seins durs en pointe, sa touffe
de poils sur son bas ventre, sa taille. Elle de son coté s'intéresse à
ma queue. Quoi de plus normal que de regarder l'organe qui va
vous faire du bien. Elle la prend en main et commence à me branler
avec beaucoup de talent.
Moi, je me contente de passer ma main dans sa fente depuis le cul
jusqu'au clitoris où je m'attarde pour la faire encore jouir. Encore
une fois d'une petite voix elle dit qu'elle jouit. Au lieu de continuer à
jouer à touche pipi, elle m'entraîne sur le lit. Je suis presque sur
elle: je lui embrasse les seins, ma main descend vers son nombril
pour aller cette fois ci non pas sur son clitoris, mais vers son vagin
dans lequel je rentre deux doigts à la recherche de son point G. Là
je ne me presse pas: je frôle simplement l'endroit. Elle ne résiste
pas du tout: elle attends tout simplement un autre orgasme qui sera
plus violent que les deux premiers. Elle est secoué par cette
jouissance et ne dit plus qu'elle jouit, elle hurle presque son plaisir.
En guise de récompense elle ouvre ses jambes en disant
simplement: baises moi. je ne peux que la satisfaire, je meurs
d'envie de jouir en elle. Elle me guide à peine: son vagin est très
mouillé après tout ce que je lui ai fais. Je rentre lentement en
faisant durer le plaisir. Elle sait que je veux faire durer mon plaisir.
Aussi elle se laisse faire sans trop bouger, sauf qu'elle jouit encore
et encore avant que je décharge mon sperme dans son con.
Je me retire d'elle: je lui caresse encore l'entre jambe en allant
cette fois p'attarder sur son anus. J'en caresse les bords sans
jamais toucher à son cul. Je n'appuies pas beaucoup. Je lui
murmure des mots tels que: tu est une salope, un putain, une fille
des rues. je dois l'exciter puisque je l'emmène encore vers un
orgasme. Elle me prend encore la queue qui sous sa main durcit
assez pour que je entre encore en elle. Elle se met d'elle même en
levrette. Elle me donne son cul. J'y rentre très lentement. Elle en
veut plus et d'un seul coup de rein elle fait rentrer ma queue dans
son cul à fond. Je la lime longtemps (il ne faut pas oublier que j'ai
jouis il y a peu). Je sens ses jouissances autour de ma bite. Enfin
je lâche dans ses intestins le reste de sperme qui me reste dans le
couille, au moins pour le moment.
Que fait une fille satisfaite après une bonne baise: elle ne réclame
que quelques caresses supplémentaires pour être totalement
assouvie. Je m'y emploies et elle m'en remercie par de nombreux
baisers.
Nous bavardons un instant: elle n'est arrivée en ville que depuis
peu et je suis le seul à lui avoir fait comprendre que je voulais la
baiser. Elle n'avait pas eu un seul contact avec une autre personne
depuis de longues semaines et elle ne regrette pas nos
délassements. La seule chose qui lui importe est que nous baisions
encore ensemble.
Cette confession me donne encore envie d'elle. Elle me voit
bander. Comme un petit enfant qui veut un bonbon, elle me
demande de faire un 69. Comment refuser, puisque nos bouches
n'avaient pas encore connus le sexe de l'autre. Je me couche et
elle commence déjà à me prendre en bouche bien avant que je lui
mette mes lèvres sur son con.
Nous avons vécu ensemble un moment de pure folie. Sa langue
enveloppe mon bout de la pine et l'avale presque en entier. Je lui
prends également son clitoris que je ne lâche plus même pendant
ses jouissances nombreuses. Je me demande comment elle peut
jouir autant.
Elle se confie à moi: depuis sa plus tendre jeunesse elle se branle
souvent et depuis aime jouir plusieurs fois de suite. Elle le montre
aussitôt: elle écarte bien les lèvres de son con en fait ressortir le
clitoris et le caresse jusqu'à une autre jouissance. Elle murmure je
jouis et ferme les cuisses comme à chaque fois.
Voir cette branlette me mets encore en appétit. Je suis près à
baiser à nouveau. Pourtant ce qu'elle désire parce qu'elle aime le
voir, je dois me branler là maintenant. Je bande surtout à cause de
son regard braqué sur ma main qui tient la queue. J'amorce les vas-
et viens. Elle regarde de plus près. Je jouis: elle s'approche et
aspire mon sperme au moment de ma jouissance. Je n'ai jamais
autant eu d'orgasme à la file qu'aujourd'hui.
Finalement je suis rompu et m'endors près d'elle. je me réveille au
petit matin: elle dors comme un bébé. Je n'ose la réveiller. Je
m'habille, laisse un mot bien en vue et m'en vais.
Je ne lui dit rien d'autre que je la veux encore pour continuer nos
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