La voisine
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
La voisine
Ses cheveux sont coupés courts. Le soleil se faufile entre ses mèches brunes. Elle me sourit.
« Désolé pour hier soir, on a été un peu bruyants. »
‘Un peu bruyant’ – quel euphémisme ! A trois reprises j’ai pu savourer le crescendo de soupirs, gémissements et cris – sans compter les claquements de peau et le battement sourd du lit contre la cloison plâtre. Mais face à ce visage sublime, mon agacement s’efface. Et puis en réalité, leur valse nocturne ne m’a pas déplu. Au moins ma nuit d’insomnie aura été divertie. Je m’étais imaginé la courbure de ses fesses, se frottant au bassin de son amant ; sa bouche esquissant ce même sourire qu’elle arbore en guise d’excuse, tandis qu’elle se laissait aller à l’orgasme. Alors je ne peux m’empêcher de lui rendre son sourire,
« Ça va, de toute façon je regardais un film. »
« Toute la nuit ? »
A présent son expression est presque coquine, moqueuse. Je ne dis rien. Elle se retourne,
« Viens, entre. »
Elle porte une nuisette rose. La lumière laisse deviner ses formes délicieuses. J’observe ses fesses, finement cachées par se tissu fin. J’ai envie d’elle et je pense qu’elle le sait. Elle n’a que 18 ans, six ans de moins que moi, et se porte avec toute la confiance de celle qui a récemment découvert la liberté.
« Un café ? »
« Heu… oui avec plaisir. »
« Ferme la porte s’il te plait. »
Son amant est parti. J’ai attendu qu’il la laisse pour venir la voir. Je m’étais convaincu que mon intention était d’éviter de l’embarrasser devant celui-ci ; mais à vrai dire je pense qu’une part de moi espérait pouvoir la séduire.
Elle est de taille moyenne. Elle a les hanches plutôt larges mais ça lui va à merveille. Une poitrine généreuse, un visage fin et un tout petit ventre que l’on aperçoit à travers la toile de sa nuisette. Je me sens durcir alors je m’empresse de m’asseoir en face d’elle à sa petite table.
« Faut dire que Samedi dernier ta petite amie n’a pas été très discrète non plus. »
Je suis tellement surpris par la remarque que j’en perds mes mots. En effet j’avais eu de la compagnie ce weekend mais je croyais que ma voisine était absente. A présent son sourire s’élargit, je me rends compte que je rougis. Elle rit, un son merveilleux.
« Mais nan, ne t’inquiètes pas. C’était plutôt agréable à écouter en réalité. J’avais passé une sale journée. Savoir que vous preniez votre pied m’a rassuré. »
« Ah bon ? »
« Oui, ça ne t’es jamais arrivé d’écouter aux murs ? Je trouve ça délicieusement pervers. » Elle me fait un clin d’œil.
M’aurait-elle donc entendue lorsque je m’étais collé à la cloison, honteux et excité à la fois pour m’insérer, sans qu’ils le sachent, dans leurs ébats ?
« Et sinon, si on ne t’a pas gêné, tu souhaitais me voir pourquoi ? Pas que ça m’embête de te voir, au contraire. »
Pendant un instant mon cerveau panique. J’ai totalement oublié le prétexte que je m’étais donné pour venir apercevoir son joli visage.
« Heu… Ah oui ! » Ca me revient d’un coup. Mais à présent je suis grillé. Mon hésitation a révélé mes intentions, j’en suis certain. Je continue cependant dans ma charade.
« Je voulais te demander si toi aussi tu avais des coupures d’eau fréquentes… »
« Ah non. Toi oui ? »
« Oui, souvent. » Je mens comme je respire à présent. Lorsque je m’étais inventé cette excuse, elle m’avait parue bien plus crédible.
« Eh bien la prochaine fois, viens prendre une douche chez moi. » Encore ce sourire éclatant.
Je ris. Nous buvons en silence le café. Le blanc dure, en devient presque insupportable. Enfin, je trouve de nouveau le courage de parler,
« Mais tu sais, samedi, ce n’était pas ma petite amie. »
« Et moi ce n’était pas mon copain. C’est génial, on va pouvoir les faire se rencontrer. »
Cette fois le sourire est mutuel. Je retrouve peu à peu ma confiance.
« Tu ouvres toujours la porte habillé comme tu l’es ? »
« Et toi, tu es toujours si excité en buvant du café ? »
Je ne peux m’empêcher de rire. Après tout, mon jeu a été mis au jour il y a bien des minutes.
« Et pour te répondre, je suis chez moi, j’accueil mes invités comme je le souhaite. C’est également moi qui dicte le code vestimentaire entre ces murs, aussi fins soient-ils. Et je décide que tu es beaucoup trop couvert. Donc ou tu enlèves quelques couches, ou tu pars, à toi de choisir. »
Je suis pris à l’embuscade. Je n’avais que fantasmé ce moment sans réellement me dire qu’une telle chose se produirait.
« Alors ? »
« Et bien vu qu’on est chez toi après tout. »
J’enlève mon t-shirt.
« C’est tout ? »
Je me lève et d’une traite, fait tomber mon jogging. Mon érection est à peine dissimulée par mon boxeur noir. Elle sourit à nouveau,
« Je me suis toujours demandé ce qui se cachait sous toutes ces fringues. »
Elle me matte, sans gêne. Puis elle se lève, ramasse ses cigarettes sur une table basse et se dirige vers la fenêtre. Une fois arrivée, elle se cambre, s’appuyant contre le rebord. Elle ne porte pas de culotte. Ses fesses se révèlent sous la lumière dorée du matin. Je n’en peux plus. Je me dirige vers elle, ma confiance restaurée. Je me colle à son dos, plaquant la barre raide entre mes jambes contre la peau de ses fesses. Elle soupire. Je dépose des baisers le long de sa nuque. Je soulève sa nuisette, laissant promener une main qui vient saisir son sein droit, ferme et lourd. Elle soupire encore. Je me frotte à elle, ma main gauche massant le haut de sa nuque à la nappe de ses cheveux coupés en garçonne. Mon autre main pétrit son sein. Elle a la bouche entre ouverte, les yeux fermés. Le fait alors descendre ma main droite le long de son ventre. Puis tendrement, je la laisse courir contre ses lèvres, entre ses cuisses, et plus bas encore, récolter la cyprine chaude que je sens sous mes doigts. Elle insère une main entre nos deux corps, laisse tomber les clopes de l’autre, et se saisit de ma verge. Elle la malaxe, la masse. Elle se retourne et je l’embrasse, collant mes lèvres aux siennes, mes deux mains se saisissant de ses fesses, elles aussi fermes, parfaites. Nous nous lovons, sa nuisette remontée autour de la taille, mon boxeur laissant échapper mon gland enflé. Puis elle me pousse en arrière, me dirige sur le lit sur lequel elle me fait tomber. Debout devant moi, elle ôte sa nuisette, me laissant découvrir son corps en entier. J’ai du mal à discerner les détails, elle est en contre-jour. Puis elle se met sur le lit, à genoux. Sans hésiter elle me fait allonger, et vient, à ma surprise, au-dessus de mon visage. J’ai une vue prenante sur sa vulve, ses fesses, son ventre et le dessous de ses seins. Elle s’assoit sur mon visage. Je suis ivre de la fragrance de son entre jambe. Son parfum est délicieux. Je me saisis de nouveau de ses fesses tandis que ma langue titille et travail son clitoris, enflé lui aussi. Je sens sa main se poser à nouveau sur mon sexe. Sa caresse est ferme, forte. Puis ses doigts passent sous le tissu de mon boxeur, se saisissent de ma verge. Elle la fait sortir et la tient un instant fermement avant de courir de haut en bas, me masturbant d’une main experte. Nous restons ainsi de longs instants – moi délectant son arôme épais, elle s’appropriant mon membre raide. Puis, enfin, elle lâche prise, se lève de quelques centimètres, et se retourne. Elle s’assoit de nouveau sur moi, cette fois son cul en avant vers moi. Je sais que je devrais la prévenir – les 69 sont mon point faible. Je risque de jouir en seulement quelques secondes. Je n’en ai pas la force cependant. Je me force à résister tandis que je sens sa bouche englober mon gland, puis descendre le long de ma verge. Je me concentre sur elle, tentant de me faire oublier, autant que possible l’étreinte sublime de ses lèvres. Quant à elle, ses gémissements sont devenus réguliers, forts, en écho à ceux d’hier soir. Elle se tend, frotte son bassin contre ma bouche. La sienne s’est immobilisée. Elle jouit, frémissante et haletante sur moi. Elle reste sur moi, immobile un moment, mon sexe toujours contre son palet, tremblotante. Puis, alors que je crois avoir pu m’éviter un orgasme prématuré, sa bouche reprend de nouveau son parcours de haut en bas. Cette fois le mouvement est rapide, la fellation intense et ferme.
« Attends – »
Trop tard, le plaisir monte, je laisse ma tête retomber en arrière et j’explose en elle. Mon foutre se projette au fond de sa gorge. Elle se retire, surprise. Elle continue de me caresser avec sa main, rapidement recouverte elle aussi de sperme. Peu à peu le plaisir s’échappe, je me détends. Je suis embarrassé. J’ai jouis bien trop vite, je le sais.
« Rapide mais intense. » Sa voix est toujours haletante. Je ne peux répondre, son bassin est toujours collé à ma bouche. Elle rit.
« Monsieur serait donc un peu précoce ? » Elle s’est remise à genoux sur moi.
Je fais non de la tête.
« J’attends une preuve alors. » Elle remue légèrement ses fesses, faisant frotter ses lèvres contre les miennes. Je sors de nouveau ma langue et reprends la caresse. Je la lèche de longues minutes. Elle ne m’adresse plus aucune caresse cependant. Malgré cela je sens de nouveau une pointe d’excitation en moi. Elle est trempée, le goût et l’odeur de la cyprine me donnent envie, envie de lui prouver que je peux faire mieux encore que son amant de la nuit précédente.
Alors que je me sens durcir à nouveau, je me saisis de ses hanches et la fais basculer sur le lit. Elle laisse échapper un petit cri de surprise. Elle est sur le ventre et je me plaque sans attendre contre ses fesses. A présent c’est moi qui contrôle la situation. Elle fait mine de résister mais je colle mon sexe entre ses cuisses, lui faisant sentir ma nouvelle érection.
« Hmm, rebonjour. »
Elle s’est immobilisée. Je me frotte à elle, sentant sa chaleur contre la mienne. Je la taquine.
« Met-la. »
« Sois plus poli. »
« S’il te plait, prend moi. »
D’un mouvement de hanche je la pénètre, me poussant au fond d’elle. Son gémissement s’allonge en un petit cri de plaisir. Je commence sans attendre les allées et venues, mon gland se frayant un chemin entre sa paroi chaude et trempée. Je suis un rythme ferme. Elle se crispe et se détend autour de moi, accentuant le plaisir.
« Met moi une fessée. »
Claque !
« Encore ! »
Claque ! Claque !
Soupirs et gémissements se mêlent à de petits cris et le son de ma peau claquant contre la sienne.
Nous enchainons sur une levrette. Je lui file deux, trois, puis quatre fessées. Je me saisis d’un de ses seins, puis ses hanches, ou encore son cou. Je lui plaque l’avant du corps vers le bas. Elle est prostrée devant moi, m’offrant son cul.
Peu à peu je ralentis, deviens plus tendre. Je la retourne, me place entre ses cuisses. Cette fois je suis doux, mes mains tenant les siennes au-dessus de sa tête. Je l’embrasse pour la première fois. Nos langues se rencontrent. Nous restons ainsi à nous embrasser. Je sens qu’elle prend de plus en plus son plaisir. Elle n’arrive plus à se concentrer sur le baiser. Elle gémit,
« Oui, oui oui… »
Son deuxième orgasme est long. Je ne m’arrête pas. Ses seins sont écrasés contre mon torse. Je sens ses jambes se resserrer autour de moi, m’appuyer en elle.
« Jouis en moi. »
Elle m’encourage du regard, souriant et soupirant. Je ne tarde à accéder à sa demande, me déversant en elle.
Je la laisse toujours nue.
« Reviens vite prendre une douche. » Elle me fait un clin d’œil.
« Désolé pour hier soir, on a été un peu bruyants. »
‘Un peu bruyant’ – quel euphémisme ! A trois reprises j’ai pu savourer le crescendo de soupirs, gémissements et cris – sans compter les claquements de peau et le battement sourd du lit contre la cloison plâtre. Mais face à ce visage sublime, mon agacement s’efface. Et puis en réalité, leur valse nocturne ne m’a pas déplu. Au moins ma nuit d’insomnie aura été divertie. Je m’étais imaginé la courbure de ses fesses, se frottant au bassin de son amant ; sa bouche esquissant ce même sourire qu’elle arbore en guise d’excuse, tandis qu’elle se laissait aller à l’orgasme. Alors je ne peux m’empêcher de lui rendre son sourire,
« Ça va, de toute façon je regardais un film. »
« Toute la nuit ? »
A présent son expression est presque coquine, moqueuse. Je ne dis rien. Elle se retourne,
« Viens, entre. »
Elle porte une nuisette rose. La lumière laisse deviner ses formes délicieuses. J’observe ses fesses, finement cachées par se tissu fin. J’ai envie d’elle et je pense qu’elle le sait. Elle n’a que 18 ans, six ans de moins que moi, et se porte avec toute la confiance de celle qui a récemment découvert la liberté.
« Un café ? »
« Heu… oui avec plaisir. »
« Ferme la porte s’il te plait. »
Son amant est parti. J’ai attendu qu’il la laisse pour venir la voir. Je m’étais convaincu que mon intention était d’éviter de l’embarrasser devant celui-ci ; mais à vrai dire je pense qu’une part de moi espérait pouvoir la séduire.
Elle est de taille moyenne. Elle a les hanches plutôt larges mais ça lui va à merveille. Une poitrine généreuse, un visage fin et un tout petit ventre que l’on aperçoit à travers la toile de sa nuisette. Je me sens durcir alors je m’empresse de m’asseoir en face d’elle à sa petite table.
« Faut dire que Samedi dernier ta petite amie n’a pas été très discrète non plus. »
Je suis tellement surpris par la remarque que j’en perds mes mots. En effet j’avais eu de la compagnie ce weekend mais je croyais que ma voisine était absente. A présent son sourire s’élargit, je me rends compte que je rougis. Elle rit, un son merveilleux.
« Mais nan, ne t’inquiètes pas. C’était plutôt agréable à écouter en réalité. J’avais passé une sale journée. Savoir que vous preniez votre pied m’a rassuré. »
« Ah bon ? »
« Oui, ça ne t’es jamais arrivé d’écouter aux murs ? Je trouve ça délicieusement pervers. » Elle me fait un clin d’œil.
M’aurait-elle donc entendue lorsque je m’étais collé à la cloison, honteux et excité à la fois pour m’insérer, sans qu’ils le sachent, dans leurs ébats ?
« Et sinon, si on ne t’a pas gêné, tu souhaitais me voir pourquoi ? Pas que ça m’embête de te voir, au contraire. »
Pendant un instant mon cerveau panique. J’ai totalement oublié le prétexte que je m’étais donné pour venir apercevoir son joli visage.
« Heu… Ah oui ! » Ca me revient d’un coup. Mais à présent je suis grillé. Mon hésitation a révélé mes intentions, j’en suis certain. Je continue cependant dans ma charade.
« Je voulais te demander si toi aussi tu avais des coupures d’eau fréquentes… »
« Ah non. Toi oui ? »
« Oui, souvent. » Je mens comme je respire à présent. Lorsque je m’étais inventé cette excuse, elle m’avait parue bien plus crédible.
« Eh bien la prochaine fois, viens prendre une douche chez moi. » Encore ce sourire éclatant.
Je ris. Nous buvons en silence le café. Le blanc dure, en devient presque insupportable. Enfin, je trouve de nouveau le courage de parler,
« Mais tu sais, samedi, ce n’était pas ma petite amie. »
« Et moi ce n’était pas mon copain. C’est génial, on va pouvoir les faire se rencontrer. »
Cette fois le sourire est mutuel. Je retrouve peu à peu ma confiance.
« Tu ouvres toujours la porte habillé comme tu l’es ? »
« Et toi, tu es toujours si excité en buvant du café ? »
Je ne peux m’empêcher de rire. Après tout, mon jeu a été mis au jour il y a bien des minutes.
« Et pour te répondre, je suis chez moi, j’accueil mes invités comme je le souhaite. C’est également moi qui dicte le code vestimentaire entre ces murs, aussi fins soient-ils. Et je décide que tu es beaucoup trop couvert. Donc ou tu enlèves quelques couches, ou tu pars, à toi de choisir. »
Je suis pris à l’embuscade. Je n’avais que fantasmé ce moment sans réellement me dire qu’une telle chose se produirait.
« Alors ? »
« Et bien vu qu’on est chez toi après tout. »
J’enlève mon t-shirt.
« C’est tout ? »
Je me lève et d’une traite, fait tomber mon jogging. Mon érection est à peine dissimulée par mon boxeur noir. Elle sourit à nouveau,
« Je me suis toujours demandé ce qui se cachait sous toutes ces fringues. »
Elle me matte, sans gêne. Puis elle se lève, ramasse ses cigarettes sur une table basse et se dirige vers la fenêtre. Une fois arrivée, elle se cambre, s’appuyant contre le rebord. Elle ne porte pas de culotte. Ses fesses se révèlent sous la lumière dorée du matin. Je n’en peux plus. Je me dirige vers elle, ma confiance restaurée. Je me colle à son dos, plaquant la barre raide entre mes jambes contre la peau de ses fesses. Elle soupire. Je dépose des baisers le long de sa nuque. Je soulève sa nuisette, laissant promener une main qui vient saisir son sein droit, ferme et lourd. Elle soupire encore. Je me frotte à elle, ma main gauche massant le haut de sa nuque à la nappe de ses cheveux coupés en garçonne. Mon autre main pétrit son sein. Elle a la bouche entre ouverte, les yeux fermés. Le fait alors descendre ma main droite le long de son ventre. Puis tendrement, je la laisse courir contre ses lèvres, entre ses cuisses, et plus bas encore, récolter la cyprine chaude que je sens sous mes doigts. Elle insère une main entre nos deux corps, laisse tomber les clopes de l’autre, et se saisit de ma verge. Elle la malaxe, la masse. Elle se retourne et je l’embrasse, collant mes lèvres aux siennes, mes deux mains se saisissant de ses fesses, elles aussi fermes, parfaites. Nous nous lovons, sa nuisette remontée autour de la taille, mon boxeur laissant échapper mon gland enflé. Puis elle me pousse en arrière, me dirige sur le lit sur lequel elle me fait tomber. Debout devant moi, elle ôte sa nuisette, me laissant découvrir son corps en entier. J’ai du mal à discerner les détails, elle est en contre-jour. Puis elle se met sur le lit, à genoux. Sans hésiter elle me fait allonger, et vient, à ma surprise, au-dessus de mon visage. J’ai une vue prenante sur sa vulve, ses fesses, son ventre et le dessous de ses seins. Elle s’assoit sur mon visage. Je suis ivre de la fragrance de son entre jambe. Son parfum est délicieux. Je me saisis de nouveau de ses fesses tandis que ma langue titille et travail son clitoris, enflé lui aussi. Je sens sa main se poser à nouveau sur mon sexe. Sa caresse est ferme, forte. Puis ses doigts passent sous le tissu de mon boxeur, se saisissent de ma verge. Elle la fait sortir et la tient un instant fermement avant de courir de haut en bas, me masturbant d’une main experte. Nous restons ainsi de longs instants – moi délectant son arôme épais, elle s’appropriant mon membre raide. Puis, enfin, elle lâche prise, se lève de quelques centimètres, et se retourne. Elle s’assoit de nouveau sur moi, cette fois son cul en avant vers moi. Je sais que je devrais la prévenir – les 69 sont mon point faible. Je risque de jouir en seulement quelques secondes. Je n’en ai pas la force cependant. Je me force à résister tandis que je sens sa bouche englober mon gland, puis descendre le long de ma verge. Je me concentre sur elle, tentant de me faire oublier, autant que possible l’étreinte sublime de ses lèvres. Quant à elle, ses gémissements sont devenus réguliers, forts, en écho à ceux d’hier soir. Elle se tend, frotte son bassin contre ma bouche. La sienne s’est immobilisée. Elle jouit, frémissante et haletante sur moi. Elle reste sur moi, immobile un moment, mon sexe toujours contre son palet, tremblotante. Puis, alors que je crois avoir pu m’éviter un orgasme prématuré, sa bouche reprend de nouveau son parcours de haut en bas. Cette fois le mouvement est rapide, la fellation intense et ferme.
« Attends – »
Trop tard, le plaisir monte, je laisse ma tête retomber en arrière et j’explose en elle. Mon foutre se projette au fond de sa gorge. Elle se retire, surprise. Elle continue de me caresser avec sa main, rapidement recouverte elle aussi de sperme. Peu à peu le plaisir s’échappe, je me détends. Je suis embarrassé. J’ai jouis bien trop vite, je le sais.
« Rapide mais intense. » Sa voix est toujours haletante. Je ne peux répondre, son bassin est toujours collé à ma bouche. Elle rit.
« Monsieur serait donc un peu précoce ? » Elle s’est remise à genoux sur moi.
Je fais non de la tête.
« J’attends une preuve alors. » Elle remue légèrement ses fesses, faisant frotter ses lèvres contre les miennes. Je sors de nouveau ma langue et reprends la caresse. Je la lèche de longues minutes. Elle ne m’adresse plus aucune caresse cependant. Malgré cela je sens de nouveau une pointe d’excitation en moi. Elle est trempée, le goût et l’odeur de la cyprine me donnent envie, envie de lui prouver que je peux faire mieux encore que son amant de la nuit précédente.
Alors que je me sens durcir à nouveau, je me saisis de ses hanches et la fais basculer sur le lit. Elle laisse échapper un petit cri de surprise. Elle est sur le ventre et je me plaque sans attendre contre ses fesses. A présent c’est moi qui contrôle la situation. Elle fait mine de résister mais je colle mon sexe entre ses cuisses, lui faisant sentir ma nouvelle érection.
« Hmm, rebonjour. »
Elle s’est immobilisée. Je me frotte à elle, sentant sa chaleur contre la mienne. Je la taquine.
« Met-la. »
« Sois plus poli. »
« S’il te plait, prend moi. »
D’un mouvement de hanche je la pénètre, me poussant au fond d’elle. Son gémissement s’allonge en un petit cri de plaisir. Je commence sans attendre les allées et venues, mon gland se frayant un chemin entre sa paroi chaude et trempée. Je suis un rythme ferme. Elle se crispe et se détend autour de moi, accentuant le plaisir.
« Met moi une fessée. »
Claque !
« Encore ! »
Claque ! Claque !
Soupirs et gémissements se mêlent à de petits cris et le son de ma peau claquant contre la sienne.
Nous enchainons sur une levrette. Je lui file deux, trois, puis quatre fessées. Je me saisis d’un de ses seins, puis ses hanches, ou encore son cou. Je lui plaque l’avant du corps vers le bas. Elle est prostrée devant moi, m’offrant son cul.
Peu à peu je ralentis, deviens plus tendre. Je la retourne, me place entre ses cuisses. Cette fois je suis doux, mes mains tenant les siennes au-dessus de sa tête. Je l’embrasse pour la première fois. Nos langues se rencontrent. Nous restons ainsi à nous embrasser. Je sens qu’elle prend de plus en plus son plaisir. Elle n’arrive plus à se concentrer sur le baiser. Elle gémit,
« Oui, oui oui… »
Son deuxième orgasme est long. Je ne m’arrête pas. Ses seins sont écrasés contre mon torse. Je sens ses jambes se resserrer autour de moi, m’appuyer en elle.
« Jouis en moi. »
Elle m’encourage du regard, souriant et soupirant. Je ne tarde à accéder à sa demande, me déversant en elle.
Je la laisse toujours nue.
« Reviens vite prendre une douche. » Elle me fait un clin d’œil.
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