La voisine dans le noir
Récit érotique écrit par Gojo95 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La voisine dans le noir
Ceux-ci est une histoire réelle et vécue !
Moi c'est Maxime, étudiant en reconversion professionnelle. Je fais des études d'infirmiers actuellement et ce que je vais vous raconter, c'est une histoire réel que j'ai vécu lors de mes stages.
Habitant dans un petit village, n'ayant pas le permis, pour arriver dans le service à 7h. Je devais prendre les transports en commun très tôt. Nous étions vers le mois de novembre, il était 5h du matin et comme d'habitude pour rejoindre mon arrêt de bus. Je devais marcher pendant un bon moment jusqu'à mon arrêt de bus. Pour y arriver, je devais passer par un petit chemin qui coupe le village et qui permet d'arriver plus rapidement à mon point de destination.
Ce n'est pas la première fois que je faisais ce chemin, j'étais en fin de cycle dans mes études, mais alors ce mercredi 14 novembre, je n'oublierai jamais cette date. À tel point que rien de l'écrire, elle m'excite encore.
Ce 14 novembre, comme d'habitude, j'emprunte ce petit chemin qui longe quelques maisons isolées. Suivant le tournant, il y a une belle villa, 4 façades, tous les volets sont fermés sauf celle de la véranda. Que je peux voir, car je passe derrière la maison et il n'y a rien qui protège la maison contre le voyeurisme des rares passants, surtout à cette heure-là !
En avançant, je vois une femme d'une quarantaine d'années, blonde, coupe carrée avec un corps sportif, en string blanc recouvert d'une fine nuisette transparente noire. Dont, on voit pratiquement tout, car à travers, j'ai pu voir ses beaux seins, qui devaient s'approcher d'un bonnet C.
Elle boit certainement son café, tout en me regardant, car les lampadaires de la ruelle sont vifs. À ce moment, je suis gêné ayant vu la scène et en me rinçant l'œil. Je détourne mon regard et avance d'un pas rapide. Avant de voir cette femme sortir de mon champ d'horizon. Je jette un coup d'œil et elle me regarde toujours. De ce pas,j'accélère ma démarche.
Dans les transports en commun et durant ma journée, je ne fais que penser à ça ! À la pause de midi, je me mets sur Google Maps et je trouve l'adresse exacte de la maison. À ma surprise, je découvre que c'est aussi l'adresse d'un des bouchers du village. Qui a ouvert, il y a quelques mois. Donc des nouveaux arrivants, car je n'avais pas eu d'échos d'eux.
Les jours se suivent, j'emprunte toujours ce chemin mais personne à la véranda ! D'un côté, je suis soulagé, cela m'évite une sorte de pression et d'un autre côté. Les pulsations d'excitations qui sommeillent en moi. Demande que cette femme resurgisse encore une fois.
S'approchant du week-end, et ayant réfléchi "aux pour et contre", je décide d'aller acheter de la viande dans cette nouvelle boucherie. Et la vendeuse est bien cette femme que j'ai vue ce jour-là !
- " Bonjour Madame, je viens pour prendre 5kg de viande hachée et 10 kg de dinde.
- " Bonjour jeune homme ! Très bien, je vous fais ça tout de suite !
- " Merci"
- " Sans indiscrétion, ce n'est que pour vous ?
- " Euh, oui pourquoi ?
- " Vous êtes un gourmand"
- " Ahahah, vous savez, je fais de la musculation, j'ai une diète stricte à suivre"
- " D'accord, donc vous en mangez des protéines
- " Exactement ! "
- " Et vous aimez manger autre chose que des protéines ?
- " Euuuuh, comment ça ?"
- " Il n'y a personne dans la boutique, c'est quoi ton prénom ?
- " Maxime et vous ?"
- " Tu peux me tutoyer, moi c'est Christelle, ça t'a plu, ce que t'as vu la dernière fois?
- " Si je te dis non, ça serait mentir "
- " Tu fais toujours le même chemin ? "
- " Oui, je suis en stage d'infirmier, donc je passe par là !
- " Tu me plais, Maxime, t'es un beau mec"
- " Merci, t'es une belle femme aussi, et encore plus en nuisette
- " Lundi, j'aurais une surprise pour toi ! Mais à la condition, de passer vers 4h du matin et non à 5h ! "
- " Euuuuh, ok ! au même endroit "
- " Bah oui ... soit là, sans fautes"
- " Bien, merci Christelle ! ( elle avait accéléré la conversation, car des clients s'approchait de la boutique )
Ce fameux, lundi, je suis excité, à tel point. Que j'arrive vers 3h45 du matin devant cette fameuse véranda. Il fait froid, seule la lumière du lampadaire est avec moi dans un calme serein. Je regarde ma montre, il est 4h du matin et toujours personne. Je me dis qu'elle a oublié et qu'elle doit toujours dormir. Où s'en rappelle-t-elle plus de sa promesse.
Il est 4h10 et au moment où je préfère encore attendre dans l'arrêt de bus, je vois à ce moment-là une lumière s'allumer. Une ombre surgit derrière les rideaux beiges. Elle tire les rideaux. Et je la vois, en haut talons avec une lingerie rouge. Elle me regarde et sourit. Comme un enfant devant des jouets, je regarde son corps excitant et ce regard de salope que je sens en elle.
Elle commence à se toucher devant moi, se met sur l'îlot de sa cuisine et écarte ses jambes toujours avec ses talons.
Dans ma tête, c'est la folie, je n'ai plus envie d'aller en stage et de la regarder toute la journée.
Elle continue son spectacle, je regarde toujours avec appétit ! Et là arrive ce que je voulais le plus. Elle ouvre sa véranda !
" Rentre, Maxime"
J'obéis, et je traverse sa pelouse et rentre dans sa cuisine"
- " Je te plais ? "
- " Christelle, si ça n'était pas le cas, je serais encore chez moi à boire mon café à cette heure-là
- " Et bien, tu vas venir déguster autre chose à cette heure-là
En ayant entendu ces paroles, je commence à devenir dur au niveau de mon pantalon
" - " Maxime, mon mari est en déplacements, je veux que ça reste uniquement entre nous deux et si tu veux que le jeu continue ça sera à une seul condition "
- " Oui je t'écoute"
- " Tout d'abord, ça sera la dernière fois que tu me verras ainsi, j'aime mon homme et je ne veux pas que ça se sache, je ne veux pas engendrer des sentiments pour quelqu'un d'autre. Je suis excitée comme une salope et je veux m'amuser moi aussi. Mais je veux que ça reste dans notre petit jardin secret et qu'il n'y a pas de bruits, qui puisse nuire à ma réputation et celle de notre boucherie.
- " Ok, c'est noté "
- " Assez parlé, aujourd'hui, tu n'iras pas en stage, tu le sais ça ?
- " Oui Christelle, je dis en rougissant"
- " Très bien ! Alors tous mes trous sont à toi, aujourd'hui ! Mais avant. Tu vas t'en occuper comme il faut "
Avant même que je dise oui ! Elle commence à me bouffer la bouche, je lui bouffe la sienne et lui suce sa langue de femme affamée. Elle me présente son cou, et je l'embrasse, lui lèche, ça l'excite.
Je prends ces seins en bouche, et tête comme un enfant qui n'a plus mangé depuis un bon moment. Ma main froide glisse dans son string, je sens un petit liquide. Je lui mets un doigt, deux ensuite. Et je la sens mouillée. Je ressorts mes doigts et lui mets dans la bouche.
Elle lèche, en me regardant comme une catin. Et j'embrasse sa langue, pour sentir son liquide de plaisir !
Je continue à descendre au niveau de son ventre, tout en embrassant son nombril et ses jambes. Avant de prendre en bouche, sa chatte usée ! Ça se voit qu'elle s'est prise des queues, cette salope, je me dis dans ma tête !
Avant même que je dise oui ! Elle commence à me bouffer la bouche, je lui bouffe la sienne et lui suce sa langue de femme affamée. Elle me présente son cou, et je l'embrasse, lui lèche, ça l'excite. Je prends ces seins en bouche, et tête comme un enfant qui n'a plus mangé depuis un bon moment. Ma main froide glisse dans son string, je sens un petit liquide. Je lui mets un doigt, deux ensuite. Et je la sens mouillée. Je ressorts mes doigts et lui mets dans la bouche.
Je continue à descendre au niveau de son ventre, tout en embrassant son nombril et ses jambes. Avant de prendre en bouche, sa chatte usée ! Ça se voit qu'elle s'est prise des queues, cette salope, je me dis dans ma tête !
En glissant ma langue, sur son clito, je mordille, la lèche, et elle gigotte dans tous les sens ! tout en y glissant 4 doigts. Je commence à sentir sa cyprine qui vient de plus en plus ! je la doigte, car, je veux la voir, jouir sur son îlot. Elle finit par gicler plusieurs fois.
" Mais bordeeel, à vrai dire, je m'en doutais pas que tu savais utiliser tes doigts et ta langue ainsi ! T'aimes le cul toi aussi heeein !
" Oh que oui, j'aime le cul et des bonnes salopes comme toi"
" Elle rigole "
" Viens ici, met toi à 4 pattes sur ton canapé" elle obéit car je domine son excitation
Et comme dans les films de cul, je commence à lui bouffer le cul, comme je peux avec beaucoup de passion tout en y glissant deux doigts !
" Hmmmmmmmm, vas-y continue à bouffer mon cul, mon salaud !
" Cambre mieux ton cul, je prépare ton cul, car je veux te sodomiser Christelle, je veux voir ton cul dilaté et je veux bien faire le travail"
En disant cela, je vois qu'elle est encore plus excitée "
" Oui mais, avant, c'est à moi de t'occuper de toi"
Elle m'allonge sur le canapé et commence à me bouffer les couilles
" Doucement Christelle, doucement,"
" Shuuut, et laisse moi faire, t'es à moi pour aujourd'hui"
Elle continue à me bouffer les couilles, et remonte vers ma tige. Pour la prendre en gorge profonde. Tout en me regardant avec son regard de salope en manque de cul
" Donc, tu vas m'enculer comme il faut hein ! je veux sentir, que je me fais baiser par un mâle ! T'as compris, baise moi comme il faut ! "
Je me lève, lui baise la bouche avec plusieurs va et vient avant de décider de la projetter face à un mur. Toujours avec talons, elle cambre, tout en me regardant.
Sans y mettre de lubrifiant, je rentre tout doucement à l'arrière porte avec ma capote rouge. Au fur et à mesure, je vois qu'elle n'assume pas la taille mais me demande de continuer.
Ça m'excite tellement, que je continue à la baiser de plus en plus vite, ma queue ressort et je vois son anus dilaté ! Je crache dedans, et lui bouffe le cul pour qu'il soit encore plus mouillé avec ma bave.
Et je remets ma queue bien dure, dans son troue. Je sais pertinement, que je vais plus tenir longtemps. Mais je fais des vas et vient tout en tirant sur sa coupe carré.
" Christelle, je vais bientôt finir, je peux jouir où ?"
" Vient ici, elle se met à genou, dégage la capote et suce ma queue tout en me regardant"
" T'aimes me baiser toi hein ! Il fait plus bon dans mon cul bien chaud que dehors hein?"
" Ouii, continue à me pomper"
" Avec tes couilles bien remplies, tu vas te vider dans ma bouche"
À cet instant, c'était l'explosion dans ma tête, je ne pouvais plus me contenir. Et j'ai jouie dans sa petite bouche. Il y avait tellement, qu'elle a fait tombé des gouttes sur le sol. Elle m'a montré la quantité de sperme que je lui ai mise dans la bouche. Et à avaler avec le sourire, ensuite, elle a commencé à marcher à 4 pattes en me regardant pour lècher les quelques gouttes de sperme sur le sol.
Je me suis dit, que j'étais dans un film de cul, mais non, la femme de la boucherie était une femme qui aimait la queue.
Nous avons baisé jusqu'à 7h, car elle devait ouvrir son magasin à 8H. Elle m'a offert son string rouge souillé ! On s'est embrassés longuement. Et par la suite, je la vois, quand je vais chercher ma viande chez elle ou chez le facteur.
Toujours avec un sourire :
- "Bonjour Christelle"
- " Salut Maxime, quelle belle journée hein ? "
- " Aussi belle, qu'une femme en lingerie, lui dis-je" quand il y a peu de personne dans le lieu public.
Et personne dans le village à part vous, ne sait, que j'ai sodomisé la bouchère du village.
* Nous n'avons plus jamais rien fait ! Et j'ai tenu ma promesse.
Moi c'est Maxime, étudiant en reconversion professionnelle. Je fais des études d'infirmiers actuellement et ce que je vais vous raconter, c'est une histoire réel que j'ai vécu lors de mes stages.
Habitant dans un petit village, n'ayant pas le permis, pour arriver dans le service à 7h. Je devais prendre les transports en commun très tôt. Nous étions vers le mois de novembre, il était 5h du matin et comme d'habitude pour rejoindre mon arrêt de bus. Je devais marcher pendant un bon moment jusqu'à mon arrêt de bus. Pour y arriver, je devais passer par un petit chemin qui coupe le village et qui permet d'arriver plus rapidement à mon point de destination.
Ce n'est pas la première fois que je faisais ce chemin, j'étais en fin de cycle dans mes études, mais alors ce mercredi 14 novembre, je n'oublierai jamais cette date. À tel point que rien de l'écrire, elle m'excite encore.
Ce 14 novembre, comme d'habitude, j'emprunte ce petit chemin qui longe quelques maisons isolées. Suivant le tournant, il y a une belle villa, 4 façades, tous les volets sont fermés sauf celle de la véranda. Que je peux voir, car je passe derrière la maison et il n'y a rien qui protège la maison contre le voyeurisme des rares passants, surtout à cette heure-là !
En avançant, je vois une femme d'une quarantaine d'années, blonde, coupe carrée avec un corps sportif, en string blanc recouvert d'une fine nuisette transparente noire. Dont, on voit pratiquement tout, car à travers, j'ai pu voir ses beaux seins, qui devaient s'approcher d'un bonnet C.
Elle boit certainement son café, tout en me regardant, car les lampadaires de la ruelle sont vifs. À ce moment, je suis gêné ayant vu la scène et en me rinçant l'œil. Je détourne mon regard et avance d'un pas rapide. Avant de voir cette femme sortir de mon champ d'horizon. Je jette un coup d'œil et elle me regarde toujours. De ce pas,j'accélère ma démarche.
Dans les transports en commun et durant ma journée, je ne fais que penser à ça ! À la pause de midi, je me mets sur Google Maps et je trouve l'adresse exacte de la maison. À ma surprise, je découvre que c'est aussi l'adresse d'un des bouchers du village. Qui a ouvert, il y a quelques mois. Donc des nouveaux arrivants, car je n'avais pas eu d'échos d'eux.
Les jours se suivent, j'emprunte toujours ce chemin mais personne à la véranda ! D'un côté, je suis soulagé, cela m'évite une sorte de pression et d'un autre côté. Les pulsations d'excitations qui sommeillent en moi. Demande que cette femme resurgisse encore une fois.
S'approchant du week-end, et ayant réfléchi "aux pour et contre", je décide d'aller acheter de la viande dans cette nouvelle boucherie. Et la vendeuse est bien cette femme que j'ai vue ce jour-là !
- " Bonjour Madame, je viens pour prendre 5kg de viande hachée et 10 kg de dinde.
- " Bonjour jeune homme ! Très bien, je vous fais ça tout de suite !
- " Merci"
- " Sans indiscrétion, ce n'est que pour vous ?
- " Euh, oui pourquoi ?
- " Vous êtes un gourmand"
- " Ahahah, vous savez, je fais de la musculation, j'ai une diète stricte à suivre"
- " D'accord, donc vous en mangez des protéines
- " Exactement ! "
- " Et vous aimez manger autre chose que des protéines ?
- " Euuuuh, comment ça ?"
- " Il n'y a personne dans la boutique, c'est quoi ton prénom ?
- " Maxime et vous ?"
- " Tu peux me tutoyer, moi c'est Christelle, ça t'a plu, ce que t'as vu la dernière fois?
- " Si je te dis non, ça serait mentir "
- " Tu fais toujours le même chemin ? "
- " Oui, je suis en stage d'infirmier, donc je passe par là !
- " Tu me plais, Maxime, t'es un beau mec"
- " Merci, t'es une belle femme aussi, et encore plus en nuisette
- " Lundi, j'aurais une surprise pour toi ! Mais à la condition, de passer vers 4h du matin et non à 5h ! "
- " Euuuuh, ok ! au même endroit "
- " Bah oui ... soit là, sans fautes"
- " Bien, merci Christelle ! ( elle avait accéléré la conversation, car des clients s'approchait de la boutique )
Ce fameux, lundi, je suis excité, à tel point. Que j'arrive vers 3h45 du matin devant cette fameuse véranda. Il fait froid, seule la lumière du lampadaire est avec moi dans un calme serein. Je regarde ma montre, il est 4h du matin et toujours personne. Je me dis qu'elle a oublié et qu'elle doit toujours dormir. Où s'en rappelle-t-elle plus de sa promesse.
Il est 4h10 et au moment où je préfère encore attendre dans l'arrêt de bus, je vois à ce moment-là une lumière s'allumer. Une ombre surgit derrière les rideaux beiges. Elle tire les rideaux. Et je la vois, en haut talons avec une lingerie rouge. Elle me regarde et sourit. Comme un enfant devant des jouets, je regarde son corps excitant et ce regard de salope que je sens en elle.
Elle commence à se toucher devant moi, se met sur l'îlot de sa cuisine et écarte ses jambes toujours avec ses talons.
Dans ma tête, c'est la folie, je n'ai plus envie d'aller en stage et de la regarder toute la journée.
Elle continue son spectacle, je regarde toujours avec appétit ! Et là arrive ce que je voulais le plus. Elle ouvre sa véranda !
" Rentre, Maxime"
J'obéis, et je traverse sa pelouse et rentre dans sa cuisine"
- " Je te plais ? "
- " Christelle, si ça n'était pas le cas, je serais encore chez moi à boire mon café à cette heure-là
- " Et bien, tu vas venir déguster autre chose à cette heure-là
En ayant entendu ces paroles, je commence à devenir dur au niveau de mon pantalon
" - " Maxime, mon mari est en déplacements, je veux que ça reste uniquement entre nous deux et si tu veux que le jeu continue ça sera à une seul condition "
- " Oui je t'écoute"
- " Tout d'abord, ça sera la dernière fois que tu me verras ainsi, j'aime mon homme et je ne veux pas que ça se sache, je ne veux pas engendrer des sentiments pour quelqu'un d'autre. Je suis excitée comme une salope et je veux m'amuser moi aussi. Mais je veux que ça reste dans notre petit jardin secret et qu'il n'y a pas de bruits, qui puisse nuire à ma réputation et celle de notre boucherie.
- " Ok, c'est noté "
- " Assez parlé, aujourd'hui, tu n'iras pas en stage, tu le sais ça ?
- " Oui Christelle, je dis en rougissant"
- " Très bien ! Alors tous mes trous sont à toi, aujourd'hui ! Mais avant. Tu vas t'en occuper comme il faut "
Avant même que je dise oui ! Elle commence à me bouffer la bouche, je lui bouffe la sienne et lui suce sa langue de femme affamée. Elle me présente son cou, et je l'embrasse, lui lèche, ça l'excite.
Je prends ces seins en bouche, et tête comme un enfant qui n'a plus mangé depuis un bon moment. Ma main froide glisse dans son string, je sens un petit liquide. Je lui mets un doigt, deux ensuite. Et je la sens mouillée. Je ressorts mes doigts et lui mets dans la bouche.
Elle lèche, en me regardant comme une catin. Et j'embrasse sa langue, pour sentir son liquide de plaisir !
Je continue à descendre au niveau de son ventre, tout en embrassant son nombril et ses jambes. Avant de prendre en bouche, sa chatte usée ! Ça se voit qu'elle s'est prise des queues, cette salope, je me dis dans ma tête !
Avant même que je dise oui ! Elle commence à me bouffer la bouche, je lui bouffe la sienne et lui suce sa langue de femme affamée. Elle me présente son cou, et je l'embrasse, lui lèche, ça l'excite. Je prends ces seins en bouche, et tête comme un enfant qui n'a plus mangé depuis un bon moment. Ma main froide glisse dans son string, je sens un petit liquide. Je lui mets un doigt, deux ensuite. Et je la sens mouillée. Je ressorts mes doigts et lui mets dans la bouche.
Je continue à descendre au niveau de son ventre, tout en embrassant son nombril et ses jambes. Avant de prendre en bouche, sa chatte usée ! Ça se voit qu'elle s'est prise des queues, cette salope, je me dis dans ma tête !
En glissant ma langue, sur son clito, je mordille, la lèche, et elle gigotte dans tous les sens ! tout en y glissant 4 doigts. Je commence à sentir sa cyprine qui vient de plus en plus ! je la doigte, car, je veux la voir, jouir sur son îlot. Elle finit par gicler plusieurs fois.
" Mais bordeeel, à vrai dire, je m'en doutais pas que tu savais utiliser tes doigts et ta langue ainsi ! T'aimes le cul toi aussi heeein !
" Oh que oui, j'aime le cul et des bonnes salopes comme toi"
" Elle rigole "
" Viens ici, met toi à 4 pattes sur ton canapé" elle obéit car je domine son excitation
Et comme dans les films de cul, je commence à lui bouffer le cul, comme je peux avec beaucoup de passion tout en y glissant deux doigts !
" Hmmmmmmmm, vas-y continue à bouffer mon cul, mon salaud !
" Cambre mieux ton cul, je prépare ton cul, car je veux te sodomiser Christelle, je veux voir ton cul dilaté et je veux bien faire le travail"
En disant cela, je vois qu'elle est encore plus excitée "
" Oui mais, avant, c'est à moi de t'occuper de toi"
Elle m'allonge sur le canapé et commence à me bouffer les couilles
" Doucement Christelle, doucement,"
" Shuuut, et laisse moi faire, t'es à moi pour aujourd'hui"
Elle continue à me bouffer les couilles, et remonte vers ma tige. Pour la prendre en gorge profonde. Tout en me regardant avec son regard de salope en manque de cul
" Donc, tu vas m'enculer comme il faut hein ! je veux sentir, que je me fais baiser par un mâle ! T'as compris, baise moi comme il faut ! "
Je me lève, lui baise la bouche avec plusieurs va et vient avant de décider de la projetter face à un mur. Toujours avec talons, elle cambre, tout en me regardant.
Sans y mettre de lubrifiant, je rentre tout doucement à l'arrière porte avec ma capote rouge. Au fur et à mesure, je vois qu'elle n'assume pas la taille mais me demande de continuer.
Ça m'excite tellement, que je continue à la baiser de plus en plus vite, ma queue ressort et je vois son anus dilaté ! Je crache dedans, et lui bouffe le cul pour qu'il soit encore plus mouillé avec ma bave.
Et je remets ma queue bien dure, dans son troue. Je sais pertinement, que je vais plus tenir longtemps. Mais je fais des vas et vient tout en tirant sur sa coupe carré.
" Christelle, je vais bientôt finir, je peux jouir où ?"
" Vient ici, elle se met à genou, dégage la capote et suce ma queue tout en me regardant"
" T'aimes me baiser toi hein ! Il fait plus bon dans mon cul bien chaud que dehors hein?"
" Ouii, continue à me pomper"
" Avec tes couilles bien remplies, tu vas te vider dans ma bouche"
À cet instant, c'était l'explosion dans ma tête, je ne pouvais plus me contenir. Et j'ai jouie dans sa petite bouche. Il y avait tellement, qu'elle a fait tombé des gouttes sur le sol. Elle m'a montré la quantité de sperme que je lui ai mise dans la bouche. Et à avaler avec le sourire, ensuite, elle a commencé à marcher à 4 pattes en me regardant pour lècher les quelques gouttes de sperme sur le sol.
Je me suis dit, que j'étais dans un film de cul, mais non, la femme de la boucherie était une femme qui aimait la queue.
Nous avons baisé jusqu'à 7h, car elle devait ouvrir son magasin à 8H. Elle m'a offert son string rouge souillé ! On s'est embrassés longuement. Et par la suite, je la vois, quand je vais chercher ma viande chez elle ou chez le facteur.
Toujours avec un sourire :
- "Bonjour Christelle"
- " Salut Maxime, quelle belle journée hein ? "
- " Aussi belle, qu'une femme en lingerie, lui dis-je" quand il y a peu de personne dans le lieu public.
Et personne dans le village à part vous, ne sait, que j'ai sodomisé la bouchère du village.
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