La voluptueuse mère de mon pote
Récit érotique écrit par Atanos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La voluptueuse mère de mon pote
J’ai un ami, Julien, avec qui on buvait des coups à l’occasion qui m’avait par plusieurs fois invité dans sa luxueuse villa sur la côte ou on profitait des bienfaits de la piscine. Ce qui m’avait grandement émoustillé la première fois ou Julien m’a invité ce n’était pas la piscine ni le charme de la villa familiale mais sa splendide mère, Christine, une quadra bien en chair et en formes, très bonne vivante. Christine était divorcée du père de mon ami et selon ce dernier avait eu quelques aventures avec des gars assez jeunes, cette dernière ne cachait pas ses préférences et en plaisantait même avec nous ce qui nous valait de la chambrer sur le sujet. Outre le fait que j’ai toujours eu une certaine fascination pour les femmes rondes, j’étais littéralement muet d’admiration devant Christine qui était dotée d’une poitrine très généreuse. Je pense qu’elle avait remarqué qu’elle ne me laissait pas indifférent et elle en jouait avec subtilité, ce qui provoquait chez moi une excitation indescriptible et un sentiment de fierté même si je me faisais peu d’illusion, séduire la mère de son pote c’est bon pour les films de cul, mais dans la réalité ça ne doit pas arriver souvent…
Cette histoire s’est déroulée il y a 3 ans, en une journée d’été étouffante. Je décide d’aller chez Julien à l’improviste dans l’espoir de pouvoir piquer une tète dans la piscine qui était un peu « the place to be » en cette saison. J’étais loin de me douter que j’allais passé un si bon moment. J’arrive au portail, je sonne, c’est Christine qui vient m’ouvrir et m’annonce que mon pote est parti à la plage avec sa copine mais me propose quand même d’entrer prendre un bain voyant la serviette sur mon épaule. Je ne perd donc pas de temps, une fois dans l’eau ma splendide hotesse me propose un rafraîchissement et quelle ne fut pas mon émotion quand je l’ai vue revenir en bikini et avec nos verres à la main. La vue de sa tenue somme toute banale pour la saison au bord de l’eau m’emplissait d’émotion, je pense qu’un côté enfantin de moi était en train de tomber amoureux de la merveilleuse femme qu’elle était. Une fois plongée dans l’eau, son maillot deux-pièces bleu clair était presque transparent et je distinguais clairement à travers les mamelons sombres de ses énormes seins et la fente de son sexe que je devinais bien épilé. Christine me parlait avec un large sourire, devinant l’effet qu’elle me procurait, s’en amusant sans doute par fierté de domination des jeunes hommes qu’elle séduit à juste titre. Tout émoustillé et timide, j’essayais de dialoguer normalement avec elle mais j’étais dans un état d’euphorie tel que je perdais tous mes moyens, mon corps tremblait comme une feuille et je me plaquais contre la paroi de la piscine pour cacher l’érection monumentale qui me prenait.
- Tout va bien ? me dit-elle le sourire jusqu’aux oreilles
Essayant une réponse légère pour cacher mon malaise, je lui rétorqua :
- Difficile de rester de marbre devant une jolie femme comme toi, d’un ton blagueur.
- Je suis ravie de savoir que je te plais, me répondit-elle, et pour ne rien te cacher, tu me ne me laisses pas de marbre non plus, d’un ton tout à fait naturel.
Pour jouer encore plus de l’effet qu’elle me faisait elle enchaîna par :
- J’ai bien remarqué que je te faisais de l’effet jeune homme, regardant mon short déformé par mon érection monumentale.
Je me forças à rire d’un ton détaché mais à ce moment là j’étais dans un tel état d’euphorie que je pense que mes veines auraient pu exploser dans ma tète.
Christine sortit ensuite de l’eau pour aller boire son verre en s’asseyant sur le bord de la piscine, je sirotais le mien face à elle mais pas question de sortir de l’eau vu que les choses ne se calmaient pas au niveau de mon bas-vente. Cette situation n’était guère plus confortable vu que finalement j’avais la vue en plein sur ses seins que j’admirais purement et simplement. Voyant que je ne détachais pas mes yeux de sa poitrine, Christine fit le premier pas en passant sensuellement sa main sur le coté de mon visage, je répondit en lui caressant le dos d’une main tremblante. Elle approcha ses lèvres des miennes, m’offrir un minuscule baiser et me chuchota à l’oreille :
- Tu les verras mieux sans ça, et posant son verre elle dénoua le haut de son maillot m’offrant la vue sur ces énormes baloches. Je lui dis d’une voix bégueillante,
- Ils sont magnifiques.
C’est alors qu’elle me saisit la tête pour m’embrasser d’une fougue incroyable, nos langues se caressèrent pendant d’interminables secondes et dans ma tète tout était clair, j’étais raide dingue de la mère de mon pote réalisant à peine ce qui était en train de m’arriver.
Je commençais alors à caresser les seins de mon hôtesse et oubliant mon malaise je me mis à lécher ses mamelons, lui provoquant de petits gémissements. Elancé dans cet élan, je sortis de l’eau, m’assis à coté d’elle afin de pouvoir parcourir tout son corps avec mes mains. Je possédais enfin ces formes voluptueuses que me faisaient tant envie. Elle rompit le silence d’un large sourire en disant :
- Dis donc tu t’en sors bien pour un jeunot, jouant avec mon émotion et voulant dédramatiser une situation très génante et excitante pour nous deux.
C’est alors qu’elle aventura sa main sur la bosse de mon short, je compris à ce moment là que j’étais sur le point de faire l’amour à la mère de mon pote. Elle me dit à l’oreille une phrase que je n’oublierai jamais.
- J’aimerais bien que tu enlèves ton short
Je m’exécutas passant outre ma timidité et mon hôtesse me complimenta sur la taille de mon engin tout en caressant mon gland par des gestes très sensuels.
Elle redescendit dans l’eau de telle sorte que ses seins soient à la hauteur de mon entre jambes et se mit à titiller mon membre avec ses mamelons grossis de plaisir. Ses lèvres vinrent embrasser le haut de mon gland tuméfié de joie et sa langue divine se mit à parcourir de haut en bas la veine de ma queue. Sans perdre son sourire implacable elle me dit :
- Ca va, tu tiens le coup ?
- Oh oui, dis-je en serrant les dents par fierté
- Tant mieux répondit-elle et engagea alors ses lèvres autour de mon membre.
J’étais sur le point de hurler de plaisir alors qu’elle entamait un délicieux va et vient tout en faisant tourner sa langue sur mon gland, elle suçait amoureusement ma queue et j’étais déjà presque sur le point d’exploser. Elle plaça mon membre entre ses seins et entreprit alors une branlette espagnole que je n’oublierai jamais, voyant que j’étais sur le point de jouir, je me retira en disant :
- On va y aller doucement quand même, les joues écarlates.
- Laisse toi aller me dit-elle, j’ai envie que tu prennes du plaisir autant que moi.
Elle sortit de l’eau et me prit par la main pour m’emmener à l’intérieur de la maison. Une fois arrivés dans sa chambre mon cœur battait la chamade à un tel point que je pense que j’aurais pu m’évanouir. Elle m’allongea sur le lit et enleva le bas de son maillot dévoilant son sexe presque intégralement épilé. Elle me grimpa dessus et fit glisser sans mal mon membre dans son intimité déjà largement humide par le bain et nos caresses. Je vivais un moment intense à faire l’amour à cette femme et je serrais les draps de toutes mes forces pour ne pas jouir trop vite, voyant mon émoi Christine me chuchota sans perdre son éternel sourire :
- Laisse toi aller chéri, j’ai envie de te sentir éjaculer en moi.
C’était trop, j’explosa en de longues giclées de sperme chaud dans son vagin lui provoquant un jouissement qui me brisa les tympans.
Nous restâmes alors un long moment allongés l’un à coté de l’autre, vidé des mes ébats je lui demandais inquiet à quelle heure Julien rentrait, ne voulant pas qu’il nous surprenne. Elle me répondit :
- Ne t’inquiète pas mon cœur il va surement passer la soirée avec sa copine, ce qui nous laisse largement le temps de remettre le couvert.
J’entrepris alors quelques douceurs linguales dans l’entre-cuisse de mon hôtesse, celle-ci ne manqua pas d’apprécier, ce qui provoqua de me refaire bander comme un taureau. Voyant mon état, Christine me dit :
- Ca te plairait de me prendre en levrette mon cœur ?
J’accepta bien sur et ma partenaire se plaça devant moi à genoux la croupe bien en évidence. Je tenta de glisser maladroitement ma queue en elle et voyant mon malaise elle me guida de sa main de manière à ce que je me retrouve enfoncé jusqu’aux couilles dans son vagin, j’étais aux anges en entamant mon va et vient d’autant que j’avais la vue sur le miroir de son armoire qui reflétait le balancement de ses gros seins au rythme de mes coups de hanches. J’aurais voulu que ce moment dure éternellement mais voulant profiter au maximum de ce corps que je désirais tant, je guida mon hôtesse pour qu’elle se positionne sur le dos de telle sorte à ce que je la pénètre en missionnaire. Je pus ainsi coller tout mon corps contre le sien, ma poitrine écrasant ses seins et ma queue allant et venant dans son bas-ventre.
Elle me proposa de me glisser à nouveau entre ses loches que j’aimais tant pour entamer à nouveau une masturbation magique, je voyais mon sexe écrasé entre ces deux énormes nichons et sa langue qui venant lécher le bout de mon gland.
- Je crois que je vais encore exploser, lui dis-je presque sur un nuage d’ivresse.
Excitée par mes dires, elle accéléra sa branlette mammaire et je jouis autant abondamment que la précédente fois étalant une grosse quantité de sperme sur ses seins.
Suite à ces ébats qui resteront à jamais dans ma mémoire, je ne tarda pas à m’en aller de crainte de croiser Julien tout en prenant soin de conserver le n° de Christine dans l’espoir d’un prochain rendez-vous galant.
Il me fallut plusieurs heures une fois rentré pour reprendre mes esprits et réaliser ce que je venais de vivre, un SMS de sa part vint me sortir de mes songes ou elle disait
- J’ai adoré faire l’amour avec toi, j’espère que tu ne regrettes rien
- Bien au contraire lui répondis-je en pensant que j’espérais vraiment remettre ça.
Cette histoire s’est déroulée il y a 3 ans, en une journée d’été étouffante. Je décide d’aller chez Julien à l’improviste dans l’espoir de pouvoir piquer une tète dans la piscine qui était un peu « the place to be » en cette saison. J’étais loin de me douter que j’allais passé un si bon moment. J’arrive au portail, je sonne, c’est Christine qui vient m’ouvrir et m’annonce que mon pote est parti à la plage avec sa copine mais me propose quand même d’entrer prendre un bain voyant la serviette sur mon épaule. Je ne perd donc pas de temps, une fois dans l’eau ma splendide hotesse me propose un rafraîchissement et quelle ne fut pas mon émotion quand je l’ai vue revenir en bikini et avec nos verres à la main. La vue de sa tenue somme toute banale pour la saison au bord de l’eau m’emplissait d’émotion, je pense qu’un côté enfantin de moi était en train de tomber amoureux de la merveilleuse femme qu’elle était. Une fois plongée dans l’eau, son maillot deux-pièces bleu clair était presque transparent et je distinguais clairement à travers les mamelons sombres de ses énormes seins et la fente de son sexe que je devinais bien épilé. Christine me parlait avec un large sourire, devinant l’effet qu’elle me procurait, s’en amusant sans doute par fierté de domination des jeunes hommes qu’elle séduit à juste titre. Tout émoustillé et timide, j’essayais de dialoguer normalement avec elle mais j’étais dans un état d’euphorie tel que je perdais tous mes moyens, mon corps tremblait comme une feuille et je me plaquais contre la paroi de la piscine pour cacher l’érection monumentale qui me prenait.
- Tout va bien ? me dit-elle le sourire jusqu’aux oreilles
Essayant une réponse légère pour cacher mon malaise, je lui rétorqua :
- Difficile de rester de marbre devant une jolie femme comme toi, d’un ton blagueur.
- Je suis ravie de savoir que je te plais, me répondit-elle, et pour ne rien te cacher, tu me ne me laisses pas de marbre non plus, d’un ton tout à fait naturel.
Pour jouer encore plus de l’effet qu’elle me faisait elle enchaîna par :
- J’ai bien remarqué que je te faisais de l’effet jeune homme, regardant mon short déformé par mon érection monumentale.
Je me forças à rire d’un ton détaché mais à ce moment là j’étais dans un tel état d’euphorie que je pense que mes veines auraient pu exploser dans ma tète.
Christine sortit ensuite de l’eau pour aller boire son verre en s’asseyant sur le bord de la piscine, je sirotais le mien face à elle mais pas question de sortir de l’eau vu que les choses ne se calmaient pas au niveau de mon bas-vente. Cette situation n’était guère plus confortable vu que finalement j’avais la vue en plein sur ses seins que j’admirais purement et simplement. Voyant que je ne détachais pas mes yeux de sa poitrine, Christine fit le premier pas en passant sensuellement sa main sur le coté de mon visage, je répondit en lui caressant le dos d’une main tremblante. Elle approcha ses lèvres des miennes, m’offrir un minuscule baiser et me chuchota à l’oreille :
- Tu les verras mieux sans ça, et posant son verre elle dénoua le haut de son maillot m’offrant la vue sur ces énormes baloches. Je lui dis d’une voix bégueillante,
- Ils sont magnifiques.
C’est alors qu’elle me saisit la tête pour m’embrasser d’une fougue incroyable, nos langues se caressèrent pendant d’interminables secondes et dans ma tète tout était clair, j’étais raide dingue de la mère de mon pote réalisant à peine ce qui était en train de m’arriver.
Je commençais alors à caresser les seins de mon hôtesse et oubliant mon malaise je me mis à lécher ses mamelons, lui provoquant de petits gémissements. Elancé dans cet élan, je sortis de l’eau, m’assis à coté d’elle afin de pouvoir parcourir tout son corps avec mes mains. Je possédais enfin ces formes voluptueuses que me faisaient tant envie. Elle rompit le silence d’un large sourire en disant :
- Dis donc tu t’en sors bien pour un jeunot, jouant avec mon émotion et voulant dédramatiser une situation très génante et excitante pour nous deux.
C’est alors qu’elle aventura sa main sur la bosse de mon short, je compris à ce moment là que j’étais sur le point de faire l’amour à la mère de mon pote. Elle me dit à l’oreille une phrase que je n’oublierai jamais.
- J’aimerais bien que tu enlèves ton short
Je m’exécutas passant outre ma timidité et mon hôtesse me complimenta sur la taille de mon engin tout en caressant mon gland par des gestes très sensuels.
Elle redescendit dans l’eau de telle sorte que ses seins soient à la hauteur de mon entre jambes et se mit à titiller mon membre avec ses mamelons grossis de plaisir. Ses lèvres vinrent embrasser le haut de mon gland tuméfié de joie et sa langue divine se mit à parcourir de haut en bas la veine de ma queue. Sans perdre son sourire implacable elle me dit :
- Ca va, tu tiens le coup ?
- Oh oui, dis-je en serrant les dents par fierté
- Tant mieux répondit-elle et engagea alors ses lèvres autour de mon membre.
J’étais sur le point de hurler de plaisir alors qu’elle entamait un délicieux va et vient tout en faisant tourner sa langue sur mon gland, elle suçait amoureusement ma queue et j’étais déjà presque sur le point d’exploser. Elle plaça mon membre entre ses seins et entreprit alors une branlette espagnole que je n’oublierai jamais, voyant que j’étais sur le point de jouir, je me retira en disant :
- On va y aller doucement quand même, les joues écarlates.
- Laisse toi aller me dit-elle, j’ai envie que tu prennes du plaisir autant que moi.
Elle sortit de l’eau et me prit par la main pour m’emmener à l’intérieur de la maison. Une fois arrivés dans sa chambre mon cœur battait la chamade à un tel point que je pense que j’aurais pu m’évanouir. Elle m’allongea sur le lit et enleva le bas de son maillot dévoilant son sexe presque intégralement épilé. Elle me grimpa dessus et fit glisser sans mal mon membre dans son intimité déjà largement humide par le bain et nos caresses. Je vivais un moment intense à faire l’amour à cette femme et je serrais les draps de toutes mes forces pour ne pas jouir trop vite, voyant mon émoi Christine me chuchota sans perdre son éternel sourire :
- Laisse toi aller chéri, j’ai envie de te sentir éjaculer en moi.
C’était trop, j’explosa en de longues giclées de sperme chaud dans son vagin lui provoquant un jouissement qui me brisa les tympans.
Nous restâmes alors un long moment allongés l’un à coté de l’autre, vidé des mes ébats je lui demandais inquiet à quelle heure Julien rentrait, ne voulant pas qu’il nous surprenne. Elle me répondit :
- Ne t’inquiète pas mon cœur il va surement passer la soirée avec sa copine, ce qui nous laisse largement le temps de remettre le couvert.
J’entrepris alors quelques douceurs linguales dans l’entre-cuisse de mon hôtesse, celle-ci ne manqua pas d’apprécier, ce qui provoqua de me refaire bander comme un taureau. Voyant mon état, Christine me dit :
- Ca te plairait de me prendre en levrette mon cœur ?
J’accepta bien sur et ma partenaire se plaça devant moi à genoux la croupe bien en évidence. Je tenta de glisser maladroitement ma queue en elle et voyant mon malaise elle me guida de sa main de manière à ce que je me retrouve enfoncé jusqu’aux couilles dans son vagin, j’étais aux anges en entamant mon va et vient d’autant que j’avais la vue sur le miroir de son armoire qui reflétait le balancement de ses gros seins au rythme de mes coups de hanches. J’aurais voulu que ce moment dure éternellement mais voulant profiter au maximum de ce corps que je désirais tant, je guida mon hôtesse pour qu’elle se positionne sur le dos de telle sorte à ce que je la pénètre en missionnaire. Je pus ainsi coller tout mon corps contre le sien, ma poitrine écrasant ses seins et ma queue allant et venant dans son bas-ventre.
Elle me proposa de me glisser à nouveau entre ses loches que j’aimais tant pour entamer à nouveau une masturbation magique, je voyais mon sexe écrasé entre ces deux énormes nichons et sa langue qui venant lécher le bout de mon gland.
- Je crois que je vais encore exploser, lui dis-je presque sur un nuage d’ivresse.
Excitée par mes dires, elle accéléra sa branlette mammaire et je jouis autant abondamment que la précédente fois étalant une grosse quantité de sperme sur ses seins.
Suite à ces ébats qui resteront à jamais dans ma mémoire, je ne tarda pas à m’en aller de crainte de croiser Julien tout en prenant soin de conserver le n° de Christine dans l’espoir d’un prochain rendez-vous galant.
Il me fallut plusieurs heures une fois rentré pour reprendre mes esprits et réaliser ce que je venais de vivre, un SMS de sa part vint me sortir de mes songes ou elle disait
- J’ai adoré faire l’amour avec toi, j’espère que tu ne regrettes rien
- Bien au contraire lui répondis-je en pensant que j’espérais vraiment remettre ça.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Laaaaaaaa suiiiiiiiiite ou soit le bonbon s il vous plaît
Si tu veux les faire partager je suis preneur ;-) mon mail est affiche
franchement je suis maman et j ai fait des truc dix fois plus hard avec les amis de mon
fils mais tres bonne histoire manque un peu de dialogue
fils mais tres bonne histoire manque un peu de dialogue
Un peu difficile à croire, et puis elle aurait quand-même pu en
avaler quelques giclées, moi c'est ce que j'aurais fait.
avaler quelques giclées, moi c'est ce que j'aurais fait.
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa je suis bouché b face à cette histoire, j'adore ce coté où la mère de son pote lui suce la queue. Qu'il a de la chance j'aimerais moi aussi me faire baiser par la mère de mon pote.
elle est vrai ton histoire ?