La vue du balcon
Récit érotique écrit par Australe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La vue du balcon
Je suis seule sur le balcon. Une brise légère m’effleure le visage - une caresse comme je n’en ai jamais connue avec mon ex. A l’intérieur la soirée bat son cours. Je porte une robe légère qui m’arrive au-dessus des genoux. Il fait doux, le printemps arrive. Je suis brune, de taille moyenne et sans me vanter, plutôt mignonne. La vue sur Paris est imprenable. Avoir un ami fils de ministre, ça a ses avantages. Je me retourne vers l’intérieur illuminé. Ca y est, déjà deux couples se sont formés. Ils se découvrent, l’un debout dans l’encadrement d’une porte de chambre, l’autre sur le canapé. Les invités sont peu nombreux mais il y a suffisamment d’alcool et de quoi fumer pour trente personnes. Cependant, je me suis retenue. Pour cinq nanas, prêt d’une dizaine de mecs rôdent et je n’ai en aucun cas l’intention de me laisser prendre, dans tous les sens du terme.
Je reste seule encore de longues minutes à contempler la vue. On peut voir la coupole du Panthéon, toute la rive gauche de Paris qui s’illumine. Une main se pose sur la rambarde, à quelques centimètres seulement de la mienne. Je me retourne, surprise – je n’ai pas entendue la porte fenêtre s’ouvrir.
« Alors Céline, tu nous rejoins pas ? » Il est grand, à demi caché par l’obscurité, c’est Martin, un jeune homme plutôt charmant, mais doté d’une réputation singulière de dragueur aguerri.
Je lui souris, « Pour qu’on me tripote toute la soirée, en me faisant boire ? Non merci. »
Il rit. C’est vrai qu’il possède un vrai charme quand il sourit, « C’est vrai que certains de nos amis sont assez libre de leurs mouvements. Et il faut avouer que nos amies (il met l’accent sur le E du mot), se laissent faire. Ca ne fait que les encourager. »
« Et toi alors ? Tu ne te laisses pas tenter ? Je suis sur que tu ne trouverais aucun mal à devancer tes potes dévergondés. »
« Mais c’est presque un compliment ça ! Sérieusement par contre, je comprends pourquoi tu t’isoles. »
« Ah oui ? » Je le regarde dans les yeux à présent. Ceux-ci sont d’un bleu clair dans un visage fort surligné d’une chevelure courte châtaine. A vrai dire il est très attirant.
Il soupire, regardant au loin, « Je trouve que la vulgarité est beaucoup trop répandue. Les gens ont oublié qu’il est possible d’être sensuel sans repousser. Et l’alcool n’aide en rien. J’ai remarqué que notre ami, fils de ministre fait parti de ces personnes qui se croient tout permis. Ce n’est bien sur pas surprenant.»
Je ne dis rien. Il me surprend. C’est vrai que Martin a toujours arboré un côté mystérieux et silencieux mais pour moi ce n’était qu’un acte, un voile derrière lequel se cachait un autre obsédé ne pensant qu’à sa queue. Tandis que je lève de nouveau les yeux vers les toits parisiens je sens sa main se poser sur ma taille. La caresse est subtile et légère. J’aurais du me retirer, l’empêcher de poursuivre. Son discours semblait indiquer qu’il était différent. Se serait donc en effet un moyen pour me séduire et rien de plus ? Mais sa main semble dire autre chose. Elle remonte le long de mon dos, les pointes de phalanges esquissant une dance légère contre le tissu de ma robe légère. Sans le vouloir je frissonne. Je lui jette un regard mais ne dis rien. Il me fixe, son regard est intense. Alors que je m’efforce enfin à ouvrir la bouche pour le remettre à sa place, ses doigts effleurent ma nuque. C’est fini et je le sais. J’adore que l’on me touche à cet endroit. Je bascule ma tête contre sa main, l’appuyant contre ma peau. J’ai envi de lui. Il le sens, s’approche. Doucement il se colle contre moi. Je ferme les yeux. Sa bouche se pose contre la mienne. Nos lèvres se lovent avant de s’écarter. Sa langue passe contre la mienne. Mes mains le serrent à moi à présent. Je me laisse aller à une exploration de son corps, caressant son dos, sa nuque, puis ses fesses. Aucun doute, il est très bien garni. Tout est au bon endroit. Lui effectue la même découverte sur moi. Sa main droite s’est arrêtée sur ma fesse gauche, l’autre me tient fermement la nuque.
Le retour en taxi est bien trop long. Nos ami nous ont sifflé en sortant mais je m’en fiche. Sur la banquette arrière nous continuons les caresses. Ma main effleure son entre jambe. Il est déjà tout dur. Il m’embrasse langoureusement, sa langue dansant contre la mienne. Je suis déjà trempée.
En arrivant chez lui nous continuons les caresses. Puis il me déshabille. D’abord ma robe qu’il me soulève au-dessus de la tête. Le tissu me caresse la peau hérissée en passant. Je frissonne. Je sais qu’il me veut nue devant lui et la pensée m’excite. Mon soutif noir dentelle suit. Mes seins sont relâchés. La sensation est tellement agréable que je soupire. Il sourit. Il se colle à moi. Je suis nue à part mon tanga noir. Ses mains explorent ma peau exposée. Les miennes viennent se faufiler entre nous. Je lui malaxe l’entre jambe. Je le sens raide sous mon toucher. Enfin, il fait glisser ses doigts sous la dentelle de mon tanga qu’il fait ensuite descendre le long de mes fesses et cuisses. Je le laisse tomber à terre. Il ne s’arrête pas de m’embrasser, ses bras de nouveau me serrant à lui.
Nous nous dirigeons vers le lit. Je sens son regard me découvrir.
« Tu es magnifique. » me dit-il, sa voit basse et douce.
Je me retourne vers lui, m’asseyant sur le lit. Je suis obligée de lever le regard, je sens que ça l’excite. Je pose une main sur la bosse de sa verge.
« Qu’aimes tu en particulier chez moi ? »
« Ton regard – »
Je le coupe, « Non je veux dire physiquement. C’est bon, je suis nue, tu n’as pas à sortir le grand jeu. »
« J’adore tes seins. Ils sont parfaitement formés. »
Je resserre mes bras, pressant mes seins l’un contre l’autre. Je suis très confortable avec leur taille – 90C et je sais que ma posture ne fait qu’aggraver l’excitation de mon compagnon. J’aime le torturer, le contrôler en quelque sorte.
« Et… quoi d’autre ? » Je lui souris à présent.
« Eh bien, tu as un très beau fessier… »
Je me retourne, m’allongeant sur mon ventre contre les draps. Je lui donne une vue imprenable, me cambrant légèrement. Je ne sais pas trop ce qui me prend. A vraie dire, et surtout récemment, j’ai été d’une nature plutôt prude. Je ne dis pas m’être rabattue totalement sur la chasteté mais le besoin de trouver un amant s’était presque totalement effacé. A présent cependant, je sens un besoin de me lâcher, de donner envie, de me laisser aller à mes désires et de susciter ceux de ce beau jeune homme qui me dévore du regard.
J’entends sa ceinture qui se défait, puis son t-shirt tombe sur le lit prêt de moi. Je me retourne. Il se dénude rapidement. Il laisse le caleçon cependant, sous lequel la barre raide de son sexe se fait plus que deviner, et désirer. Il se place au-dessus de moi, puis se laisse descendre sur moi. Je sens son bassin se coller au mien, sa verge dure se plaquer entre mes fesses. Il m’embrasse le dos. Je suis traversée de frissons réguliers et incontrôlables à présent. Sa bouche esquisse un parcours le long de mon dos, vers mes fesses. Il descend jusqu’à en arriver en haut de ma raie. Je suis incertaine, ne sachant trop ce qu’il veut. Mais je ne bouge pas. Puis je sens sa main se pousser entre mes cuisses. Elle est chaude contre ma peau. Ses doigts sont rapidement enduits de cyprine tandis qu’il m’écarte les lèvres. Je frissonne au contacte de ses phalanges contre mon clitoris déjà bien enflé. Il me titille, me caresse longuement. Son toucher est adepte, esquissant de petits cercles par moments, à d’autres me caressant l’extérieur de ma vulve.
« Tu es épilée, j’adore. » Il me pousse le bassin vers le haut, le cambrant d’avantage et m’écarté légèrement les cuisses. Je suis au ciel, sous l’emprise de ses caresses et soudain je sens sa bouche se poser sur mon entre jambe trempé. Jamais on ne m’a léchée dans cette position. Au départ je suis prise de court, mais rapidement je me laisse aller tandis que sa langue se balade entre mes lèvres. Il me goute longuement. Je ne compte plus les minutes, seulement les coups de sa langue, légère et rapide. Je le veux en moi.
Je n’ai pas à attendre longtemps. Tandis qu’il me lèche, je le sens enlever d’une main son caleçon. Puis, après un dernier bisou tendre entre mes cuisses, il remonte, faisant le chemin inverse le long de ma colonne. Il se positionne entre mes cuisses, poussant mon bassin de nouveau contre les draps. Je sens son gland s’humidifier et se réchauffer contre ma vulve. Il sait parfaitement où aller, contrairement à beaucoup d’amants bien plus maladroits. Il est brulant contre ma peau. Doucement mais fermement il fait pression et je sens son gland résister une fraction de seconde avant de s’enfoncer lentement en moi. C’est exquis. Je me contracte involontairement autour de sa verge. Je suis traversée d’une vague de secousses. Il s’enfonce entièrement en moi, laissant son bassin se coller au mien. Il est très bien membré, mais il ne me fait en aucun cas mal. Je glisse une main derrière moi, la posant sur sa fesse. Je fais pression. J’ai envie qu’il me prenne, me possède, mais il ne bouge pas. A présent c’est lui qui contrôle. L’attente est une torture délicieuse.
Enfin, après ce qui semble être une éternité, il se retire légèrement, puis se plaque à nouveau contre moi. Le mouvement, pourtant subtile, me fait frissonner à nouveau. Il le répète, encore, puis encore. Les vas et viens s’accélèrent. Tout du long je sens sa respiration contre ma peau. Je gémis, sans en avoir conscience. Je me perd dans les vas et viens de son bassin que j’accompagne autant que possible du mien.
Il me retourne. Je suis sur le dos alors que je jouis, mes jambes se resserrant autour de sa taille. A bout de souffle il tombe sur le côté. J’en profite pour monter sur lui, le chevauchant. Mes mouvements sont longs et délicieux. Il est au plus profond de moi. Je ne veux pas le laisser finir ainsi cependant. Je lui réserve une petite gâterie.
Alors que j’entends sa respiration s’accélérer, ses jambes se raidirent, je me désengage. Je le prends délicatement en bouche, à quatre pattes. Je le suce longuement, docilement, puis j’accélère le rythme. J’accompagne la caresse de ma main droite. Les doigts de ma main gauche lui bercent les boules. Il s’arrête de respirer, je le sens se raidir à nouveau. Son sperme fait irruption dans ma bouche. Je ne peux tout prendre alors j’en laisse déborder et goûter contre ma main, son ventre.
Comblés, nous nous allongeons cote à cote. Il me serre contre lui. Nos peaux moites se confondent. Je garde une main sur sa verge qui reste raide de longues minutes après nos ébats. Nous nous endormons ainsi.
Je reste seule encore de longues minutes à contempler la vue. On peut voir la coupole du Panthéon, toute la rive gauche de Paris qui s’illumine. Une main se pose sur la rambarde, à quelques centimètres seulement de la mienne. Je me retourne, surprise – je n’ai pas entendue la porte fenêtre s’ouvrir.
« Alors Céline, tu nous rejoins pas ? » Il est grand, à demi caché par l’obscurité, c’est Martin, un jeune homme plutôt charmant, mais doté d’une réputation singulière de dragueur aguerri.
Je lui souris, « Pour qu’on me tripote toute la soirée, en me faisant boire ? Non merci. »
Il rit. C’est vrai qu’il possède un vrai charme quand il sourit, « C’est vrai que certains de nos amis sont assez libre de leurs mouvements. Et il faut avouer que nos amies (il met l’accent sur le E du mot), se laissent faire. Ca ne fait que les encourager. »
« Et toi alors ? Tu ne te laisses pas tenter ? Je suis sur que tu ne trouverais aucun mal à devancer tes potes dévergondés. »
« Mais c’est presque un compliment ça ! Sérieusement par contre, je comprends pourquoi tu t’isoles. »
« Ah oui ? » Je le regarde dans les yeux à présent. Ceux-ci sont d’un bleu clair dans un visage fort surligné d’une chevelure courte châtaine. A vrai dire il est très attirant.
Il soupire, regardant au loin, « Je trouve que la vulgarité est beaucoup trop répandue. Les gens ont oublié qu’il est possible d’être sensuel sans repousser. Et l’alcool n’aide en rien. J’ai remarqué que notre ami, fils de ministre fait parti de ces personnes qui se croient tout permis. Ce n’est bien sur pas surprenant.»
Je ne dis rien. Il me surprend. C’est vrai que Martin a toujours arboré un côté mystérieux et silencieux mais pour moi ce n’était qu’un acte, un voile derrière lequel se cachait un autre obsédé ne pensant qu’à sa queue. Tandis que je lève de nouveau les yeux vers les toits parisiens je sens sa main se poser sur ma taille. La caresse est subtile et légère. J’aurais du me retirer, l’empêcher de poursuivre. Son discours semblait indiquer qu’il était différent. Se serait donc en effet un moyen pour me séduire et rien de plus ? Mais sa main semble dire autre chose. Elle remonte le long de mon dos, les pointes de phalanges esquissant une dance légère contre le tissu de ma robe légère. Sans le vouloir je frissonne. Je lui jette un regard mais ne dis rien. Il me fixe, son regard est intense. Alors que je m’efforce enfin à ouvrir la bouche pour le remettre à sa place, ses doigts effleurent ma nuque. C’est fini et je le sais. J’adore que l’on me touche à cet endroit. Je bascule ma tête contre sa main, l’appuyant contre ma peau. J’ai envi de lui. Il le sens, s’approche. Doucement il se colle contre moi. Je ferme les yeux. Sa bouche se pose contre la mienne. Nos lèvres se lovent avant de s’écarter. Sa langue passe contre la mienne. Mes mains le serrent à moi à présent. Je me laisse aller à une exploration de son corps, caressant son dos, sa nuque, puis ses fesses. Aucun doute, il est très bien garni. Tout est au bon endroit. Lui effectue la même découverte sur moi. Sa main droite s’est arrêtée sur ma fesse gauche, l’autre me tient fermement la nuque.
Le retour en taxi est bien trop long. Nos ami nous ont sifflé en sortant mais je m’en fiche. Sur la banquette arrière nous continuons les caresses. Ma main effleure son entre jambe. Il est déjà tout dur. Il m’embrasse langoureusement, sa langue dansant contre la mienne. Je suis déjà trempée.
En arrivant chez lui nous continuons les caresses. Puis il me déshabille. D’abord ma robe qu’il me soulève au-dessus de la tête. Le tissu me caresse la peau hérissée en passant. Je frissonne. Je sais qu’il me veut nue devant lui et la pensée m’excite. Mon soutif noir dentelle suit. Mes seins sont relâchés. La sensation est tellement agréable que je soupire. Il sourit. Il se colle à moi. Je suis nue à part mon tanga noir. Ses mains explorent ma peau exposée. Les miennes viennent se faufiler entre nous. Je lui malaxe l’entre jambe. Je le sens raide sous mon toucher. Enfin, il fait glisser ses doigts sous la dentelle de mon tanga qu’il fait ensuite descendre le long de mes fesses et cuisses. Je le laisse tomber à terre. Il ne s’arrête pas de m’embrasser, ses bras de nouveau me serrant à lui.
Nous nous dirigeons vers le lit. Je sens son regard me découvrir.
« Tu es magnifique. » me dit-il, sa voit basse et douce.
Je me retourne vers lui, m’asseyant sur le lit. Je suis obligée de lever le regard, je sens que ça l’excite. Je pose une main sur la bosse de sa verge.
« Qu’aimes tu en particulier chez moi ? »
« Ton regard – »
Je le coupe, « Non je veux dire physiquement. C’est bon, je suis nue, tu n’as pas à sortir le grand jeu. »
« J’adore tes seins. Ils sont parfaitement formés. »
Je resserre mes bras, pressant mes seins l’un contre l’autre. Je suis très confortable avec leur taille – 90C et je sais que ma posture ne fait qu’aggraver l’excitation de mon compagnon. J’aime le torturer, le contrôler en quelque sorte.
« Et… quoi d’autre ? » Je lui souris à présent.
« Eh bien, tu as un très beau fessier… »
Je me retourne, m’allongeant sur mon ventre contre les draps. Je lui donne une vue imprenable, me cambrant légèrement. Je ne sais pas trop ce qui me prend. A vraie dire, et surtout récemment, j’ai été d’une nature plutôt prude. Je ne dis pas m’être rabattue totalement sur la chasteté mais le besoin de trouver un amant s’était presque totalement effacé. A présent cependant, je sens un besoin de me lâcher, de donner envie, de me laisser aller à mes désires et de susciter ceux de ce beau jeune homme qui me dévore du regard.
J’entends sa ceinture qui se défait, puis son t-shirt tombe sur le lit prêt de moi. Je me retourne. Il se dénude rapidement. Il laisse le caleçon cependant, sous lequel la barre raide de son sexe se fait plus que deviner, et désirer. Il se place au-dessus de moi, puis se laisse descendre sur moi. Je sens son bassin se coller au mien, sa verge dure se plaquer entre mes fesses. Il m’embrasse le dos. Je suis traversée de frissons réguliers et incontrôlables à présent. Sa bouche esquisse un parcours le long de mon dos, vers mes fesses. Il descend jusqu’à en arriver en haut de ma raie. Je suis incertaine, ne sachant trop ce qu’il veut. Mais je ne bouge pas. Puis je sens sa main se pousser entre mes cuisses. Elle est chaude contre ma peau. Ses doigts sont rapidement enduits de cyprine tandis qu’il m’écarte les lèvres. Je frissonne au contacte de ses phalanges contre mon clitoris déjà bien enflé. Il me titille, me caresse longuement. Son toucher est adepte, esquissant de petits cercles par moments, à d’autres me caressant l’extérieur de ma vulve.
« Tu es épilée, j’adore. » Il me pousse le bassin vers le haut, le cambrant d’avantage et m’écarté légèrement les cuisses. Je suis au ciel, sous l’emprise de ses caresses et soudain je sens sa bouche se poser sur mon entre jambe trempé. Jamais on ne m’a léchée dans cette position. Au départ je suis prise de court, mais rapidement je me laisse aller tandis que sa langue se balade entre mes lèvres. Il me goute longuement. Je ne compte plus les minutes, seulement les coups de sa langue, légère et rapide. Je le veux en moi.
Je n’ai pas à attendre longtemps. Tandis qu’il me lèche, je le sens enlever d’une main son caleçon. Puis, après un dernier bisou tendre entre mes cuisses, il remonte, faisant le chemin inverse le long de ma colonne. Il se positionne entre mes cuisses, poussant mon bassin de nouveau contre les draps. Je sens son gland s’humidifier et se réchauffer contre ma vulve. Il sait parfaitement où aller, contrairement à beaucoup d’amants bien plus maladroits. Il est brulant contre ma peau. Doucement mais fermement il fait pression et je sens son gland résister une fraction de seconde avant de s’enfoncer lentement en moi. C’est exquis. Je me contracte involontairement autour de sa verge. Je suis traversée d’une vague de secousses. Il s’enfonce entièrement en moi, laissant son bassin se coller au mien. Il est très bien membré, mais il ne me fait en aucun cas mal. Je glisse une main derrière moi, la posant sur sa fesse. Je fais pression. J’ai envie qu’il me prenne, me possède, mais il ne bouge pas. A présent c’est lui qui contrôle. L’attente est une torture délicieuse.
Enfin, après ce qui semble être une éternité, il se retire légèrement, puis se plaque à nouveau contre moi. Le mouvement, pourtant subtile, me fait frissonner à nouveau. Il le répète, encore, puis encore. Les vas et viens s’accélèrent. Tout du long je sens sa respiration contre ma peau. Je gémis, sans en avoir conscience. Je me perd dans les vas et viens de son bassin que j’accompagne autant que possible du mien.
Il me retourne. Je suis sur le dos alors que je jouis, mes jambes se resserrant autour de sa taille. A bout de souffle il tombe sur le côté. J’en profite pour monter sur lui, le chevauchant. Mes mouvements sont longs et délicieux. Il est au plus profond de moi. Je ne veux pas le laisser finir ainsi cependant. Je lui réserve une petite gâterie.
Alors que j’entends sa respiration s’accélérer, ses jambes se raidirent, je me désengage. Je le prends délicatement en bouche, à quatre pattes. Je le suce longuement, docilement, puis j’accélère le rythme. J’accompagne la caresse de ma main droite. Les doigts de ma main gauche lui bercent les boules. Il s’arrête de respirer, je le sens se raidir à nouveau. Son sperme fait irruption dans ma bouche. Je ne peux tout prendre alors j’en laisse déborder et goûter contre ma main, son ventre.
Comblés, nous nous allongeons cote à cote. Il me serre contre lui. Nos peaux moites se confondent. Je garde une main sur sa verge qui reste raide de longues minutes après nos ébats. Nous nous endormons ainsi.
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
vraiment trés belle histoire et trés éxitante on est un couple d'étudiant sur paris si ta envie de discuter vient nous parler ;)
Bonjour,
Très belle histoire. J'aimerais beaucoup discuter avec vous, Australe.
Bises
Très belle histoire. J'aimerais beaucoup discuter avec vous, Australe.
Bises
Bonjour,
J'aime votre récit
Je suis homme -' ans Paris Intello.
Bises
J'aime votre récit
Je suis homme -' ans Paris Intello.
Bises
plaisant...ça sent le vécue...bisous doux
Salut,
Moi même étudiant j'ai trouvé ton histoire prenante ;)
Je ne serais pas contre discuter avec toi, à bientot, bisous.
Moi même étudiant j'ai trouvé ton histoire prenante ;)
Je ne serais pas contre discuter avec toi, à bientot, bisous.
j'aimerai bien discuter avec toi ;)
Très sympa à lire et excitant.
Si cela est vrai encore félicitations ;)
Si cela est vrai encore félicitations ;)
J'aime beaucoup, bien écrit, excitant, vivement le prochain ;)
histoire vraie ?
histoire vraie ?
bien sur. Parcontre vous ne m'avez pas laissé de mail...
Récit intéressant.
Je souhaiterais écrire une histoire à deux.
Merci pour votre réponse.
Je souhaiterais écrire une histoire à deux.
Merci pour votre réponse.