Laetitia34_1
Récit érotique écrit par Laeti34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Laetitia34_1
Je vous écris pour vous raconter mes "aventures".
Je m'appelle Laetitia, j'ai trente-quatre ans. Je suis blonde, une vraie blonde, et je trouve que je ne suis pas mal faite. Mes gros seins et mes fesses rebondies attirent beaucoup de regards d'hommes, bien sûr, mais aussi de femmes même si, bien souvent, je ne lis pas tout à fait la même chose dans les uns et les autres.
Pour la clarté de mon récit, je précise qu'il y a quelques années, j'étais assez pudique, même si j'aimais bien me mettre nue lorsque j'étais seule. Depuis, à cause certainement de mes différentes expériences, cela m'est passé et ma nudité ne me gêne absolument plus. Au contraire, j'aime bien montrer mon corps à celui, à celle ou ceux avec qui je vais faire l'amour et que je veux exciter tout en m'excitant. Je précise également qu'en amour, je ne refuse rien du tout, ni les hommes, ni les femmes ni les deux en même temps. J'aime jouir et j'aime faire jouir ce qui d'ailleurs est, pour moi, indissociable, et souvent, faire jouir me fait jouir moi-même.
Pour faire jouir un homme, autrement que pendant un rapport sexuel proprement dit (ma position favorite est celle dite de la levrette), ce que je préfère, c'est prendre sa verge dans ma bouche alors qu'elle est encore toute molle, toute petite. J'aime la sentir grossir grâce à ma langue, mes lèvres, mon palais, j'aime la sentir progresser jusqu'au point de non-retour et enfin la faire exploser, noyant ma bouche sous des flots de sperme.
Voilà, malheureusement, un exercice devenu bien trop périlleux de nos jours, le goût du latex aseptisé, parfumé à la vanille ou à la fraise a remplacé celui plus amer et salé, mais bien meilleur, du sperme. C'est bien dommage. Nos scientifiques avaient trouvé la pilule pour qu'on puisse baiser tranquillement, mais voilà que dame Nature vient nous empêcher de satisfaire nos besoins et nos envies... Passons! Baiseuses, mes sœurs, vous qui, comme moi, aimez le sexe et les bites, n'oubliez pas de les recouvrir, si elles sortent sans parapluie, ces queues que vous ne connaissez pas. Une capote parfumée vanille est préférable à d'énormes désagréments ou pire.
Mais... Laissons la place à mes histoires puisque c'est pour vous les conter que je vous écris.
A l'époque, j'avais un peu plus de dix-huit ans, fêtés en mars en même temps que mon "copain", né quelques jours avant moi.
Je fréquentais le lycée, en terminale, et je «sortais» donc avec ce garçon de ma classe qui me draguais depuis le début de l'année scolaire. Un samedi après-midi de juin, alors que nous n'allons plus au lycée, libérés de cours pour cause de révisions du bac, nous nous retrouvons dans sa chambre, comme nous le faisons souvent pour écouter de la musique ou faire un devoir quelconque. Ce jour-là, ses parents ne sont pas là, ce qu'il s'est bien gardé de me dire avant de m'entraîner chez lui, mais ce qui ne m'effarouche pas outre mesure lorsque je l'apprends. Depuis le début de nos amourettes, David ne s'est jamais permis d'autres attouchements que les baisers et quelques caresses furtives sur les seins et quelquefois sur les cuisses, sans insister quand ma main repousse la sienne.
Ce jour-là, nous sommes assis sur le lit, nous écoutons de la musique, entre deux exercices de math ou de physique, tout en nous embrassant peut-être plus goulûment que d'habitude, car nous ne craignons pas l'arrivée inopinée de sa mère. De baiser en baiser, nous nous retrouvons allongés, nos baisers se font plus longs, plus profonds. Au bout d'un long moment, sa main vient envelopper un de mes seins déjà bien développés. Je laisse faire, d'autant que ce n'est pas désagréable du tout. Je dirais même que c'est bon, le contact de sa main à travers les minces étoffes du chemisier et du soutien-gorge. Ses lèvres glissent des miennes vers mon cou, mon oreille... Elles se font pressantes, comme sa main. Il fait chaud, je suis bien, une douce chaleur m'envahit, j'apprécie les caresses. Sa main descend sur mon ventre, mes hanches, le long de ma cuisse qu'elle trouve vite nue, découverte par la minijupe déjà bien remontée, elle descend jusqu'au genou, remonte, redescend. C'est bon ! Pendant un long moment, sa main va de mon tibia à la moitié de ma cuisse. Puis, petit à petit, elle se glisse sous ma jupe, remonte plus haut, puis vient caresser le bord de ma petite culotte. Je serre un peu les cuisses. David insiste un peu !
« -Laisse-toi faire ! C'est bon !»
Oui, c'est bon, je me sens bien et quand sa main remonte, je laisse faire. Elle caresse le haut de mes cuisses, passe sur ma culotte, s'attarde sur le pubis, elle essaye de s'insinuer dans les replis de l'aine, se fait un peu plus autoritaire. Alors, presque malgré moi, j'écarte légèrement les cuisses, j'ai envie de sentir cette main sur mon sexe.
Un doigt profite du passage libéré pour aller caresser plus bas. C'est bon ! J'écarte plus grand mes cuisses et sa main peut passer sur mon sexe. Pendant ce temps, les lèvres de David ne restent pas immobiles, elles vont de ma bouche à mes yeux en passant par mon cou, le haut de ma poitrine, découvert depuis que l'autre main a réussi à défaire quelques boutons de mon chemisier. Je suis bien. J'ai envie de profiter de ses caresses. Petit à petit, me couvrant de caresses et de baisers, il enlève mon chemisier puis, assez rapidement, mon soutien-gorge. Je suis seins nus, dardés vers le ciel, surmontés de leurs pointes érigées avec lesquelles il s'amuse doucement. C'est bon !
Je n'ai même pas honte d'exhiber mes nichons à un garçon. Au contraire, cela m'excite un peu plus. Ma jupe s'envole et je n'ai plus sur moi que ma petite culotte. J'ai les cuisses écartées et j'aime ça. Le mec se rend bien compte que ça me plaît et il me fait rapidement aimer encore plus, des mains, des lèvres, de la langue, des cheveux, de tout ce qui peu servir à me caresser.
Il s'attaque à ma culotte, ses doigts essayant de s'insinuer sous l'élastique, j'hésite, il insiste, je le laisse faire. Il retire ma culotte avec douceur, et moi qui suis si pudique, je me retrouve complètement nue devant un mec, et paradoxalement, au lieu de me sentir gênée, j'aime ça.
Son regard me brûle le corps à me détailler, ses mains m'électrisent. Il se lève, se déshabille, rapidement, il ne garde que son slip qui fait une grosse bosse sur le devant.
J'aurais pourtant bien aimé voir ce sexe, depuis le temps que nous en parlons, mes copines et moi, de la bite des garçons qui devient paraît-il toute grosse et toute dure quand ils bandent.
Il se rallonge à côté de moi et se met à me caresser de nouveau. C'est bon ! Sa main attrape la mienne et la pose sur son sexe. J'ai un mouvement de recul. Il insiste. Alors, je lui saisis le zob à travers le tissu du slip et je commence à masser plus qu'à caresser. D'après ce que je peux sentir, je croyais que c'était plus gros. Mais je veux voir, moi aussi, et je lui enlève son slip. C'est là, à quelques centimètres de mes yeux : une bite raide, tendue, garnie de grosses veines toutes bleues et toutes gonflées, dressée vers le plafond, le bout tout violacé, battant une mesure imaginaire, masquant un petit tas de poils noirs, accrochés au pubis et supportant deux petites boules enfermées dans leur sac. Je détaille cette bite et cela m'excite. Je tends la main et referme mes doigts sur la fierté du mec. C'est chaud, vivant. Je parcours des doigts cette hampe, doucement, descends jusqu'aux couilles que j'emprisonne dans ma main.
Puis je remonte jusqu'au gland, tout doux et tout lisse, que je caresse du bout des doigts ; la verge s'agite, la caresse doit être bonne, je la continue un peu puis je saisis cette queue fermement de ma main et commence un mouvement de haut en bas et de bas en haut, tout doucement d'abord. David gémit, je le regarde, croyant lui faire mal, mais non, il a les yeux clos, il aime la caresse. Alors, j'accélère le mouvement, je serre un peu plus puis je vais de plus en plus vite. Il aime. Il le dit. Son corps se tend en arc de cercle, il pousse un petit cri.
Son sperme jaillit du bout du sexe, il jouit, son jute s'écrase sur son ventre en plusieurs giclées blanchâtres et je jouis moi aussi, d'un tout petit orgasme discret.
Il se nettoie et tandis qu'il me caresse distraitement me dit qu'il y avait longtemps qu'il rêvait de jouir grâce à moi. Nous discutons un moment en nous caressant. Je lui pose des questions sur la sexualité des mecs. Il me répond gentiment tout en me posant lui aussi des questions sur les filles et sur ce qu'elles aiment.
Et puis, il bande de nouveau, et je sens ma chatte s'embraser. Le petit orgasme m'a bien plu mais il ne m'a pas comblée. Des caresses, des baisers, je me retrouve allongée, cuisses à l'équerre et David, bite toute raide en main, s'installe entre elles. Je relève la tête, je veux voir sa queue s'enfoncer dans mon fourreau. Il présente son gland à l'entrée de ma grotte et le frotte le long de ma fente. Il revient à l'entrée, pousse un peu, le gland s'enfonce dans mon sexe :
«- Aïe !
- Mais tu es vierge ? S'étonne-t-il.
- Oui, mais prends-moi vite ! J'ai envie ! »
David pousse de nouveau.
Il pousse un peu plus, déjà je ne vois plus son gland. David pousse de nouveau.. Mon hymen résiste. J'ai trop envie. Mon bassin, comme autonome, pousse ma chatte en avant, David pousse aussi. J'ai mal. Crac ! Mon pucelage s'envole, sa queue rentre en moi tout entière, d'un coup. Ça fait mal.
«- Attends !»
Il s'allonge sur moi, sa poitrine vient écraser mes seins. Ses lèvres me murmurent des mots doux entrecoupés de baisers. Petit à petit, la douleur au fond de mon sexe diminue puis disparaît. Les muscles de ma chatte se contractent, ils aspirent cette bite fichée en moi, mon bassin entame une houle de plus en plus forte. Mon corps réclame le coït.
J'en ai envie. David commence alors un mouvement de va et vient, de plus en plus ample, de plus en plus rapide. Que c'est bon ! Meilleur que mes caresses en solitaire.
J'arrive à soulever la tête. Je vois mes nichons ballottés dans tous les sens, j'aperçois la queue rose et brillante de mon amant qui entre et sort de ma chatte à une vitesse incroyable. Le plaisir vient, du fin fond de mon sexe, prend possession de ma chatte entière puis de mon ventre. Je jouis. Je reçois une giclée brûlante au fond du sexe.
David jouit.
Je n'ai jamais refait l'amour avec David, les hasards de la vie ne nous l'ayant pas permis avant son déménagement. Il est parti en province, nous nous sommes écrits souvent, puis de moins en moins souvent puis plus du tout. Je ne l'ai jamais revu mais je garde au fond de mon cœur une petite place d'amour pour lui. Si j'aime autant baiser aujourd'hui, je suis sûre que c'est, tout au moins en partie, grâce à lui. Peut-être le hasard lui fera-t-il lire ces lignes ?
Voilà comment ma première fois s'est passée mes chéri(e)s !
Je souhaite à toutes les pucelles de trouver un mec aussi gentil que mon David pour perdre leur virginité.
Il est, paraît-il, des jeunes filles qui décident du jour où elles vont perdre leur virginité. Cela n'a pas été mon cas, David a pris ma fleur, les circonstances l'ont décidé, cela s'est fait comme ça, sans préméditation, sans programmation. Je ne savais pas, ce jour-là, qu'à pénétrer dans sa chambre comme je l'avais fait maintes fois, je perdrais mon pucelage. Je ne le regrette pas même si, à l'époque, j'ai eu un peu honte en me disant que je n'arriverai pas vierge au mariage.
Il en est ainsi des premières années de ma vie sexuelle, de mes premières expériences, elles sont arrivées, par hasard, suivant le cours des événements, sans être décidées auparavant, comme vous allez pouvoir le lire. Depuis, souvent, je décide de qui me touche et de qui ou de ce qui me pénètre, mais si je laisse aussi faire le hasard, celui-ci m'a toujours comblée et je n'ai jamais été déçue.
Je m'appelle Laetitia, j'ai trente-quatre ans. Je suis blonde, une vraie blonde, et je trouve que je ne suis pas mal faite. Mes gros seins et mes fesses rebondies attirent beaucoup de regards d'hommes, bien sûr, mais aussi de femmes même si, bien souvent, je ne lis pas tout à fait la même chose dans les uns et les autres.
Pour la clarté de mon récit, je précise qu'il y a quelques années, j'étais assez pudique, même si j'aimais bien me mettre nue lorsque j'étais seule. Depuis, à cause certainement de mes différentes expériences, cela m'est passé et ma nudité ne me gêne absolument plus. Au contraire, j'aime bien montrer mon corps à celui, à celle ou ceux avec qui je vais faire l'amour et que je veux exciter tout en m'excitant. Je précise également qu'en amour, je ne refuse rien du tout, ni les hommes, ni les femmes ni les deux en même temps. J'aime jouir et j'aime faire jouir ce qui d'ailleurs est, pour moi, indissociable, et souvent, faire jouir me fait jouir moi-même.
Pour faire jouir un homme, autrement que pendant un rapport sexuel proprement dit (ma position favorite est celle dite de la levrette), ce que je préfère, c'est prendre sa verge dans ma bouche alors qu'elle est encore toute molle, toute petite. J'aime la sentir grossir grâce à ma langue, mes lèvres, mon palais, j'aime la sentir progresser jusqu'au point de non-retour et enfin la faire exploser, noyant ma bouche sous des flots de sperme.
Voilà, malheureusement, un exercice devenu bien trop périlleux de nos jours, le goût du latex aseptisé, parfumé à la vanille ou à la fraise a remplacé celui plus amer et salé, mais bien meilleur, du sperme. C'est bien dommage. Nos scientifiques avaient trouvé la pilule pour qu'on puisse baiser tranquillement, mais voilà que dame Nature vient nous empêcher de satisfaire nos besoins et nos envies... Passons! Baiseuses, mes sœurs, vous qui, comme moi, aimez le sexe et les bites, n'oubliez pas de les recouvrir, si elles sortent sans parapluie, ces queues que vous ne connaissez pas. Une capote parfumée vanille est préférable à d'énormes désagréments ou pire.
Mais... Laissons la place à mes histoires puisque c'est pour vous les conter que je vous écris.
A l'époque, j'avais un peu plus de dix-huit ans, fêtés en mars en même temps que mon "copain", né quelques jours avant moi.
Je fréquentais le lycée, en terminale, et je «sortais» donc avec ce garçon de ma classe qui me draguais depuis le début de l'année scolaire. Un samedi après-midi de juin, alors que nous n'allons plus au lycée, libérés de cours pour cause de révisions du bac, nous nous retrouvons dans sa chambre, comme nous le faisons souvent pour écouter de la musique ou faire un devoir quelconque. Ce jour-là, ses parents ne sont pas là, ce qu'il s'est bien gardé de me dire avant de m'entraîner chez lui, mais ce qui ne m'effarouche pas outre mesure lorsque je l'apprends. Depuis le début de nos amourettes, David ne s'est jamais permis d'autres attouchements que les baisers et quelques caresses furtives sur les seins et quelquefois sur les cuisses, sans insister quand ma main repousse la sienne.
Ce jour-là, nous sommes assis sur le lit, nous écoutons de la musique, entre deux exercices de math ou de physique, tout en nous embrassant peut-être plus goulûment que d'habitude, car nous ne craignons pas l'arrivée inopinée de sa mère. De baiser en baiser, nous nous retrouvons allongés, nos baisers se font plus longs, plus profonds. Au bout d'un long moment, sa main vient envelopper un de mes seins déjà bien développés. Je laisse faire, d'autant que ce n'est pas désagréable du tout. Je dirais même que c'est bon, le contact de sa main à travers les minces étoffes du chemisier et du soutien-gorge. Ses lèvres glissent des miennes vers mon cou, mon oreille... Elles se font pressantes, comme sa main. Il fait chaud, je suis bien, une douce chaleur m'envahit, j'apprécie les caresses. Sa main descend sur mon ventre, mes hanches, le long de ma cuisse qu'elle trouve vite nue, découverte par la minijupe déjà bien remontée, elle descend jusqu'au genou, remonte, redescend. C'est bon ! Pendant un long moment, sa main va de mon tibia à la moitié de ma cuisse. Puis, petit à petit, elle se glisse sous ma jupe, remonte plus haut, puis vient caresser le bord de ma petite culotte. Je serre un peu les cuisses. David insiste un peu !
« -Laisse-toi faire ! C'est bon !»
Oui, c'est bon, je me sens bien et quand sa main remonte, je laisse faire. Elle caresse le haut de mes cuisses, passe sur ma culotte, s'attarde sur le pubis, elle essaye de s'insinuer dans les replis de l'aine, se fait un peu plus autoritaire. Alors, presque malgré moi, j'écarte légèrement les cuisses, j'ai envie de sentir cette main sur mon sexe.
Un doigt profite du passage libéré pour aller caresser plus bas. C'est bon ! J'écarte plus grand mes cuisses et sa main peut passer sur mon sexe. Pendant ce temps, les lèvres de David ne restent pas immobiles, elles vont de ma bouche à mes yeux en passant par mon cou, le haut de ma poitrine, découvert depuis que l'autre main a réussi à défaire quelques boutons de mon chemisier. Je suis bien. J'ai envie de profiter de ses caresses. Petit à petit, me couvrant de caresses et de baisers, il enlève mon chemisier puis, assez rapidement, mon soutien-gorge. Je suis seins nus, dardés vers le ciel, surmontés de leurs pointes érigées avec lesquelles il s'amuse doucement. C'est bon !
Je n'ai même pas honte d'exhiber mes nichons à un garçon. Au contraire, cela m'excite un peu plus. Ma jupe s'envole et je n'ai plus sur moi que ma petite culotte. J'ai les cuisses écartées et j'aime ça. Le mec se rend bien compte que ça me plaît et il me fait rapidement aimer encore plus, des mains, des lèvres, de la langue, des cheveux, de tout ce qui peu servir à me caresser.
Il s'attaque à ma culotte, ses doigts essayant de s'insinuer sous l'élastique, j'hésite, il insiste, je le laisse faire. Il retire ma culotte avec douceur, et moi qui suis si pudique, je me retrouve complètement nue devant un mec, et paradoxalement, au lieu de me sentir gênée, j'aime ça.
Son regard me brûle le corps à me détailler, ses mains m'électrisent. Il se lève, se déshabille, rapidement, il ne garde que son slip qui fait une grosse bosse sur le devant.
J'aurais pourtant bien aimé voir ce sexe, depuis le temps que nous en parlons, mes copines et moi, de la bite des garçons qui devient paraît-il toute grosse et toute dure quand ils bandent.
Il se rallonge à côté de moi et se met à me caresser de nouveau. C'est bon ! Sa main attrape la mienne et la pose sur son sexe. J'ai un mouvement de recul. Il insiste. Alors, je lui saisis le zob à travers le tissu du slip et je commence à masser plus qu'à caresser. D'après ce que je peux sentir, je croyais que c'était plus gros. Mais je veux voir, moi aussi, et je lui enlève son slip. C'est là, à quelques centimètres de mes yeux : une bite raide, tendue, garnie de grosses veines toutes bleues et toutes gonflées, dressée vers le plafond, le bout tout violacé, battant une mesure imaginaire, masquant un petit tas de poils noirs, accrochés au pubis et supportant deux petites boules enfermées dans leur sac. Je détaille cette bite et cela m'excite. Je tends la main et referme mes doigts sur la fierté du mec. C'est chaud, vivant. Je parcours des doigts cette hampe, doucement, descends jusqu'aux couilles que j'emprisonne dans ma main.
Puis je remonte jusqu'au gland, tout doux et tout lisse, que je caresse du bout des doigts ; la verge s'agite, la caresse doit être bonne, je la continue un peu puis je saisis cette queue fermement de ma main et commence un mouvement de haut en bas et de bas en haut, tout doucement d'abord. David gémit, je le regarde, croyant lui faire mal, mais non, il a les yeux clos, il aime la caresse. Alors, j'accélère le mouvement, je serre un peu plus puis je vais de plus en plus vite. Il aime. Il le dit. Son corps se tend en arc de cercle, il pousse un petit cri.
Son sperme jaillit du bout du sexe, il jouit, son jute s'écrase sur son ventre en plusieurs giclées blanchâtres et je jouis moi aussi, d'un tout petit orgasme discret.
Il se nettoie et tandis qu'il me caresse distraitement me dit qu'il y avait longtemps qu'il rêvait de jouir grâce à moi. Nous discutons un moment en nous caressant. Je lui pose des questions sur la sexualité des mecs. Il me répond gentiment tout en me posant lui aussi des questions sur les filles et sur ce qu'elles aiment.
Et puis, il bande de nouveau, et je sens ma chatte s'embraser. Le petit orgasme m'a bien plu mais il ne m'a pas comblée. Des caresses, des baisers, je me retrouve allongée, cuisses à l'équerre et David, bite toute raide en main, s'installe entre elles. Je relève la tête, je veux voir sa queue s'enfoncer dans mon fourreau. Il présente son gland à l'entrée de ma grotte et le frotte le long de ma fente. Il revient à l'entrée, pousse un peu, le gland s'enfonce dans mon sexe :
«- Aïe !
- Mais tu es vierge ? S'étonne-t-il.
- Oui, mais prends-moi vite ! J'ai envie ! »
David pousse de nouveau.
Il pousse un peu plus, déjà je ne vois plus son gland. David pousse de nouveau.. Mon hymen résiste. J'ai trop envie. Mon bassin, comme autonome, pousse ma chatte en avant, David pousse aussi. J'ai mal. Crac ! Mon pucelage s'envole, sa queue rentre en moi tout entière, d'un coup. Ça fait mal.
«- Attends !»
Il s'allonge sur moi, sa poitrine vient écraser mes seins. Ses lèvres me murmurent des mots doux entrecoupés de baisers. Petit à petit, la douleur au fond de mon sexe diminue puis disparaît. Les muscles de ma chatte se contractent, ils aspirent cette bite fichée en moi, mon bassin entame une houle de plus en plus forte. Mon corps réclame le coït.
J'en ai envie. David commence alors un mouvement de va et vient, de plus en plus ample, de plus en plus rapide. Que c'est bon ! Meilleur que mes caresses en solitaire.
J'arrive à soulever la tête. Je vois mes nichons ballottés dans tous les sens, j'aperçois la queue rose et brillante de mon amant qui entre et sort de ma chatte à une vitesse incroyable. Le plaisir vient, du fin fond de mon sexe, prend possession de ma chatte entière puis de mon ventre. Je jouis. Je reçois une giclée brûlante au fond du sexe.
David jouit.
Je n'ai jamais refait l'amour avec David, les hasards de la vie ne nous l'ayant pas permis avant son déménagement. Il est parti en province, nous nous sommes écrits souvent, puis de moins en moins souvent puis plus du tout. Je ne l'ai jamais revu mais je garde au fond de mon cœur une petite place d'amour pour lui. Si j'aime autant baiser aujourd'hui, je suis sûre que c'est, tout au moins en partie, grâce à lui. Peut-être le hasard lui fera-t-il lire ces lignes ?
Voilà comment ma première fois s'est passée mes chéri(e)s !
Je souhaite à toutes les pucelles de trouver un mec aussi gentil que mon David pour perdre leur virginité.
Il est, paraît-il, des jeunes filles qui décident du jour où elles vont perdre leur virginité. Cela n'a pas été mon cas, David a pris ma fleur, les circonstances l'ont décidé, cela s'est fait comme ça, sans préméditation, sans programmation. Je ne savais pas, ce jour-là, qu'à pénétrer dans sa chambre comme je l'avais fait maintes fois, je perdrais mon pucelage. Je ne le regrette pas même si, à l'époque, j'ai eu un peu honte en me disant que je n'arriverai pas vierge au mariage.
Il en est ainsi des premières années de ma vie sexuelle, de mes premières expériences, elles sont arrivées, par hasard, suivant le cours des événements, sans être décidées auparavant, comme vous allez pouvoir le lire. Depuis, souvent, je décide de qui me touche et de qui ou de ce qui me pénètre, mais si je laisse aussi faire le hasard, celui-ci m'a toujours comblée et je n'ai jamais été déçue.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
magnifique récit.
Superbe histoire, magnifiquement racontée, et je ne dis pas ça souvent!
J'ai adoré
Strike, 20/20, jackpot, bingo!!
J'ai adoré
Strike, 20/20, jackpot, bingo!!
Jpj a parfaitement raison, c'est si bien raconté; elle me fait penser à la mienne. Il faudra que je la raconte aussi, j'espère avec autant de talent que Laeticia.
Les histoires de première fois sont souvent extrèmement émouvantes
C'est le cas ici
Laeticia a eu beaucoup de chance et de bonheur
C'est sympa de partager avec les lecteurs
C'est le cas ici
Laeticia a eu beaucoup de chance et de bonheur
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