Lait maternel

- Par l'auteur HDS descollages -
Auteur homme.
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Récit libertin : Lait maternel Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Lait maternel
Chloé 22 ans, jeune maman, est complètement désemparée pour l'allaitement d'Enzo. Un jour elle croise sa voisine Julie mère de 32 ans, mère de 3 enfants, avec qui elle sympathise. Les deux femmes prennent un café.
Julie va l'initier à l'utilisation du tire-lait, avec une pratique peu orthodoxe...

****

Il est 9h30 du matin quand Chloé, toute jeune maman, décide d'aller chercher son courrier. La petite clé métallique se glisse dans la fente pour ouvrir le casier bleu. Comme chaque début du mois, elle découvre sans surprise, son magazine Parents emballé de plastique. Une fois encore, la photo d'un chérubin trône fièrement en couverture accompagnée de gros titres accrocheurs. La jeune fille main tremblante, fond presqu'en larmes en refermant la boîte aux lettres.

Au même moment, un bruit de moteur de 4x4 Volvo rugit dans la rue Mansart. Le véhicule prend un virage serré pour s'arrêter pile devant une maison moderne. Julie BERTHIER, la voisine d'en face sort avec un sac de courses rempli à ras bord. La porte claque. Elle se retourne instinctivement, pour croiser le regard trop brillant de Mademoiselle GAUDIN.

- " Bonjour, on dirait que le vent s'est levé ce matin ?! " lance-t-elle d'une voix rauque...

La jeune fille lui répond d'un signe de tête, ses cheveux auburn cachant ses yeux rougis de chagrin.

- " Eh bien ça n'a pas l'air d'aller... Les nuits sont courtes en ce moment ?! J'ai connu ça vous savez !... dit-elle en s'avançant d'une manière amicale.

- "Oh vous lisez ce genre de revue ?! Si vous voulez mon avis ! "...

Chloé, reste muette, en sanglotant. Elle relève la tête écartant d'une main ses longs cheveux.

- " C'est trop dur ! En plus j'ai décidé d'allaiter Enzo... et... "

- " Et rien ne fonctionne comme prévu ?! Votre bébé ne dort pas la nuit et ne prend pas de poids... c'est normal que vous soyez inquiète !... Venez chez moi dans une heure pour prendre un petit café... ça vous dit ?!...

Une telle proposition ne se refuse pas...

A 10h30 précise, Chloé se présente sur la pas de porte en serrant son petit trésor contre sa poitrine qui lui fait si mal.

Deux petits coups de sonnette. La porte s'ouvre comme prévu... Un quart d'heure plus tard, le petit protégé dort à poings fermés dans la chambre du haut. Une odeur de café flotte dans le salon spacieux. La maîtresse de maison décide de faire le service sur la petite table basse. En se penchant elle laisse découvrir ses seins prisonniers d'un large pull en laine. Chose surprenante, elle ne porte pas de soutien gorge !...

- "Eh bien, avec 3 enfants j'en ai passé des nuits blanches vous savez ?! " lance-t-elle pour briser la glace...

Voilà nos deux femmes parties à bavarder. Les difficultés d'être une femme au foyer. L'absence trop longue de leurs maris respectueux. Les baisse de moral. Les problèmes financier passagers... Sans oublier l'éducation des enfants... Curieusement, Chloé se sent en pleine confiance. Comme si Madame Berthier était devenue en un instant sa meilleure

copine, sa grande sœur de cœur. Derrière ses lunettes rondes cerclées d'or, ses yeux se plongent peu à peu dans ceux de sa voisine volubile. Un sentiment étrange la saisit peu à peu, elle ne préfère pas y penser pour le moment. Mais l'image de cette poitrine imposante à moitié dénudée la bouleverse.

- "Ah j'oubliais, je vais aller chercher mon tire-lait... j'ai dû le ranger quelque part dans l'armoire de la salle de bain... Désolée, je vous abandonne...

Julie traverse le couloir mal éclairé et fait grincer la porte du placard de la douche. " Ah le voilà ! Si tu savais comme j'ai pris du plaisir avec cet engin de torture ma chérie ! " Se dit-elle en saisissant le carton.

Sa main passe sur ses seins gonflés comme pour se rappeler les moments de plaisirs intimes. Rien que la vue de ces cônes pourrait presque faire mouiller sa culotte instantanément... Hum ! Comment tu vas prendre ton pied avec ça petite salope !...

Deux minutes plus tard, elle retourne dans le salon encore toute troublée. Il faut dire qu'avec son mari Guillaume, ils en ont passé du temps à jouer avec ce truc.
La jeune maman un peu stupéfaite par les cônes en plastique pousse un Oooooh ! Comme une enfant devant son plus beau cadeau de Noël !

- " Je savais que ça te plairait " dit-elle doucement en oubliant d'un seul coup le vouvoiement...

Après un petit moment de gêne partagé, le " vous " semble déjà presque oublié... ce qui rapproche les deux femmes amusées par la situation. Les voilà assises l'une à côté de l'autre sur le canapé de cuir blanc, tellement confortable.

- "Chloé, je vais te montrer comment t'en servir... d'abord il faut... "

Elle n'a même pas le temps de finir sa phrase, que la jeune fille se retrouve les seins à l'air devant cette femme, masquant le plus discrètement possible son excitation.

- " Plaque les mieux que ça si tu veux que ça marche... Voilà très bien !"...

Les mains de Julie pelotent littéralement la douce poitrine gonflée de la jeune ingénue, sans que cette dernière ne s'en rende vraiment compte. Le bout des tétons dardent à l'extrême. Ils semblent si durs ! Elle aimerait tellement se servir de sa langue pour les sucer... mais patience !...

Voilà que les cônes sont biens positionnés. Les tuyaux aussi. La longue prise noire est branchée...Il ne reste plus qu'à mettre en marche. Un vrombissement du moteur se fait entendre, et les seins réagissent instantanément... Chloé se sent presque défaillir. Elle a l'impression que quelqu'un lui masse ses globes de chair, c'est tellement surprenant au départ... Et déjà les toutes premières gouttes de lait maternel semblent décider à sortir... Son utérus se contracte en envoyant de petites décharges électriques très étranges...

En femme avertie, Julie c'est que c'est le bon moment pour les caresses. Chloé se laisse faire, sans résister, à demie consciente. Les mains baladeuses de sa nouvelle maîtresse font glisser la petite culotte humide de soie rose entre ses jambes, pour la retirer délicatement du bout des doigts.

La pièce de lingerie est très soignée, ce qui en dit long sur la petite sainte-nitouche qu'elle a en face d'elle. L'odeur si particulière de la pièce de tissu, un peu plus épaisse au milieu, réveille des pulsions indescriptibles. Pour Julie, ancienne
gérante d'un institut de beauté, ce parfum est incomparable.

Elle replonge son nez avec délice, en prenant de longues respirations. Ses petites narines cherchent l'endroit où l'odeur est la plus forte. Une fois trouvé, son nez s'attarde de longues minutes à humer les effluves mélangées d'urine et de mouille de sa nouvelle complice.

Chloé quant à elle, se laisse littéralement tomber dans le fond du canapé, elle se sent tellement bien. Le lait tiède continue de pulser abondement contre les embouts triangulaires, remplissant les jauges de plastique transparent. En maman comblée, elle pense à Enzo qui va pouvoir se rassasier, mais son plaisir est complètement ailleurs.

Julie l'observe avec délectation.

- "Comment te sens-tu ma chérie ?! " murmure-t-elle à son oreille

L'autre prend juste la peine de lui répondre par des gémissements, un peu éreintée par l'exercice qu'elle vient de réaliser pour la première fois. Les jauges sont maintenant pleines. Il faut les mettre au frigo. Petit temps mort... Mais la maîtresse n'en a pas fini avec sa nouvelle élève. Elle ramène deux bouteilles vides d'eau minérale d'un litre et demi. D'une main experte, voilà les nouveaux réservoirs fixés aux tuyaux courbés encore chauds. " Si tu crois ma belle
que tu vas en rester là ! " Pense-t-elle...

- "Pitié non ! J'en peux plus " !... pleurniche la victime au bord de l'épuisement

Mais le " clac " du commutateur résonne d'un coup sec. Le petit vrombissement redémarre. Julie maintien avec fermeté les cônes du supplice. Les tétons se redressent, aspirés par les ventouses voraces de l'appareil. Cette fois, des jets
puissants de colostrum jaillissent à nouveau. Son utérus lui envoient des signaux de plus en plus violents, mélangé de plaisir et de douleurs aiguës.

- "Ne touche plus à rien, fait comme tout à l'heure c'est compris ?! " lui ordonne Julie d'un ton plus sévère

Chloé s'exécute sans aucune réticence. Ses paupières, à demi clauses, elle ne voit plus Julie, cette petite cachottière. Son instinct, semble lui dire tout bas qu'elle n'est pas au bout de ses surprises. En effet quelques minutes plus tard, après des bruits de marche d'escalier, et de froissements de sacs plastique, la voilà de retour... Ses mains presque masculines frottent énergiquement un monstrueux phallus noir avec un lubrifiant transparent.

Ses yeux verts brillent, tellement elle prend plaisir à masturber l'objet en question.

- "Maintenant que tu te fais traire tes jolies mamelles... Tu vas me prendre ça entre tes cuisses de reine en chaleurs !" Clame-t-elle d'un ton sec...

Chloé n'a même pas le temps de réagir, qu'elle sent déjà le prodigieux dard artificiel s'insérer d'un seul coup entre ses jambes. L'effet est immédiat. Elle lâche un hurlement, comme si elle était déflorée pour la première fois. Son lait semble gicler beaucoup plus à son plus grand étonnement, chaque fois qu'elle sent le terrible engin s'immiscer en elle...

- "Allez ma belle fais toi prendre comme une princesse ! Tu vas voir, ça va te changer de la petite queue de ton mari Kevin ! Il a beau être routier, il n'est pas de taille avec ce machin-là tu peux me croire !..."

La jeune victime avait toujours rêvé, secrètement, de se faire défoncer par un gode géant de ce type. Mais pour cette traductrice introvertie, sauter le pas aurait été presqu'impossible pour elle, jusqu'à ce jour... La voilà se tortillant comme une dévergondée sur le pénis en résine, sous le regard admiratif de sa voyeuse scrutant les moindres détails.

- "Mais on dirait que tu prends ton pied en plus ! " chuchote Julie à son oreille

En vérifiant le niveau des bouteilles, n'importe qui pourrait constater que la quantité est tout à fait honorable. On dirait même que la jeune Chloé a fait beaucoup de progrès, et qu'elle prend de plus en plus de goût à l'exercice. Le colostrum fouette contre les parois coniques avec une violence inouïe. Les tuyaux se tordent dans tous les sens. Les tétons épuisés continuent leur travail sans discontinuer. Ah si seulement Kevin voyait ça !

Cette fois, le membre noir est enfoncé tout au fond jusqu'aux couilles tellement grosses. Julie n'en revient pas ! Dès la première séance ! Eh bien ! Voilà une jeune petite coincée qui cache bien son jeu !...

-"S'il te plaît branle ma chatte avec ton machin !" implore-t-elle les yeux un peu dans le vague...

Julie s'exécute. Le gode visqueux s'enfonce avec une telle aisance. Il va . Il vient. Il repart. La vulve légèrement poilue épouse parfaitement les formes de l'énorme objet cylindrique. Madame Berthier prend tout son temps, avec une exagération qui frise le supplice. Elle adore cette vision du membre phallique qui rentre et qui sort guidé par le rythme qu'elle impose.

Cette ancienne femme d'affaires aime maîtriser les choses. Surtout en matière de sexe. Guillaume ne se doute pas une seule seconde de ce qui se passe à la maison. Le pauvre, il rate un événement exceptionnel !... En même temps, il est bon de garder un petit secret de temps en temps entre femmes. Surtout celui-là !...

Au moment de l'orgasme, Julie embrasse sa partenaire sur la bouche. Un vrai baiser de lesbienne. Leurs langues se rencontrent et tournoient ensemble dans un mélange de salives tièdes. C'est si doux. Un homme aussi doué soit-il, aurait été incapable de faire cette petite prouesse. Julie s'octroie le luxe de lui mordiller les lèvres comme un signe d'appartenance. Je crois bien que nous n'avons pas fini de nous croiser toi et moi ! Pense-t-elle en l'embrassant dans le cou.

En retirant le monstre noir veiné de l'entrejambe de sa partenaire, Julie oblige Chloé à lécher le liquide témoin de son plaisir, afin qu'il soit nettement plus présentable pour son prochain usage. Elle ne rechigne pas à nettoyer scrupuleusement la totalité du gode. Toute essoufflée, encore bouleversée par cette nouvelle expérience lubrique.

Les bouteilles sont entièrement pleines. Ses seins lui font horriblement mal. Elle se caresse pour atténuer la douleur mais rien n'y fait. Le cri d'un bébé retentit à l'étage. C'est Enzo. Il a sûrement faim ! La jeune maman est rassurée. Il y a
de la réserve, au moins pour quelques jours...

Descollages (c)

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Ce récit est absolument magnifique à lire et à apprécier en solitaire...merci infiniment

Merci cher lecteur !

Bonne journée !....8)

Descollages

Histoire Erotique
Hum très excitant



Texte coquin : Lait maternel
Histoire sexe : Une rose rouge
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