Laura, 18 ans 1ère partie
Récit érotique écrit par Laura [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2005 dans la catégorie En solitaire
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Laura, 18 ans 1ère partie
Bonjour, je m'appelle Laura, je suis étudiante et je suis enfin majeure, puisque je viens de fêter mes 18 ans hier soir avec toute ma famille.
Malgré une poitrine avantageuse, des fesses rebondies et des courbes relativement rondes (je fais 54 kg pour 1m60), je suis toujours vierge et n'ai jamais eu de petit ami. Non pas que je n'ai jamais eu de demandes mais plutot que j'avais trop peur pour sortir avec qui que ce soit. Comme vous pouvez le comprendre, mon manque de contact m'a poussé à m'adonner à quelques plaisirs solitaires qui m'ont toujours procuré beaucoup de plaisir.
Mais, aujourd'hui, j'ai 18 ans, toutes mes amies ont déjà eu des rapports, il est tempsque je passe à l'acte, mais avec qui ?
là est la question, je ne veux pas de petit ami, je veux juste qu'on me dépucelle, alors comment faire ?
je méditais toute la nuit, en envisageant tous les garçons que je connaissais, mais à la longue, je sentis mon bas-ventre en feu, toutes ces images de sexe avec tous ces hommes m'avaient excités au plus haut point. Je décidais donc d'assouvir mon envie. Je retira d'abord ma couverture, je ne portais qu'une chemise bleu ciel et une petite culotte.
J'étais seule dans ma chambre, il n'y avais plus aucun bruit, je commençais donc à déboutonner ma chemise lentement, pour faire durer le plaisir. Je fermais les yeux tout en imaginant tous ces hommes nus exibant leurs virilités.
Tout en pensant à leurs bites gonflées et tendues au maximum, je commençais à me carresser la poitrine, puis toujours très lentement, je déscendais mes mains le long de mon ventre jusuq'au haut de mes cuisses, je les massais de plus en plus fort.
puis je fis glisser mes mains sous ma culotte pour atteindre ma chatte en feu. Quel doux contact ! j'étais déjà très mouillée et ma respiration s'accélérais, je sens que je n'en ai plus pour longtemps, je sens déjà mon clitoris se gonflé. Je me caressais avec d'autant plus d'excitation, à chacune de mes caresses, j'étais de plus en lus mouillée. Ca y est, ça vient, une décharge de plaisir m'envahit, une vague de frisson parcoure tout mon corps, les yeux fermés, je savoure ce moment. Que c'est bon ! mon corps est détendu, ma fenêtre ouverte fais entrer un vent frais qui raffraichis mon corps. Je reprends ma respiration puis je nettois mes doigts couverts de cyprine avec un mouchoir, pour ensuite reboutonner ma chemise et m'endormir satisfaite.
Comme vous pouvez l'imaginer, mes rêves furent des plus chauds cette nuit-là. Et l'excitation que je ressentais le lendemain matin, ne m'incitais que davantage à passer à l'acte !!
Malgré une poitrine avantageuse, des fesses rebondies et des courbes relativement rondes (je fais 54 kg pour 1m60), je suis toujours vierge et n'ai jamais eu de petit ami. Non pas que je n'ai jamais eu de demandes mais plutot que j'avais trop peur pour sortir avec qui que ce soit. Comme vous pouvez le comprendre, mon manque de contact m'a poussé à m'adonner à quelques plaisirs solitaires qui m'ont toujours procuré beaucoup de plaisir.
Mais, aujourd'hui, j'ai 18 ans, toutes mes amies ont déjà eu des rapports, il est tempsque je passe à l'acte, mais avec qui ?
là est la question, je ne veux pas de petit ami, je veux juste qu'on me dépucelle, alors comment faire ?
je méditais toute la nuit, en envisageant tous les garçons que je connaissais, mais à la longue, je sentis mon bas-ventre en feu, toutes ces images de sexe avec tous ces hommes m'avaient excités au plus haut point. Je décidais donc d'assouvir mon envie. Je retira d'abord ma couverture, je ne portais qu'une chemise bleu ciel et une petite culotte.
J'étais seule dans ma chambre, il n'y avais plus aucun bruit, je commençais donc à déboutonner ma chemise lentement, pour faire durer le plaisir. Je fermais les yeux tout en imaginant tous ces hommes nus exibant leurs virilités.
Tout en pensant à leurs bites gonflées et tendues au maximum, je commençais à me carresser la poitrine, puis toujours très lentement, je déscendais mes mains le long de mon ventre jusuq'au haut de mes cuisses, je les massais de plus en plus fort.
puis je fis glisser mes mains sous ma culotte pour atteindre ma chatte en feu. Quel doux contact ! j'étais déjà très mouillée et ma respiration s'accélérais, je sens que je n'en ai plus pour longtemps, je sens déjà mon clitoris se gonflé. Je me caressais avec d'autant plus d'excitation, à chacune de mes caresses, j'étais de plus en lus mouillée. Ca y est, ça vient, une décharge de plaisir m'envahit, une vague de frisson parcoure tout mon corps, les yeux fermés, je savoure ce moment. Que c'est bon ! mon corps est détendu, ma fenêtre ouverte fais entrer un vent frais qui raffraichis mon corps. Je reprends ma respiration puis je nettois mes doigts couverts de cyprine avec un mouchoir, pour ensuite reboutonner ma chemise et m'endormir satisfaite.
Comme vous pouvez l'imaginer, mes rêves furent des plus chauds cette nuit-là. Et l'excitation que je ressentais le lendemain matin, ne m'incitais que davantage à passer à l'acte !!
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