Laura et Claudette
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2021 dans la catégorie Plus on est
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Laura et Claudette
Amies depuis leur jeunesse étudiante, Laura et Claudette avaient conservé des relations étroites par delà leur parcours professionnel et l'évolution de leur vie privée. Toutes deux cadres en entreprise mais dans domaines différents, elles semblaient sortir du même moule jusque dans leur physique. Si Laura était blonde et Claudette brune, toutes les deux arboraient des cheveux tombant sur leurs épaules, entretenaient leur corps dans une salle de fitness où elles se retrouvaient deux fois par semaine et surveillaient de près la fermeté de leurs seins et de leurs fesses tout en sachant qu'arrivées (malheureusement) à la cinquantaine, leur combat allait devenir de plus en plus difficile. Après le sport, elles se retrouvaient dans un salon de thé pour évoquer leur petit quotidien, celui de leurs enfants devenus étudiants à leur tour comme celui de leur vie de couple qui, de leur propre aveu, devenait de plus en plus ronronnante. Leurs époux, cadres supérieurs, étaient arrivés à un stade où la carrière mange l'essentiel de l'existence, à l'exception des vacances, lesquelles constituaient pour Laura et Claudette un sujet inépuisable. Où iraient-elles ? Que feraient-elles ? Il était arrivé parfois que les deux couples partent ensemble en voyage mais comme les maris ne s'entendaient pas trop, Laura et Claudette avaient préféré ne pas renouveler l'expérience afin de préserver leur longue amitié.
Jusqu'alors, les deux amies n'avaient que peu parlé de leur sexualité car de leur propre aveu, il n'y avait pas grand chose à dire. Un accouplement de temps en temps et basta. Mais ce jour là, devant son thé blanc, Laura avait l'oeil qui frisait. Claudette s'en aperçut et cuisina son amie :- Toi, tu me caches quelque chose...
- Heu... oui, il m'arrive un drôle de truc. Figure-toi que je me fais draguer par un stagiaire, un blondinet vraiment culotté, très mignon je dois avouer.
- Noooooon. Et alors ? Tu fais quoi ?
- Ben... je laisse faire, c'est assez agréable de voir qu'on peut plaire encore à notre âge. Surtout à un beau gosse.
- Il t'a fait des propositions ?
- Ben ouais... Il veut coucher avec moi. Il est vraiment culotté, je te dis.
- Et bien sûr, tu l'as envoyé chier.
- Oui... enfin non, pas vraiment. Il voulait m'inviter à dîner mais je ne peux pas faire ça à Edgar. J'ai juste accepté un déjeuner au bistrot près de la boite.
- Bien, et après ? S'il a une idée derrière la tête, il ne va pas renoncer facilement, ton mec. A un moment ou un autre, il va falloir te positionner. Ou tu le rembarres, ou tu couches avec.
- J'hésite. Tu ferais quoi à ma place ?
Claudette réfléchit quelques secondes. Elle savait que de sa réponse dépendrait pour une grande part le comportement de Laura et le sujet était particulièrement délicat. Elle pouvait favoriser un adultère lourd de conséquences. Mais son intuition lui disait que son amie avait envie de s'envoyer en l'air avec ce blondinet.
- Laisse parler ton corps. C'est lui qui va commander. Depuis le temps que tu me dis qu'Edgar ne te satisfait plus au lit, il est peut-être temps de penser à tes hormones. Moi, à ta place, si mon ventre dit oui, je couche. Et puis bon, on ne rajeunit pas. Si tu excites encore un jeune mec, profites-en. Après tout, à cinquante balais, on n'est pas encore à jeter à la poubelle. Regarde Sophie Marceau, Emmanuelle Béart, Juliette Binoche... Elles ont notre âge et elles ne sont sûrement pas rangées des voitures. D'accord, on n'est pas des stars mais on n'est pas moches non plus. Vas-y.
Laura lui prit la main et lui dit :- Merci de ton conseil. Mais je ne sais pas trop où je mets les pieds, si j'ose dire.
Et les deux amies se séparèrent, en se promettant de se revoir au plus vite.
*******Elles se retrouvèrent à la salle de fitness trois jours plus tard. Tout en pédalant sur le vélo fixe, Claudette interrogea Laura mezzo voce :- Alors ? Du nouveau ?
- Oui, mais je t'en parle tout à l'heure au salon de thé, répondit-elle, d'un air mutin.
Une heure plus tard, c'est une Claudette fébrile qui se retrouva devant son amie qui, avec un rien de perversion, s'amusa à la faire languir. Finalement, pressée par Claudette, elle se déballonna :- Bon, je n'ai rien à te cacher mais jure-moi d'abord que tu ne diras rien à personne.
- Promis juré.
- Eh bien oui, j'ai couché avec Louis, mon stagiaire. Après un déjeuner sur le pouce, il m'a entrainée dans le Kyriad du coin où il avait déjà réservé une chambre, le coquin. On avait une heure devant nous et il n'a pas perdu de temps.
- Donne-moi des détails. Qu'est-ce qu'il t'a fait ?
- Il m'a déshabillée entièrement et a sorti sa queue pour que je le suce. Une queue magnifique, ni trop grosse ni trop petite, que j'ai pris un plaisir énorme à sucer. Puis il a sorti un préservatif et m'a pénétrée comme ça, direct.
- Comment ? Par devant ? Par derrière ?
- D'abord par devant. Les yeux dans les yeux. J'ai senti tout de suite la différence avec Edgar. C'était dur, c'était fougueux et j'ai vite perdu les pédales. Puis il m'a retournée et enfilée par derrière. J'avais l'impression de l'avoir jusque dans la gorge. Je me suis mis la tête dans la couette pour étouffer mes cris.
- Tu as joui combien de fois ?
- Deux ou trois fois, je ne sais plus. Tiens-toi bien, il m'a même sodomisée. Jamais Edgar m'avait fait ça. C'était inouï. Mais là où j'ai vraiment pris mon pied, c'est quand je me suis retrouvée sur lui. Chevaucher ce mec splendide m'a procuré un plaisir fou.
- Laura, tu m'as mis le feu avec ton récit. Tu vas le revoir ?
- Evidemment. Je suis devenue complètement accro à sa queue. Et si tu savais ce qu'il me dit ! Il est vraiment très cru quand il me fait l'amour. En fait, il me baise et c'est ce que j'attendais depuis longtemps, je m'en rends compte. Me faire baiser.
Claudette s'aperçut qu'elle mouillait. Lorsqu'elle quitta Laura, elle n'eut plus qu'une idée en tête : se faire baiser à son tour. Roland, son mari, ne la baisait plus depuis longtemps. S'il l'avait jamais baisée d'ailleurs.
*******Lorsqu'elle rentra chez elle, la première action de Claudette fut d'aller dans sa salle de bains et de se mettre entièrement nue devant sa glace pour une expertise complète de son corps. Etait-elle encore baisable par un jeune ? Là était la question. Du côté du visage, plus anguleux que celui, plein de fossettes, de son amie, il y avait bien quelques rides au coin des yeux mais rien d'alarmant encore. Ses rares cheveux blancs avaient été éliminés par une teinture assortie à la couleur de son épaisse tignasse brune. Ses seins, plus lourds que ceux de Laura, s'étalaient sur son torse mais leurs aréoles rebiquaient encore vers le haut, comme un défi. Son pubis broussailleux de brune n'avait, il est vrai, pas grand chose de commun avec celui, soigneusement épilé, de la blonde, mais elle tenait à sa broussaille parce que naturelle. Ses cuisses étaient plus musclées et larges que celles de son amie mais son fessier, pulpeux, à la raie bien nette, supportait encore la comparaison et pouvait susciter lui aussi, pourquoi pas, une intromission encore inédite. Le fait que Laura se soit fait sodomiser avait fortement impressionné Claudette. Bref, au bout du compte, elle ne voyait pas pourquoi elle ne séduirait pas elle aussi un fringant jeune homme amateur de femmes mûres, puisqu'il semblait y en avoir. Restait à trouver l'oiseau rare et c'était le plus compliqué.
Car dans son entourage professionnel, pas l'ombre d'une opportunité. Les hommes étaient soit mariés, soit imbaisables. Et du reste, elle ne souhaitait pas trop mélanger les genres. Trop risqué. Draguer dans la rue ? Un peu de dignité, que diable ! Elle n'avait plus vingt ans. Et si elle s'était parfois fait suivre, c'était par des types dont elle n'aurait assurément pas voulu entre ses cuisses.
Lorsqu'elle retrouva Laura, elle lui indiqua clairement son problème :- Tu m'as donné vraiment envie de baiser, mais je ne vois personne avec qui. C'est embêtant et ça m'attriste.
- Ne t'inquiète pas, Clo clo. Je vais m'occuper de ton cas.
Deux heures plus tard, coup de téléphone de Laura.
- J'ai parlé à Louis. Il a un copain qui aime les matures comme lui. Tu es libre demain à déjeuner ?
Claudette répondit par l'affirmative, un rien stressée quand même. Qui allait-elle découvrir ?
******La rencontre eut lieu dans un McDo pour complaire à Louis. Assises en sa compagnie devant un hamburger, Laura et Claudette virent apparaitre un grand échalas venu taper dans le poing de Louis. Il se présenta comme Célestin et les deux femmes ne purent masquer leur surprise : sa peau était absolument noire. Célestin était natif de Pointe à Pitre mais arrivé en métropole peu après sa naissance. Volubile et décontracté, il manifesta d'emblée son intérêt pour Claudette, un temps déstabilisée puis de plus en plus détendue. Elle ne pouvait que constater que le jeune homme, de trente ans plus jeune qu'elle, était vraiment superbe. Son tee shirt léger et sans manches révélait une musculature puissante mais fine. Malgré son jeune âge, son visage marquait déjà une forte maturité accentuée par une voix grave. Il disait pratiquer l'athlétisme, plus exactement le saut en hauteur, favorisé par sa haute taille. Pendant qu'il parlait, l'esprit de Claudette vagabondait dans tous les sens.
Cinq ans plus tôt, elle avait déjà commis l'adultère. DRH d'une entreprise de transports, elle avait connu une liaison avec le patron trapu et moustachu d'une entreprise concurrente qu'elle rencontrait dans des réunions professionnelles. C'était une manière de se venger de son mari qui, à l'époque, fricotait avec sa secrétaire qui n'était autre qu'une Martiniquaise au corps de rêve. Son couple avait alors connu une crise sévère et ne s'en était jamais vraiment remis. Le mari avait accepté de changer de secrétaire au bénéfice d'une dame d'âge mûr et Claudette de rompre avec le moustachu mais force était de constater qu'ils faisaient de moins en moins l'amour et Claudette suspectait un autre adultère de son mari, plus dissimulé. Voilà pourquoi l'expérience de Laura était arrivée à point nommé. A 50 ans, Claudette estimait avoir encore un potentiel sexuel et elle ne demandait qu'à le tester avec cette gravure de mode de Célestin, aussi noir que celle qui avait provoqué son cocufiage...
******Au sortir de ce déjeuner rapide, Laura interrogea son amie :- Alors, qu'en dis-tu ?
- Ben... je ne m'attendais pas à ça mais ce garçon est vraiment beau, trop beau pour moi.
- Tu n'as pas vu comment il te regardait ? Il te déshabillait des yeux. Fais-toi plaisir au lieu de tourner autour du pot.
- Et on va faire comment ?
- Ecoute, demain c'est samedi et je dois aller chez Louis. Viens avec moi, Célestin y sera aussi.
- Tu veux dire... qu'on va baiser ensemble dans son studio ?
- Et alors ? Comme ça, tu seras rassurée. Je serai avec toi.
- Je n'ai jamais fait ça.
- Moi non plus mais ce n'est pas une raison. J'avoue que ça m'amuserait de te voir faire l'amour...
- Cochonne ! Vicieuse !
- J'assume. Et lâche-toi un peu, il serait temps.
Claudette finit par accepter la proposition. Comme l'avait prédit Laura, son ventre l'avait emporté sur sa tête.
*********Dans le studio de Louis, le lit de 140 prenait pratiquement toute la place. Un petit bureau sur lequel l'étudiant travaillait, assorti d'une chaise, constituait le reste de l'ameublement avec les plaques chauffantes de la cuisine équipée et une petite salle de bains nantie d'une baignoire-douche sabot. Les quatre ne pouvaient donc que se réunir sur le lit. Louis et Laura était tellement impatients de s'unir qu'ils ne s'embarrassèrent pas de préliminaires. Laura était à peine à poil que le blondin l'enfilait les bras sous ses genoux, l'écartelant sans ménagement ce qu'elle semblait attendre à en juger par ses piaillements de plaisir. Claudette assista médusée aux roulements du cul nu et impatient de l'étudiant entre les cuisses en V de son amie, à tel point qu'elle s'aperçut à peine que le dénommé Célestin était en train de déboutonner son chemisier et de plonger le nez dans son sillon mammaire.
Réalisant la situation, elle accepta les lèvres du Guadeloupéen pour une entrée en matière un peu moins sauvage. Dévêtue progressivement, elle découvrit avec ébahissement le pénis érigé du jeune homme, d'une longueur quasi animale. Incitée sur une pression sur sa nuque, elle l'emboucha avec précaution tant il était volumineux et s'en remplit la bouche avec volupté. Depuis combien de temps n'avait-elle pas sucé ? Elle entama dès lors un long parcours érotique en compagnie du jeune homme, magnifiquement équipé pour les joies du sexe. Claudette se débarrassa de son pantacourt suivi de son slip et de son soutif et elle se retrouva allongée en travers du lit alors que le couple voisin en était à la levrette, le visage de Laura, illuminé et toutes fossettes dehors, quasiment contre la joue de son amie. Célestin plongea le nez dans sa broussaille dans la moindre retenue et sa langue procura à la récipiendaire des sensations délicates qu'elle avait complètement oubliées. Elle releva la tête pour l'observer et croisa son regard, lui adressant une petite pression sur la nuque pour l'encourager à poursuivre. Il y avait l'image mais aussi le son : Laura devenait de plus en plus bruyante dans l'oreille de Claudette du côté de son visage et le choc des peaux du couple contigu attestait de la virulence des coups de boutoir de Louis.
- Ah c'est bon Clo clo, c'est bon ! gémit la blonde.
Claudette n'avait évidemment jamais vu son amie dans cet état, et pour cause. L'idée qu'elle pouvait faire l'amour à quelques centimètres d'elle ne lui serait jamais venue à l'esprit, et encore moins qu'elle se ferait lécher en même temps par un jeune homme qui aurait pu être son fils. Et drôlement bien léchée en prime car elle commençait sérieusement à basculer dans un autre monde mental, à la fois sous l'effet de la langue habile du Guadeloupéen et de l'enthousiasme sexuel de Laura, hautement communicatif.
- Viens maintenant, s'il te plait ! se surprit à murmurer Claudette à l'intention de son jeune amant.
Tranquillement ce dernier se détacha de l'entre-cuisses de la brune, le visage barbouillé de cyprine, attrapa la boite de préservatifs déjà ouverte par Louis, se coiffa, prit Claudette par la main, l'attira à lui, l'embrassa et la guida parmi les vêtements épars jusqu'au petit bureau où il l'assit face à lui et se glissa entre ses cuisses. Bouches et nez se rencontrèrent au moment où le pénis entra dans la vulve avec une grande facilité, tant Claudette était mûre et idéalement positionnée, à hauteur du bas-ventre du jeune homme. Telle une tête chercheuse, le gland prospecta les chairs intimes, s'enfonçant de plus en plus profondément. De ses mollets, Claudette verrouilla les reins de son jeune amant et ainsi légitimé, celui-ci accéléra la cadence, provoquant un concert de décibels de la brune, si puissants qu'ils couvrirent les vocalisations de la blonde :- Ah oui ah oui, encore, encore, t'arrête pas t'arrête pas, gémit Claudette, que l'activité puissamment rectiligne du pénis mettait en transes. Jamais elle n'avait été prise dans cette position, étant toujours honorée au lit, mais de manière ô combien moins satisfaisante. Le Guadeloupéen pouvait lire dans son regard tout proche l'intensité de son plaisir et la montée irrésistible de son orgasme. Il accentua ses coups de reins et le cri guttural de Claudette envahit la pièce. Jamais elle n'avait ressenti une telle puissance de bite dans son bas-ventre. Jamais elle n'avait autant joui. Laura et Louis avaient interrompu leurs ébats pour assister à cette explosion. Le Guadeloupéen se retira, exhibant un pénis d'une longueur démesurée tandis que Claudette descendait du bureau en titubant et s'effondrait sur le lit, anéantie.
- Eh ben dis donc, tu as pris un sacré pied, rigola Laura en lui caressant le visage.
Claudette lui sourit entre deux reprises de souffle. Puis elle regarda son jeune amant et constata son érection intacte. Comme en remerciement, elle entoura une nouvelle fois son gland de ses lèvres et Laura et Louis reprirent leurs ébats par un 69 destiné à ranimer la flamme du blondinet. Quelques minutes plus tard, Laura se déplaçait et venait s'empaler sur Louis qui avait désormais vue sur son cul en mouvement.
- Clo Clo, fais comme moi, viens sur lui.
Et Claudette se retrouva à son tour en train de chevaucher son jeune amant, de trois quart face à son amie dont elle se mit à imiter le comportement. Lorsque Laura se mit sur ses pieds pour allonger la pénétration, Claudette fit de même, à ceci près qu'elle prenait appui sur le torse musclé de Célestin alors que Laura avait posé les mains sur les cuisses de Louis. Revenues sur leurs genoux, les deux amies rivalisèrent de roulements de hanches et sentirent simultanément monter leur orgasme- Ah c'est bon comme ça, je la sens bien et toi ?
- Ah oui moi aussi, ah j'aime ça !
En cette circonstance, on aurait surpris Claudette si on lui avait dit qu'elle faisait l'amour. Pour elle, c'était du sexe, rien que du sexe. Et quand Laura lui souffla : "tu baises, hein ?" Claudette ne put qu'opiner du chef. Oui, elle baisait et c'était peut-être la première fois de sa vie sexuelle. Quand elle ne faisait pas vraiment l'amour avec son mari, c'était du devoir conjugal mais sûrement pas de la baise comme maintenant, cavalant sur ce mâle superbe sous le regard de sa meilleure amie qui faisait de même. Laura et elle se regardaient, s'observaient, se souriaient, se parlaient et quand la blonde s'exclama "ah je jouis !", la brune lâcha prise à son tour et poussa un cri en s'effondrant sur la poitrine du Guadeloupéen. Les deux couples se détachèrent à nouveau mais les deux hommes étaient toujours en érection devant leurs partenaires à la fois stupéfaites et ravies. Qu'elles puissent encore susciter un tel désir à la cinquantaine étaient pour elle comme une cure de jouvence.
*****C'est alors que ces ébats à quatre prirent un tour différent, beaucoup plus "hard". Les deux garçons avaient pris conscience qu'ils ne trouveraient pas tous les jours deux femelles aussi disponibles, aussi disposées à satisfaire leurs désirs. Après un bref conciliabule, ils décidèrent de leur imposer une variation de leurs ébats. Louis intervint :- Laura, assieds-toi sur mon bureau,La blonde s'exécuta et découvrit avec surprise Célestin s'avancer entre ses cuisses, la bite tendue. Elle n'avait jamais envisagé un tel scénario : se faire prendre non par son amant mais par son copain sous les yeux de son amie avec lequel celui-ci venait de s'accoupler. Mais elle était dans un tel état d'excitation que la perspective d'être à nouveau pénétrée emporta son adhésion. D'autant plus par ce jeune mâle au torse sculptural et à la queue de rêve, qui avait donné tant de plaisir à son amie. Et comme Louis était à l'origine de cette variation... Quant à Claudette, d'abord interdite par ce scénario, aucune jalousie ne l'assaillait puisqu'elle ne connaissait ce garçon que depuis 24 heures et se montrait même assez curieuse d'observer le comportement de son amie dans la même situation qu'elle quelques minutes plus tôt.
La taille de Célestin étant supérieure à celle de Louis, celui-ci mit un coussin sous les fesses de Laura afin que la pénétration fût idéale et de fait, celle-ci ne tarda pas à ressentir un plaisir aussi violent que celui de Claudette. Le jeune homme en eut plein des oreilles de ses cris mais n'en laboura pas moins son intimité de toute sa longueur pénienne. Louis et Claudette observaient du lit, jusqu'au moment où le blondinet dit à la brune :- Caresse-lui les couilles.
Claudette obéit, palpant et soupesant les belles bourses noires qui ballottaient entre ses doigts.
- Lèche-les maintenant.
C'était justement ce dont Claudette avait envie, sentir dans sa bouche ces glandes du plaisir. Les cris de Laura se firent plus stridents, signes de l'effet que produisait son amie sur le Guadeloupéen, de plus en plus agité.
- Lèche-lui le trou du cul.
Claudette crut avoir mal entendu. Mais Louis répéta l'injonction. Jamais elle n'avait fait ça. Mais elle n'était plus vraiment elle-même. Elle commença par embrasser les fesses superbes, ô combien agitées puis glissa petit à petit vers l'anus et glissa une langue prudente. Le goût fumé ne la rebuta pas autant qu'elle l'aurait cru. Sa lèche devint manifeste, assortie d'une pression de la main sur les couilles. Elle sentit en même temps celle de Louis qui venait de prendre possession de sa chatte, évidemment trempée. Une intense envie de pénétration la saisit et elle souffla à l'intention du blondinet en se retournant vers lui :- Baise-moi maintenant. Je suis en feu.
Il la prit à nouveau en levrette ce qui permit à Claudette de croiser le regard de Laura sur l'épaule du noir. Un regard de femme qui baise découvrant le regard d'une autre femme qui baise. Laura ne pouvait pas manquer non plus l'expression avide de Louis, assaisonnant de ses coups de bite la croupe pulpeuse de Claudette, dont les seins lourds ballottaient au rythme de ses va et viens. Laura sentit monter une extase irrésistible, mordit l'épaule de son baiseur qui gicla aussitôt dans sa capote. Quelques secondes plus tard, Louis s'effondra sur le dos de Claudette en grognant, expulsant de lourdes substances masculines dans le latex tandis que la brune s'aplatissait sur le lit, l'esprit brouillé et les jambes molles. Elle avait joui une nouvelle fois. Laura vint la rejoindre et l'embrassa :- Quel pied on a pris, hein ? souffla-t-elle à son oreille.
*******Elles se retrouvèrent deux jours plus tard dans leur salon de thé habituel. Elles pouffèrent de rire en se revoyant, comme deux gamines après une bonne farce.
- Alors, ça va comment ? interrogea Laura.
- Un peu mal au bide, mais ça va. Je suis un peu rouillée, faut croire, répondit Claudette.
- Tu as des excuses à faire valoir. Ton Célestin, quelle bite ! Je n'avais jamais vu ça.
- Et tu n'as pas fait que la voir, coquine. Tu avais bien manigancé ton coup.
- Mais non, pas du tout ! Ce n'était pas prévu ! Ces deux cochons nous ont bien eues.
- Bon, admettons. De toute façon, je ne regrette rien. Je voulais baiser et j'ai baisé, grâce à toi. Et le faire avec toi m'a beaucoup plu. Je n'aurais jamais cru en être capable. Mais qu'est-ce qu'on fait maintenant ? On va les revoir ?
- Sais pas. De toute façon, le stage de Louis se termine et il va se barrer. Mais Célestin doit rester. C'est à toi de voir.
- A dire vrai, j'ai un peu réfléchi. Un beau mec pareil ne va pas me faire longtemps les honneurs de sa queue. J'aime autant devancer le larguage. Et puis bon, je dois quand même faire attention, je suis mariée et je n'ai pas l'intention de divorcer pour un étalon, fût-il beau et flatteur pour moi.
- Tu n'as peut-être pas tort. Mais s'il te fait signe, que fais-tu ?
- J'arrive en courant, évidemment, mais ça ne se fera pas. Que veux-tu, pour eux, on est des vieilles.
- N'empêche qu'on les a fait sacrément bander. Bon, on arrête de parler de ça.
Et les deux amies poursuivirent leur conversation de manière plus conventionnelle. Tout en pensant l'une et l'autre qu'il était hors de question de se "ranger des voitures". Quinquagénaires ou pas.
A suivre ?
Jusqu'alors, les deux amies n'avaient que peu parlé de leur sexualité car de leur propre aveu, il n'y avait pas grand chose à dire. Un accouplement de temps en temps et basta. Mais ce jour là, devant son thé blanc, Laura avait l'oeil qui frisait. Claudette s'en aperçut et cuisina son amie :- Toi, tu me caches quelque chose...
- Heu... oui, il m'arrive un drôle de truc. Figure-toi que je me fais draguer par un stagiaire, un blondinet vraiment culotté, très mignon je dois avouer.
- Noooooon. Et alors ? Tu fais quoi ?
- Ben... je laisse faire, c'est assez agréable de voir qu'on peut plaire encore à notre âge. Surtout à un beau gosse.
- Il t'a fait des propositions ?
- Ben ouais... Il veut coucher avec moi. Il est vraiment culotté, je te dis.
- Et bien sûr, tu l'as envoyé chier.
- Oui... enfin non, pas vraiment. Il voulait m'inviter à dîner mais je ne peux pas faire ça à Edgar. J'ai juste accepté un déjeuner au bistrot près de la boite.
- Bien, et après ? S'il a une idée derrière la tête, il ne va pas renoncer facilement, ton mec. A un moment ou un autre, il va falloir te positionner. Ou tu le rembarres, ou tu couches avec.
- J'hésite. Tu ferais quoi à ma place ?
Claudette réfléchit quelques secondes. Elle savait que de sa réponse dépendrait pour une grande part le comportement de Laura et le sujet était particulièrement délicat. Elle pouvait favoriser un adultère lourd de conséquences. Mais son intuition lui disait que son amie avait envie de s'envoyer en l'air avec ce blondinet.
- Laisse parler ton corps. C'est lui qui va commander. Depuis le temps que tu me dis qu'Edgar ne te satisfait plus au lit, il est peut-être temps de penser à tes hormones. Moi, à ta place, si mon ventre dit oui, je couche. Et puis bon, on ne rajeunit pas. Si tu excites encore un jeune mec, profites-en. Après tout, à cinquante balais, on n'est pas encore à jeter à la poubelle. Regarde Sophie Marceau, Emmanuelle Béart, Juliette Binoche... Elles ont notre âge et elles ne sont sûrement pas rangées des voitures. D'accord, on n'est pas des stars mais on n'est pas moches non plus. Vas-y.
Laura lui prit la main et lui dit :- Merci de ton conseil. Mais je ne sais pas trop où je mets les pieds, si j'ose dire.
Et les deux amies se séparèrent, en se promettant de se revoir au plus vite.
*******Elles se retrouvèrent à la salle de fitness trois jours plus tard. Tout en pédalant sur le vélo fixe, Claudette interrogea Laura mezzo voce :- Alors ? Du nouveau ?
- Oui, mais je t'en parle tout à l'heure au salon de thé, répondit-elle, d'un air mutin.
Une heure plus tard, c'est une Claudette fébrile qui se retrouva devant son amie qui, avec un rien de perversion, s'amusa à la faire languir. Finalement, pressée par Claudette, elle se déballonna :- Bon, je n'ai rien à te cacher mais jure-moi d'abord que tu ne diras rien à personne.
- Promis juré.
- Eh bien oui, j'ai couché avec Louis, mon stagiaire. Après un déjeuner sur le pouce, il m'a entrainée dans le Kyriad du coin où il avait déjà réservé une chambre, le coquin. On avait une heure devant nous et il n'a pas perdu de temps.
- Donne-moi des détails. Qu'est-ce qu'il t'a fait ?
- Il m'a déshabillée entièrement et a sorti sa queue pour que je le suce. Une queue magnifique, ni trop grosse ni trop petite, que j'ai pris un plaisir énorme à sucer. Puis il a sorti un préservatif et m'a pénétrée comme ça, direct.
- Comment ? Par devant ? Par derrière ?
- D'abord par devant. Les yeux dans les yeux. J'ai senti tout de suite la différence avec Edgar. C'était dur, c'était fougueux et j'ai vite perdu les pédales. Puis il m'a retournée et enfilée par derrière. J'avais l'impression de l'avoir jusque dans la gorge. Je me suis mis la tête dans la couette pour étouffer mes cris.
- Tu as joui combien de fois ?
- Deux ou trois fois, je ne sais plus. Tiens-toi bien, il m'a même sodomisée. Jamais Edgar m'avait fait ça. C'était inouï. Mais là où j'ai vraiment pris mon pied, c'est quand je me suis retrouvée sur lui. Chevaucher ce mec splendide m'a procuré un plaisir fou.
- Laura, tu m'as mis le feu avec ton récit. Tu vas le revoir ?
- Evidemment. Je suis devenue complètement accro à sa queue. Et si tu savais ce qu'il me dit ! Il est vraiment très cru quand il me fait l'amour. En fait, il me baise et c'est ce que j'attendais depuis longtemps, je m'en rends compte. Me faire baiser.
Claudette s'aperçut qu'elle mouillait. Lorsqu'elle quitta Laura, elle n'eut plus qu'une idée en tête : se faire baiser à son tour. Roland, son mari, ne la baisait plus depuis longtemps. S'il l'avait jamais baisée d'ailleurs.
*******Lorsqu'elle rentra chez elle, la première action de Claudette fut d'aller dans sa salle de bains et de se mettre entièrement nue devant sa glace pour une expertise complète de son corps. Etait-elle encore baisable par un jeune ? Là était la question. Du côté du visage, plus anguleux que celui, plein de fossettes, de son amie, il y avait bien quelques rides au coin des yeux mais rien d'alarmant encore. Ses rares cheveux blancs avaient été éliminés par une teinture assortie à la couleur de son épaisse tignasse brune. Ses seins, plus lourds que ceux de Laura, s'étalaient sur son torse mais leurs aréoles rebiquaient encore vers le haut, comme un défi. Son pubis broussailleux de brune n'avait, il est vrai, pas grand chose de commun avec celui, soigneusement épilé, de la blonde, mais elle tenait à sa broussaille parce que naturelle. Ses cuisses étaient plus musclées et larges que celles de son amie mais son fessier, pulpeux, à la raie bien nette, supportait encore la comparaison et pouvait susciter lui aussi, pourquoi pas, une intromission encore inédite. Le fait que Laura se soit fait sodomiser avait fortement impressionné Claudette. Bref, au bout du compte, elle ne voyait pas pourquoi elle ne séduirait pas elle aussi un fringant jeune homme amateur de femmes mûres, puisqu'il semblait y en avoir. Restait à trouver l'oiseau rare et c'était le plus compliqué.
Car dans son entourage professionnel, pas l'ombre d'une opportunité. Les hommes étaient soit mariés, soit imbaisables. Et du reste, elle ne souhaitait pas trop mélanger les genres. Trop risqué. Draguer dans la rue ? Un peu de dignité, que diable ! Elle n'avait plus vingt ans. Et si elle s'était parfois fait suivre, c'était par des types dont elle n'aurait assurément pas voulu entre ses cuisses.
Lorsqu'elle retrouva Laura, elle lui indiqua clairement son problème :- Tu m'as donné vraiment envie de baiser, mais je ne vois personne avec qui. C'est embêtant et ça m'attriste.
- Ne t'inquiète pas, Clo clo. Je vais m'occuper de ton cas.
Deux heures plus tard, coup de téléphone de Laura.
- J'ai parlé à Louis. Il a un copain qui aime les matures comme lui. Tu es libre demain à déjeuner ?
Claudette répondit par l'affirmative, un rien stressée quand même. Qui allait-elle découvrir ?
******La rencontre eut lieu dans un McDo pour complaire à Louis. Assises en sa compagnie devant un hamburger, Laura et Claudette virent apparaitre un grand échalas venu taper dans le poing de Louis. Il se présenta comme Célestin et les deux femmes ne purent masquer leur surprise : sa peau était absolument noire. Célestin était natif de Pointe à Pitre mais arrivé en métropole peu après sa naissance. Volubile et décontracté, il manifesta d'emblée son intérêt pour Claudette, un temps déstabilisée puis de plus en plus détendue. Elle ne pouvait que constater que le jeune homme, de trente ans plus jeune qu'elle, était vraiment superbe. Son tee shirt léger et sans manches révélait une musculature puissante mais fine. Malgré son jeune âge, son visage marquait déjà une forte maturité accentuée par une voix grave. Il disait pratiquer l'athlétisme, plus exactement le saut en hauteur, favorisé par sa haute taille. Pendant qu'il parlait, l'esprit de Claudette vagabondait dans tous les sens.
Cinq ans plus tôt, elle avait déjà commis l'adultère. DRH d'une entreprise de transports, elle avait connu une liaison avec le patron trapu et moustachu d'une entreprise concurrente qu'elle rencontrait dans des réunions professionnelles. C'était une manière de se venger de son mari qui, à l'époque, fricotait avec sa secrétaire qui n'était autre qu'une Martiniquaise au corps de rêve. Son couple avait alors connu une crise sévère et ne s'en était jamais vraiment remis. Le mari avait accepté de changer de secrétaire au bénéfice d'une dame d'âge mûr et Claudette de rompre avec le moustachu mais force était de constater qu'ils faisaient de moins en moins l'amour et Claudette suspectait un autre adultère de son mari, plus dissimulé. Voilà pourquoi l'expérience de Laura était arrivée à point nommé. A 50 ans, Claudette estimait avoir encore un potentiel sexuel et elle ne demandait qu'à le tester avec cette gravure de mode de Célestin, aussi noir que celle qui avait provoqué son cocufiage...
******Au sortir de ce déjeuner rapide, Laura interrogea son amie :- Alors, qu'en dis-tu ?
- Ben... je ne m'attendais pas à ça mais ce garçon est vraiment beau, trop beau pour moi.
- Tu n'as pas vu comment il te regardait ? Il te déshabillait des yeux. Fais-toi plaisir au lieu de tourner autour du pot.
- Et on va faire comment ?
- Ecoute, demain c'est samedi et je dois aller chez Louis. Viens avec moi, Célestin y sera aussi.
- Tu veux dire... qu'on va baiser ensemble dans son studio ?
- Et alors ? Comme ça, tu seras rassurée. Je serai avec toi.
- Je n'ai jamais fait ça.
- Moi non plus mais ce n'est pas une raison. J'avoue que ça m'amuserait de te voir faire l'amour...
- Cochonne ! Vicieuse !
- J'assume. Et lâche-toi un peu, il serait temps.
Claudette finit par accepter la proposition. Comme l'avait prédit Laura, son ventre l'avait emporté sur sa tête.
*********Dans le studio de Louis, le lit de 140 prenait pratiquement toute la place. Un petit bureau sur lequel l'étudiant travaillait, assorti d'une chaise, constituait le reste de l'ameublement avec les plaques chauffantes de la cuisine équipée et une petite salle de bains nantie d'une baignoire-douche sabot. Les quatre ne pouvaient donc que se réunir sur le lit. Louis et Laura était tellement impatients de s'unir qu'ils ne s'embarrassèrent pas de préliminaires. Laura était à peine à poil que le blondin l'enfilait les bras sous ses genoux, l'écartelant sans ménagement ce qu'elle semblait attendre à en juger par ses piaillements de plaisir. Claudette assista médusée aux roulements du cul nu et impatient de l'étudiant entre les cuisses en V de son amie, à tel point qu'elle s'aperçut à peine que le dénommé Célestin était en train de déboutonner son chemisier et de plonger le nez dans son sillon mammaire.
Réalisant la situation, elle accepta les lèvres du Guadeloupéen pour une entrée en matière un peu moins sauvage. Dévêtue progressivement, elle découvrit avec ébahissement le pénis érigé du jeune homme, d'une longueur quasi animale. Incitée sur une pression sur sa nuque, elle l'emboucha avec précaution tant il était volumineux et s'en remplit la bouche avec volupté. Depuis combien de temps n'avait-elle pas sucé ? Elle entama dès lors un long parcours érotique en compagnie du jeune homme, magnifiquement équipé pour les joies du sexe. Claudette se débarrassa de son pantacourt suivi de son slip et de son soutif et elle se retrouva allongée en travers du lit alors que le couple voisin en était à la levrette, le visage de Laura, illuminé et toutes fossettes dehors, quasiment contre la joue de son amie. Célestin plongea le nez dans sa broussaille dans la moindre retenue et sa langue procura à la récipiendaire des sensations délicates qu'elle avait complètement oubliées. Elle releva la tête pour l'observer et croisa son regard, lui adressant une petite pression sur la nuque pour l'encourager à poursuivre. Il y avait l'image mais aussi le son : Laura devenait de plus en plus bruyante dans l'oreille de Claudette du côté de son visage et le choc des peaux du couple contigu attestait de la virulence des coups de boutoir de Louis.
- Ah c'est bon Clo clo, c'est bon ! gémit la blonde.
Claudette n'avait évidemment jamais vu son amie dans cet état, et pour cause. L'idée qu'elle pouvait faire l'amour à quelques centimètres d'elle ne lui serait jamais venue à l'esprit, et encore moins qu'elle se ferait lécher en même temps par un jeune homme qui aurait pu être son fils. Et drôlement bien léchée en prime car elle commençait sérieusement à basculer dans un autre monde mental, à la fois sous l'effet de la langue habile du Guadeloupéen et de l'enthousiasme sexuel de Laura, hautement communicatif.
- Viens maintenant, s'il te plait ! se surprit à murmurer Claudette à l'intention de son jeune amant.
Tranquillement ce dernier se détacha de l'entre-cuisses de la brune, le visage barbouillé de cyprine, attrapa la boite de préservatifs déjà ouverte par Louis, se coiffa, prit Claudette par la main, l'attira à lui, l'embrassa et la guida parmi les vêtements épars jusqu'au petit bureau où il l'assit face à lui et se glissa entre ses cuisses. Bouches et nez se rencontrèrent au moment où le pénis entra dans la vulve avec une grande facilité, tant Claudette était mûre et idéalement positionnée, à hauteur du bas-ventre du jeune homme. Telle une tête chercheuse, le gland prospecta les chairs intimes, s'enfonçant de plus en plus profondément. De ses mollets, Claudette verrouilla les reins de son jeune amant et ainsi légitimé, celui-ci accéléra la cadence, provoquant un concert de décibels de la brune, si puissants qu'ils couvrirent les vocalisations de la blonde :- Ah oui ah oui, encore, encore, t'arrête pas t'arrête pas, gémit Claudette, que l'activité puissamment rectiligne du pénis mettait en transes. Jamais elle n'avait été prise dans cette position, étant toujours honorée au lit, mais de manière ô combien moins satisfaisante. Le Guadeloupéen pouvait lire dans son regard tout proche l'intensité de son plaisir et la montée irrésistible de son orgasme. Il accentua ses coups de reins et le cri guttural de Claudette envahit la pièce. Jamais elle n'avait ressenti une telle puissance de bite dans son bas-ventre. Jamais elle n'avait autant joui. Laura et Louis avaient interrompu leurs ébats pour assister à cette explosion. Le Guadeloupéen se retira, exhibant un pénis d'une longueur démesurée tandis que Claudette descendait du bureau en titubant et s'effondrait sur le lit, anéantie.
- Eh ben dis donc, tu as pris un sacré pied, rigola Laura en lui caressant le visage.
Claudette lui sourit entre deux reprises de souffle. Puis elle regarda son jeune amant et constata son érection intacte. Comme en remerciement, elle entoura une nouvelle fois son gland de ses lèvres et Laura et Louis reprirent leurs ébats par un 69 destiné à ranimer la flamme du blondinet. Quelques minutes plus tard, Laura se déplaçait et venait s'empaler sur Louis qui avait désormais vue sur son cul en mouvement.
- Clo Clo, fais comme moi, viens sur lui.
Et Claudette se retrouva à son tour en train de chevaucher son jeune amant, de trois quart face à son amie dont elle se mit à imiter le comportement. Lorsque Laura se mit sur ses pieds pour allonger la pénétration, Claudette fit de même, à ceci près qu'elle prenait appui sur le torse musclé de Célestin alors que Laura avait posé les mains sur les cuisses de Louis. Revenues sur leurs genoux, les deux amies rivalisèrent de roulements de hanches et sentirent simultanément monter leur orgasme- Ah c'est bon comme ça, je la sens bien et toi ?
- Ah oui moi aussi, ah j'aime ça !
En cette circonstance, on aurait surpris Claudette si on lui avait dit qu'elle faisait l'amour. Pour elle, c'était du sexe, rien que du sexe. Et quand Laura lui souffla : "tu baises, hein ?" Claudette ne put qu'opiner du chef. Oui, elle baisait et c'était peut-être la première fois de sa vie sexuelle. Quand elle ne faisait pas vraiment l'amour avec son mari, c'était du devoir conjugal mais sûrement pas de la baise comme maintenant, cavalant sur ce mâle superbe sous le regard de sa meilleure amie qui faisait de même. Laura et elle se regardaient, s'observaient, se souriaient, se parlaient et quand la blonde s'exclama "ah je jouis !", la brune lâcha prise à son tour et poussa un cri en s'effondrant sur la poitrine du Guadeloupéen. Les deux couples se détachèrent à nouveau mais les deux hommes étaient toujours en érection devant leurs partenaires à la fois stupéfaites et ravies. Qu'elles puissent encore susciter un tel désir à la cinquantaine étaient pour elle comme une cure de jouvence.
*****C'est alors que ces ébats à quatre prirent un tour différent, beaucoup plus "hard". Les deux garçons avaient pris conscience qu'ils ne trouveraient pas tous les jours deux femelles aussi disponibles, aussi disposées à satisfaire leurs désirs. Après un bref conciliabule, ils décidèrent de leur imposer une variation de leurs ébats. Louis intervint :- Laura, assieds-toi sur mon bureau,La blonde s'exécuta et découvrit avec surprise Célestin s'avancer entre ses cuisses, la bite tendue. Elle n'avait jamais envisagé un tel scénario : se faire prendre non par son amant mais par son copain sous les yeux de son amie avec lequel celui-ci venait de s'accoupler. Mais elle était dans un tel état d'excitation que la perspective d'être à nouveau pénétrée emporta son adhésion. D'autant plus par ce jeune mâle au torse sculptural et à la queue de rêve, qui avait donné tant de plaisir à son amie. Et comme Louis était à l'origine de cette variation... Quant à Claudette, d'abord interdite par ce scénario, aucune jalousie ne l'assaillait puisqu'elle ne connaissait ce garçon que depuis 24 heures et se montrait même assez curieuse d'observer le comportement de son amie dans la même situation qu'elle quelques minutes plus tôt.
La taille de Célestin étant supérieure à celle de Louis, celui-ci mit un coussin sous les fesses de Laura afin que la pénétration fût idéale et de fait, celle-ci ne tarda pas à ressentir un plaisir aussi violent que celui de Claudette. Le jeune homme en eut plein des oreilles de ses cris mais n'en laboura pas moins son intimité de toute sa longueur pénienne. Louis et Claudette observaient du lit, jusqu'au moment où le blondinet dit à la brune :- Caresse-lui les couilles.
Claudette obéit, palpant et soupesant les belles bourses noires qui ballottaient entre ses doigts.
- Lèche-les maintenant.
C'était justement ce dont Claudette avait envie, sentir dans sa bouche ces glandes du plaisir. Les cris de Laura se firent plus stridents, signes de l'effet que produisait son amie sur le Guadeloupéen, de plus en plus agité.
- Lèche-lui le trou du cul.
Claudette crut avoir mal entendu. Mais Louis répéta l'injonction. Jamais elle n'avait fait ça. Mais elle n'était plus vraiment elle-même. Elle commença par embrasser les fesses superbes, ô combien agitées puis glissa petit à petit vers l'anus et glissa une langue prudente. Le goût fumé ne la rebuta pas autant qu'elle l'aurait cru. Sa lèche devint manifeste, assortie d'une pression de la main sur les couilles. Elle sentit en même temps celle de Louis qui venait de prendre possession de sa chatte, évidemment trempée. Une intense envie de pénétration la saisit et elle souffla à l'intention du blondinet en se retournant vers lui :- Baise-moi maintenant. Je suis en feu.
Il la prit à nouveau en levrette ce qui permit à Claudette de croiser le regard de Laura sur l'épaule du noir. Un regard de femme qui baise découvrant le regard d'une autre femme qui baise. Laura ne pouvait pas manquer non plus l'expression avide de Louis, assaisonnant de ses coups de bite la croupe pulpeuse de Claudette, dont les seins lourds ballottaient au rythme de ses va et viens. Laura sentit monter une extase irrésistible, mordit l'épaule de son baiseur qui gicla aussitôt dans sa capote. Quelques secondes plus tard, Louis s'effondra sur le dos de Claudette en grognant, expulsant de lourdes substances masculines dans le latex tandis que la brune s'aplatissait sur le lit, l'esprit brouillé et les jambes molles. Elle avait joui une nouvelle fois. Laura vint la rejoindre et l'embrassa :- Quel pied on a pris, hein ? souffla-t-elle à son oreille.
*******Elles se retrouvèrent deux jours plus tard dans leur salon de thé habituel. Elles pouffèrent de rire en se revoyant, comme deux gamines après une bonne farce.
- Alors, ça va comment ? interrogea Laura.
- Un peu mal au bide, mais ça va. Je suis un peu rouillée, faut croire, répondit Claudette.
- Tu as des excuses à faire valoir. Ton Célestin, quelle bite ! Je n'avais jamais vu ça.
- Et tu n'as pas fait que la voir, coquine. Tu avais bien manigancé ton coup.
- Mais non, pas du tout ! Ce n'était pas prévu ! Ces deux cochons nous ont bien eues.
- Bon, admettons. De toute façon, je ne regrette rien. Je voulais baiser et j'ai baisé, grâce à toi. Et le faire avec toi m'a beaucoup plu. Je n'aurais jamais cru en être capable. Mais qu'est-ce qu'on fait maintenant ? On va les revoir ?
- Sais pas. De toute façon, le stage de Louis se termine et il va se barrer. Mais Célestin doit rester. C'est à toi de voir.
- A dire vrai, j'ai un peu réfléchi. Un beau mec pareil ne va pas me faire longtemps les honneurs de sa queue. J'aime autant devancer le larguage. Et puis bon, je dois quand même faire attention, je suis mariée et je n'ai pas l'intention de divorcer pour un étalon, fût-il beau et flatteur pour moi.
- Tu n'as peut-être pas tort. Mais s'il te fait signe, que fais-tu ?
- J'arrive en courant, évidemment, mais ça ne se fera pas. Que veux-tu, pour eux, on est des vieilles.
- N'empêche qu'on les a fait sacrément bander. Bon, on arrête de parler de ça.
Et les deux amies poursuivirent leur conversation de manière plus conventionnelle. Tout en pensant l'une et l'autre qu'il était hors de question de se "ranger des voitures". Quinquagénaires ou pas.
A suivre ?
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